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Channel: JEAN-MARIE LEBRAUD
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IL Y A 21 ANS , UN MINISTRE VISIONNAIRE ........

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Il y a 21 ans, Poniatowski écrivait ces lignes…

Vous vous souvenez de l’ancien ministre Michel Poniatowki ?

Lisez bien attentivement les lignes qui suivent… Elles sont de lui.
 .
Visionnaire ?.
L’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard :
 « Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.
Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…)
Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond.

Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane

Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours.

Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.

Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes

Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.

Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux.

Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale

. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit.

 Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?
 La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ?

En miettes.

La France est à l’abandon est en décomposition à travers le monde.

 Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État. »

Merci Jean-Claude


FEMEN: UN GOÛT DE DÉJÀ-VU, PAS TRÈS PACIFISTES !

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TRIBUNE LIBRE 

 

Les FEMEN, ni putes ni soumises ?

eloise-bouton-escort-girl.jpg

Le site Égalité et Réconciliation, vitrine du mouvement politique éponyme, vient de publier en exclusivité une série de photos de l’une des activistes et vraisemblablement porte-parole du mouvement FEMEN, où il apparaît que cette personne ne serait autre qu’une… “escort girl”.

eloise-bouton-femen-233x350.jpg

Il s’agit d’Éloïse Bouton, membre des FEMEN et accessoirement “journaliste” freelance selon son profil Linkedin, photographiée lors de la manifestation du 18 novembre où les FEMEN s’étaient illustrées en attaquant les manifestants catholiques.

Identifiée par Égalité et Réconciliation sur un site d’accompagnatrices de charme sous le pseudonyme de “Alise” ou bien encore “Luka”, Éloïse ajoute à ses compétences militantes le “kissing with tongue” (baiser avec la langue), le sexe oral, le 69 ou bien “cumshot in mouth“.

L’on peut voir la même personne interviewée dans une vidéo et parlant de la proximité idéologique des FEMEN avec l’association féministe et d’extrême gauche Ni Putes Ni Soumises

Selon une enquête menée par une journaliste d’une chaîne de télévision ukrainienne ayant infiltré l’organisation féministe, ces dernières sont largement financées par des représentants des milieux d’affaire européens et américains. 

Vidéo : féminisme radical et féminisme normal ?

 

Novopress.info.JPG

 

Femen, un goût de déjà-vu

Comment une telle organisation, qui revendique ouvertement son caractère extrémiste et sa haine des religions, peut-elle fonctionner légalement en France ? « Notre ennemi, c’est l’Église, notre ennemi ce sont les religions en général » déclarent-elles dans une vidéo en ligne sur leur site (« Femen’s lecture for activists »).

Cela ne vous rappelle rien ? Elles ont beau déclarer être « des terroristes pacifiques », leur propagande et leur mode d’action n’a rien de pacifique.

Et tout comme les bolcheviques en leur temps et l’extrême-gauche européenne aujourd’hui, dont elles font apparemment partie, elles qualifient systématiquement leurs opposants de fascistes (comme par exemple « les fascistes catholiques » ou « les organisations fascistes religieuses »).

Mais qui sont les vrais fascistes ?

L’appel au meurtre au motif de l’appartenance religieuse : « Tuez Cyrille »

Les menaces de violences physiques à l’égard des organisateurs de la manifestation du 18 novembre à Paris (« FEMEN promet de ne pas oublier cet incident et de se venger sur les organisateurs selon la meilleure tradition chrétienne : œil pour œil, dent pour dent ») :

Du reste, si ces terroristes sont pacifiques, pourquoi entraîner les « soldats du féminisme » au combat ?

Photos : affiches nazis et soviétiques (cadres du film documentaire « The Soviet Story » – www.sovietstory.com), Femen : extraits du site www.femen.org.

 

http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/25-11-2012/femen-un-gout-de-deja-vu

SYRIE: MEDVEDEV REPROCHE À PARIS DE SOUTENIR LES ISLAMISTES

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par Gleb Bryanski

 

MOSCOU (Reuters) - Le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a condamné le soutien de Paris à l'opposition syrienne et accusé l'Union européenne d'indécision face à la crise de la dette, dans une interview accordée avant sa visite en France, ce lundi.

La France a été le premier Etat européen à reconnaître la nouvelle coalition de l'opposition en tant que représentante légitime du peuple syrien.

Le président François Hollande n'a par ailleurs pas exclu que des armes puissent être fournies aux insurgés une fois que les adversaires de Bachar al Assad auront formé un gouvernement.

"Le souhait de changer de régime politique dans un autre Etat en reconnaissant certaines de ses composantes politiques comme seules représentantes légitimes ne me semble pas très civilisé", a déclaré Dmitri Medvedev.

"La Russie ne soutient ni le régime d'Assad, ni l'opposition", a-t-il assuré, affichant la même neutralité que Vladimir Poutine, auquel il a cédé la présidence en mai.

"Mais (...) la question est de savoir s'il est bon de décider de soutenir une autre force politique si elle est en confrontation directe avec le gouvernement officiellement reconnu d'un autre Etat. Et, du point de vue du droit international, cela me paraît absolument inacceptable".

"IL EST TEMPS DE SE DÉTENDRE"

Au cours de cette visite de deux jours, Dmitri Medvedev sera reçu par son homologue Jean-Marc Ayrault et par le chef de l'Etat. Il s'agit de la première rencontre bilatérale depuis l'investiture de François Hollande et du président russe.

La Russie, dont une part importante des réserves de devises sont en euros, suit avec attention l'évolution de la crise dans l'Eurogroupe "parce qu'il nous semble parfois que nos partenaires européens manquent d'énergie et de volonté dans leurs décisions", a poursuivi Medvedev.

Le Premier ministre a en outre reproché à Paris d'imposer des barrières administratives aux investisseurs russes, souvent soupçonnés d'avoir tirer un profit pas toujours légal des privatisations des années 90.

"Il est temps de se détendre et de réaliser que la plupart des hommes d'affaires russes sont des gens respectueux de la loi qui ont gagné leur argent honnêtement et que cet argent peut être investi dans tous les biens, y compris français", a-t-il souligné.

Il a par ailleurs nié tout repli des droits civiques depuis les grandes manifestations qui ont suivi la réélection de Vladimir Poutine en décembre et a assuré que la démocratie avait au contraire gagné du terrain.

Jean-Philippe Lefief pour le service français

 

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/medvedev-reproche-a-paris-de-soutenir-l-opposition-syrienne-26-11-2012-1533582_240.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20121126

MALHEUREUSEMENT , UNE HISTOIRE VRAIE !

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FRANCE, PLUS BELLE LA VIE !
 
 
LES SANS PAPIERS PEUVENT ROULER EN 2 ROUES.Nous venons de recevoir ce courrier de Didier D. des Bouches du Rhône (13)."Suis écoeuré. Hier après midi j'étais en scooter et me suis fait arrêter suite à une petite infraction. OK, j'avais franchi la ligne continue pour remonter toute une file de voiture. J'essaie de baratiner le policier mais bof, ça n'a pas l'air de prendre. Au même moment, des "jeunes banlieues nord" passent à 2 sur un vieux scooter pourri et en plus sans casque dans un énorme vacarme. Je les montre au policier et lui demande de les bloquer de suite. Le policier ne bouge pas et me dit :"avec vous monsieur, je ne perd pas mon temps, vous allez écoper de 90 € d'amende, de 3 points et vous paierez car vous êtes solvable et en règle. Ca va me prendre 10 mn. Avec eux j'en ai pour 2 h, le scooter ne doit pas être assuré, il n'est peut-être pas eux, ils n'auront aucun papier, je dois passer 2 à 3 H derrière un ordinateur au poste et ce soir ils seront à nouveau dans la rue ..."Je suis écoeuré, dégoûté par les policiers et surtout par le système de merde dans lequel nous sommes tombés".
LES SANS PAPIERS PEUVENT ROULER EN 2 ROUES.
 
 

Nous venons de recevoir ce courrier de Didier D. des Bouches du Rhône (13).
 
 

"Suis écoeuré. Hier après midi j'étais e
n scooter et me suis fait arrêter suite à une petite infraction.
 
 
OK, j'avais franchi la ligne continue pour remonter toute une file de voiture. J'essaie de baratiner le policier mais bof, ça n'a pas l'air de prendre.
 
 
 
Au même moment, des "jeunes banlieues nord" passent à 2 sur un vieux scooter pourri et en plus sans casque dans un énorme vacarme.
 
 
Je les montre au policier et lui demande de les bloquer de suite. Le policier ne bouge pas et me dit :
"avec vous monsieur, je ne perd pas mon temps, vous allez écoper de 90 € d'amende, de 3 points et vous paierez car vous êtes solvable et en règle. Ca va me prendre 10 mn.
 
 
Avec eux j'en ai pour 2 h, le scooter ne doit pas être assuré, il n'est peut-être pas eux, ils n'auront aucun papier, je dois passer 2 à 3 H derrière un ordinateur au poste et ce soir ils seront à nouveau dans la rue ..."
 
 

Je suis écoeuré, dégoûté par les policiers et surtout par le système de merde dans lequel nous sommes tombés".
 
 
 
 

CHLOÉ : VICTIME DU LAXISME JUDICIAIRE

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Lundi 26 novembre 2012

chloe-rodriguez.jpgLa brute qui a enlevé, séquestré et violé la jeune Chloé est donc bien un récidiviste chevronné. Emblématique « chance pour la France », Kamel Bousselat - le maghrébin à qui une législation aussi imbécile que criminelle permet de se dire « français » et que les journaleux présentent comme un «gardois » - a un palmarès éblouissant : à 32 ans il cumule 13 condamnations pour vol aggravé, port d'armes, violence avec préméditation, menace de mort, exhibition sexuelle, agressions sexuelles avec tentative d'enlèvement à la suite desquelles il écope de... 5 ans dont 3 ans fermes d'emprisonnement seulement, alors que le Code prévoit 15 ans pour la seule tentative de viol ! Merci les robins ! Cerise sur le gâteau, les services (in)compétents du petit monde judiciaire n'ont pas renseigné le FIJAIS (fichier des auteurs d'infractions sexuelles) lors de sa libération en septembre dernier, ce qui a permis au nuisible de ne pas respecter de suivi judiciaire ni même de contacter son contrôleur attitré et de disparaître dans la nature sans que police ou gendarmerie ne soit au courant de cette évaporation.

Bousselat-Kamel.jpgOn sait quelles ont été les conséquences de cette chaîne de laxisme, d'incurie et de je-m'en-foutisme : Chloé (15 ans) marquée à vie par la violence de son enlèvement, l'angoisse de sa séquestration et les brutalités sexuelles auxquelles l'ignoble s'est livré sur elle pendant une semaine. Il est vrai que ce n'est qu'une souchienne et qu'après tout qu'est-ce qu'une souchienne pour un Kamel qui descend peut-être en droite ligne de ces barbaresques qui durant des siècles ont enlevé femmes, fillettes et garçonnets de Provence pour les livrer aux turpitudes de poussahs libidineux.

 

guillotineLe calvaire de la malheureuse adolescente n'est pas terminé, après les psys il lui faudra affronter le procès et les sous-entendus aussi graveleux que nauséabonds des défenseurs du salopard : ce n'est pas un peu de sa faute ? Elle a essayé de s'enfuir ? Elle n'y aurait pas trouvé un peu de plaisir ? Les ronds de cuir de l'a-justice eux n'ont pas à s'en faire : rien de ce qui est arrivé n'est de leur faute et puis la Taubira va pondre une circulaire « pour faciliter les communications entre les services », ce qui ne les empêchera pas de somnoler pendant les longues journées de travail. Quant à Kamel, sa maman (qui a eu droit à un entretien dans Le Parisien) espère qu'il va « enfin faire un effort pour s'en sortir » et son avocat le présente déjà une victime de la traditionnelle madame « pulsion ». 


Bref tout va bien dans le meilleur des mondes ! Une jeune fille française n'oubliera jamais le martyre qu'elle a subi, son tortionnaire maghrébin va être engraissé un temps aux frais du contribuable gaulois avant de retrouver la liberté et de recommencer.

 

La décollation de l'immonde ne consolerait sans doute pas sa victime, elle aurait au moins le mérite de rendre impossible toute récidive. La bascule à charlot avait du bon !

 

Source

 

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS !

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Vers la mort de la gauche ? Il faudra l’y aider !

Tribune libre d’Édouard Josse*

Certains intellectuels de droite estiment que la gauche ne constitue plus un danger majeur pour notre pays et notre civilisation, tant son idéologie est en passe d’être déjugée par les faits.

La gauche de gouvernement, social-démocrate, connaîtra selon eux le même sort électoral que la gauche socialo-communiste après la chute de l’URSS.

 

On avance trois raisons principales à ce phénomène : la faillite de l’État-Providence, qui étrangle le contribuable et hypothèque l’avenir de ses enfants ; la mondialisation qui expose le monde ouvrier à de nouvelles menaces socio-économiques et les identités nationales au piège du « multiculturalisme » ; enfin, la montée en puissance d’un néo-patriotisme chez les jeunes générations venant s’allier au reste de la population vieillissante, sensible aux thèmes de la sécurité, de l’immigration et de la liberté économique. Puisque la gauche ne peut ni se défaire de sa culture du « service public » à laquelle elle a lié son destin, ni rompre avec l’universalisme internationaliste qui l’empêche de préférer les ouvriers « de souche » aux ouvriers immigrés, le contexte serait nécessairement favorable à la droite.

En dehors de quelques mesures étatistes de circonstance et de gadgets sociétaux qu’elle drape de la couleur du progrès, la gauche ne serait plus en mesure de gouverner par manque d’idées propres. Puisque son corpus idéologique, en partie hérité du programme du Conseil National de la Résistance (CNR) d’inspiration communiste, a été entièrement appliqué (système de redistribution, monopole étatique de l’assurance maladie, intervention massive de l’État dans la sphère économique, etc.) et a échoué de manière manifeste, la gauche serait à terme condamnée à perdre les élections, incapable de se renouveler.

L’hégémonie culturelle de la gauche

Ceux qui prédisent la fin de la gauche par la seule force des choses ont à mon sens bien tort. Nous devons à l’évidence continuer de craindre les ravages auxquels conduit irrémédiablement la domination de la gauche. Et cette domination n’est pas uniquement électorale, mais avant tout culturelle.

La gauche ne tire pas sa force de sa majorité au Parlement ou de son contrôle des conseils régionaux et municipaux, mais de son hégémonie culturelle dans les médias, dans l’édition, à l’école, à l’université, dans l’administration, dans les syndicats, dans les tribunaux, etc. Partout où l’esprit du citoyen est façonné par le traitement de l’actualité ou par l’enseignement, une pensée unique règne en maître pour asséner un certain nombre de messages simples mais clairs, souvent diffusés selon le procédé du sous-entendu. Faire apparaître les idées de gauche comme le Bien menacé par l’empire du Mal que constitue la droite, est à chaque instant l’objectif premier.

Parallèlement à ce système médiatico-politique à ses ordres, la gauche possède un formidable tissu associatif qui se charge de faire croire à un soutien de la société civile. Ces organisations grassement subventionnées sont en fait la plupart du temps de simples lobbies mis au service de communautés ou de clientèles électorales.

Le déclin de l’État-Providence ne mènera donc pas automatiquement à une victoire de la droite. Au-delà même du facteur culturel, on ne peut pas omettre le fait que la droite institutionnelle a accepté et poursuivi un certain nombre de politiques engendrées idéologiquement ou politiquement par la gauche. La droite française, de retour au pouvoir, souffre d’un « effet de cliquet » qui l’empêche de revenir sur les politiques qu’elle a pourtant combattu dans l’opposition. On pourra citer ici le cas de l’avortement (légalisé en 1975 avec les voix de la gauche), de la peine de mort (1981), des 35 heures (1998), ou bien encore celui du PaCS (1999). Ces différentes réformes essentielles sur des sujets aussi importants que la vie, la justice, le travail et le mariage ont à chaque fois été défendues par cette société civile de gauche : le « Planning familial » pour l’avortement, la « Ligue des droits de l’homme » pour la peine de mort, les syndicats pour les 35 heures, et le lobby homosexualiste pour le PaCS. Face à ces groupes d’intérêts organisés, l’opposition a eu du mal à se faire entendre puis s’est éteinte peu à peu, admettant ainsi en quelque sorte l’existence d’un « sens de l’histoire ». La droite n’est donc pas exempte de tout reproche, loin s’en faut, et il est normal que le peuple de France lui en ait tenu rigueur. Pour vaincre la gauche, la droite ne devra pas seulement compter sur le fait que les socialistes échoueront lamentablement, mais proposer une alternative crédible, à contre- courant quand il le faudra, qui ira au-delà des promesses électorales habituelles.

Taille de l’État : des paroles aux actes

Si Nicolas Sarkozy a su libérer la droite officielle de ses complexes de vocabulaire, son volontarisme est malheureusement resté trop souvent à l’état de simples mots. Fort d’un programme résolument libéral-conservateur en 2007, fondé sur la sacralisation de l’initiative et de la réussite individuelles et sur le respect de l’ordre, « Sarko the American » est peu à peu redevenu en matière économique un homme politique français aveuglé par l’étatisme. Des mesures positives bien que limitées ont cependant pu être réalisées sous son quinquennat (statut d’auto-entrepreneur, défiscalisation des heures supplémentaires, suppression des droits de succession, autonomie des universités, etc.), mais apparaissant aujourd’hui comme des réformes à la marge quand il aurait fallu s’attaquer aux problèmes structurels qui rongent notre économie et nos finances publiques.

Succombant dramatiquement aux sirènes de l’État-obèse, le président Sarkozy a analysé la crise financière de 2008 comme une crise du libéralisme, alors qu’elle était le symptôme d’une crise du capitalisme de copinage, cette corruption généralisée d’un État omniprésent et omniscient que les esprits ignorants ou malhonnêtes osent qualifier bien souvent d’ « ultralibéral ».

Le poids et le pouvoir grandissant du secteur financier dans l’économie sont la résultante d’une garantie étatique donnée aux banques qui les poussent à prendre des risques insensés sans se soucier des conséquences, sachant qu’elles seront de toute façon renflouées. La financiarisation de l’économie est la marque de l’État. La liberté sans la responsabilité, ce n’est pas obéir aux lois du marché, ce n’est pas le libéralisme.

« L’entente des droites n’est pas qu’un enjeu électoral – les élections passent même au second plan à vrai dire – il s’agit d’abord de mener la guerre culturelle, de disputer enfin à la gauche son hégémonie intellectuelle et morale en réaffirmant fièrement nos valeurs. »

Dans un pays où l’État creuse chaque année un peu plus le déficit et accroît le poids de la dette en consacrant l’équivalent de 56,6% du PIB (2010) à la dépense publique, et inhibe la croissance en maintenant un environnement social et fiscal extrêmement défavorable à la libre-entreprise et donc à la création de richesses, il semble évident que la réduction du périmètre étatique va devenir une nécessité si l’on veut éviter le chaos.

La gauche sera très mal à l’aise mais prendra sa part du bout des doigts dans la réduction de la dépense publique, du moins il faut l’espérer. Ce « sérieux budgétaire » de gauche, qui reste cependant à démontrer, cristallisera avec un peu de chance la situation à défaut de l’améliorer, en attendant le retour en 2017 d’une droite…décomplexée.

L’entente des droites

Nous avons cinq ans pour refondre entièrement la doctrine de la droite française. L’éventail des forces en présence est plus que jamais flou, à l’heure où l’UMP se déchire entre deux têtes d’affiche, où l’UDI essaie de faire coexister des centristes scissionnistes et où le Front national poursuit son entreprise de dédiabolisation tout en jouant à l’arbitre des droites.

Ces droites n’auront pas d’autre choix que de s’entendre, à défaut de s’allier, pour présenter dans les années à venir une sorte de « programme commun » aux Français. Les chantiers sont trop grands, les enjeux trop essentiels, pour que les patriotes s’autorisent le luxe d’être divisés en clans. L’entente des droites n’est pas qu’un enjeu électoral – les élections passent même au second plan à vrai dire – il s’agit d’abord de mener la guerre culturelle, de disputer enfin à la gauche son hégémonie intellectuelle et morale en réaffirmant fièrement nos valeurs. La « reconquête » dont tous les partis de droite parlent, passe par cette bataille des idées, par la revendication de grandes valeurs communes.

La réduction du périmètre de l’État est à mon sens la mesure programmatique qui devra faire l’objet d’un consensus, même si une partie de la droite se refuse encore à l’envisager.

Si l’UDI, qui se rêve en héritière de la « grande UDF », semble acquise à cette cause, une partie de la droite tendance « RPR » reste à convaincre, et le FN persiste dans un discours étatiste pensant ainsi séduire les classes populaires. Pour autant, la plupart des intellectuels proches du Front national se revendiquent du national-libéralisme et donc du libéral-conservatisme.

La droite majoritaire, le peuple dans la rue

Au regard des derniers résultats électoraux, on constate que la droite est majoritaire dans le pays. À la différence de 1981, en 2012, la droite est majoritaire en voix. Le Parti socialiste n’obtient que 16,5% des inscrits au premier tour des élections législatives tandis que l’UMP totalise 22% et le FN 7%.

De plus, François Hollande n’a été élu qu’avec 48,6% des voix des votants, ce qui en fait le président le plus mal élu de la Ve République. Si l’électorat de droite est sociologiquement composite, notamment en fonction des régions, il ne fait nul doute que la question identitaire joue désormais un rôle primordial dans sa mobilisation.

Comme l’analyse fort justement Patrick Buisson, la question sociale et la question identitaire ne font désormais plus qu’une. L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy estime par ailleurs que la droite devra s’appuyer sur un bloc sociologique électoral ancré dans la France périphérique, la France périurbaine et les zones rurales, celle de l’Est industriel et des villes moyennes. En d’autres termes, un électorat qui s’articule entre les classes populaires et les classes moyennes, faisant l’objet de « paniques morales » face aux assauts de la mondialisation.

Pour s’attacher la confiance de cette population, la droite devra au premier chef protéger le patrimoine immatériel de cette France déclassée, c’est-à-dire l’identité nationale ; garantir la sécurité, qui est la première des libertés; rénover profondément l’école publique en améliorant sa qualité et son objectivité, grâce à l’individualisation des parcours et l’autonomie des établissements, tout en étendant la liberté scolaire ; réduire drastiquement l’immigration légale qui cristallise les peurs, souvent à juste titre ; rendre la liberté économique aux entrepreneurs entravés par les réglementations et le droit de travailler aux salariés trahis par les syndicats.

Cette France périurbaine, cette France de petits propriétaires, de patrons de PME, de commerçants et artisans, cette France de cadres subalternes, d’agriculteurs et d’employés, cette France qui travaille dur, cette France qui ne se plaint jamais, qui ne fait pas la grève, qui paie ses impôts – beaucoup trop –, cette France qui voit l’assistanat et le laxisme se généraliser à leurs dépends.

Cette France qui est fière de son histoire, qui ne se repent pas, cette France qui croit en l’effort, au mérite, à l’ascension sociale, cette France qui croit au mariage et à la famille, cette France éternelle qui résiste corps et âme quand Saint-Germain-des-Prés assure qu’elle n’existe plus.

Cette France qui refuse la dictature d’une gauche bien-pensante, complaisante à l’égard de nos ennemis, mais rejette aussi ceux qui à droite ont pu participer coupablement à cette entreprise de destruction en collaborant avec les élites mondialisées.

Le pillage fiscal, la dénaturation du mariage, la négation de la famille, la montée de l’islam radical, tout cela les exaspère et les inquiète profondément. Le peuple de France est à nouveau prêt à battre le pavé pour défendre cette patrie qu’il aime tant, comme nous l’avons vu récemment à travers la mobilisation exceptionnelle des «pigeons entrepreneurs » ou encore lors des « Manifs pour tous ».

 Sauvons aujourd’hui ce qui doit l’être et rendez-vous demain pour la reconquête.

* Édouard Josse est directeur général du Cercle des Célestins.

 

Source:   http://www.ndf.fr/identite/26-11-2012/vers-la-mort-de-la-gauche-il-faudra-ly-aider

LA REVANCHE DU FN SUR L' UMP ?

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Le Point.fr - Publié le 26/11/2012 à 13:07 - Modifié le 26/11/2012 à 14:42

Dans les rangs du PS et de l'UMP, on juge que le mauvais feuilleton qui se joue entre Copé et Fillon profite à Marine Le Pen.

 

Dimanche, au déjeuner, les militants parisiens du Front national fêtent le Beaujolais nouveau dans une boîte de nuit parisienne, à deux pas du siège de l'UMP.

Entre la charcuterie et les pâtisseries orientales, une idée leur vient : "Et si on allait tracter devant le siège de l'UMP ?" Aussitôt dit, aussitôt fait.

En milieu d'après-midi, une dizaine de militants FN narquois distribuent des bulletins d'adhésion aux passants qui s'arrêtent volontiers, intrigués par la nuée de caméras et de journalistes. "Les orphelins de l'UMP peuvent vouloir continuer leur activité politique.

Le FN les accueille volontiers", souffle lundi au Point.fr Wallerand de Saint-Just, futur candidat FN à la mairie de Paris.

 

Les yeux rivés sur le mauvais feuilleton de l'UMP, Marine Le Pen exulte. Ne promet-elle pas l'explosion de l'UMP depuis plusieurs mois ? Pendant la campagne présidentielle, Louis Aliot, vice-président du FN, observait : "L'UMP est une auberge espagnole : il y a de tout ! Des pro et des anti-européens, des centristes à côté de membres de la Droite populaire. Si Nicolas Sarkozy perd, l'UMP implosera." Aujourd'hui, après le "crash" et "l'échec majeur de l'UMP", la présidente du FN se voit plus que jamais comme le principal leader de l'opposition à François Hollande. "Je constate, comme responsable politique, que l'UMP n'existe plus. L'UMP, c'est terminé", a affirmé sur France 2 Marine Le Pen.

Un de ses lieutenants renchérit : "Contrairement à l'UMP, nous avons une ligne politique claire, nous sommes absolument cohérents, organisés, nous avons un leader incontesté." A ce jour, le service des adhésions au parti affirme avoir enregistré plus de 4 200 nouvelles adhésions depuis le 18 novembre. 

Le PS craint la montée du FN

Dans les couloirs du Carré, le siège du FN à Nanterre, l'état-major se répète les propos d'Alain Juppé qui affirme que Marine Le Pen sera "l'une des grandes gagnantes" de ce mauvais sketch qui passe en boucle sur les écrans de télévision.

Un constat d'ailleurs partagé dans les rangs de la majorité. "Tout le monde y perd, sauf Marine Le Pen grâce à son discours des tous pourris. 

Le FN peut gagner des points aux municipales", glisse un député PS. Une autre élue socialiste renchérit : "Il y a un mort, c'est Copé - qui ne sera plus jamais crédible - et une vraie gagnante, c'est Marine Le Pen."

Pendant ce temps, en toute discrétion, les cadres du FN quadrillent le terrain pour préparer les élections municipales de mars 2014. Steeve Briois, secrétaire général du FN, parcourt les routes de l'Hexagone pour travailler à la constitution des listes.

Revenant tout juste du Var, il affiche une mine réjouie : "On aura au minimum 15 listes dans le Var aux municipales, alors qu'on en avait seulement quatre en 2008." Les frontistes jouent leur revanche sur l'UMP et Sarkozy. "On a beaucoup été méprisés. Sarkozy et l'UMP nous ont traités comme des moins que rien.

Aujourd'hui, on joue notre revanche", lâche Wallerand de Saint-Just.

Source et publication:   http://www.lepoint.fr/politique/la-revanche-du-fn-sur-l-ump-26-11-2012-1533722_20.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20121127

Commentaire /

jmlb

COMME ME DISAIT UN AMI

L' UMP  c' est l' U nion des M agouilleurs P rofessionnelles

TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ........

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Mardi 27 novembre 2012

Fillon-Cope-copie-1.jpgLa guerre que se livrent François Fillon et Jean-François Copé est une simple querelle d’ambitieux.

N’allez pas croire qu’il s’agit d’un combat idéologique. Mettre la main sur le parti, surtout quand on est dans l’opposition, c’est jouir d’un statut envié, avec fric, bagnole qui fait pin-pon et tout un petit personnel qui vous cire les pompes.

 

Vous êtes Vizir et vous n’aurez aucun mal à claquer le beignet à cet ectoplasme d’Harlem Désir sur un plateau télé.

 

Jean-François Copé se prépare depuis belle lurette, et une courtoise opposition à Sarko du temps où il gérait le groupe UMP à l’Assemblée, à mettre la main sur le parti. Il a eu tout le temps de le modeler à sa pogne. On s’en aperçoit aujourd’hui.

 

Enfin, à l’image de Sarko, il ne cache pas ses ambitions. Mais, ne cherchez pas les idées, il n’en a pas. Il considère qu’il n’est de problème qu’un énarque ne puisse résoudre.

C’est, enfin, un libéral très soupe sociale démocrate.

 

Fillon.jpgLe cas Fillon est différent. C’est un « suceur de roue » comme l’on dit dans le cyclisme.

 

Longtemps dans l’orbite de Philippe Séguin, il a intrigué pour se faire nommer ministre par Chirac, ce qui est le rêve de tout député de base.

Très vite, il a pris le goût du pouvoir, aussi quand Chirac l’a viré, il s’est précipité dans les bras de Sarko.

 

Bonne pioche. Il est devenu pendant cinq ans un Premier ministre fantôme. Ce qui lui allait parfaitement, il est incapable de prendre une décision.

 

Car, ce qu’aime Fillon par-dessus tout, c’est son train de vie. Il est tout aussi bling bling que Sarko. C’est un frimeur. Et, il s’est pris la grosse tête à Matignon. Il a cru qu’il occupait la fonction. Sarko banané, voici le cruel retour au réel. Plus de voiture qui fait pin-pon et surtout des fins de mois plus étriquées.

C’est alors que toute la frange centriste de l’UMP lui a fait comprendre qu’il pourrait être leur Vercingétorix. L’occasion de se refaire une santé au nom d’un pseudo gaullisme social dont il n’a jamais écrit la première ligne.

 

Le ressentiment, chez Fillon, s’ajoute certainement à une ambition que l’on a un peu vite étiqueté haine. Car la politique, c’est aussi l’art d’assassiner ses amis, Wauquiez-Ciotti-Pecresse.jpgson voisin quand ce n'est pas son père et sa mère.

 

De cette querelle, mis à part ceux qui ont un intérêt direct dans l’affaire pour s’être mouillés dans l’espoir d’une récompense, comme Valérie Pécresse, surnommée la « traîtresse », ou Eric Ciotti, surnommé « Ciottise » et autre vulgaire Wauquiez, la plupart des députés s’en foutent.

 

Car, ce à quoi ils tiennent le plus, c’est le Parti et surtout l’étiquette qui va avec. Sans étiquette, pas d’élection, pas de fric.

On ne monte jamais au front à poil. C’est la raison pour laquelle, tous les élus, ramassis de pétochards, se rangeront derrière celui qui aura éliminé l’autre.

 

Sans état d’âme. Et, ils iront avec empressement négocier leur investiture et tout rentrera dans l’ordre.

 

juppéLe seul qui a vraiment de quoi faire la faire la gueule, c’est Juppé, dit « le Bordelais ». Ce parrain d’opérette a tout foiré et les jeunes générations lui tirent un bras d’honneur. Juste retour des choses quand on a pris trop longtemps les autres pour des imbéciles.

 

PS : Jean-François Copé, qui vient de autoproclamer de nouveau président de l'UMP, confirme bien qu'il n'y aura aucune alliance avec une quelconque droite nationale.

Les Loges sont toujours à la manœuvre.

 

Source


TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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 Islamophobie : de gauche ou de droite ?

boulevard-voltaire-grand-orient
 

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Dans ce climat d’hostilité globale, de plus en plus décomplexée, contre l’Islam que connaît la France, ce genre de question peut paraître anecdotique au regard des lourdes interrogations de mes coreligionnaires. Pourtant, à y réfléchir, la réponse en vaut la chandelle.

Si le musulman français étudie l’histoire des idées dans ce pays, leurs origines ainsi que leurs conséquences politiques, à travers le prisme de sa foi et de sa religion, il ne pourra pas s’empêcher de vomir l’hypocrisie de la mythologie républicaine construite par la gauche.

Progressisme, droit-de-l’hommisme, humanisme prométhéen, anticléricalisme, déchristianisation, athéisme, laïcité, destruction des valeurs traditionnelles… toutes ces idées qui ont fait de la France, à un moment donné de l’histoire occidentale, un pays avant-gardiste, et qui sont, pour certaines aujourd’hui, les causes de son immobilisme, sont – philosophiquement parlant – des valeurs marquées à gauche, et cela, avant même que la gauche politique n’existe…

Toute cette mixture a contribué à créer cet universalisme messianiste français qui s’est concrétisé avec la colonisation.

Dès idées qui sont devenues des outils de choix dans la destruction de l’identité musulmane en terre d’Islam. Avant d’être réactualisées à destination de l’immigré musulman ou le Français né de cet immigré.

Un système gauchiste auquel il doit religieusement se plier… Or, gauchiser son essence, alors que son paradigme est largement à « droite » (Dieu, famille, tradition), lui est très difficile. D’autant plus insupportable que ces grandes valeurs de gauche ont fait de l’Islam la nouvelle proie à réduire en miettes, tel le catholicisme avant lui.

L’islamophobie de droite, le musulman compréhensif sait en réalité qu’elle est fondamentalement passionnelle, pulsionnelle, en un mot : réactionnaire.

Il sait qu’elle est contextualisable. Même celle d’origine chrétienne, car se situant dans un registre théologique commun.

Le pur et dur salafiste comprend que la simple vue d’un qamis ou d’un jilbab peut attiser l’envie du non musulman de combattre cette « islamisation » : il ressent les mêmes sentiments pour le monde musulman et combat son occidentalisation.

A l’inverse, l’islamophobie de gauche est dogmatique, construite et pensée pour être foncièrement plus intolérante derrière le masque de la bien-pensance.

C’est elle qui forge et donne les armes intellectuelles pour qui veut attaquer l’Islam, car elle est foncièrement hostile au fait religieux.

Le problème en France, c’est le triomphe historique du gauchisme et de ses valeurs qui, en réalité, sont celles qui ont fondé l’État français moderne.

À tel point que la droite a dû se gauchiser.

Ayant déjà sa propre tradition islamophobe, elle a repris celle de la gauche, donnant naissance à un consensus qui, au final, servira toujours cette gauche contre elle…

Il est certain que l’existence d’une authentique droite conservatrice et chrétienne, pragmatique et pertinente, aurait pu contribuer à atténuer les frustrations de part et d’autre.

Quoiqu’il en soit, pour un abstentionniste acharné comme moi, cela ne change rien.

Cela confirme seulement que le malaise profond que nous ressentons dans cette société vient historiquement et principalement de la gauche et de tout ce qu’elle représente.

Source et publication:   Aïssam Aït Yahya, le 27 novembre 2012    
http://www.bvoltaire.fr/aissamaityahya/islamophobie-de-gauche-ou-de-droite,4620
COMMENTAIRE   
Intéressante analyse - dont je remercie l'auteur, car il essaie de creuser plus profondément la nature des deux adversaires actuels d'une putative islamisation de la France, les laïcs et les catholiques (dans le sens à la fois identitaire et religieux). Tout en sachant que les deux sources (qu'il nomme un peu hâtivement de 'gauche' et de 'droite') se mélangent.
 
Aussi le traditionaliste catholique peut reprocher à l'Islam non seulement de ne pas être de France, mais aussi de méconnaître l'injonction de rendre à César ce qui est à César. Tandis que le laïc ( qui peut très bien être de droite aussi) peut reconnaître bien volontiers que la France est culturellement chrétienne même si elle est juridiquement laïque.
 
Au risque de froisser M. Aït Yahya, on peut être de culture voire de religion chrétienne et combattre l'islamisme dans s
es excès.
Car, et c'est là que l'auteur, limité sans doute par la place, n'aborde pas un aspect fondamental du problème. De quel Islam parlons-nous ? Certainement pas de l'Islam des parents, voire des grands-parents, mais de cet Islam issu d'une "réislamisation", bien apprécié des convertis déboussolés en mal de mots d'ordre et de règles simplistes, ce Wahhabisme imposé à la planète toute entière à coups de pétrodollars.
Et peut-être la violence des réactions en Europe, qu'il appelle "islamophobe", vient du sentiment d'une double invasion - celle du bas, de cette population immigrée qui ne veut plus d'assimilation et dont les règles de vie sont désormais alignées sur celles de l'Arabie ou du Qatar, celle du haut, de ces patrolarques arrogants qui achètent à tour de bras groupes industriels, palaces, immobilier, et devant lesquels nos dirigeants font des courbettes.
 
 
 
 
 
 
 

ÉTHYLOTEST: EN ATTENDANT UNE RÉPONSE ?

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Le Point.fr - Publié le 27/11/2012 à 09:15 - Modifié le 27/11/2012 à 12:35

Enfin une initiative de bon sens ? Le CNSR devrait recommander l'abandon d'une mesure controversée et largement incomprise.

 C'est une information qui devrait être confirmée rapidement, l'obligation de détention de deux éthylotests à bord de chaque véhicule sera annulée après avoir été soumise aux premiers travaux de la Commission nationale de sécurité routière (CNSR). Celle-ci, laissée en sommeil depuis 2008 par le précédent gouvernement, vient d'être réactivée par le gouvernement Ayrault sous la houlette du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls.
 

Elle se réunit pour la première fois ce matin et aura, à l'ordre de ses travaux prioritaires, l'examen du bien-fondé de cette mesure très controversée. "La mise en oeuvre de ces éthylotests est une question légitime", a dit Manuel Valls ce matin sur Europe 1. "Je veux continuer à combattre toutes les causes d'accidents et notamment l'alcoolémie au volant.

J'ai remis en place la Commission nationale de sécurité routière sous la direction du sénateur Armand Jung, qui examinera le dossier, et je suivrai ses recommandations."

Depuis le printemps, date de son annonce, le feuilleton de l'éthylotest obligatoire a alimenté les conversations et les polémiques.

Campé sur une mesure imaginée sous l'ancien quinquennat, la sécurité routière semblait déterminée à imposer coûte que coûte (voir notre article) une mesure tout d'abord reportée de six mois afin que les usagers puissent s'équiper face à une pénurie qui guettait.

Un investissement significatif, évalué à 10 euros dans un premier temps puis à deux ou trois euros par ballon, mais largement incompris par les usagers.

Le montage de la cartouche réactive chez le fabricant Pellmex

Ce sont les associations elles-mêmes qui sont montées au créneau, que ce soient celles représentant les automobilistes ou, et c'est plus surprenant, celles défendant les victimes de la route.

Chantal Perrichon, de la Ligue contre la violence routière, a résumé ce matin sur Europe 1 toutes les raisons qui militent contre cet éthylotest. "Ils sont inutiles, a-t-elle dit, car 80 % des accidents sous alcoolémie sont le fait de taux supérieurs à 1,2 gramme. Ils sont fragiles, sensibles à la chaleur et au froid, dangereux en cas de projections d'un tube cassé et difficiles à recycler.

Enfin, depuis 2002, le Comité interministériel de sécurité routière a recommandé aux forces de l'ordre de ne plus l'utiliser en raison de leur manque de fiabilité."

Un véritable réquisitoire de la part d'une personnalité qui n'est pas suspecte de complicité avec les chauffards.

Malgré ces arguments, entonnés de la même façon par d'autres associations unanimes, la sécurité routière voulait s'entêter dans cette démarche, considérant qu'elle a au moins un atout pédagogique pour ceux qui sont tentés de prendre le volant.

Un faux argument, selon Auto-Addict, car si un conducteur prend malgré tout la route, ce risque consenti ne vaudra pas de vérifier son alcoolémie afin de ne pas aggraver son cas lors d'un éventuel contrôle de police.

De plus, compte tenu de l'imprécision des ballons, dont la mesure positive nécessite un autre contrôle avec un éthylomètre électronique plus précis, voire une prise de sang en cas de contestation ou d'accident, on peut se demander à quoi sert vraiment cette obligation, si ce n'est à alimenter un commerce supplémentaire.

La Ligue de défense des conducteurs (LDC) avait décidé de lancer une pétition, "Non aux éthylotests obligatoires" , dénonçant l'utilisation de la sécurité routière par l'État comme moyen de monter un marché lucratif. 

"Il faut rappeler que ce sont les fabricants eux-mêmes qui ont donné un business clé en main à l'État, lui permettant à la fois de communiquer sur l'alcoolisme au volant et de créer une nouvelle amende de 11 euros. Pourtant, jusqu'ici, aucune étude n'a démontré l'utilité des éthylotests dans la diminution de l'alcoolisme au volant.

Plusieurs associations avaient aussi relevé que "la présence de substances chimiques toxiques (dichromate de potassium, chrome III) crée un danger pour les enfants" qui joueraient avec.

Enfin, selon Mme Perrichon, François Hollande, dans une lettre à l'association datée du 25 avril, avait émis des "réserves sur la fiabilité des éthylotests chimiques" et rappelé : "La très grande majorité des accidents est le fait de conducteurs qui savent être au-dessus de la limite légale."

L'ex-délégué interministériel à la Sécurité routière, Jean-Luc Nevache, avait estimé pour sa part que cette mesure, annoncée en novembre 2011 par Nicolas Sarkozy, pourrait sauver 500 vies.

 

http://www.lepoint.fr/auto-addict/securite/ethylotest-l-obligation-d-en-avoir-deux-dans-chaque-vehicule-sera-annulee-27-11-2012-1534032_657.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-2

EMBOUTEILLAGES SUR AUTOROUTES ......

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Un go-fast chargé de cannabis transite chaque nuit par l’A9

L’interception d’un go-fast sur une autoroute, comme l’opération menée hier lundi soir sur l’A9 près de Perpignan par une équipe du GIGN pour stopper un véhicule emportant quelque 600 kilos de cannabis, reste une opération délicate et minutieusement organisée pour éviter tout accident grave.

Selon un spécialiste de la lutte anti-drogue s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, un go-fast, chargé de cannabis, remonte chaque nuit l’A9 (ou l’A10) depuis la frontière espagnole en direction des grandes villes françaises et de leurs banlieues.

Deux ou trois voitures très puissantes

Un go-fast compte au moins deux véhicules très puissants, généralement des 4X4 de grosse cylindrée : une voiture « ouvreuse » pour détecter policiers, gendarmes ou douaniers et une « porteuse » emportant jusqu’à 800 kg de cannabis.

Dans certains cas, un troisième véhicule « ferme » le convoi pour repérer les forces de l’ordre venant par l’arrière.

Des trafiquants organisés et déterminés

Au volant des véhicules, les malfaiteurs conduisent à grande vitesse, communiquant entre eux avec des téléphones portables qu’ils changent fréquemment pour éviter les écoutes.

En raison de la valeur de leur cargaison, qui peut atteindre 3 millions d’euros, les malfaiteurs sont très déterminés et n’hésitent pas à faire demi-tour sur l’autoroute à la vue d’un barrage ou à passer en force les péages.

Interpeller en évitant les accidents

En face, les forces de l’ordre agissent toujours avec la plus grande prudence pour éviter tout accident grave.

Ainsi le GIGN, qui a intercepté cette année une dizaine de go-fast, monte chaque opération avec la plus grande minutie et des moyens matériels et humains affûtés.

Sitôt connue l’information sur le passage prochain d’un go-fast, venue d’une section de recherches ou de la Garde civile espagnole, la gendarmerie met en place une opération quasi militaire : hélicoptère pour « filer » discrètement le convoi go-fast, peloton autoroutier de gendarmerie et gendarmes locaux mobilisés en appui, une équipe d’intervention du GIGN de 25 hommes avec une dizaine de véhicules.

Des bouchons volontaires pour isoler le convoi suspect

Les gendarmes du GIGN vont isoler le véhicule portant la drogue en créant, si nécessaire un bouchon.

Rompus à la conduite rapide, ils ont tous effectué des stages pour percuter un véhicule et l’immobiliser.

Ainsi en février 2011, près du viaduc de Millau sur l’A75, les gendarmes avaient simulé un accident à l’aide de véhicules déjà accidentés pour donner l’illusion d’un accident et neutraliser les voies sur l’autoroute devant le convoi go-fast.

A 5 km à l’arrière du go-fast, les gendarmes avaient créé un autre bouchon à l’aide de trois poids lourds de 38 tonnes pour créer une « bulle de sécurité » pour leur intervention qui leur avait permis de saisir 1,2 tonne de cannabis.

Transportées par go-fast ou en camionnettes utilitaires, au moins 19 tonnes de cannabis ont été saisies depuis le début de l’année au cours de 25 opérations.

Le Midi Libre

http://www.midilibre.fr/2012/11/27/un-go-fast-charge-de-cannabis-transite-chaque-nuit-par-l-a9,601629.php#xtor=RSS-
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C' EST PRESQUE DÉJÀ LA SHARIA !!!

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Augmentation de 27% pour le budget asile de l’immigration, c’est presque déjà la Sharia

 

Selon la Sharia, les non musulmans doivent payer un impôt spécial, la Djizîa, ou se convertir à l’islam.

Et les émigrants en France sont principalement musulmans.

La part du budget de l’état qui leur est consacrée augmente de 27% en 2012, alors que les autres dépenses doivent être contenues pour réduire la dette.

C’est pour « tenir compte du niveau élevé des besoins d’hébergement des demandeurs d’asile », a précisé mercredi le ministère de l’Intérieur, que le budget explose. (1)

En échange du paiement de cet impôt nommé Dijzîa, précise Wikipedia (2), les dhimmis, majoritaires dans les territoires nouvellement conquis, ont le droit de pratiquer leur religion.

 

Au total, le poste immigration, asile et intégration, augmente de 14,1% pour atteindre 632 millions d’euros en 2012, dont 376 millions d’euros pour l’asile (contre 296 millions en 2011), selon les éléments fournis par le ministère.

Je dis cela du fond du cœur : chapeau les français !

Vous tirez la langue, vous n’arrivez pas à joindre les deux bouts, vous vous appauvrissez chaque année un peu plus comparé à vos riches voisins, vous n’avez pas assez de travail pour vous-même, et vous n’hésitez pas à vous serrer encore plus la ceinture pour accueillir des étrangers.

Vos jeunes vont pointer au chômage pour leur céder leurs emplois.

C’est admirable.

Votre générosité est si grande, que ces étrangers ont beau dire qu’ils ne vous aiment pas, qu’ils n’aiment pas vos coutumes, que vos traditions chrétiennes heurtent leur religion, et qu’ils vont même vous niquer ; vous faites la sourde oreille, vous leurs ouvrez les bras, vous payez pour eux, vous reniez votre héritage, et enterrez vos traditions pour ne pas leur déplaire.

Quel exemple pour l’humanité, bravo !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 (1) http://www.lefigaro.fr

(2) http://fr.wikipedia.org/wiki/Djizîa


 

TRIBUNE LIBRE !

De l'"islamophobie"

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A Marine Le Pen. 

A Tareq Oubrou, Albert Ali, Camel Bechikh, et tous les musulmans dont la rencontre a profondément marqué mon engagement politique... 

De quoi précisément l'islamophobie est-elle le nom ? 

Pour ma part, je tiens que l'islamophobie n'est pas tant la détestation de l'islam que la projection sur les musulmans de tout ce que notre société se plaît à détester dans ses propres fondements : sacré, transcendance, générosité, gratuité, dignité de la personne humaine etc... En d'autres termes, l'islamophobie serait une "autophobie".
Elle constituerait l'expression conclusive et paradoxale d'un processus entamé il y a une quarantaine d'années. 

Il n'était pas question d'islamophobie, en ce temps-là. Au contraire ! Les élites occidentales étaient tellement sûres d'elles-mêmes, persuadées de leur prééminence intellectuelle sur le reste du monde, qu'elles voyaient dans l'islam un marqueur culturel secondaire, facilement soluble dans notre modernité, et qui, sous cette forme bénigne, pouvait servir d'accessoire folklorique au prétendu multiculturalisme dont on faisait la forme ultime du progrès social. Il s'agissait d'un ethnocentrisme néo-colonial et conquérant.

C'était le beau temps de l'"anti-racisme" triomphant, avec ses harkis (Harlem Désir), son bureau des affaires indigènes (Julien Dray) et ses expositions universelles (Jack Lang).

Nous vivons aujourd'hui la deuxième phase de ce processus.

Face aux contradictions du modèle ethno-centrique et en réponse à l'anomie sociale qu'il génère, l'ethno-centrisme occidental se crispe. Son incapacité manifeste à digérer l'altérité le mène à cibler l'autre, en tant qu'autre, comme un ennemi qu'il convient d'abattre. C'est la phase bushienne, néo-conservatrice, de notre modernité occidentale.

Celle-ci se voit contrainte de réhabiliter les catégories du bien (= la neutralité axiologique) et du mal (= l'obscurantisme) qu'elle prétendait pourtant avoir dépassées.

En d'autres termes, nous sommes passés de la "modernité Blitzkrieg"à la "modernité Maginot". Et nous avons substitué à la modernité anti-religieuse du "Petit Père Combes", la modernité-religion de BHL. 

En dépit des apparences, le débat n'oppose donc pas des "islamophobes" et des "islamophiles", mais deux formes différentes d'islamophobie dont on ne voit pas assez qu'elles ne sont que les variantes rhétoriques d'une commune détestation occidentale de tout ce qui touche au religieux. 

L'islamophobie, ou la perpétuation de l'islamophilie par d'autres moyens.

Comme le réel évolue plus vite que les représentations, on a pu assister ces derniers temps à des chassés-croisés vertigineux, des embardées rhétoriques spectaculaires :

- Certains voient dans leur islamophobie une forme de résistance à l'ordre établi alors qu'elle n'en constitue que la pointe avancée et caricaturale. Quelques uns, du reste, l'ont bien compris, qui revendiquent une "avance de dix ans" sur Copé (cf. le "Bloc identitaire").

- D'autres voient dans leur islamophilie une forme de résistance à l'islamophobie dominante, alors qu'elle ne constitue qu'une tentative anachronique de perpétuation, en pleine phase de crispation identitaire, du néo-colonialisme première manière. "On a bien digéré le catholicisme rétrograde du Syllabus, continuent-ils à penser, pourquoi diable n'en irait-il pas de même avec l'islam obscurantiste des salafistes ?"

- Les musulmans, de leur côté, ne savent plus très bien à quel saint se vouer. Jamais aussi bien intégrés (c'est-à-dire désintégrés) dans la sous-culture occidentale, ils se croient détestés comme musulmans alors qu'ils ne sont que les boucs-émissaires d'un effondrement global et qu'ils sont, à ce titre, cruellement soumis à des injonctions contradictoires.

S'ils surjouent l'intégration (= "racaillisation"), la modernité ne supporte pas l'image très exacte qu'ils renvoient d'elle-même.
S'ils tentent de se différencier (= burkas, barbes et djellabas), ils s'exposent à être regardés, en tant qu'autres, comme les tenants d'un "retour en arrière".

Islamophobie et islamophilie ne sont, en définitive, que les deux formes successives d'un seul et même processus dialectique.

De la rencontre entre ces deux pathologies, beaucoup plus que de celle entre chrétiens et musulmans authentiques, risque de naître la guerre de religions à venir.

 Benoît Girard

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VIDÉO :UNE PETITE FILLE FAIT LE BUZZ !!!

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VIDEO. La terrifiante petite fille dans l'ascenseur fait le buzz

La vidéo se répand massivement sur les réseaux sociaux, faisant mourir de rire les internautes. Les victimes de cette caméra cachée, elles, ont bien failli mourir de peur en vivant une scène digne de The Grudge ou de The Ring. Entre hurlements hystériques et yeux exorbités de terreur, la séquence, réalisée par une émission brésilienne, est efficace tout en s'appuyant sur un cliché : l'apparition du fantôme d'une petite fille malveillante.
 
Postée lundi sur Youtube, la vidéo a dépassé mardi le demi-million de vues. 

Un plan machiavélique.

Les enregistrements ont eu lieu dans l'ascenseur de l'entreprise d'un pays très croyant, le Brésil. Loin d'imaginer ce qui les attend, ces salariés empruntent tranquillement l'ascenseur pour se rendre à leurs bureaux.
A l'intérieur, alors qu'ils se recoiffent ou papotent avec leurs collègues, les lumières se mettent à grésiller, à clignoter de plus en plus belle, jusqu'à l'extinction. 

Là, dans le noir, pendant que les employés appuient vainement sur les boutons de l'ascenseur, une petite fille au teint cadavérique et vêtue d'une longue robe blanche s'introduit par une petite trappe avec sa poupée. Une fois en place, la lumière se rallume et les victimes découvrent avec effroi la nouvelle passagère.
En suit une série de , de tremblements et de recroquevillements sur le sol pour ces pauvres salariés, épouvantés aux larmes.

Vous avez dit « sadique » ?
 
 

UMP : APRÈS LA CRISE RESTERA LA HAINE

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UMP: après la crise restera la haine

 

Par , publié le 28/11/2012 à 10:09

Dans tout parti politique, les crises internes laissent des traces, de la base au sommet.

 

Du Front national au PS en passant par les centristes,  présidence de l'UMP rappelle de mauvais souvenirs.

Témoignages. 

  •  

Depuis maintenant dix jours, défilent sur les écrans les mêmes images des déchirements internes de l'UMP, avec d'anciens amis échangeant menaces et invectives par caméras interposées.

Un spectacle que leurs adversaires et concurrents regardent avec un mélange d'ironie et de compassion. 

  Suivez en direct les dernières informations sur la guerre Copé-Fillon pour la présidence de l'UMP 

Pour le député PS Malek Boutih, ce genre de crise révèle "le caractère infantile des dirigeants politiques". "Quand quelque chose se casse en eux, la posture de sérieux qu'ils arborent cède la place à un comportement immature", remarque le socialiste, encore marqué par le congrès de Reims de 2008. Le danger maximal résiderait dans les situations où deux camps se font face. "Avec cette bipolarisation, l'instinct grégaire prend le dessus sur la réflexion individuelle.

Ce n'est plus un combat politique mais une lutte à mort et dès que l'odeur du sang se répand, la meute refuse tout arrangement", observe ce proche de Ségolène Royal

Tout cela laisse bien sûr des traces. Député du Loir-et-Cher,Maurice Leroy n'a rien oublié de ces jours de mai 2007 qui virent la plupart des députés UDF quitter François Bayrou pour fonder le Nouveau centre. "Personne ne contestait son leadership mais nous étions en désaccord sur sa ligne politique.

 

Humainement, c'était une déchirure à cause de l'affection qui nous liait à Bayrou", se rappelle l'ancien ministre de la Ville.  

Et cinq ans après cette épreuve "aussi douloureuse qu'un divorce"? "Vous ne pouvez pas oublier ce qui s'est passé, même si le temps fait son oeuvre", reconnait "Momo" Leroy.

S'il conserve son amitié à Michel Mercier, resté proche de François Bayrou, il admet que "ce n'est plus comme avant avec Jacqueline Gourault", pourtant élue comme lui du Loir-et-Cher. 

Trop de haine accumulée chez les chefs

Au Front national, les cicatrices tardent tout autant à se refermer.

 

La scission des partisans de Bruno Mégret a beau remonter à 1998Marie-Christine Arnautu n'a jamais pu oublier ce "traumatisme". "Ce qui m'a le plus blessée, c'est la violence des attaques à l'égard de Jean-Marie Le Pen.

 

Certains arrivent à séparer la politique de l'affectif, moi, je n'y arrive pas, confesse cette fidèle de la famille Le Pen.

Quand ma confiance a été trahie, je n'arrive pas à la renouveler." Problème, plusieurs anciens mégrétistes ont refait surface dans l'entourage proche de Marine Le Pen.

"On travaille ensemble", assure, prudente, la vice-présidente du FN. 

Pour Malek Boutih, une fois le calme revenu, c'est bien aux responsables intermédiaires d'un parti de lui redonner son centre de gravité.

Les principaux protagonistes restent en effet prisonniers de la haine accumulée.

Tout comme François Mitterrand et Michel RocardMartine Aubry et Ségolène Royal, François Fillon et Jean-François Copé "ne pourront jamais se rabibocher". "Lors de son passage sur TF1, Fillon a adressé un message subliminal à Copé.

Il lui a dit 'Je peux renoncer à beaucoup de choses y compris à la présidence de l'UMP- mais pas à te détruire.'" 

  


Source et publication:  
   http://www.lexpress.fr/actualite/politique/ump-apres-la-crise-restera-la-haine_1192563.html?xtor=EPR-181-%5BXPR_Quotidienne%5D-20121128--143559538@221023227-20121128154423 

VERS UNE RÉGULARISATION MASSIVE DES SANS-PAPIERS !

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IMMIGRATION, INVASION ET UN PEU PLUS DE CHÔMEURS EN PERSPECTIVE !

Valls publie de nouveaux critères de régularisation des sans-papiers : la CGT est presque satisfaite

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C’était une promesse de campagne de François Hollande : définir des critères « objectifs » et « clairs » pour mettre un terme à l’arbitraire des préfectures.

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls publie mercredi 28 novembre une circulaire très attendue sur les critères de régularisation des sans-papiers, dont le volet « famille » est en deçà des attentes des associations qui notent toutefois des « avancées » ponctuelles.

La circulaire, qui sera présentée en Conseil des ministres, répond à une promesse de campagne de François Hollande: définir des critères de régularisation « objectifs » et « clairs » pour mettre un terme à l’arbitraire des préfectures.

Elle n’a pas pour but de permettre des régularisations en masse comme en 1981 (131.000 étrangers régularisés) ou 1997 (80.000), a précisé Manuel Valls à plusieurs reprises. Elle entraînera « peut-être, dans un premier temps, une augmentation ponctuelle des régularisations », a-t-il cependant reconnu.

Dans la moyenne des dernières années

Sur la durée, l’objectif est de rester dans la moyenne des dernières années, à savoir environ 30.000 régularisations par an, selon l’entourage du ministre, qui estime à environ 350.000 le nombre de sans-papiers présents en France.

Annoncée pour septembre, la circulaire a traîné à mesure que les réunions avec les associations et les partenaires sociaux se multipliaient. Le texte a ensuite fait l’objet de consultations avec Matignon et l’Elysée, très attentif à son contenu.

La version finale prévoit notamment de donner un titre de séjour aux parents présents depuis au moins cinq ans en France ayant un enfant scolarisé depuis au moins trois ans.

Critique

Or, en 2006, alors qu’il était ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy avait ouvert la régularisation aux parents présents depuis deux ans avec un enfant scolarisé pendant un an. Face à l’afflux des demandes (33.000), il avait fermé le dispositif après 7.000 régularisations. Mais les associations militaient pour en revenir à ces règles.

Les nouveaux critères reviennent « à considérablement limiter le champ de la régularisation » et risquent « d’entraîner une critique particulièrement vive, sans nul doute au sein même du Parti socialiste », estimait dès mardi le directeur général de France Terre d’Asile (FTA), Pierre Henry.

« Mais si on demande seulement deux ans de scolarisation, on arrive sur des stocks extrêmement importants et on ne veut pas envoyer ce signal », rétorque le cabinet de Manuel Valls.

Eviter un « détournement »

Le sort des jeunes de 18 ans pourrait également faire débat.

La nouvelle circulaire prévoit de leur donner un titre de séjour s’ils peuvent prouver deux ans de scolarisation « assidue et sérieuse » en France. Une première mouture du texte avait fait état d’un critère de trois ans.

Le Réseau Education sans Frontière (RESF) militait pour une régularisation de tous les lycéens sans-papiers.

Là encore, le ministère réplique vouloir éviter un « détournement » du système avec des familles qui enverrait des jeunes dans leur 17e année pour qu’ils obtiennent un statut.

En revanche, un dossier semble plus consensuel: celui des salariés, même s’il laisse en friche la question du travail au noir.

« Moins confus »

La circulaire prévoit de régulariser les sans-papiers présents depuis cinq ans en France et ayant travaillé au moins 8 mois au cours des 24 derniers mois ou 30 mois sur cinq ans.

Ceux qui n’auront que trois ans de présence pourront être régularisés s’ils ont travaillé 24 mois sur cette période, dont huit mois au cours de la dernière année.

Les règles actuelles – appliquées de manière très inégales selon les préfectures – imposent cinq ans de présence et au moins douze mois chez le même employeur.


« La nouvelle circulaire comporte des avancées », a estimé Francine Blanche de la CGT. « Elle permet notamment de changer d’employeur ».

Au final, « c’est moins confus que ce qu’on avait avant, mais c’est encore trop compliqué », a ajouté Francine Blanche. « On se méfie terriblement de l’effectivité de la circulaire.

Comment sera-t-elle appliquée en préfecture? »



TRIBUNE LIBRE: RÉVOLUTION DE PAPIERS........

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Révolution de papiers…

Un billet d’Isabel Orpy

Outre les changements visibles et inhérents… le « mariage pour tous » va générer la modification de nombre documents administratifs, tels le livret de famille, les actes de naissance, mariage et décès.

Donc l’article 143 du Code civil va être modifié aux fins de spécifier enfin que « le mariage est contracté par deux personnes de sexe différent ou de même sexe ». Mais il y aura aussi rewriting de tous les articles du Code civil usant des termes, sous peu obsolètes, de « père » et de « mère »,  remplacés par le vocable tellement plus novateur de « parents ». Et il y en a des articles à mettre au goût du jour…

Parent 1 ou Parent 2 ?

Délivré lors de mariages ou à des couples non mariés lors de la naissance de leur premier enfant, le carnet de famille va devoir lui aussi subir un petit lifting.

En fait, sa modification ne relève pas du législatif, ce livret ayant été instauré par  décret n° 74-449 du 15 mai 1974, il revient donc au gouvernement de décider de son contenu.

Père et mère étant révolus, il faudra bien les remplacer. Lequel des deux parents sera élu nomber one ? Il va falloir trancher. À défaut, il y aura bistrouilles juridiques et de nouveaux encombrements dans des tribunaux déjà bien surchargés.

L’on évoque une hiérarchie alphabétique… Est-il juste que le A triomphe toujours du M ? Pourquoi pas la palme au plus âgé des deux géniteurs ?

L’on pourrait aussi procéder par tirage au sort ou décerner le numéro 1, comme lors des courses, au premier arrivé au bureau de l’état civil de la mairie, ce qui, certes, pénaliserait les fraiches accouchées, excepté les mamans kangourous.

En additionnant décès, mariages et naissances hors mariages, c’est presque deux millions de documents qu’il va falloir imprimer ! Cependant, aucun faire-part officiel ne nous précisera jamais combien de documents tombés en désuétude vont aller se faire incinérer…

Si en amour, on ne compte pas, avec les finances publiques, c’est pareil. Toutefois, en cette période de récession et chômage, saluons la judicieuse initiative du gouvernement français pour protéger certains secteurs.

Si le « mariage pour tous » ne fait pas le bonheur de tous et loin s’en faut… Au moins, fait-il le bonheur des imprimeurs de l’état français et de leurs marchands de papier.

Réjouissons-nous pour eux !

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/28-11-2012/revolution-de-papiers#.ULcAwa5sR3Q

DOSSIER: SUR LA RÉVOLUTION FRANCAISE ......

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La Révolution « française », complot maçonnique

« C’est depuis Francfort, haut-lieu de l’Illuminisme contrôlé par la Maison Rothschild, que fut initialement complotée la révolution française de 1789.


En effet, en 1782 se tint un important convent maçonnique à Wilhelmsbad.
Alors bras droit deWeishaupt, l’Illuminé Knigge y prit part avant de se séparer de Weishaupt car épouvanté par ses projets. Présidé par le général prussien Ferdinand de Brunswick, ce congrès réunit des francs-maçons venus de l’Europe entière durant six mois.
Délégué à Wilhelmsbad, le Comte de Virieu dira à son retour qu’« il se trame une conspiration si bien ourdie et si profonde qu’il sera bien difficile à la religion et aux gouvernements de ne pas succomber. »
Plus tard en 1784, se réunit la Grande Loge Eclectique -fondée par Knigge-où fut décidée la mort de Louis XVI mais aussi celle du Roi de Suède Gustave III intervenue en mars 1792.
Officiellement fondée en 1717 et puisant son origine à Londres, la franc-maçonnerie concentra ses efforts sur la France à la fin du XVIIIème siècle.
La secte joua un rôle crucial lors de ces évènements sanguinaires, notamment un certainMirabeau au tout début de la conspiration.
Ce dernier fut le pion de prêteurs d’argent commeMoïse Mendelsohn qui le manipula. Endetté et sous contrôle, Mirabeau fut ensuite initié à l’Illuminisme de Weishaupt.
Ce même Mirabeau était chargé de monter, en sous main, le Duc d’Orléans Philippe Egalité -grand maître du Grand Orient- contre son cousin le Roi Louis XVI. Les deux conspirateurs, francs-maçons haut degré, s’efforcèrent d’appliquer le plan de subversion illuministe.
L’Illuminisme ayant alors conquis idéologiquement la franc-maçonnerie du Grand Orient elle-même créée en 1773.
La Monarchie française était dans le même temps infiltrée de toute part, les idées nouvelles ayant séduit une large frange de l’aristocratie.
L’armée se trouvait elle aussi sous la domination maçonnique par le biais des loges militaires alors que la propagande était le domaine du Duc de la RochefoucauldCondorcet et Sieyès. »
Johan Livernette – Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial (2012) – Lien vers le livre

LES TRAITES NÉGRIÈRES ET LA VÉRITÉ......

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Les traites négrières

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septembre 20, 2012 par Sororité Aryenne

L’esclavage des Noirs fut essentiellement l’oeuvre de l’Empire arabe puis de l’Empire ottoman, formations politiques qui dominaient militairement, culturellement et économiquement la région du monde par lesquelles s’effectuaient la traite négrière (traversée du Sahara, de la Méditerranée, de la mer Noire, de la mer Rouge) et les principaux marchés aux esclaves (grandes villes d’Afrique du nord et de la péninsule arabique, puis de Turquie) .

Elle a été la plus longue et la plus régulière des trois traites, ce qui explique qu’elle ait globalement été la plus importante en termes de nombre d’individus asservis : 17 millions de Noirs réduits en esclavage sur une période allant du VIIe siècle à 1920.

La traite atlantique , la seule actuellement médiatisée , fut un commerce d’Africains au profit d’autres Africains, d’un côté, et d’Européens (Espagnols, Portugais, puis Anglais, Français, Néerlandais, Danois et ensuite Brésiliens et Cubains), de l’autre : 11 millions de personnes, dont l’essentiel à partir de la fin du 17ème siècle.

La traite intracontinentale des Noirs africains remonte au moins au XIe siècle ; bien avant 1850, le nombre de captifs restant en Afrique occidentale était plus élevé que le nombre de captifs exportés par les traites occidentales : 14 millions de personnes, dont une partie est ensuite revendue par des Noirs eux-même à des Européens ou des Arabes.

Les Africains ont donc de tous temps pratiqué l’esclavage et le font encore.

L’abolition de la traite négrière , puis celle de l’esclavage, ont été décrétées en Occident, appliquées dans le monde colonial sous domination ou influence blanche,avant d’être exportées en Afrique Noire et en Orient.

Ainsi le pape Pie VII écrivait-il à Louis XVIII en 1814 : “La religion désapprouve et maudit ce commerce ignoble par lequel les Africains sont exportés et vendus comme s’ils n’étaient pas des hommes mais tout simplement des animaux.”

L’abolition de l’esclavage a été proclamée une première fois en France pendant la Révolution, à l’initiative de l’abbé Henri Grégoire le 4 février 1794, le deuxième décret d’abolition de l’esclavage signé le 27 avril 1848 par Lamartine, toujours en France!*

Or au même moment, la Méditerranée connaissait l’apogée d’une autre sorte d’esclavage : celle des chrétiens asservis en Afrique du Nord et au Levant.

Plus d’un million d’Européens furent asservis en Afrique du Nord entre 1530 et 1780.

Vers 1675, les esclaves chrétiens formaient le quart de la population d’Alger ; si une minorité était rachetée par leur famille ou par l’Eglise, une autre partie était vendue comme domestique, et la majorité allait aux galères et au « bagne » : le sort de ces derniers était terrible , soumis à des travaux extrêmement durs (carrières de sel, construction, coupe du bois )  ils ne survivaient que fort misérablement .  

 

A quand des monuments commémoratifs comme celui de Nantes** en plein centre d’Alger, Tunis et Tripoli ?

* Entre 1861 et 1865, 110 070 soldats et officiers Nordistes, essentiellement Blancs , trouvèrent la mort pendant ou après la Guerre de Sécession pour mettre fin à l’esclavage des Noirs

** D’un coût de 7.900.000 €uros ( source )

L' ÉDITO DE CYRANO !

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EDITO DE CYRANO

L’alternative à l’UMPS ne peut qu’être islamophobe

La situation de la France est décidément de plus en plus cocasse, pour quiconque se passionne pour la chose politique. Le discrédit des deux monstres qui se partagent toutes les prébendes de la politique française depuis trente ans est tel qu’un boulevard s’ouvre à quiconque présenterait une alternative crédible à l’UMPS.

La gauche au pouvoir révèle tous les jours davantage l’imposture de la campagne de François Hollande, et de ses discours démagogiques de 2002 à 2012. La cote d’impopularité de Normal 1er et de son gouvernement bat des records, au bout de six mois d’exercice du pouvoir.

Comment mieux résumer l’incapable qui nous sert de président que ses deux volte-face successives sur le mariage homosexuel et la clause de conscience qu’il a promise aux maires, et sa pantalonnade devant les khmers roses du LGBT, qui ne représentent qu’eux-mêmes, et se croient autorisés à demander des comptes à celui qu’on nous présente comme le chef de l’Etat.

Comment ne pas voir le ridicule de ce gouvernement, où des ministres écologistes voient des militants Verts venir affronter les forces de l’ordre pour une histoire d’aéroport qui doit se construire dans la région du Premier ministre ? Comment ne pas voir l’impuissance et la lâcheté d’un ministre de l’Intérieur qui passe son temps à demander pardon aux musulmans, à inaugurer leurs mosquées, à laisser ses policiers se faire canarder par des islamo-racailles, et qui envoie l’artillerie lourde contre les opposants à l’aéroport, parce que Ayrault en a fait une affaire personnelle.

On ne se prononcera pas ici sur le fond du dossier, n’ayant aucune sympathie envers le Premier ministre, mais ayant également des doutes quant à la justesse des causes qui ont le malheur d’être défendues par des personnages aussi discutables que Bové ou Mamère ?

Comment enfin ne pas voir toute l’idéologie criminelle de ce gouvernement quand on voit la Garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui théorise le fait de vider les prisons, et qui s’étonne que des multi-récidivistes en liberté assassinent, agressent ou violent les malheureux qui ont parfois le malheur de croiser leur chemin?

Comment enfin ne pas comprendre la révolte légitime de nos compatriotes matraqués de taxes et d’impôts nouveaux, quand ils voient toutes les aides sociales et la priorité de logement accordées à des nouveaux venus, quand les nôtres ne trouvent plus où se loger, et n’arrivent plus à se soigner ?

Comment ne pas comprendre la rage de nombre de citoyens, insultés, menacés, agressés dans leur quotidien, presque à chaque fois par de nouveaux arrivants, qui se voient traités de racistes ou de fascistes, dès qu’ils osent évoquer ces réalités, par les bien-pensants de gôche, militants de la « préférence immigrée », pour reprendre le titre du livre d’un journaliste du Nouvel Observateur.

Que dire, dans ce contexte, du  grotesque feuilleton de l’UMP, où Juppé entendait arbitrer le conflit Fillon-Copé, avec le brillant résultat qu’on a vu ?

Marine Le Pen, qui, à tort, prévoyait l’explosion de l’UMP au soir de la présidentielle perdue de Sarkozy, aurait-elle finalement raison 6 mois plus tard ?

Sera-t-elle capable de capitaliser la possible scission qui s’annonce, et de représenter une alternative crédible à la dictature de l’UMPS, que des mauvaises langues résument par « Une Mosquée Par Semaine », ce que sont hélas les vrais chiffres ?

A notre avis, c’est possible, si, outre l’Union européenne et l’immigration, partitions où elle excelle, elle utilise enfin un langage de vérité sur l’islam. Nous savons qu’elle fut la seule personnalité politique à parler des prières de rues de la Goutte d’Or, et à révéler la réalité du scandale halal.

Nous connaissons l’ampleur du lynchage dont elle fut victime, de la part de toute la caste médiatique et de l’ensemble de la mafia politicienne, de l’UMP à Parti de gauche en passant par le Modem et les Verts.

Mais c’est quand elle a attaqué les méfaits dus à l’islamisation du pays qu’elle a fortement progressé dans les sondages.

http://www.dailymotion.com/video/x8zfkd_l-islam-vu-par-le-pere-boulad-et-la_news

Marine Le Pen peut-elle, avec son statut de présidentiable, faire du Christine Tasin, qui s’assume islamophobe ? Nous savons qu’il est parfois nécessaire, pour un leader politique ayant des ambitions nationales, de prendre quelques précautions de langage.

Mais elle ne peut laisser celui qui apparaît de plus en plus comme son conseiller, voire son éminence grise, Florian Philippot, dire cette énormité, dans une interview accordée au site Causeur : « Voilà pourquoi je ne confondrais jamais islam et islamisme ! Plus la République sera faible face à l’islamisme, plus elle laissera se développer des ghettos via l’immigration, plus elle laissera penser aux Français que c’est l’islam le problème. 

Voilà pourquoi il faut immédiatement prendre deux mesures : rétablir la laïcité partout et stopper l’immigration légale et clandestine.

À partir de là, les tensions s’apaiseront naturellement et la France reprendra son chemin. »

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dv_ayC9uaik

Ce discours est terrible, car d’abord faux, et surtout contre-productif.

Alors que majoritairement, les Français en ont marre de l’islam, des voiles, des burqas, du halal, des mosquées, de la violence liée à son idéologie, de l’arrogance de ses représentants, et d’une cinquième colonne qui ne cache plus son jeu, Philippot paraît rappeler à l’ordre nos compatriotes, tel un vulgaire Fourest, leur faisant savoir que l’islam n’est pas le problème !


Seulement 18 % de Français sont aujourd’hui favorables à la construction de mosquées (et encore, on ne leur a pas demandés si c’était à côté de chez eux).

Philippot va-t-il leur dire : « Je vous interdis de dire que l’islam est le problème » et les sommer d’accepter de nouvelles mosquées, au nom de la République et de la liberté de culte qu’elle permet ?

Il suffit de voir le nouveau site animé par Robert Ménard et Dominique Jamet, « Boulevard Voltaire » pour constater que l’immense majorité des articles qui rencontrent un gros succès (dont celui proposé par Christine Tasin, « Islam, ce que les médias nous cachent« ) sont sur le rejet grandissant de l’islam.

http://www.youtube.com/watch?v=Upa6gulotMM

Nous apprécions les qualités de Florian Philippot, remarquable débatteur sur les plateaux de télévision.

Nous ne doutons pas de son apport dans un parti qui manque cruellement de cadres politiques.

Mais nous connaissons aussi les fautes politiques criminelles de Jean-Pierre Chevènement, notamment sur l’islam et l’immigration, pour savoir qu’avec les meilleurs discours républicains, on peut dérouler le tapis rouge aux pires ennemis de Marianne.

Nous ne voulons pas que dix ans après l’impasse chevènementiste, Florian Philippot soit le fossoyeur de l’Union des patriotes que nous appelons de nos voeux, par une mauvaise compréhension de la réalité de l’islam, qui est d’abord un projet politique totalitaire, et pas seulement une religion.

Si Christine TasinPascal Olivier et Lazare Zylbergleitt, tous trois anciens chevènementistes, ont pris immédiatement la plume, suite à cette interview, c’est qu’ils ont senti le danger, et l’impasse, d’une approche aussi candide sur l’islam.

Si Christine propose, à la fin de son article, à Florian Philippot de rencontrer une soirée René Marchand, auteur d’une inoubliable prestation, aux Assises de Charenton, c’est, dans un soucis constructif, pour mieux lui faire comprendre l’ampleur de sa mauvaise analyse, et ses conséquences tragiques.

http://fr.sevenload.com/videos/rjiM3e9-Rene-Marchand

Si elle veut réellement répondre à l’exaspération de notre peuple, Marine Le Pen, et tous ceux qui croient en elle, doivent s’inspirer de Jaurès, et de sa célèbre phrase : « Le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire ».

 D’abord, et Pierre Cassen le rappelle souvent dans ses interviews, on a le droit d’être islamophobe, comme on a le droit d’être athéophobe, catholicophobe, laïcophobe, anti-communiste ou anti-capitaliste.

D’autre part, et Christine Tasin l’assume totalement, quand on est attaché à la République, à la démocratie, au droit des femmes, à la liberté, à la laïcité, on a le devoir d’être islamophobe, tout simplement parce que l’islam ne peut supporter ces valeurs émancipatrices.

Il faut donc, comme le disaient, chacun avec leurs mots, Jean Robinou Roger Heurtebise, organiser le divorce entre la République et l’islam, la séparation entre Marianne et Mahomet, pour sauver la France d’une inévitable guerre civile.

Qui d’autre que Marine Le Pen peut dire cela avec toute la clarté que nécessite la situation, pour rompre avec l’enfumage dont nous sommes victimes, y compris de la part de son lieutenant ?

Ecoutons, et imprégnons-nous des témoignages du père Boulard, de René Marchand ou de Wafa Sultan.

C’est pourquoi, loin d’être une querelle sémantique de philosophes de salon, cette question de l’islam, et de sa définition, est capitale, pour l’efficacité de l’alternative que Marine Le Pen, et, nous l’espérons, un large front des patriotes incarnent, face aux deux fossoyeurs de la France, l’UMP et le PS.

Sur ce terrain, la présidente du Front national ne peut pas être en dessous de l’ampleur du rejet de nos compatriotes d’une doctrine archaïque, moyen-âgeuse et criminelle, ni se tromper dans l’analyse : il n’y a pas d’islamisme radical et d’islam modéré, il y a l’islam, et si on est un bon musulman, on doit appliquer les lois de l’islam !

Pour faire ami-ami avec les barbus, nous n’avons pas besoin de Philippot, nous avons déjà les islamo-collabos Juppé-Valls et toute la clique des lèches-babouches UMPS.

ÉCOLOGIE: LE TABLEAU NOIR........( MICHEL GEOFFROY )

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Le : 21 Novembre 2012

Ecologie : La peste verte ?

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Dans un ouvrage prophétique paru en 1991, La Peste verte, Gérard Bramoullé dénonçait la dérive idéologique de l’écologie. Mais il était malheureusement en dessous de la vérité.

Car, devenue une religion, l’écologie se situe désormais au delà de l’idéologie. MG.

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Comme religion de l’oligarchie, au même titre que la religion antiraciste, l’écologie se place dans le registre de la révélation, du dogme et des anathèmes contre ceux qui ne partagent pas la foi nouvelle : elle est devenue inaccessible à la raison et en particulier à la raison scientifique.

La foi écologique consiste à croire que la nature se porterait mieux en l’absence de l’homme occidental, responsable notamment du réchauffement climatique qui résulterait des émissions de CO2.

On ne reviendra pas sur le fait que ce diagnostic du réchauffement climatique n’est nullement avéré.

Par définition la révélation se situe au-delà de la vulgaire preuve scientifique. Intéressons-nous seulement aux effets concrets du dogme vert.

 

Le néant vert

Quel est le bilan réel des politiques conduites depuis la fin du siècle dernier au nom de cette religion ? Tout simplement nul ou catastrophique pour les Européens.

Pensons à tous ces « Grenelle » ou conférences internationales censés nous prémunir contre les périls climatiques en faisant diminuer notre empreinte carbone, qui joue le rôle de premier Satan dans cette nouvelle religion. Mais ses adeptes oublient de nous dire que les efforts que cela implique pour nous se trouvent immédiatement annulés par le développement économique de tous les pays émergents et notamment de la Chine. Par conséquent tout ce que l’on nous demande de faire pour diminuer nos émissions de CO2 ne sert absolument à rien par rapport au but affiché.

 

L’enfer vert

Cela rend-il au moins notre vie plus agréable ou plus facile en Europe ?

On peut en douter car, au concret, le prêche écolo débouche avant tout sur deux choses : une avalanche de réglementations et de normes qui ne font que compliquer l’existence et renchérir le coût des produits et des services, d’une part ; une augmentation continue des prélèvements publics, d’autre part.

Ces deux fléaux se conjuguent pour réduire la liberté d’initiative des Européens et leur capacité à affronter un monde de plus en plus concurrentiel. Car les adeptes de la nouvelle religion ne se bornent pas, hélas, à proférer des idées bizarres dans des colloques : ils veulent surtout faire le bien de la planète malgré nous.

 

Le tableau noir des Verts

La liste ne cesse de s’allonger, en effet, des méfaits déjà imputables à la nouvelle religion verte en Europe :

  • - l’affirmation d’un principe de précaution généralisé qui handicape toute prise de risque ;
  • - la lutte active contre l’énergie nucléaire, et plus récemment contre le « gaz de schiste », c’est-à-dire contre ce qui permet d’assurer l’indépendance énergétique à moindre coût ;
  • - des dépenses publiques massives au bénéfice de prétendues énergies ou moyens de transport « propres » comme le photovoltaïque, les éoliennes ou les réseaux ferrés dont la productivité est aléatoire et le coût élevé. Grâce aux zélotes écolos, les Européens sont en tout cas assurés de payer leur énergie toujours plus cher !
  • - la réduction continue de la liberté de circulation automobile. Car l’auto, inventée par les Européens justement pour faciliter les déplacements, est l’autre grand Satan de la religion verte. Grâce aux écolos, les villes sont ainsi devenues autophobes : des millions d’Européens se trouvent désormais contraints de dépendre de transports collectifs ou de se déplacer à pied ou à vélo pour faire leurs courses, se distraire ou se rendre à leur travail. Retour au XIXe siècle, à la différence notable toutefois que les lieux de domicile et de travail se trouvent aujourd’hui beaucoup plus éloignés !
  • - l’apparition d’une « fiscalité écologique » qui représente quand même déjà 1,86% du PIB en France et qui s’ajoute par conséquent à un niveau de prélèvements publics et sociaux élevé (46%) et que les charmants élus verts veulent bien sûr augmenter à des fins « pédagogiques » ;
  • - des paysages européens dénaturés par les champs d’éoliennes ;
  • - la difficulté croissante d’entreprendre et de conduire de grandes opérations d’aménagement, en raison du harcèlement auquel se livrent les associations au nom de la défense de l’environnement ;
  • - le ralentissement de la recherche dans certains domaines (ex : les OGM) ;
  • - les troubles d’ores et déjà apportés à l’écologie animale et à l’environnement humain du fait d’une ingénierie « verte » brouillonne, comme en témoignent par exemple les perturbations croissantes apportées par la multiplication des loups et des sangliers en Europe, espèces que les zélotes verts voulaient « protéger ».

Une idéologie au service de l’oligarchie

Comme toujours en matière de croyances, celles-ci reflètent certains intérêts bien précis.

La rhétorique écolo sert ainsi à merveille l’oligarchie pour justifier tout à la fois un renforcement du contrôle social de la population et une relance artificielle de la consommation.

Dans certains pays européens le tri des déchets ménagers, de même que l’utilisation de voitures aux heures de pointe, fait déjà l’objet d’un contrôle répressif des personnes. Et il suffit de penser à la phrase inoubliable de J. Chirac lors du sommet de Johannesburg en 2002 pour qui nous nous rendrions coupables d’un crime contre l’humanité future, pour comprendre tout ce que recèle en puissance cette sympathique philosophie de la culpabilisation de l’action humaine.

Le mot écologie, capable d’annihiler tout sens commun chez le récepteur, est devenu un argument publicitaire de première importance. L’argument « vert » (dans l’industrie), « bio » (dans l’alimentaire) ou « durable » (dans les services) a eu une fonction capitalistique bien précise : relancer la commercialisation de nouveaux produits. Le système marchand doit impérativement stimuler en permanence le consommateur, en effet. La religion verte y pourvoit.

Ainsi le consommateur sera tout content d’acquérir une voiture « hybride » dont le coût d’acquisition est en réalité très supérieur à un produit normal et ne sera que très exceptionnellement amorti par l’heureux propriétaire. Bien entendu le discours sur les énergies « propres » convient à merveille aux vendeurs de matériel idoine qui se trouvent par un heureux hasard financer aussi les ONG écolo.

La justification verte a permis de transférer au surplus sur le consommateur final des charges auparavant supportées par l’entreprise. C’est donc double bénéfice ! Le consommateur peut ainsi acheter des yaourts, des œufs ou des légumes « bio » plus chers, mais il aura le plaisir en plus de ne pas recevoir d’emballage : s’il veut un sac on lui demandera de le payer.

Mais heureusement, au nom d’une noble cause : sauver la planète ! Les publicitaires doivent bien rire.

La religion du déclin européen

Plus fondamentalement, la religion verte s’analyse comme un des nombreux symptômes de la décadence européenne : cette religion traduit la peur de l’avenir des vieux Européens, au sein du grand hôpital qu’est devenu l’Occident.

Elle ne présente les évolutions de notre environnement que sous un jour apocalyptique, alors que celles-ci peuvent constituer, au contraire, de nouvelles opportunités humaines.

Elle sous estime totalement la capacité de l’homme européen à surmonter, grâce à la science et à la technique, qui sont une création de son génie propre, les défis environnementaux.

La religion verte réussit aussi la performance de promouvoir le paradigme de la décroissance en Europe, alors que notre continent est le seul à souffrir du chômage structurel et de la désindustrialisation ! Elle condamne enfin l’agriculture moderne dont les rendements permettent seuls de nourrir une population croissante.

A entendre les zélotes verts, notre avenir européen passerait par le vélo, les éoliennes et le chauffage au bois.

Un avenir de réserve folklorique.

Les Chinois et les Indiens, eux, misent sur l’atome, l’informatique, la génétique et la recherche spatiale.

Merci les Verts !

Michel Geoffroy 
16/11/2012

Correspondance Polémia – 21/11/2012

Image : les éoliennes

 

Michel Geoffroy

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