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UN RÉSEAU DE PROXÉNÈTES DÉMANTELÉ.....

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Strasbourg, Lille : coups de filet chez des proxénètes

Dix-neuf interpellations en deux jours. En deux opérations menées à Lille (Nord), Strasbourg (Bas-Rhin) et en Italie, l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH) de la Direction centrale de la police judiciaire vient de démanteler deux réseaux distincts de prostitution en France.Le premier est le fruit d’une enquête démarrée en 2010 sur des renseignements de la police aux frontières de Strasbourg à propos de la présence de jeunes femmes venues du Nigeria sur les trottoirs de la ville. 
Les investigations menées depuis ont permis de tracer tous les contours d’un réseau « typique » de cette prostitution : les « proies recrutées au Nigeria sous la promesse de trouver un emploi en Europe.

Après la cérémonie dite du « juju » en présence de leur famille et d’un officiant religieux, elles se soumettent moralement et religieusement à leur passeur.

Cette soumission consiste, entre autres choses, à rembourser la dette de leur venue en Europe, qui s’élève à environ 50000 €.

Pour s’en acquitter, elles sont contraintes à la prostitution sous la surveillance de « mamas ». 

Interpellés dans un campement de Roumains près de Lille  a Strasbourg, une cinquantaine de filles ont ainsi pu être identifiées.

Surtout, les policiers sont remontés jusqu’aux proxénètes, dont deux ont été arrêtés avant-hier en Italie où ils géraient à distance le réseau, fournissant les filles à leurs complices installés en Alsace.

Onze personnes au total ont été interpellées, y compris les financiers qui évacuaient l’argent liquide vers le Nigeria.

Hier matin à Wattrelos (Nord) près de Lille, c’est un réseau de proxénètes roumains qui a été démantelé, toujours par les policiers de l’OCRTEH.

Les enquêteurs, qui ont travaillé avec leurs collègues de la PJ locale, surveillaient depuis plusieurs mois l’activité de plusieurs jeunes prostituées roumaines qui travaillaient la nuit sur un parking très fréquenté par les chauffeurs routiers, à Lesquin.

Les filles étaient sous la coupe de « délégués » des proxénètes, chargés surtout de vérifier que l’argent des passes n’était pas dissimulé.

Les tarifs pratiqués « étaient faibles », selon un proche du dossier. En bout de chaîne, plusieurs couples géraient l’activité de ces filles, depuis un campement de Wattrelos où ils ont été interpellés hier matin.

Une partie d’entre eux devrait être déférée avant la fin de la semaine devant le parquet de Lille.

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/faits-divers/strasbourg-lille-coups-de-filet-chez-des-proxenetes-22-11-2012-2345797.ph
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L' OCCIDENT SE SOUMET À L' ISLAM RADICAL........

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TRIBUNE LIBRE

 

L’occident se soumet au Hamas et à l’islam radical

La façon dont les grands médias européens rendent compte de la réaction d’Israël à l’agression lancée par le Hamas n’est pas surprenante. Elle est imprégnée du relativisme moral qui imprègne l’atmosphère : l’agresseur et l’agressé sont placés sur un plan d’équivalence.

La dimension terroriste et génocidaire du Hamas se trouve totalement laissée de côté.

Le fait qu’il y ait, d’un côté, un pays démocratique qui entend vivre en paix et de l’autre une entité totalitaire imprégnée de haine destructrice, d’antisémitisme et de volonté de tuer n’importe pas une seule seconde.

C’est à peine s’il est dit qu’Israël n’a fait que riposter à des tirs de roquettes et de missiles incessants depuis trois ans et qui se sont accélérés au cours des jours qui ont suivi la réélection de Barack Obama.

L’attitude des dirigeants politiques européens n’a pas été surprenante, elle non plus. Après avoir approuvé la volonté israélienne de se défendre face au Hamas, ils ont mis en garde Israël, chacun à leur manière, contre le risque d’une riposte « disproportionnée », puis ils se sont agités pour trouver une possibilité de trêve et de retour aux négociations.

Comme ils se refusent à dialoguer directement avec le Hamas, ils sont passés par l’intermédiaire de Mahmoud Abbas, qui n’a aucune prise sur la situation, et du gouvernement égyptien.

Nul ne peut douter que derrière les apparences, des pressions ont été exercées sur le gouvernement israélien. Les signes d’amitié de dirigeants européens envers Israël sont, en général, aussi sincères que les baisers de la mort donnés par des dirigeants mafieux à ceux qu’ils veulent assassiner ou faire assassiner.

L’attitude de l’administration Obama a été, tout bien pesé, du même ordre que celle des dirigeants européens, et si elle a pu sembler un peu plus chaleureuse que celle des dirigeants européens, c’est que le peuple américain reste plus favorable à Israël que les peuples européens.

Obama ne pouvait faire autrement que soutenir Israël: imaginez, un Président des Etats Unis soutenant le Hamas !

Obama, à la différence des dirigeants européens, n’a pas parlé de risque de riposte « disproportionnée », mais c’est tout comme : il a déclaré qu’une action militaire au sol serait sans doute malencontreuse et malvenue. Il n’a, comme les dirigeants européens, pas entamé de dialogue direct avec le Hamas, mais il est passé par les mêmes intermédiaires qu’eux.

Avec une différence : il a derrière lui ce qui reste du poids des Etats-Unis. Et nul ne peut douter qu’il a lui-même exercé des pressions sur le gouvernement israélien.

Avec une différence là encore : les Etats-Unis étaient jusqu’à une période récente le principal allié d’Israël, et ces pressions sont dès lors de l’ordre d’un lâchage.

L’armée israélienne peut avoir besoin de pièces de rechange pour le matériel militaire d’origine américaine dont elle dispose, et il suffit que ces pièces de rechange ne soient pas fournies, ou pas fournies à temps, pour que les conséquences soient préoccupantes.

Avec Barack Obama, les Etats-Unis rejoignent le relativisme moral à l’européenne, les Etats-Unis, comme les Européens, ne font plus vraiment la différence entre Israël et ses ennemis, tout comme ils ne font plus vraiment la différence entre démocratie et totalitarisme.

Hillary Clinton vient d’être dépêchée par Barack Obama au Proche-Orient, sans aucun doute pour accentuer les pressions américaines et pour obtenir une « trêve ».

Cela doit être dit : une « trêve » dans la situation présente serait un moment de répit très provisoire pour Israël. Le Hamas considérerait qu’il a obtenu une victoire, car il aura montré avoir disposé de capacités de tirer en direction de Tel Aviv et de Jérusalem. Il aura montré aussi qu’il est devenu un interlocuteur avec lequel on parle, même indirectement. Il gardera le pouvoir sur Gaza, malgré les destructions.

Il pourra se réapprovisionner en armes dès lors que la frontière avec l’Egypte restera sous contrôle égyptien, donc sous le contrôle des Frères musulmans dont le Hamas est la branche « palestinienne ». Il pourra se préparer pour la prochaine guerre. Il aura affirmé son ascendant sur le « mouvement palestinien », et d’ailleurs, très significativement, des dirigeants du Fatah, principale composante de l’Autorité palestinienne n’ont pas manqué d’affirmer leur soutien aux actions du Hamas ces derniers jours.

La seule issue favorable pour Israël serait celle venant après une défaite sans appel du Hamas, ce qui impliquerait bien davantage de destructions à Gaza.

Elle serait aussi celle impliquant une reprise de contrôle par Israël de la frontière entre Gaza et l’Egypte.

Une prise de contrôle de Gaza par Israël serait une entreprise complexe et coûteuse financièrement et en vies de soldats israéliens.

L’idée, évoquée ici ou là, d’une prise de contrôle de Gaza par Israël aux fins de remettre le pouvoir à Gaza à Mahmoud Abbas me semble absolument absurde : Mahmoud Abbas est aussi crapuleux et sanguinaire que les dirigeants du Hamas, et il a infiniment moins de crédibilité qu’eux aux yeux de la population arabe.

Je crains qu’Israël soit acculé à une issue défavorable. Israël est présentement entouré d’ennemis. Les deux seuls pays ayant des frontières avec Israël n’ayant pas été pris en main par l’islam radical sont la Syrie ou le combat se mène entre islamistes chiites et islamistes sunnites, et la Jordanie, où les Frères musulmans sont aux portes des palais gouvernementaux.

La façon dont les grands médias européens rend compte de la situation n’est pas surprenante, non. Elle n’en est pas moins absolument indigne.

Quand on place l’agresseur et l’agressé sur un plan d’équivalence, on collabore avec la main de l’agresseur contre l’agressé.

Et en l’occurrence, les grands médias européens collaborent. Ils sont complices des tirs contre Israël, des assassinats d’Israéliens et des destructions en Israël, tout comme ils sont complices de la mort de ceux que le Hamas utilise comme boucliers humains.

Quand on ne rappelle pas que le Hamas est une organisation terroriste, génocidaire, totalitaire imprégnée de haine, d’antisémitisme et de volonté de tuer, on ment sur ce qu’est le Hamas et on contribue à lui donner une légitimité qu’il ne mérite en rien.

On aveugle les populations sur le danger incarné par le Hamas, et on ne permet pas de comprendre la nécessité d’en finir avec celui-ci.

La façon dont les dirigeants européens parlent de riposte « disproportionnée », font pression pour une « trêve », parlent de « négociations » fait d’eux aussi des complices du Hamas, du terrorisme, des intentions génocidaires contre Israël, du totalitarisme et de l’antisémitisme qui règnent à Gaza, de la volonté de tuer qu’on injecte dans la tête des Arabes de Gaza et dans celle des Arabes de Judée-Samarie.

La façon dont l’administration Obama et Obama lui-même se comportent constitue un reniement de toutes les valeurs éthiques qui ont été au cœur des valeurs américaines est une trahison de ce qui a pu souder l’alliance entre les Etats-Unis et Israël.

Le fait que les deux interlocuteurs primordiaux de l’administration Obama et d’Obama lui-même aient été, en cette période, Mohamed Morsi et Recep Tayyip Erdogan, deux islamistes aussi haineux que le Hamas, est significatif.

C’est, ces derniers jours, tout le monde occidental qui a volé au secours du Hamas et qui est venu agir pour préserver les positions de celui-ci et de ses alliés.

C’est, ces derniers jours, tout le monde occidental qui s’est soumis au Hamas et à ses alliés.

Préserver les positions du Hamas et de ses alliés, et ainsi se soumettre, c’est se placer au service d’un projet de destruction d’Israël et d’extermination du peuple israélien.

 

C’est se mettre au service, bien au delà du Hamas, de l’islam radical qui est en train de broyer le monde musulman et qui contamine peu à peu le reste du monde.

Je l’ai déjà écrit, Israël est seul. Mais Israël ne tombera pas. Israël est bien plus fort et bien plus déterminé que ses ennemis ne l’imaginent.

L’Europe, elle, est déjà tombée, et les artisans de sa déchéance sont aux postes de commande, entraînant les populations vers un suicide collectif qui vient peu à peu.

Les Etats-Unis sont-ils tombés ? Ils sont, en tout cas, entre de très mauvaises mains et, dès lors, en une très fangeuse posture.

Hitler, Staline, Mao, Ben Laden, si l’enfer existe, ont toutes les raisons de se réjouir. Leurs disciples au présent, chez les Frères musulmans et à al Qaida, au Hamas ou au Hezbollah, dans l’Autorité Palestinienne ou en Iran, ailleurs encore, ont toutes les raisons de se réjouir aussi.

Les femmes et les hommes qui savent encore la différence entre le bien et le mal se battent en Israël ou se battent au côté d’Israël, car ils savent où se situe le bien, et où se situe le mal.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info


ET AUSSI


 

Le plus grand hôpital public de France ne donne plus que des repas « sans porc » à ses employés

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Depuis que la direction de l’Hôpital public Pitié Salpetrière à négocié avec une nouvelle société de restauration, il n y desormais plus de porc « même en option » pour le personnel de Garde et de Nuit qui ont droit à un repas/collation. Et tant pis si la majorité du personnel est encore loin d’être musulman. Exit le jambon, la quiche lorraine et autre plat pouvant contenir ce poison ou ce met de mécréant qu est le cochon. Fini, rayé de la liste definitivement.
Comme cela ne suffisait pas, la provocation va jusqu à préciser que tous les plats sont bien réglementaires, comme crêpe au fromage »sans porc » ou pizza volaille champignon « sans porc ».
Autrement dit si vous êtes musulmans soyez doublement rassuré, on sait qu’il n’y plus de porc, mais c’est toujours mieux de le rappeler ! Quand à la majorité des autres qui aimaient le jambon ou la quiche lorraine, ils n’ont qu à s’adapter et puis il y a la quiche aux épinards ou aux poireaux, sans porc, cela va de soi.

Qu’un hôpital public puisse se permettre de bafouer les principes élémentaires de laicité envers son propre personnel en dit long sur l’etat du pays….
Le plus terrible c’est que cela est imposé, sans aucune concertation et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Imaginez si les hôpitaux publics décidaient sans concertation aucune d’imposer le porc à tous ses patients, peu importe leur confession religieuse ! Quel tollé général avec M. Delanoé en tête des indignés ! Le maire de Paris dont le premier adjoint possède un siège au conseil de surveillance de l’APHP Assistance Publique Hôpitaux de Paris. Mais non, Monsieur le Maire est plus occupé à surveiller les cantines scolaires ou les crêches qui ne respecteraient pas les menus réglementaires des diversités ! Par contre que certains n’aient plus la possibilité de manger du jambon, cela ne le dérange pas le moins du monde.

La réaction du personnel ? Ils aiment bien le cochon, mais bon, maintenant on n’y peut rien c’est comme ça ! Un syndicaliste, questionné, répond que cela n’est pas normal, mais il ne faudrait pas heurter les collègues musulmans ! Bref sans combat ni bataille, nous voilà soumis au pays des Lumières et de Voltaire aux superstitions alimentaires et à l’obscurantisme.

Je terminerai par un mot d Arthur Schopenhauer : « Les religions sont comme les vers luisants : pour briller, elles ont besoin d obscurité » et l’obscurité en France, elle se développe vite ! Trop vite.

Bernard Bayle

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LE FN GUETTE L' ÉVOLUTION DES ÉVÉNEMENTS À L' UMP !

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Le Point.fr - Publié le 23/11/2012 à 14:25

Le Front national, qui ne connaît pas de problème de leadership ni de ligne politique, guette attentivement l'évolution des événements à l'UMP.

 
 

Il paraît qu'un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse.

Aujourd'hui, le chêne qui tombe, ou plutôt qu'on abat, s'appelle l'UMP.

Est-il besoin de rappeler les coups de hache portés, depuis maintenant plusieurs jours, sur le tronc d'un parti vieux de dix ans, planté par la volonté de Jacques Chirac pour réunir sous ses feuillages les familles de la droite et du centre ?

Les phrases et les séquences sont là, inoubliables, parce que violentes et sans précédent : mafia, bourrage d'urnes, fraudes, mainmise... 

 

Sans être arboriculteur, on peut dire que les racines, heureusement pour les bûcherons que sont Jean-François Copé et François Fillon, ne sont pas complètement atteintes.

Entre les deux belligérants, c'est plus une affaire de nuances que de nature, notamment sur le plan économique et social.

Par son statut, sa popularité militante et son autorité, Nicolas Sarkozy avait entretenu l'illusion d'un parti en ordre de marche. Les tensions humaines ont été étouffées grâce à cette soupape.

Pour citer Charles Pasqua, qui lui-même citait le général de Gaulle, "à l'UMP, le problème n'est pas le vide, mais le trop-plein". 

Tremplin électoral

Les quadras, dont Copé, ont très tôt compris qu'ils avaient une sérieuse carte à jouer dans la perspective de 2017, plus encore depuis la défaite de Sarkozy.

Dès lors, chacun a eu le souci d'exister, de monter sa petite écurie, d'accroître sa cote de popularité, d'ouvrir son compte Twitter, de se démarquer et, en privé, de se dénigrer.

Les socialistes, de ce point de vue-là, ne pouvaient leur envier qu'une certaine forme de discrétion, ce qui ne tient plus au regard de la semaine écoulée.

Parions donc que 2016, année des primaires UMP pour la désignation du candidat à la présidentielle, donnera de nouveau lieu au spectacle d'une droite divisée et qui, à force de l'être, cherchera du regard un recours : Nicolas Sarkozy. 

En face, ou disons à sa droite, le Front national guette attentivement l'évolution des événements.

Le parti frontiste, lui, ne connaît pas de problème de leadership ni de ligne politique.

Après avoir connu une période ô combien moribonde, notamment en 2007, à la suite du faible score de Jean-Marie Le Pen, en plus d'importantes difficultés financières, le FN ne peut qu'aller mieux en cet automne printanier pour lui.

Le processus a débuté avec le score de Marine Le Pen à la présidentielle, puis l'élection de deux candidats à l'Assemblée nationale.

En termes de communication, le parti, pour l'heure, ne commet pas d'erreurs majeures et, à en croire la direction, engrange des adhésions par centaines depuis le psychodrame à l'UMP. 

Le véritable indicateur sera les municipales de 2014.

Une poussée frontiste pourrait se manifester dans des villes petites et moyennes sur l'arc nord, est, sud-est.

Alors que ce scrutin est d'habitude défavorable au FN, il pourrait s'avérer être, cette fois-ci, un tremplin idéologique, sinon électoral. À n'en pas douter, les candidats "marinistes" trouveront une formidable tribune pour décliner les idées chères au parti : lutte contre l'immigration, droit de vote des étrangers, construction de mosquées, cantines halal, corruption, politique néfaste de Bruxelles...

Voilà pour la forêt qui pousse sans bruit.

 

source et publication:    Par 

 http://www.lepoint.fr/politique/l-arbre-ump-et-la-foret-fn-23-11-2012-1532736_20.php

 

ON EST VRAIMENT MAL BARRÉ !

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Le bal des guignols

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La droite ripoux…blicaine, vous savez celle qui ne serre pas la louche des nationaux et qui perd systématiquement les élections depuis l’ère Chirac (aujourd’hui réduit à l’état de légume sans même un regard de Bernie, sa légitime) est en train de montrer son vrai visage, celui du vide.

Car, cette pantalonnade pseudo démocratique se réduit en fait au combat de deux ambitieux qui ont les yeux rivés sur 2017, au mépris des militants d’ailleurs, puisque les deux candidats se sont chargés de bien bourrer les urnes.

Souvenir, sans doute, du stalinisme qui régnait à la belle époque du gaullisme de pacotille, étiqueté RPR. Le peuple comme prétexte à des intérêts particuliers !

Car, l’un comme l’autre des protagonistes n’a de droite que l’intitulé, manière pour eux d’affirmer qu’ils ne sont pas de gauche alors qu’ils en ont adopté depuis longtemps les idéaux. « Travail, famille, patrie », n’appartiennent pas à leur vocabulaire, pas plus que je n’ai entendu l’autre « droit dans ses bottes » , alias Juppé le Bordelais, agrégé de lettres classiques pourtant, nous parler, un jour, de la culture française.

Au RPR, Chirac lui faisait corriger les fautes d’orthographe. Dans cette droite-là, tout le côté charnel du rapport à la mère patrie a été gommé au profit d’un discours formaté, appris par cœur dans les Loges et à l’Ena.

Il n’en reste pas moins que le Fillon du 7ème arrondissement et le Copé des banlieues, sont prêts à l’adoption de tous les « éléments de langage » pouvant booster leur notoriété – bien entamé il est vrai -, sauf à enfreindre les ordres qu’ils ont reçus des loges maçonniques laïcardes et juives (B’nai B’rith) : pas d’alliance avec le Front national ou équivalent, respect strict des droits de l’homme, maintien de la sociale démocratie et surtout allégeance totale au libéralisme.

Certains font état d’une fracture au sein de l’UMP. Elle sera de courte durée, du moins de la part des élus, pour la bonne raison que tous ont besoin de l’étiquette d’un parti pour exister et se présenter aux élections.

Donc, on peut d’ores et déjà titrer : Bal tragique à l’UMP, un mort !

Et il y a de fortes chances pour que Copé confirme son élection. La grande inconnue, à l’issue de cette mascarade, reste les militants et les électeurs.

Comment réagiront-ils lors des futures échéances ? Mystère.

On peut faire confiance à Copé pour remonter un bazar qui sera une pure machine électorale, tout aussi impuissante d’ailleurs à réduire cette crise que les socialistes actuellement au pouvoir.

Au PS aussi il y fracture entre le parti d’un côté et l’équipe gouvernementale de l’autre avec Flanby à sa tête.

Un François Hollande qui navigue à vue et dont la boussole idéologique est en train de semer la pagaille dans une société française largement meurtrie par l’immigration, l’islam et la crise économique.

Sa gestion du « mariage pour tous » est une catastrophe dans la mesure où il a cédé à un lobby homosexuel largement minoritaire dans ce pays. Les manifestations des « anti » ne sont que la partie émergée d’un iceberg plus important qu’il n’y paraît. Hollande nie là tout à la fois sa culture et la nature humaine.

Le mariage n’est pas une affaire de sentiment, mais marque la volonté du couple – et de l’espèce - à se reproduire.

Le mariage sentimental est une idée très récente dans la culture européenne et sujette à caution au regard du nombre de divorces.

Bref, Hollande n’est pas du tout dans la fonction de chef d’Etat. Il ne maîtrise pas les sujets de société, est indécis sur le plan économique et aligne sa politique étrangère sur celle des Etats-Unis, comme on a pu le constater avec l’affaire syrienne.

On est franchement mal barré !

(Dessin, Minute)

Source : Le Journal du Chaos

CANNES, CITÉ DES STARS ??? UN COIN DE FRANCE PERDU !

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Cannes: un policier passé à tabac alors qu’il coursait des voleurs

Un policier qui s’apprêtait à stopper la fuite d’un malfaiteur a été frappé par plusieurs inconnus jeudi à Cannes.

Il souffre de nombreuses contusions et d’un fracture du sternum.La poursuite d’un véhicule volé a dégénéré, jeudi après-midi à Cannes et une nouvelle fois un policier a payé de sa personne.

Alors qu’il était au sol aux prises avec un des fuyards, le fonctionnaire a été roué de coups par une bande d’individus venue prêter main-forte au suspect.

Robuste, le policier s’en tire avec de nombreux hématomes, une entorse cervicale et une suspicion de fracture du sternum.

Cette escalade de violence, avait pourtant débuté sur une simple infraction au code de la route.Poursuite dans les rues de La Bocca

En milieu d’après-midi un véhicule de l’unité territoriale de voie publique (UTVP), patrouille dans le quartier de La Bocca.

À son bord, les policiers constatent qu’une voiture devant eux vient de franchir une ligne blanche. Ils décident donc de procéder à un contrôle.

Mais les deux occupants du véhicule en faute ne l’entendent pas de la sorte, refusent d’obtempérer et prennent la fuite à vive allure.La poursuite s’engage dans les rues boccassiennes durant quelques minutes.

Un temps durant lequel les policiers découvrent que le véhicule pris en chasse est déclaré volé. La course s’achève au cœur de la cité de la Frayère.Policier plus rapide

Là, les deux fuyards abandonnent leur voiture et poursuivent à pied. Les hommes en tenue sont à leurs trousses.

Plus rapide, l’un des policiers rattrape le fugitif devant lui et le plaque au sol pour l’arrêter. Et son calvaire débute.

Plusieurs hommes déboulent des bâtiments à proximité, se ruent sur le policier et le passe littéralement à tabac pour lui faire lâcher prise.Roué de coups dans les côtes, au visage, aux jambes, le fonctionnaire au physique de colosse, résiste coûte que coûte jusqu’à l’arrivée de ses collègues.

Entre-temps ses agresseurs se sont évaporés.

Une enquête est désormais ouverte et confiée à la sûreté urbaine de Cannes pour tenter de retrouver à la fois les fuyards et les auteurs de l’agression contre un agent des forces de l’ordre.

Nice Matin

http://www.nicematin.com/cannes/cannes-un-policier-passe-a-tabac-alors-quil-coursait-des-voleurs.1060627.html#.UK-


http://policeetrealites.wordpress.com/2012/11/23/cannes-un-policier-passe-a-tabac-alors-quil-coursait-des-voleurs/  
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MONTMARTRE DOIT RESTER UNE " COMMUNE LIBRE " !!!

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PAS DE STARBUCKS SUR LA BUTTE !

 

Starbucks à Montmartre : riverains, commerçants et Paris-Fierté n’en veulent pas

23 novembre 2012

Starbucks à Montmartre : riverains, commerçants et Paris-Fierté n’en veulent pas
 
  
 

23/11/2012 — 12h00


PARIS (NOVOpress) — Annoncée par la presse, l’implantation d’un café Starbucks, place du Tertre – endroit emblématique de Montmartre –, n’est pas du goût de tout le monde. Et c’est peu dire.

A commencer par riverains et commerçants, un comité de quartier qui s’est constitué à cet effet, mai aussi bon nombre des peintres présents sur la place (la célébrité de cette dernière vient des peintres qui y officient pour le plus grand bonheur des touristes).

Mais également l’association culturelle Paris-Fierté.

 

Le tract de Paris-Fierté contre l'implantation d'un Starbucks à Montmartre

Le tract de Paris-Fierté contre l’implantation d’un Starbucks à Montmartre

Ainsi, hier soir, plusieurs membres de Paris-Fierté ont déployé une banderole devant l’ancienne brasserie qui doit accueillir le futur Starbucks (photo ci-dessus).

Ils ont distribué des tracts en français et en anglais aux pour dénoncer l’implantation d’un symbole puissant de l’américanisation et de l’uniformisation, d’autant que cette multinationale ne paie pas d’impôts en France.

Les membres de Paris-Fierté ont également fait le tour des commerçants pour expliquer l’action de l’association. Commerçants qui ont accordé un bon accueil à Paris-Fierté.

L’action a été filmée par des journalistes de la télévision publique japonaise.

Paris-Fierté ne compte pas s’arrêter là. Une pétitionvient d’être lancée pour empêcher l’implantation de ce Starbucks en plein cœur d’un quartier qui symbolise l’identité parisienne.

Crédit Photo : Paris-Fierté.

[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]


La multinationale "Starbucks"à Montmartre ? Non merci !

 
La multinationale "Starbucks" à Montmartre ? Non merci !
Lancée par PARIS FIERTE le 23-11-2012, sera close dans 7 mois
Association pour la promotion de l'identité parisienne - www.parisfierte.com

Cette pétition sera remise aux destinataires suivants :

  • Bertrand DelanoëBertrand Delanoë (Maire de Paris)
  • Daniel Vaillant (Maire du 18ème Arrondissement)

STARBUCKS à Montmartre ? Non merci !

La nouvelle est tombée il y a quelques jours : Montmartre accueillera au début de l’année 2013 un Starbucks. La chaîne de cafés américaine, qui n’en finit plus d’inaugurer ses enseignes parisiennes, a jeté son dévolu juste en face du carré des artistes, dans les locaux occupés depuis des générations par le restaurant-brasserie "Au pichet du Tertre".

Préservé jusqu’à présent des appétits des multinationales, Montmartre a su sauvegarder son authenticité, ses monuments, son architecture et ses petits commerces.

Sauvegardons l’identité du quartier !

Si des touristes du monde entier viennent à Paris pour découvrir le quartier de Montmartre, c’est pour son ambiance unique. Accepter l’implantation de Starbucks dans notre quartier, c’est donner victoire aux mondialistes destructeurs d’identités.

Résistez avec nous !

Vous voulez préservez l’esprit de Montmartre ?

Vous refusez que le monde du fric puisse faire sa loi où bon lui semble ?

Vous voulez un monde des identités et non de l’uniformité ?

Il est encore temps de faire capoter l’implantation de Starbucks !

Commerçants, habitants du quartier, amoureux de Paris du monde entier, tous ensemble contre l’implantation de Starbucks !

Tous ensemble pour un Montmartre populaire !

Signez la pétition contre l'implantation d'un Starbucks place du Tertre !

 

SOS RACISME ET LA DICTATURE MULTICULTURELLE......

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SOS racisme surveille M6

SOS Racisme a trouvé une nouvelle cible : M6, ou plus précisément, le groupe « Burn The Rubber », en lice pour la victoire dans l’émission « La France a un incroyable talent » qui est diffusée par la chaîne de télévision.

La raison ? Le groupe composé de quatre membres d’une même famille : Cyrille, le père et ses trois enfants : Léa, 17 ans, Edouard, 15 ans et Jeanne, 13 ans, a mis en ligne en 2011 une chanson intitulée « Haut les cœurs citoyens », qui déplaît fortement au lobby « antiraciste ».

Le refrain reprend notamment les paroles suivantes :

« A tous ceux qui sifflent dans les stades la marseillaise (…) sachez que (…) nous allons relever la tête et vendre notre peau (…) 

Et par le monde on sait que la France est terre d’asile. Trop facile. Bienvenue à tous on est trop bons et trop cons.

Nos frontières ne sont pas fermées, si vous êtes trop malheureux en France, vous et vos petites bandes armées, fuyez chercher ailleurs votre délivrance…

Un jour prochain le vieux coq Gaulois renaîtra de ses cendres. Et enfin vous fera respecter nos lois. »

 

 

Un chant un peu trop patriote pour SOS Racisme qui a déclaré au Nouvel Obs : « Nous avons interpellé M6 quant à leur responsabilité sur la promotion de ces artistes.

Nous ne souhaitons pas que ce groupe soit de nouveau à l’écran.

Nous sommes dans l’attente de leur réponse, auquel cas nous commencerons la procédure de dépôt de plainte. »

Une tentative d’intimidation qui a suscité des réactions sur les réseaux sociaux. La page twitter du lobby immigrationniste fait déjà l’objet de commentaires tels que : « Nan mais vous vous prenez pour qui? Dans ce pays vous tenez personne par les c….. » ou encore  «

 1) En quoi leur titre est raciste ? Ils condamnent ceux qui ne sont pas patriote ! C’est mal ? Vous n’êtes pas patriote ?

2) N’est-ce pas vous qui êtes racistes donc en faisant l’amalgame non patriote = forcément arabes ? »

Prochain rendez-vous de M6 avec le groupe familial : le 27 novembre prochain pour l’annonce des 30 candidats retenus pour la demi-finale, par le jury, qui, heureusement pour la petite famille d’artistes, n’est pas composé de membres de SOS Racisme.

 

Source: http://www.ndf.fr/nos-breves/23-11-2012/sos-racisme-surveille-m6

UMP ! INTERDIT DE RIRE !

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Alain Juppé, “instance morale” de la droite française

22 novembre 2012, 22:51 Auteur : Jean  
 

Interdit de rire.

Après le mélodrame qui aboutira peut-être à la scission de l’UMP, ce que noussubodorions déjà en apprenant les premiers résultats du vote, voici que les deux ex-candidats trouvent un accord sur une commission que dirigera Alain Juppé et qui rendra son verdict dans une semaine.

A cette occasion, Juppé est qualifié sans rire d’ “instance morale” à l’UMP. Petit retour sur le pedigree de l’instance morale de la droite française.


Pierre Carles, qui est un de nos chouchous bien que d’extrême-gauche, avait réalisé un documentaire corrosif sur Juppé dans les années 90, voici sa présentation : “Cette enquête révèle comment la presse – en l’occurrence le journal Sud-Ouest, qui est en situation de monopole à Bordeaux, et France 3 Aquitaine – à fabriqué un élu.

En surmédiatisant la candidature d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux bien avant les élections municipales, alors qu’il ne s’était pas officiellement déclaré candidat, la presse faisait sa campagne.”

On retrouve le même Pierre Carles, quelques années plus tôt, alors qu’il couvrait une crise du RPR (ancêtre de l’UMP), avec Séguin, Pasqua et Juppé notamment, c’est là aussi intéressant sur les relations entre les politiques et les médias (une des spécialités de Carles)
:Encore une relation douteuse avec un journaliste, Eric Zemmour en l’occurrence, que nous avions relevée :

Pour revenir précisément sur Juppé (surnommé Amstrad pour son côté énarque technocratique ultra-coincé), que savons-nous de lui ?

L’observatoire de l’islamisation rappelle ceci : “Le gardien du temple de l’UMP déroule le tapis vert à un imâm marocain dont le modèle est Hassan Al-Banna, le fondateur des Frères Musulmans…

La conquête du pouvoir politique est évoquée explicitement par l’islamiste qui va diriger la Grande Mosquée de Bordeaux. Elle s’édifiera sur un terrain municipal mis a disposition gracieusement par bail emphythéotique.” Lire la suite

Les plus vieux d’entre nous se rappellent aussi sa condamnation en 2004, alors qu’il était à la tête de l’UMP : “Le 30 janvier 2004, il est condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et à une peine de dix ans d’inéligibilité.

Le tribunal juge notamment que : « Alain Juppé dans la quête de moyens humains lui apparaissant nécessaires pour l’action du RPR a délibérément fait le choix d’une certaine efficacité en recourant à des arrangements illégaux […]

Que la nature des faits commis est insupportable au corps social comme contraire à la volonté générale exprimée par la loi ; qu’agissant ainsi, Alain Juppé a, alors qu’il était investi d’un mandat électif public, trompé la confiance du peuple souverain. […] » L’appel interjeté par Alain Juppé, immédiatement après sa condamnation, a pour effet de suspendre l’application de cette décision jusqu’à l’arrêt de la cour d’appel.

Le 1er décembre 2004, celle-ci réduit la condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.”

Une broutille que tout cela, vous en conviendrez.

Les 10 ans d’inéligibilité de la 1ère instance ayant été commués en 1 an seulement en appel, un exil de quelques mois au Québec aura vite fait oublier ces petites turpitudes, aléas bien naturels d’un haut responsable politique français, et il reviendra frais comme un gardon, nommé ministre des affaires étrangères de Sarkozy dès 2010, après un très bref passage en tant que Ministre de l’environnement (et n°2 du gouvernement) en 2007.

Donc, pour résumer, le complice des islamistes et le condamné pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt », est l’instance morale de l’UMP. Vraiment, la droite française (comme elle persiste à s’appeler, alors qu’elle est de gauche) est admirable.

 

Source et publication:   http://www.enquete-debat.fr/archives/alain-juppe-instance-morale-de-la-droite-francaise-93802

 

 

 


LA DÉMOCRATIE EN DANGER......

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22/11/2012

Le Vatican collabore à un "Centre interreligieux" dirigé par le ministre wahhabite de l'Education saoudienne

L'Eglise va "promouvoir le respect de la différence et de la diversité" notamment Wahhabite.

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(Photo : le cardinal Tauran chargé du dialogue avec l'islam au Vatican, et le secrétaire général du centre interreligieux Bin Muammar, qui en tant que vice-ministre de l'Education du royaume saoudien édite 93 livres scolaires hostiles aux non-musulmans, voir livre plus bas.)

Communiqué du Kaiicid 22/11/2012 - Prochaine inauguration du centre de dialogue interreligieux KAICIID porteur d’ambitieux projets :

"Le Secrétaire général des Nations Unies, Mr. Ban Ki-moon, les Ministres des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie Saoudite, de la République d’Autriche et du Royaume d’Espagne, son Eminence le Cardinal Jean-Louis Tauran, Président du Conseil Pontifical pour leDialogue Interreligieux  au Vatican, le Docteur Abdullah Al Turki, Président de la Ligue Islamique(...)

Ekmeleddin Ihsanoglu, Secrétaire-Général de l’ Organisation de Coopération Islamique, seront réunis le 26 novembre parmi d’éminents leaders religieux, politiques ou de la société civile du monde entier  pour la cérémonie d’ouverture du centre King Abdullah Bin Abdulaziz International Centre for Interreligious and Intercultural Dialogue (KAICIID) à Vienne, en Autriche."

"Le secretariat du KAICIID est dirigé par un Secrétaire Général, H.E. Faisal Bin Abdulrahman Bin Muaammar" (bio) indique le communiqué. L'homme est le ministre de l'Education de l'Arabie Saoudite. Système éducatif où le meurtre est enseigné dans les livres scolaires, voir le livre consacré à la question de Antoine Sfeir.

Lire aussi : Un rapport confirme que l'Arabie Saoudite continue d'exporter ses livres scolaires hostiles aux non-musulmans

 

"Mission

Agir comme un centre névralgique facilitant la compréhension  et le dialogue interreligieux et interculturel pour améliorer la coopération, le respect de la diversité, la justice et la paix.

Rôle

Le centre constituera une ressource stratégique pour les adeptes des différentes religions et cultures. Il permettra aux personnes déjà actives dans le domaine du dialogue de promouvoir l’harmonie et la coopération.

Objectifs stratégiques

  • Créer, développer et diffuser la connaissance en matière de dialogue interreligieux et interculturel;
  • Cultiver et promouvoir le respect des différences à travers le dialogue;
  • Créer des passerelles, gérer les conflits et promouvoir la collaboration entre divers groupes, cultures et religions."
Commentaire de l'Observatoire: le seul objectif de ce centre qui porte le nom du roi d'une dictature islamiste est de faire respecter et de diffuser à traver le monde l'islam wahhabitte. L'Eglise catholique est tombé dans le panneau du "dialogue" et de la "coopération", vaste fumisterie au moment où le Grand mufti d'Arabie saoudite a appelé à razer toutes les églises de la Péninsule arabique. 

Interrogé sur “la peur“ grandissante en Europe à l’égard de l’islam au vu des réactions dans le débat sur le voile, la burqa ou les minarets, le cardinal français Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a affirmé le 27 juillet 2010 à I-média que “le problème dans ces affaires“ était “l’ignorance des gens qui sont contre l’islam" , car “Il s’agit de gens qui n’ont jamais rencontré de musulmans et qui se basent sur ce qu’il voient ou entendent à la télévision“.

Le cardinal Tauran devrait lire cette enquête sur le programme scolaire élaboré par le ministre de l'Education saoudienne qui préside le secrétariat général du centre "interreligieux":

 512N58T590L._SL500_AA300_.jpgCe livre reprend un rapport accablant du CMIP, établi à partir d'une analyse approfondie de 93 manuels scolaires saoudiens. On y apprend que ces ouvrages portent une vision du monde et un système de valeurs incompatibles avec la démocratie.
La modernité, telle qu'elle est enseignée aux Saoudiens de 6 à 16 ans, est présentée comme la source principale de l'amoralité, du mal et de la corruption. 

Quant aux chrétiens et aux juifs, ce sont des ennemis à combattre pour la plus grande gloire de l'Islam.

L'Arabie Saoudite ne limite pas cet enseignement à son propre territoire, car elle finance, à travers le monde, des écoles qui diffusent le même discours de haine et de rejet de l'autre.
On ne peut donc s'étonner de l'émergence récente, à l'échelle mondiale, de groupements politico-religieux dont les activités menacent frontalement la paix, le pluralisme et l'apprentissage de la tolérance.

Extrait de la Préface de Antoine Sfeir " A l'heure où la menace terroriste islamiste contre l'Europe se précise, il est urgent de prendre toute la mesure de l'un de ses ressorts essentiels, à savoir la propagation de l'idéologie islamique wahhabite.
Cette idéologie, qui a pour cible principale la civilisation occidentale, c'est-à-dire la démocratie et la modernité, n'est connue que de quelques spécialistes. Elle semble ignorée par les médias et le grand public autant que par la classe politique. " 

    http://www.islamisation.fr/archive/2012/11/22/le-vatican-adhere-a-un-centre-interreligieux-dirige-par-le-m.html

DES JEUNES BOULANGERS FRANCAIS À SARAJEVO ......

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La boulangerie française "Maison Coco" ouvre ses portes à Sarajevo

samedi 24 novembre 2012 par BH Info - 0

 

La tradition du pain est encrée en Bosnie-Herzégovine, ce qui explique un aussi grand nombre de boulangeries dans sa capitale.

A partir de dimanche 25 novembre, Sarajevo pourra également découvrir toute la richesse de la tradition du pain français.

Au menu, la célèbre baguette Tradition, le pain campagnard, les croissants et les pains au chocolats, les grands classiques de la pâtisserie française et bien plus encore.

C’est dans le quartier du centre ville, à l’emplacement exact de la première boulangerie dite française qui a fermé ses portes il y a plus de 20 ans, que Floriane et Julien, un jeune couple français, ont décidé de se lancer dans l’aventure et d’ouvrir la boulangerie française "Maison Coco". C’est une coïncidence heureuse car ils y ont trouvé toutes les machines nécessaires pour la fabrication du pain à la française, ce qui a considérablement facilité leur installation.

Les préparatifs ont duré six mois au total. La boulangerie a été entièrement refaite dans un style français, prête à accueillir ses premiers clients dès dimanche, à partir de 8H.

La particularité de la Maison Coco est dans leur façon artisanale de faire du pain.

Tout se fait en effet de manière artisanale, de A à Z. Julien Cassin, un ingénieur reconverti en boulanger, prépare tout, jusqu’à sa propre levure naturelle, tandis que Floriane Valladon, une Parisienne, attachée de presse reconvertie en pâtissière, prépare elle-même ses gâteau, ses crèmes, ses confitures...

Elle va même jusqu’à éplucher des amandes et des pistaches pour faires ses crèmes, puisqu’à Sarajevo, elle ne trouve pas ces ingrédients déjà épluchés...

"En arrivant, nous avons été agréablement surpris de la qualité de la farine et des fruits en Bosnie-Herzégovine, mais nous n’avons pas trouvé la variété du beurre que nous utilisons pour la pâtisserie française, c’est pourquoi on l’importe", explique Floriane. 

"Pour nous, le pain est un produit vivant, indispensable pour l’équilibre quotidienne de notre alimentation.

Toutefois, nous voulons casser l’image sur les produits français, associés souvent aux produits de luxe.

Pour nous, la gastronomie française, c’est avant tout dans la simplicité et dans l’amour", ajoute-t-elle.

La nouvelle boulangerie française proposera la baguette, les différentes sortes de pains et de pains spéciaux, les délicieuses fougasses et tous les grands classiques de la viennoiserie : chaussons aux pommes, pains aux chocolats, croissants, pains aux raisins, tartes aux poires etc.

Quant à la pâtisserie, on y trouvera des éclaires, macarons, Paris-Brest, tartes aux citrons, tartes au chocolat etc.

"On ne trouvera jamais ici une tarte aux framboises si ce n’est pas la saison des framboises... Pour nous c’est une question de conviction de jouer avec des saisons", souligne Floriane.

Après de longs voyages pour découvrir le monde et un long parcours professionnel chez les meilleurs boulangers et les meilleurs maîtres en pâtisserie française, ce jeune couple sympathique et enthousiaste a délibérément choisi Sarajevo où, disent-ils, ils ne voient que des atouts, au delà des difficultés politiques et économiques. "C’est une ville qui a une taille parfaite, elle n’est ni trop grande, ni trop petite. Une ville dynamique, accueillante qui chaque jour nous donne encore plus envie de rester et d’y faire notre vie".

par Zehra Sikias


+D’INFOS

  • Boulangerie française Maison Coco
    Kranjceviceva 4A, Karingtonka
    Sarajevo
    Tél. +387 33 668 588
    du lundi au vendredi : 6h30 - 20.00
    weekend : 8h00 - 14h00

 

Source :  http://www.bhinfo.fr/spip.php?page=article&id_article=3139

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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VENDREDI 23 NOVEMBRE 2012

La fin du cycle Gutenberg

 
Qu'est-ce qu'un éditeur?
C'est quelqu'un qui promeut des valeurs et qui ne donne la parole à ses auteurs que s'ils suivent son chemin?
Aujourd'hui, l'éditeur se meut dans des valeurs consuméristes, libérales et bourgeoisies, qui caractérisent sa prédominance dans le système éditorial Gutenberg de fin de parcours, en particulier sur l'auteur.
 
Quel paradoxe que ce renversement du lieu de pouvoir, où l'éditeur décide que l'auteur est son prolongement, presque son ventriloque.
On se trouve dans un système renversé, où le porte-parole choisit les critères d'édition de l'auteur, ce qui rend l'éditeur garant du système, au sens d'auctor, tandis que l'auteur est un porte-plume, souvent plus ou moins histrion.
Du coup, les auteurs perdent leur originalité et leur qualité. On les retrouve dans des poses mièvres et convenues, dans des sous-genres dans lesquels le bon est perverti et se retrouve à ressasser des médiocrités promises à l'oubli.
L'écrivain n'est plus une voix, mais suit la voie - fournie par l'éditeur. Il passe du statut d'avant-gardiste, indiquant le changement, à celui de porte-voix du désir. L'autofiction est le sous-genre idéal (de l'autobiographie) pour exprimer la voix du désir, qui n'est jamais que la recherche de la domination.
Dans ce jeu de dupes, il est normal que l'éditeur domine l'auteur, puisque le social l'emporte sur l'expression artistique, et que ce qui compte désormais est de dominer. On domine mieux par le pouvoir de l'édition que par la création de l'écriture.
 
Comme le schéma de la domination sociale travestie en principe de réalité évoque le faux, l'éditeur est passé du statut de porte-parole, jusqu'à la Révolution industrielle, à celui de censeur. Il n'est pas un indicateur (payé par des oligarques pour verrouiller le système de la création littéraire), mais il a épousé à son corps défendant les thèses et la mentalité du libéralisme au nom de l'appétit de domination, l'arrivisme mondain, dont Rastignac serait un personnage de synthèse, si jamais il se décidait à oeuvrer dans le monde de l'édition ampoulé.
Souvent l'éditeur finit lui-même par sombrer dans la maladie du siècle - et par commettre un livre. Il se trouve promu plus que de raison, par le copinage que lui confère son prestige, son entregent, nullement la qualité du livre en question, souvent des plus médiocres.
D'un point de vue social, en termes de puissances relationnelles, il est normal qu'un homme riche, influent, médiatique, se trouve défendu par ses collègues, collaborateurs, associés et affidés, les maillons de son réseau. Le réseau exprime la forme par laquelle se constitue l'influence.
Les complots résultent de réseaux qui, se sentant menacés, recourent à des coups tordus aussi sanglants que dérisoires pour conjurer leur décrépitude.
L'éditeur à succès montre son niveau littéraire en commettant quelques fredaines, dont il se vante comme d'une cerise sur le gâteau (au sens où Aristote dit du plaisir qu'il couronne l'activité). Le gâteau : l'édition; la cerise : l'écriture. Bien sûr, il arrive que dans ce marigot, quelques éditeurs soient des écrivains, rarement majeurs, mais pourvu d'originalité mineure (enrichissants, intelligents).

En tant qu'exceptions de la règle, ils révèlent en creux ce que signale la médiocrité de l'édition qui se pique d'écriture : qu'un éditeur qui accomplit son travail d'édition n'y excelle pas, le fait n'est pas grave.
Mais que cet éditeur prétende décider de ce qu'est l'écriture aboutit à la perversion de sa fonction initiale, passant de relais à inspirateur, contrôleur, voire censeur. La baisse du niveau qualitatif de l'écriture est la conséquence de la perversion de l'édition Gutenberg. Cette dernière est passée de la promotion des écrivains, en accroissant leur audience, à la progressive sociabilisation de leur mission, au départ plus élevée, d'ordre religieux.
L'abaissement considérable depuis un demi-siècle relève de l'effondrement éditorial, au niveau de la promotion de la voix du désir, qui consiste non plus à changer le réel par l'écriture, mais à changer le désir, de telle sorte que les plus puissants des désirs deviennent plus influents, dominateurs, au détriment de la majorité silencieuse.
L'autofiction participe de ce changement, qui aboutit à l'effondrement qualitatif, tandis que croît le quantitatif (les ventes). L'édition ne se porte bien qu'en vendant des livres pratiques, culinaires, sentimentaux, tandis que la littérature, bonne ou médiocre, ne fait que décroître.
Encore convient-il de préciser que la littérature en question a tellement décru selon l'évolution des critères Gutenberg qu'il est difficile de nos jours de trouver des écrivains de valeur, alors que la mondialisation de la littérature aurait dû produire l'amélioration du niveau et l'accroissement de la production, en même temps que l'augmentation des lecteurs. Las, si tout l'inverse s'est produit, c'est parce que nous assistons au renversement de Gutenberg, qui de promotion de la création et du changement est devenu instrument de domination et de stabilisation.
Dans cette passation de pouvoir, où l'auteur perd sa place de garant et cède son influence à l'éditeur, la mission au sens religieux de l'écriture s'est perdue. Gutenberg avait permis initialement de rendre plus influente l'écriture. La sociabilisation de l'écrivain, la prééminence de l'éditeur, rendent cet univers mineur.
Aujourd'hui, du fait du pouvoir médiatique exorbitant de Gutenberg, on susurre que la révolution Internet a déjà renversé Gutenberg. Mais c'est pour regretter cet âge d'or mal compris et pour promouvoir une révolution Internet tenue par les oligarques de Gutenberg - les éditeurs influents qui ont accès aux médias et qui forment, avec les journalistes célèbres, la République des lettres médiatique, dont le niveau artificiel contredit l'autopromotion des figures tutélaires qu'il promeut et qui se distinguent par leur conformisme en lieu et place de la créativité.
Internet va détruire l'ordre sclérosé de Gutenberg. Il va dynamiter toutes ces figures de l'imposture, de l'éditeur qui se prend pour le maître de l'écrivain, à l'écrivain stéréotypé dans l'autofiction, en passant par les genres oscillant entre narcissisme et immobilisme.
La mésinterprétation de la révolution Internet, preuve savoureuse que cette promotion se trouve orientée par les sbires de la sphère d'influence Gutenberg, tient à ce qu'on imagine que la structure révolutionnaire d'Internet prolongerait la structure Gutenberg. Les structures du réel, dont la caractéristique est la croissance, ne sont pas produites en symétrie, mais en disjonction.
C'est le signe que le réel se développe : s'il était stable, ce serait la symétrie qui serait la règle d'or, tandis que l'accroissement crée les conditions de l'asymétrie.
Mais la révolution signifie l'accroissement, la disjonction et l'asymétrie. Internet ne peut être une révolution qu'au sens où il change la structure de l'édition telle qu'elle est formée dans le milieu actuel de Gutenberg - partant, il implique la disparition des milieux influents de l'actuelle édition, cette République des lettres contemporaine, dont la caractéristique tient à la médiatisation.
Quelles seront les spécificités révolutionnaires d'Internet?
L'édition actuelle favorise le pouvoir oligarchique, la concentration aux mains de quelques décideurs omnipotents, par le fait que l'édition est considérée comme une véritable porte étroite, un cénacle élitiste et ultraréduit, où seules les meilleures voix sont autorisées à publier.
C'était le projet de Nietzsche que de créer une élite des meilleurs étudiants, apprenant dans l'excellence, dans le moment où ils sont entretenus par la masse laborieuse et inférieure. Le paradoxe est que l'excellence tant recherchée aboutit à la médiocrité inverse.
Comment l'expliquer? Parce que cette excellence est figée, immobilisée, bientôt sclérosée. On considère que la qualité s'établit par la sélection drastique. L'excellence découlerait de la sélectivité. On confond l'illusion de l'excellence par la sélection avec le progrès par extension quantitative.
 
La sélection existe toujours, mais elle s'applique de manière élargie et approfondie. Le progrès implique que l'augmentation des moyens s'applique à un nombre plus important de bénéficiaires. De même Gutenberg a permis que l'édition concerne plus de personnes.
Il en va de même pour l'innovation Internet, à condition que l'on se focalise sur l'apport qualitatif qu'elle engendre, non sur les résultats quantitatifs à court terme, souvent désastreux (comme l'importance de la pornographie sur ses bornes); tandis que l'immobilisme accorde la précellence au quantitatif, au point de considérer que la fin quantitative permet une amélioration qualitative, accessoire, un couronnement au sens aristotélicien.
 
Le progrès inverse l'ordre théorique et se considère d'essence qualitative. Il permet, de façon secondaire, des conséquences quantitatives.
Le fait que le progrès qualitatif engendre cependant des conséquences quantitatives négatives indique que le réel est en mouvement, et que la politique d'immobilisme en matière de culture est désastreuse : elle n'engendre pas l'excellence du savoir à laquelle elle prétend, du moins sur le terme. Sur le court terme, on peut sélectionner les plus savants, mais la sélection s'opérera selon le critère du savoir à un moment donné.
L'évolution prévisible de ce savoir implique qu'il devienne de plus en plus obsolète, ainsi qu'en témoigne le savoir aristotélicien, conçu pour être la somme du savoir indépassable, dans une configuration où le réel fini permet l'espoir d'un savoir définitif.
L'excellence visée accouche, dans une maïeutique pervertie, d'une sélection de plus en plus aberrante, où les plus savants défendent un savoir caduc, comme le rappellent les scoliastes et les sorbonnards - et comme de nos jours l'indiquent les nouveaux experts de tous poils.
Gutenberg en fin de course (en germes depuis son avènement?) vise à l'éviction de l'universalisme et à son remplacement par des savoirs morcelés.
Toute innovation de communication transcrit l'accroissement de la possibilité d'action. On assiste à la transcription de l'innovation théorique dans le domaine pratique, ce qui indique la corrélation entre le possible et l'effectif. La sclérose d'un système se manifeste par le fait qu'il cesse de chercher à s'étendre.

L'autofiction  exprime le désir figé, qui se raconte, alors que ce qu'il a à raconter n'est pas vraiment intéressant, mineur (comme chez Doubrovsky), voire impudique, monstrueux et mensonger, comme chez Nabe ou Matzneff. Gutenberg pouvait accroître la communication de la culture vers la mondialisation : le fait pour l'homme de maîtriser physiquement la Terre passait par sa maîtrise monothéiste.
 
Le rôle historique de l'innovation Gutenberg fut de permettre la transcription du monothéisme dans le physique. Mais ce rôle est périmé à partir du moment où la mondialisation entachée.
Gutenberg bascule du côté du mondialisme, qui a figé le processus d'extension de l'homme aux bornes de la Terre. Si Gutenberg a personnifié le progrès de l'édition, désormais, il exprime l'oligarchie dans son domaine. Internet amène les possibilités de transcrire le progrès de la culture dans l'espace. Sa spécificité est de faciliter les modalités d'édition; alors que Gutenberg dans ses dernières phases, celles auxquelles nous assistons, tend à figer l'élitisme pour le rendre injuste et médiocre, à l'image de l'autofiction.

Au contraire, Internet devient un danger et un concurrent promis pour la succession, parce qu'il hausse le niveau d'expression. Il permet le saut qualitatif, de l'édition sélective vers le savoir gratuit.
L'édition devient accessible à tous, un jeu d'enfant : on peut éditer de manière fort peu coûteuse, suivant des moyens qui ne sont plus circonscrits à des maisons d'édition peu faciles d'accès, soumises aux aléas des modes (comme l'autofiction) ou des réseaux (l'oligarchie intellectuelle chère à Nietzsche). La gratuité d'Internet chamboule les moyens éditoriaux pour rendre accessible l'écriture au public, en accroissant l'audience.

La médiation de l'éditeur vole en éclat. Derrière la suppression d'un petit milieu oligarchique, on n'assiste pas à son remplacement par un autre milieu, mais au changement des règles de l'édition : l'édition ne passe plus par le truchement de l'éditeur, qui à force d'éditer prend la place de celui qui élit, qui choisit et qui contrôle.
L'édition devient un moyen technique, qui n'est plus tenu par des personnes. L'homme se trouve impliqué dans l'expression ou la lecture.

La médiation instaure l'édition en temps réel, en direct, de manière simple. La gratuité d'Internet signifie que l'édition passe du statut de contrôleur ultrasélectif et contestable à la possibilité pour n'importe qui, hors de son influence sociale (médiatique), de faire entendre sa voix et ses idées. Du coup, cet accroissement de la possibilité d'expression permet le progrès de la qualité des idées. Au lieu de formater les idées par un système d'édition de plus en plus censeur et formaté, il tend à les libérer et les épanouir.
On passe d'un système pré-Gutenberg, où les idées étaient l'apanage d'une caste d'élus à l'intérieur d'un groupe, à un système Gutenberg où les individus portent les idées, jusqu'à déformer l'individualisation en individualisme.
 
Internet n'annonce pas seulement la révolution de l'édition, dont les difficultés se trouvent estompées du fait de la disparition du contrôle éditorial par la caste des éditeurs, mais le passage mélioratif de l'idée contenue dans l'individu à la conception selon laquelle l'individu porte l'idée de manière secondaire.

L'idée relève non plus d'un individu, mais de l'ensemble des hommes. Celui qui la propose compte, mais au même titre que tous ceux susceptibles de la porter et de la proposer. Du coup, on se souvient de l'idée plus que de son éditeur, et l'on se débarrasse avec bonheur des exagérations romantiques liées au statut d'exception supérieure de l'artiste, statut qui dégénère encore avec la dégénérescence individualiste, au point que l'idée finit par devenir secondaire par rapport à la personne sacrée de l'artiste.
Nous sommes passés de l'influence réduite de l'idée sous régime polythéiste, alors qu'elle se trouvait soumise à la caste à l'intérieur du groupe, lui-même assujetti à la pluralité de ses voisins; à l'incarnation sous régime monothéiste de l'idée dans l'individu, au point de dégénérer en individualisme; puis à la libération des carcans de l'individualisme par la généralisation de l'idée exprimée par l'individualité à l'ensemble.
 
Internet universalise l'idée dans le moment où il l'applique au territoire agrandi de l'espace. Internet détruit le verrou de l'éditeur-censeur, parce qu'il promeut en lieu et place l'agrandissement du territoire que l'éditeur tenait.
Au départ, il promouvait l'individualité de l'artiste et mettait en valeur ses idées; peu à peu, il prend logiquement le pas sur le créateur.
 
Le créateur promeut des idées qui favorisent le changement, tandis que l'éditeur est enclin peu à peu à passer du statut de courageux promoteur de la liberté combattue, voire interdite, à celui de censeur qui interdit le changement pour mieux prendre le pouvoir, détruire la créativité et devenir le maître/inspirateur de l'écrivain.
 
Il fallait la suppression de la barrière de l'éditeur individualiste et l'agrandissement de la frontière circonscrite à la Terre vers l'espace.


 

SONDAGE IFOP: VIOLENCE SEXISTE EN AUGMENTATION.......

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Violence sexiste.

47 % des Françaises ont été insultées dans la rue


La confrontation fréquente à des violences sexistes ainsi que le sentiment croissant d’insécurité dans certains lieux publics semblent avoir contraint les femmes en France à adapter leurs comportements en conséquence.

C’est ce qu’indique une étude réalisée par l’Ifop pour dimanche Ouest-France.

Selon cette étude à découvrir dans le dimanche Ouest-France du 25 novembre, la majorité des femmes a déjà été confrontée à des violences sexistes dans la rue.

80% d’entre elles ont déjà été abordées dans la rue, dont 59% l’ont été plusieurs fois, tandis que 70% ont déjà été sifflées, dont 53% plusieurs fois.

Les violences plus graves ne sont pas aussi fréquentes mais demeurent une réalité pour un nombre important de femmes.

La moitié d’entre elles déclare en effet avoir déjà été insultée (47%) et une sur cinq a même été victime d’une agression physique dans la rue (19%).

Si l’ensemble des femmes est concerné globalement, ces violences se focalisent en particulier sur les femmes les plus jeunes, issues des catégories socioprofessionnelles les plus aisées et résidant dans des communes urbaines, provinciales ou parisiennes, où la densité de population est plus élevée.

Les parkings et les rues désertes de plus en plus anxiogènesLa confrontation à des violences sexistes dans la rue s’inscrit dans un contexte où le sentiment d’insécurité des femmes dans certains lieux publics progresse, notamment dans les lieux où elles se retrouvent seules et donc plus vulnérables.

Interrogées sur leur état d’esprit lorsqu’elles se situent dans un parking seule le soir (83%, +17 par rapport à 2002) ou dans une rue déserte (76%, +14), environ huit femmes sur dix déclarent éprouver souvent ou parfois des craintes pour sa sécurité.

S’agissant des lieux où la probabilité de se retrouver seule est plus faible, le sentiment d’insécurité dans le bus, le métro ou le train est moins prégnant, mais demeure majoritaire et en hausse (59%, +12).

Sentiment d’insécurité en hausseAu-delà des aspects intemporels de ces inquiétudes, les indicateurs d’évolution sont pour le moins significatifs.

Les résultats révèlent des hausses allant de 12 à 17 points par rapport à une précédente enquête datée de 2002 et suggèrent un sentiment général d’insécurité croissant.

Traduisant ce climat d’insécurité partagé par nombre d’entre elles, certaines femmes adoptent alors des comportements spécifiques dans certaines situations.

Plus d’une personne interrogée sur deux change souvent ou parfois de trottoir lorsqu’elle voit une silhouette se profiler à l’horizon (56%).

De même, 80% adaptent leur comportement lorsqu’elles doivent sortir le soir.

Elles sécurisent ainsi premièrement leur trajet de retour, en choisissant de rentrer en voiture (55%), en s’arrangeant pour rentrer en groupe (29%) ou se rapprochant d’autres femmes dans les transports en commun (6%), et deuxièmement recherchent la discrétion en mettant un pantalon ou un manteau long (14%) ou en fuyant les regards (12%).

Ouest France

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Violence-sexiste.-47-des-Francaises-ont-ete-insultees-dans-la-rue_6346-2136718-fils-tous_filDMA.Htm

(Merci @ « Laetitia Alpha »)

 

http://policeetrealites.wordpress.com/2012/11/24/violence-sexiste-47-des-francaises-ont-ete-insultees-dans-la-rue/

LA GRANDE CONFRONTATION ( DENIS CHEYROUZE )

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La grande confrontation

boulevard-voltaire-fourmis

 

 

 
Denis
Cheyrouze

 

Consultant.

Ça faisait près de 2 000 révolutions solaires que les petites fourmis blanches avaient commencé à se civiliser.

Sortant d’un antique polythéisme, elles avaient lentement construit une société plus juste, fondée sur la bonne nouvelle qu’elles étaient toutes filles de La Grande Fourmi De Toujours.

Cette perspective transcendantale changeait tout, jusqu’à l’acte de reproduction lui-même qui devenait une participation à l’acte initial de création : chez les fourmis blanches, on ne se reproduisait plus, on procréait.

Et puis, désormais tous frères et sœurs, cela impliquait qu’on se dût assistance.

Les Reines organisèrent donc la vie commune des petites fourmis blanches dans un sens qui plût à La Grande Fourmi De Toujours.

La récompense fut grande : la société des petits fourmis blanches s’enrichissait intellectuellement, leur art devenait de plus en plus abouti, fin, envié.

Leur système social aussi, qui aidait les plus petites à devenir fortes et les plus anciennes à partager leur savoir, devint un exemple pour le monde.

Ailleurs, d’autres fourmis, vertes celles-ci, restaient dominées par l’ignorance. Elles vénéraient un chef violent, guerrier, jaloux, dont le souvenir les hantait. Des lunes et des lunes après sa mort, elles lui restaient soumises. Elles ne savaient pas qu’elles étaient aussi filles de La Grande Fourmi de Toujours.

Jalouses des richesses spirituelles et matérielles des petites fourmis blanches sans en comprendre l’origine, les fourmis vertes essayèrent de nombreuses fois de s’accaparer la fourmilière blanche.

Mais c’était peine perdue : la fidélité des petites fourmis blanches à La Grande Fourmi De Toujours les protégeait.

Un jour, quelques fourmis blanches partirent au-delà du Grand Lac, à l’ouest. Elles construisirent une nouvelle fourmilière, sous un nouvel oriflamme. Ce fut le début des fourmis bleues.

Les fourmis bleues étaient très travailleuses. Elles construisirent un nouveau type de société, en apparence fidèle à La Grande Fourmi De Toujours, mais dans les faits assez injuste, peu sociale.

Une fois la fourmilière bien établie, les fourmis bleues décidèrent de s’étendre le plus possible, jusqu’à revenir vers leurs terres d’origine. Il y avait là matière à commerce. On pourrait enrichir encore la fourmilière bleue.

Cet enrichissement passait par une étape obligatoire : forcer les petites fourmis blanches à travailler pour presque rien.

Pour ce faire, les fourmis bleues, se souvenant des essais infructueux des fourmis vertes d’envahir les terres blanches, payèrent quelques gardiennes blanches afin qu’elles ouvrent grandes les portes des fourmilières blanches aux petites vertes. Les vertes entrèrent par centaines, puis milliers, puis millions.

Prenant exemple sur leur fondateur, elles dévastèrent tout sur leur passage, détruisant la beauté, agressant la justice, violant la pureté.

Bientôt, les fourmis blanches furent prisonnières de leurs consœurs gardiennes… qui ne gardaient plus rien.

Plus les portes étaient ouvertes, plus la vie des petites fourmis blanches se dégradait et plus les gardiennes s’enrichissaient, grâce à leur partenariat avec les fourmis bleues.

Mais beaucoup trop de petites vertes étaient entrées. Il n’y avait même plus assez de travail pour tout le monde. Les petites vertes étaient coincées là, inutiles, et le savaient. Elles étaient furieuses. Par amour pour leur fourmilière, les petites blanches aussi restaient là, en larmes devant l’état de plus en plus dégradé de la terre dans laquelle leurs ancêtres étaient enterrés.

Influencée par quelques fourmis rouges instrumentalisées par les fourmis bleues, la société devenait de plus en plus violente, matérialiste.

Tout le monde oubliait peu à peu La Grande Fourmi de Toujours. On ne croyait même plus en Son existence.

Un sentiment montait, fort, de plus en plus envahissant : la haine.

Il fallait en finir.

De part et d’autre de la fourmilière, chacun n’attendait plus qu’une seule chose : la Grande Confrontation.

Denis Cheyrouze, le 25 novembre 2012     http://www.bvoltaire.fr/denischeyrouze/la-grande-confrontation,4408

ÉTABLISSEMENT PÉNITENTIAIRE , VÉRITABLE PASSOIRE ???

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Lavaur. La multiplication des évasions de mineurs devient inquiétante

« Par ici la sortie» : cette signalisation ne sera jamais posée dans la cour intérieure de l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Lavaur, mais les jeunes détenus qui ont envie de se dégourdir les jambes à l’extérieur de la prison connaissent parfaitement le chemin pour prendre la poudre d’escampette.

Les deux nouveaux évadés  n’ont fait que suivre le chemin emprunté pour la première fois à Lavaur le lundi de Pâques 2010 par un jeune et par deux autres prisonniers le lundi 15 octobre dernier.

De toute évidence il existe une malfaçon dans la conception de ces prisons.

Grâce aux fenêtres et à la gouttière, il y a une possibilité d’accéder d’abord sur le toit, puis sur le mur d’enceinte.

Pour des adolescents en bonne condition physique l’exercice est aisé : on grimpe puis on saute de 7 m avant de déguerpir. Et ça marche !

Déjà en 2008

Ce moyen d’évasion a été inauguré en février 2008 par 2 mineurs détenus à l’EPM de Marseille. La technique a fait école chez les prisonniers.

Après la première évasion de ce type à Lavaur, les personnels avaient fait remonter le problème : rien n’a été fait. Des travaux de sécurisation sont prévus et programmés.

Hier dans la ville, les réactions des habitants oscillaient entre scandale et dérision.«C’est une passoire.

Avec tout cet argent investi», marmonnait une vieille dame. «Je ne leur confierai pas mes enfants. Ils sont mieux encadrés au centre de loisirs», plaisantait, goguenard, André, à la terrasse du café des Américains.

Ceux qui ne sont pas d’humeur à rire ce sont les syndicats de surveillants : «Nous attendons toujours que l’on prenne en compte au niveau national nos interrogations sur la sécurité dans les EPM mais également de leur utilité», indique Christian Colla, pour FO Pénitentiaire.

«Depuis l’ouverture en juin 2007, les personnels demandent la pose de barbelés sur les murs de cette enceinte, mais même avec 2 évadés en octobre, toujours rien, malgré les promesses», s’indigne dans un communiqué Laurens Maffre, secrétaire régional UFAP/UNSa Justice.

Lavaur. Toujours en cavale

Les deux évadés sont âgés de 16 et 17 ans. Ils ont intégré l’EPM depuis peu de temps, avec le statut de prévenus. Ils étaient dans l’unité des arrivants.

Une unité qui porte désormais bien mal son nom. Comme pour les précédentes évasions, ils ont profité du moment de détente vers 19 heures pour fausser compagnie à tout le monde en empruntant les fenêtres et la gouttière situées dans un des angles de la cour intérieure.

Ils devaient être jugés prochainement : l’un dans le cadre d’une procédure criminelle pour vol aggravé et l’autre dans le cadre d’une procédure correctionnelle.

Selon nos informations, un des deux adolescents habite Toulouse et l’autre est domicilié dans le département de l’Aude. Hier, à l’intérieur de la prison le climat était tendu : le personnel accuse le coup.

Du côté des mineurs détenus, pas de chambrage comme lors de la dernière double évasion.

Très certainement que ces actes ne sont plus un événement. «Il ne faudrait pas trouver des lampistes pour porter le chapeau», expliquait, sous couvert de l’anonymat, un surveillant, hier après-midi.

Du côté de l’enquête, malgré l’important dispositif de gendarmerie mis en place dès l’annonce des évasions, les deux jeunes sont toujours en cavale. R.B.

La Dépêche

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/24/1497325-lavaur-la-multiplication-des-evasions-est-inquietante.html

(Merci @ Laetitia Alpha)    http://policeetrealites.wordpress.com/2012/11/24/lavaur-la-multiplication-des-evasions-de-mineurs-devient-inquietante/

FRANCE: LE RACISME ANTI-BLANCS........

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VIDÉO | Cité de Beauval (Meaux) : le racisme anti-Blancs au quotidien

Le magazine « Complément d’enquête » diffusé jeudi soir sur France 2 propose une immersion dans la cité de Beauval, à Meaux, pour voir si le racisme anti-Blancs dénoncé par son maire, Jean-François Copé, est vérifié par les faits ou s’il s’agit seulement d’une lubie électoraliste.

Malheureusement, c’est une réalité.

Le visage floutée, une mère de famille raconte qu’à l’issue du cours d’histoire sur l’esclavagisme, sa fille (en CM2) s’est faite insulter et traiter de « sale Blanche » par « beaucoup » de ses camarades (« On a été esclaves à cause de toi ! »).

Une autre confie : « Mon fils (6 ans, ndlr) à l’école a voulu donner la main à sa camarade, une petite Noire.

Elle a dit : ‘Dieu ne veut pas que je donne la main à un Blanc’«  Un gardien d’immeuble blanc, pourtant converti à l’islam depuis cinq ans, confirme : « Effectivement, avec ma tête et mes yeux bleus, j’ai un problème. (…)

Par exemple, j’ai un souci avec un Algérien, ou un Arabe, un musulman, qui prend mal la chose.

S’il voit mon médaillon avec le Coran, son attitude, elle change tout de suite.

Parce que là, il me reconnaît en tant que frère. » Reportage :

 

 


TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS !

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Il ne peut y avoir de libertés humaines et démocratiques dans un environnement musulman

On ne devient pas un homme libre par un coup de baguette magique après avoir vécu plus de 1400 ans dans le bagne du totalitarisme musulman.

Est-ce qu’on le deviendra un jour ?

Non parce que Dieu interdit tout changement qui va dans le sens de l’épanouissement de l’homme et sa désaliénation des contraintes inhibitrices des esprits, étouffant l’imaginaire et prohibant les libertés humaines.  Castratrices et enchaînant le croyant aux dogmes de sa foi.

Toute tentative de rupture avec l’ordre préétabli par Dieu pour ses hommes est illicite, pire encore une apostasie.

Le bida’a, l innovation est un attribut divin, le croyant ne doit que s’y résoudre et s’y incliner s’il ne veut pas se priver des prébendes divines et subir le supplice de la tombe.

Le salut de l’âme n’est pas dans la destruction des chaînes de l’oppression, il est dans la soumission, l’asservissement, l’avilissement , le fatalisme, le djihad, l’immobilisme, le passéisme, le réactionnisme, le fanatisme, le don de soi pour dieu, le rejet de ce qui est différent de soi, l’ethnocentrisme, la classification binaire du monde en musulman et non-musulman, la négation de l’homme en tant que tel et son inféodation au musulman, la relégation de la femme objet sexuel par excellence.

Ni affirmation de soi, ni estime de soi, jugés comme un sacrilège, un croyant ne doit pas s’exprimer à la première personne du singulier.

Seul dieu a ce privilège.

On existe ni par soi ni pour soi, on existe pour et par son groupe d’appartenance religieuse.

On n’est pas tunisien, iranien ou algérien, on est musulman sunnite ou chiite.

Certains pays comme l’Egypte font mention de la religion sur la carte nationale d’identité.

La religion est entrain de se substituer à la nationalité et l’Oumma à la patrie.

L’Islam nationalise les esprits et l’Oumma abolit les frontières politiques, pour dissoudre les territoires nationaux au profit d’un seul espace terrestre ouvert à tous les musulmans et duquel sont exclus, voire intégrés selon des règles strictes hautement racistes.

Avec un tel substrat idéologique néfaste à l’homme et son développement humain, c’est une gageure ?

Une hérésie d’imaginer les musulmans se battre pour leur dignité et leur liberté.

Le destin de l’homme musulman est tracé par Dieu jamais par l’homme lui-même puisque l’homme n’est pas censé être pourvu de discernement intellectuel, tous ses actes et pensées sont conçus et régis par le Grand Architecte de son univers.

Il se doit juste de les exécuter scrupuleusement et dogmatiquement sans se préoccuper du pourquoi et du comment ?

Considéré comme un simple pion sur l’échiquier d’Allah, il n’est jamais maître de ses choix de vie et acteur dans leur mise en œuvre. Il doit faire ce que Dieu lui ordonne, et mal lui en prendra s’il s’y soustrait.

Une culture où l’homme apparaît comme un simple rouage dans la mécanique horlogère de dieu, ne peut créer les conditions favorables à un modèle de société du libre-arbitre et de libre choix.

Autrement dit, la greffe démocratique ne pourrait jamais prendre dans un environnement hostile à l’être humain.

Incompatibilité organique absolue.

Source et publication:  Salem Benammar       http://ripostelaique.com/il-ne-peut-y-avoir-de-libertes-humaines-et-democratiques-dans-un-environnement-musulman.html

PARIS: SCIENCES-PO DANS LA TOURMENTE.... ET POUR CAUSE !

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Paris : Sciences-Po sous tutelle

Paris : Sciences-Po sous tutelle

 

Vendredi 23/11/2012

Tempête sur Sciences-Po.

Lors de la présentation jeudi de son rapport sur la gestion de l'institution portant sur la période 2005-2010, la Cour des comptes a annoncé avoir saisi la Cour de discipline budgétaire et financière, susceptible d'engager des poursuites.

Dans le viseur : « Des irrégularités affectant la gestion des personnels enseignants », « des dysfonctionnements dans la gestion des logements de fonction » et « la rémunération des cadres dirigeants et de l'administrateur ».

Nomination repoussée

Sur ce point, la Cour note qu'« année après année, presque tous les cadres avaient bénéficié de substantielles augmentations de salaires ou de primes, sans qu'un système formalisé et transparent d'évaluation ait été mis en place ».

Résultat : En 2011, les rémunérations des onze cadres concernés se sont échelonnées entre 95 000 et 180 000 € brut par an.

Pire, entre 2005 et 2010, la rémunération de l'administrateur cadre, à savoir Richard Descoings, a flambé de 70 % pour passer de 315 000 à 537 000 € par an.

Quant à Hervé Crès, administrateur provisoire de l'IEP depuis la mort de Descoings et candidat désigné à sa succession, s'il n'est pas nommé par la Cour, les irrégularités relevées dans la gestion des enseignants, sous quatre directions, dont celle des études et de la scolarité, qu'il dirige depuis 2008, le mettent en cause, tout comme Jean-Claude Casanova, président de la FNSP, qui gère l'établissement.

Du coup, la ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a annoncé dans la foulée qu'elle allait désigner un administrateur provisoire pour diriger l'IEP précisant que « les conditions ne sont pas réunies (…) pour procéder à la nomination d'un directeur ». 


Retrouvez cet article sur 20minutes.fr

L' UMP DIVISÉE ! AU SECOURS FUYONS...

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Borloo espère fédérer les déçus de Hollande et de l'UMP

Par Rodolphe GeislerPublié le 24/11/2012 à 16:47  
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Devant plus de 400 nouveaux adhérents, réunis ce samedi à la Mutualité de Paris, le président de l'UDI Jean-Louis Borloo s'est lancé dans un long réquisitoire contre la majorité.

Le ciel sur l'affiche est mauve. Incliné de profil, les yeux légèrement plissés, Jean-Louis Borloo semble songeur. «UDI: Rejoignez-nous!», peut-on encore lire sur le document de campagne.

Ce samedi, salle de la Mutualité à Paris, les quelque 400 nouveaux adhérents, qui avaient fait le déplacement, ont pu voir leur champion en chair et en os.

Des petites lunettes en plus sur le nez par rapport à son affiche, le président de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), malgré «la gravité de la situation en France», a d'abord cherché à mettre les rieurs de son côté. «vingt ans après avoir été dispersée façon puzzle, la famille - les centristes, les démocrates-chrétiens, les socio-européens, etc. - est enfin réunie», a-t-il lancé depuis son pupitre.

Plus sérieusement, Jean-Louis Borloo donne sa définition de l'UDI. «C'est la machine à aller chercher ce que chacun a de meilleur en soi», leur a-t-il dit, assurant que «l'UDI a rendez-vous avec la France».

Selon lui, son nouveau parti est «une force toute à la fois moderne, généreuse, sans concession».

«Quand on accepte le travail de vérité, quand on est clair sur les objectifs et les alliances, alors tout devient lumineux», avance l'ancien ministre d'État.

«La France est coupée en deux»

Après un long réquisitoire contre la «coalition des gauches» - «la majorité ne s'était pas préparée à gouverner, du coup elle enchaîne les mauvaises décisions et refuse l'action» -, Borloo l'affirme encore: «La France, aujourd'hui, a besoin d'un projet de coalition de droite et centre droite». «Pour la première fois de son histoire, un président de la République vient d'annoncer une aggravation du chômage sans aucune espèce de proposition pour essayer de le réduire», a-t-il encore dénoncé.

Jean-Louis Borloo s'en dit convaincu: «Aujourd'hui, la France est coupée en deux.

Ceux qui ont peur de l'avenir, de la mondialisation, etc. Et ceux qui la préparent...» «Vous devez être les ambassadeurs» de la deuxième catégorie, a-t-il lancé, sous les applaudissements.

Près de 64.000 adhérents

Observant que, selon un sondage paru il y a quinze jours dans le JDD, «50% des militants de l'UMP souhaitent des accords avec le FN et 50% avec l'UDI», Borloo a déclaré vouloir faire de son parti «un bâtiment d'accueil (pour les sympathisants de l'UMP) si cette fracture devait empirer» à droite.

Un peu auparavant, Jean-Christophe Lagarde, député maire du Drancy, expliquait que l'UDI recevait près de 1.000 demandes d'adhésions par jour depuis dimanche dernier. «Nous voyons arriver beaucoup de gens qui avaient adhéré à l'UMP il y a dix ans et qui ne de reconnaissent plus dans son virage à droite», raconte-t-il.

Concrètement, l'UDI en chiffre, ce serait donc aujourd'hui les 6.000 nouveaux aspirants depuis dimanche dernier et les 8.000 autres venus depuis le congrès fondateur du 21 octobre, «pour la plupart des déçus de François Hollande».

Auxquels, il faudrait additionner «le fond de commerce» des 50.000 adhérents du Nouveau Centre et du Parti radical.

Soit un fichier pour l'UDI aujourd'hui de près de 64.000 personnes... Symboliquement, samedi, avant d'entonner une Marseillaise, le député Yves Jégo a annoncé devant les nouveaux adhérents, que «la carte 001» avait été attribuée à Simone Veil.

LIRE AUSSI:

» Borloo se pose en leader de l'«opposition sereine» 


Source: http://www.lefigaro.fr/politique/2012/11/24/01002-20121124ARTFIG00409-borloo-espere-federer-les-decus-de-hollande-et-de-l-ump.php?m_i=x_ux2yBL%2BRAKebyhsT3pv%2BdNrazhy6gy5rbSNg9vymBWZLnxw

DOSSIER: LA VIE APRÈS LA VIE ? TRIBUNE LIBRE !

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REVUE DE PRESSE

La vie après la vie

Par Christophe DoréCyril HofsteinVéronique PratPublié le 23/11/2012 à 16:21  
L'au-delà vu par Salvador Dali. En 1964, l'artiste écrit «j'ai eu à la gare de Perpignan une extase cosmogonique. J'ai eu une vision exacte de la constitution de l'univers.»
L'au-delà vu par Salvador Dali.
En 1964, l'artiste écrit «j'ai eu à la gare de Perpignan une extase cosmogonique.
J'ai eu une vision exacte de la constitution de l'univers.»Crédits photo : akg-images/akg-images
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Le best-seller d'un neurochirurgien américain remet sur le devant de la scène ces témoins qui disent revenir de l'au-delà.

Constructions de l'esprit ou réelles visions du paradis ?

Le 15 octobre dernier, l'hebdomadaire américain Newsweek titrait à la une: «Le paradis existe!» Un sacré scoop, confirmant aux quelques milliards d'humains toujours dans le doute qu'il y aurait une vie après la mort.

Juste en dessous, une main tendue vers un ciel troublé, percé en son centre par un rayon lumineux, illustrait la révélation.

En fait, Newsweek attirait ainsi l'attention sur un neurochirurgien, le Dr Eben Alexander III, dorénavant célèbre aux Etats-Unis. Son livre, La Preuve du paradis, qui sera publié en France début janvier, bat des records de vente, s'inscrivant depuis un mois dans le tiercé de tête des ouvrages les plus achetés sur le site Amazon.com.Eben Alexander raconte dans cet ouvrage comment il est passé du statut de sceptique à celui de croyant converti, après avoir approché le paradis le temps d'un coma profond.

Au septième jour - faut-il y voir un symbole? -, il a ouvert les yeux alors que la médecine le considérait perdu.

Mais surtout, il est revenu à la vie avec le souvenir d'une incroyable expérience. Il flottait sur un nuage, dans un monde où les sons étaient palpables «comme une pluie que vous pouvez sentir sur la peau mais sans qu'elle vous mouille», raconte-t-il. Il a croisé des «êtres de lumière» dans un univers où «chaque chose était distincte mais aussi une partie d'un tout, comme les dessins d'un tapis persan ou d'une aile de papillon».

Pendant tout ce temps, Eben Alexander affirme avoir été accompagné par une jeune femme communiquant par la pensée.

Ses paroles lui semblaient claires et particulièrement apaisantes. Elle lui disait: «Vous êtes aimé et chéri pour toujours, vous n'avez plus de raison d'avoir peur, il n'y a rien que vous pouvez faire de mal.» Plutôt sympathique, en tout cas plus engageant que de s'entendre dire: «Ça n'est pas ici que tu vas rigoler!»

 

  

 

Le Dr Eben Alexander est revenu de ce voyage avec la conviction profonde que la conscience humaine dépasse le fonctionnement complexe de notre cerveau. Son livre trouble d'autant plus l'Amérique que l'homme n'a rien d'un illuminé ni d'un gourou: il précise qu'il est fils de neurochirurgien et a grandi «dans l'univers rigoureux et rationnel du monde scientifique», avant de devenir professeur de neurochirurgie à l'école de médecine de Harvard.

Un brillant scientifique, donc, confronté à la mort et en revenant avec des souvenirs dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils évoquent un au-delà assez classique, l'image même du paradis tel qu'on l'imagine.

L'expérience d'Eben Alexander n'est pas un cas isolé. Depuis les recherches du Pr Raymond Moody à la fin des années 70, on appelle ce qu'il a vécu une expérience de mort approchée ou de mort imminente (EMI). Et il existe d'autres états débouchant sur la même certitude qu'un au-delà bien réel existe, comme la conscience accrue au seuil de la mort (NDA) ou les expériences de communication que des vivants peuvent avoir avec des morts (ADC).

4 % des Occidentaux ont vécu des expériences transcendantes

Les dernières études statistiques, qui remontent à une quinzaine d'années, arrivent à des résultats étonnants: 4 % de la population occidentale aurait vécu des expériences transcendantes du même type... soit 2,5 millions de Français, 12 millions d'Américains, 20 millions d'Européens!

 

  

 

En 2001, le prestigieux journal médical Lancet a publié les travaux d'un cardiologue, Pim Van Lommel, où celui-ci détaillait les cas de 344 patients réanimés après un arrêt cardiaque. 18 % ont rapporté des expériences de mort imminente avec d'étranges similitudes dans leurs témoignages, comme le fait de sortir de leur corps, de traverser un tunnel, de voir des paysages célestes ou de communiquer avec des êtres de lumière.

Depuis, de nombreux témoignages ont été recueillis à travers le monde, de façon plus ou moins rigoureuse.

Une fondation internationale pour la recherche sur les expériences de mort imminente (NDERF) a été créée et des équipes de chercheurs travaillent sur les EMI ou les phénomènes de décorporation (possibilité de sortir de son corps et de l'observer) en Suisse, au Canada, aux Etats-Unis... «Les expériences de mort imminente sont bien réelles, soutient le fondateur de la NDERF, le Dr Jeffrey Long.

Les témoins de tous âges, de toutes nationalités et de toutes religions racontent souvent avoir vu ou entendu des choses, alors qu'ils étaient inconscients et loin de leur corps et aucune explication physiologique ne peut résoudre ce mystère.»

En France, un centre d'étude des EMI, dirigé à Paris par le professeur de philosophie et psychologue Marc-Alain Descamps, recueille des témoignages d'«expérienceurs», comme on les appelle.

Sonia Barkallah, qui a fondé avec le Dr Jean-Pierre Postel le Centre national d'étude, de recherche et d'information sur la conscience (Cneric), organise des conférences et réunit à Marseille, en mars prochain, quelques-uns des grands spécialistes des EMI pour un colloque international.

Contrairement à ce qu'on pourrait imaginer, la science prend donc très au sérieux les EMI et les phénomènes similaires. Même si Sonia Barkallah rappelle que «beaucoup de médecins et de chercheurs font encore le choix de ne pas s'implique, de peur d'être pris au mieux pour des farfelus, au pire pour des charlatans».

Sortir de son corps serait-il possible?

Le Dr Jean-Jacques Charbonier, médecin anesthésiste-réanimateur et auteur de plusieurs ouvrages sur les questions de vie après la mort, sait de quoi il retourne: «Des plaintes ont été déposées contre moi au conseil de l'Ordre qui a été obligé d'enquêter.

Il a rendu un avis favorable. Mais je fais très attention à ce que je dis et à ce que j'écris sur mes convictions personnelles.

À l'instar d'Eben Alexander, les personnes qui se frottent à ces expériences inexpliquées finissent par acquérir la conviction qu'il y a quelque chose au-delà de la conscience humaine ou que le cerveau n'en serait pas l'unique berceau. «Personnellement, j'ai une approche un peu schizophrène», reconnaît Stéphane Allix, fondateur de l'Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (Inrees).

 

Ancien reporter de guerre, il a choisi d'explorer les mystères de la conscience et de la mort après la disparition brutale de son frère en Afghanistan. «L'accumulation des témoignages de personnes qui ont vécu ou étudié ces phénomènes finit par être troublante, précise-t-il.

J'essaie de garder toujours une approche objective en insistant sur une chose: il faut que les gens parlent et qu'ils soient entendus. Il faut que les médecins et les scientifiques multiplient les recherches.

Mais les budgets attribués ne vont malheureusement pas dans ce sens.» Le discours du cardiologue Pim Van Lommel, référence pour les EMI, est sans ambiguïté sur ses convictions actuelles. «Le concept entériné par la médecine contemporaine comme quoi la conscience est produite par un cerveau fonctionnel n'a jamais été prouvé, affirme-t-il.

On peut donc imaginer que le cerveau ne produit pas la conscience mais qu'il la reçoit, ce qui expliquerait les EMI et le fait que des personnes, considérées comme cliniquement mortes continuent à vivre en dehors de leur corps.»

Rigoureux sur le choix des termes, les défenseurs des EMI ne prononcent jamais les mots «âme», «paradis» ou «au-delà». Mais, si l'hypothèse est retenue que la conscience ou même la mémoire ne sont pas uniquement stockées dans le cerveau, si le cerveau n'est que le récepteur d'un champ de conscience extérieure à notre corps, il faut bien quelque part un émetteur, l'idée d'un esprit supérieur, d'une âme capable d'interagir avec cette puissance supérieure.

Quelque chose au-delà de la conscience

Face à cette conception, le matérialisme scientifique vole en éclats. Les instances religieuses évitent de se prononcer sur le sujet, rappelant que la foi est affaire personnelle. Mais la rémanence d'une vision du paradis dans les EMI ne manque pas de conforter les croyants ou, en tout cas, d'ajouter des éléments tangibles à leur conviction. Reste que les scientifiques ne sont pas tous sans réponses face aux EMI ou aux expériences étranges comme la décorporation.

Beaucoup de cas s'expliquent, selon eux, par l'anoxie du cerveau. Ce dernier, qui se retrouve en manque d'oxygène à l'approche de la mort, pourrait avoir des comportements encore inexpliqués.

Des médecins soulignent aussi que les personnes qui vivent ces EMI sont parfois lourdement médicalisées, sous l'effet de psychotropes comme la kétamine ou le LSD, dont les propriétés hallucinogènes sont largement détaillées dans la littérature hippie de la fin des années 60.d'étude sur le coma de l'université de Liège, une chose est sûre: on ne revient pas de la mort. Il a notamment démontré qu'un cerveau, même dans un coma profond, garde une activité. «On connaît de nombreux cas de personnes qui, une fois sorties du coma, expliquent qu'elles entendaient parfaitement ce qu'on disait autour d'elles», rapporte le Dr Philippe Presles.

Tout récemment, des médecins ont pu communiquer grâce à l'imagerie médicale avec un malade plongé dans un état végétatif profond depuis plus de dix ans.

L'utilisation de ces nouveaux outils permet de mieux comprendre les champs de notre conscience et surtout d'interagir avec des 


   

 

Pour le Dr Steven Laureys, qui dirige le Groupe malades dont l'état correspondait jusqu'à présent à une absence apparente de conscience.

Le caractère mystérieux de ces expériences étranges aux portes de la mort pourrait donc s'expliquer assez simplement par le fait que l'homme ignore encore, en grande partie, le fonctionnement et les possibilités de son cerveau.

Les travaux récents du neurologue suisse Olaf Blanke sur les expériences de décorporation ont aussi apporté un début de réponse intéressant sur cette phase de certaines EMI.

En activant par des électrodes une zone du lobe temporal droit d'une de ses patientes atteinte d'épilepsie, il s'est rendu compte qu'il provoquait chez elle des sensations de flottement et d'élévation typiques des sorties hors de corps qui correspondent à la première phase des EMI.

Il a aussi pu tester que le cerveau peut facilement perdre ses repères dans certaines conditions, jusqu'à éprouver la même impression de décorporation.

Face à ces arguments, les défenseurs des EMI vécues comme des expériences réelles de vie après la mort racontent des cas biens plus mystérieux encore de déplacements dans l'espace, des phénomènes d'anticipation, de médiumnité, de communication avec des morts...

Autant de récits à propos desquels les sceptiques rappellent qu'ils dépendent de la valeur toujours contestable des témoignages. Dans les deux camps, on reconnaît malgré tout l'importance de poursuivre les recherches et d'émettre des hypothèses.

Quelques scientifiques, le Dr Stuart Hameroff et le physicien Roger Penrose, par exemple, développent ainsi des théories alternatives, se fondant sur l'existence d'un «esprit quantique» qui ne respecterait pas les règles de notre Univers (les contraintes d'espace et de temps), à l'image de la physique quantique dans l'infiniment petit.

La conscience serait comme une sorte de programme persistant dans l'Univers après notre mort, ou capable de le réintégrer en cas d'EMI.

Au bout du compte, seule une meilleure connaissance du fonctionnement de notre cerveau pourra apporter, sans doute dans les prochaines décennies, des réponses plus précises sur ces interactions avec un paradis aux valeurs universelles que ceux qui ont approché la mort de près affirment avoir réellement visité. 

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Source et publication:      http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2012/11/23/01006-20121123ARTFIG00584-la-vie-apres-la-vie.php?m_i=pMmpRLOJql4GbD32KkQU9_zO48bFaIEaHjz09hE47NVyeItpa

HONGRIE : LE " JOBBIK "DEVANT L' AMBASSADE D' ISRAÊL !

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Hongrie : le parti nationaliste manifeste devant l’ambassade d’Israël

Gabor Vona, président du Jobbik, avec un keffieh autour du cou lors de cette manifestation.

Ce n’est pas en France qu’on verrait cela, mais le Jobbik, le parti nationaliste hongrois, n’a jamais renoncé à dénoncer le lobby juif ni le sionisme meurtrier.

 

Ainsi, comme nous le relate Lionel Baland :

« Malgré le temps froid, un millier de personnes ont manifesté devant l’ambassade d’Israël à Budapest afin de protester contre l’intervention israélienne à Gaza et l’« occupation permanente de la Palestine par Israël. » 

Le président du Jobbik Gábor Vona ainsi que plusieurs hauts responsables du parti ont pris part à l’événement.

Parmi les organisations présentent figuraient la Jeunesse du Jobbik, la Nouvelle Garde hongroise, la Garde nationale et l’association des Palestiniens vivant en Hongrie.

Le porte-parole du Jobbik pour les affaires étrangères Márton Gyöngyösi a remarqué que les ambassades des États-Unis et d’Israël ressemblent à des forteresses, ce qui montre que ces deux pays sont liés.

Il a déclaré que ce qu’Israël fait en Palestine est un génocide planifié, alors que les États-Unis qui se proclament champion des droits de l’homme soutiennent le bain de sang à Gaza.

Il a accusé le ministre hongrois des affaires étrangères de couardise  pour son soutien à la position de l’Union européenne en la matière.

Le président du Jobbik Gábor Vona a remarqué qu’Israël parle sans cesse de la Shoah tout en dirigeant le plus grand camp de concentration au monde, avec l’assistance des États-Unis, au sein de la Bande de Gaza.


Il a ajouté que l’Union européenne qui critique l’économie hongroise est très timide lorsqu’il s’agit de condamner l’agression israélienne. Gábor Vona se demande pourquoi les partis hongrois du système ne se dissocient pas de l’agression israélienne ?

Il propose que les différentes organisations de défense des droits de l’homme qui critiquent en permanence la situation à Gyöngyöspata (une municipalité dirigée par le Jobbik) déménagent à Gaza.

Gábor Vona a lu une lettre qui inclut diverses demandes :

  1. Réaliser un inventaire complet des investissements israéliens en Hongrie.
  2. La clarification par le Premier ministre hongrois Viktor Orban de la rumeur persistante selon laquelle l’Allemagne, la Hongrie et la Pologne ont signé un traité confidentiel avec Israël afin d’accueillir en cas d’urgence les réfugiés juifs (le quota hongrois serait de 500.000). Si cet accord exite, il doit être, selon le président du jobbik, rejeté immédiatement.
  3. La fin de l’accord d’association avec Israël.
  4. Le Jobbik va introduire au Parlement une résolution condamnant le « massacre de Gaza ». Gábor Vona espère que tous les partis du Parlement soutiendront cette résolution.
  5. La surveillance des politiciens hongrois en vue d’être certain qu’il n’y a pas parmi eux de double nationaux (hungaro-israéliens) qui influent en faveur d’Israël au sein de l’appareil d’État.

Le président du Jobbik a déclaré : « Nous sommes solidaires des Palestiniens. La hongrie est la Palestine de l’Europe. »

 

La foule s’est ensuite rendue devant l’ambassade de Palestine où un membre du corps diplomatique a reçu les manifestants.

 

Ces derniers ont ensuite allumé des bougies en hommage aux victimes palestiniennes de l’attaque israélienne à Gaza. »


Márton Gyöngyösi

Gábor Vona

« Palestine libre. »

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