LA VRAIE NATURE DE L'ISLAM (3) : ADDICTIONS ET OBSESSIONS D'UN PROPHÈTE HORS NORMES (par Maurice D.)
Ce texte constitue le troisième volet d'un document qui en compte dix :
LA VRAIE NATURE DE L’ISLAM :
IMPERIALISTE, INTOLERANT, TOTALITAIRE
MIEUX LE CONNAITRE POUR MIEUX LE COMBATTRE
L'orphelin apprenti caravanier
Deux mois après la naissance de Mahomet, son père, Abdallah Mottalib, reçut un mauvais coup de couteau pendant le pillage d’une tribu voisine et en mourut. La mère de Mahomet, Amina, fut, comme la tradition le voulait, reprise par le frère aîné d'Abdallah, Abou, qui était veuf. Mahomet fut confié à son grand'père qui s'appelait, comme son père, Abdallah Mottalib.
Mais Amina mourut aussi, six ans après, en donnant naissance à un demi-frère de Mahomet. Comme Abdallah Mottalib se faisait bien vieux et ne pouvait plus s'occuper de Mahomet, son oncle, Abû Tâlib, le prit sous sa protection et mit l’orphelin à l’école, c’est-à-dire à garder les chèvres dans le désert. Mahomet était petit et costaud. Quelques années plus tard, il apparut aussi qu'il était particulièrement bien membré. La première chèvre qui en fit l’expérience en fut fort irritée.
Portrait imaginé de Mahomet jeune berger
Notez que ces activités zoophiles n’avaient rien de répréhensible. En ce temps-là, les mœurs n’étaient pas celles d’aujourd’hui. Il était parfaitement légal de violer les femmes des tribus ennemies, d’occire leurs hommes, de réduire leurs enfants en esclavage. Et, comme il faut bien que jeunesse se passe, que les filles étaient sévèrement gardées pour arriver vierges au mariage, que le gamin devait malgré tout apprendre la vie même quand il était seul à garder les chèvres dans le désert, les chèvres ou les jeunes chamelles servaient à l’apprentissage sexuel.
Et si la chance voulait que les gamins soient deux ou trois en raison de l’importance du troupeau, ils s’entre-sodomisaient joyeusement. Rien de plus normal, socialement parlant, en Arabie au VIIe siècle.
Quand Mahomet eut quinze ans, Abu Talîb jugea qu'il était temps de lui faire faire une école supérieure de commerce, c'est-à-dire de lui apprendre à acheter, à vendre, à négocier, pour en faire un bon cadre qui contribuerait à la prospérité commerciale des Quraychites à La Mecque. Il l'emmena donc avec lui à Bosra en Syrie, (à ne pas confondre avec Bassorah en Irak).
Acteur représentant Mahomet jeune homme dans un film biographique qui n'est jamais sorti sous la pression de la communauté musulmane américaine
Ils prirent la grande piste caravanière qui passait par La Mecque, venant du Yémen et remontait vers le Nord, la Méditerranée, pour l'acheminement des marchandises venues d'Orient par des boutres qui, partis des côtes de l'Inde ou de la Chine, avaient déposé leurs trésors dans les ports de l'Est ou du Sud de l'Arabie afin de repartir au plus vite vers les Indes.
Les commerçants de La Mecque s'enrichissaient naturellement de ce trafic de tissus de soie, d'épices, de métaux précieux, de matières rares en Occident et d'esclaves. Leurs caravanes bien encadrées d'hommes en armes les transportaient de La Mecque à Pétra, Palmyre et Philadelphie (en Syrie), grands centres commerciaux de redistribution. De là, d'autres caravanes les acheminaient vers les villes de l'Empire romain d'Orient ou les ports de l'Est méditerranéen, Alexandrie, Gaza... d'où ils étaient réembarqués vers les villes d'Occident.
Une fois ses affaires faites, à Pétra et Philadelphie, Abu Talîb poursuivit jusqu'à Bosra, accompagné de son neveu Mahomet et de quelques hommes pour la sécurité.
Les musulmans jugent que "Mahomet" est insultant, qu'il faut l'appeler "Mouhammad"
Mais comme en Occident nous appelons le prophète "Mahomet" depuis des siècles, je ne vois pas pourquoi nous ne continuerions pas
Bosra se trouve au sud de la Syrie, entre le djebel Druze et le lac de Tibériade. Elle est aujourd'hui classée "centre culturel" de l'UNESCO et fait partie de la banlieue de Deraa, ville frontière sur la route qui va de Damas à Amman en Jordanie. Elle se situe à environ 100 km au sud de Damas et 50 km au nord d'Amman. (Précisions données pour ceux qui voudraient y aller en pèlerinage).
À Bosra, Abu Talîb, qui était un homme riche et cultivé, voulait rencontrer des moines nestoriens. L'Arabie était, en ce temps-là, une terre très ouverte à toutes les influences religieuses, et cette religion, qui se répandait en Syrie, l'intriguait.
Le nestorianisme était longtemps resté centré autour d'Édesse (Sanliurfa en turc, alors incorporée au diocèse chrétien d'Orient), une cité gréco-romaine située au sud de la Turquie près de la frontière syrienne. Il y avait là un collège théologique tenu par les chrétiens nestoriens. Fidèles à l'enseignement de Nestorius, le patriarche de Constantinople, qui avait affirmé au Ve siècle la séparation des natures humaines et divines du Christ, les nestoriens avaient été condamnés comme hérétiques, mais ils avaient su convertir à leur doctrine toute l'église chrétienne de la Perse (aujourd'hui Iran).
En outre, les moines nestoriens étaient des érudits imprégnés de l'enseignement scientifique grec.
Quand le collège d'Édesse avait été fermé en 489 par décision de l'empereur romain d'Orient, les moines avaient trouvé refuge auprès des Sassanides qui dominaient la Mésopotamie. Une partie était installée dans le grand centre intellectuel de Jundhya'Sahur, l'autre à Bosra.
C'est ainsi que Mahomet eut l'occasion de rencontrer un moine nestorien nommé Bahira avec qui il eut de longues conversations. On trouve dans la prédication de Mahomet des thèmes qui découlent directement des croyances nestoriennes, également dominées par la crainte de Dieu. Il y a, par exemple, dans la description du Jugement, des similitudes entre le Coran et les sermons de Saint Ephrem, un saint nestorien.
Mais, en quittant Bosra, Mahomet ne pensait pas encore à faire une carrière de prophète.
De retour en Arabie, Mahomet fut enrôlé par sa tribu dans la guerre que celle-ci menait contre les Banû Hawazin. En fait, comme il était trop jeune pour se battre, son rôle était de ramasser les flèches lancées par les combattants, d'achever les blessés et de dépouiller les morts de tout ce qu'ils pouvaient porter de valeur.
Puis il reprit son travail d'apprenti commerçant caravanier, ce qui lui donna l'occasion d'aller à deux reprises jusqu'au Yémen et une fois en Syrie, avec un certain Meïssara, l'homme d'affaires d'une très riche veuve juive de Yathrib, nommée Khadîdja bint Khuwaylid de la tribu juive Asad. Dans ces expéditions, Mahomet eut encore l'occasion de rencontrer des moines chrétiens, car les Arabes yéménites étaient chrétiens, comme les syriens. Ils exercèrent une forte influence sur son esprit et lui apprirent notamment qu'il fallait se méfier des Juifs.
LA VRAIE NATURE DE L'ISLAM (4) : L’IDEE GENIALE, « CRÉER UNE RELIGION » (par Maurice D.)
Ce texte constitue le quatrième volet d'un document qui en compte dix :
LA VRAIE NATURE DE L’ISLAM : IMPERIALISTE, INTOLERANT, TOTALITAIRE
MIEUX LE CONNAITRE POUR MIEUX LE COMBATTRE
Le riche mariage de Mahomet
Lors de la dernière expédition en Syrie, Mahomet avait montré qu'il avait de l'esprit, qu'il était devenu un excellent commerçant et qu'il avait une activité sexuelle toujours aussi débordante, ce qui avait beaucoup impressionné Meïssara, qui ne comptait plus les chèvres, les jeunes chamelles et les esclaves prises plusieurs fois par jour par Mahomet.
Au retour, Meïssara raconta tout cela à Khadîdja que son veuvage démangeait. Elle résolut de se rendre compte par elle-même, se dissimula dans une tente pour surprendre Mahomet, ses bourses et ses œuvres, vit qu'il était monté comme un âne, en fut stupéfaite et littéralement emballée.
"Il me le faut", se dit-elle.
Pourtant, Mahomet n'était pas bien beau ! De taille moyenne pour l'époque, un mètre cinquante environ, avec une grosse tête, la barbe épaisse, des cheveux noirs et lisses, les yeux noirs, le nez aquilin très prononcé, les dents écartées. De plus, il avait sur le dos, entre les épaules, une excroissance charnue, de la taille d'un œuf de pigeon, dont ses laudateurs prétendirent plus tard qu'elle était le signe de sa vision prophétique ! Mais il était fortement charpenté, musclé, et surtout, on devinait un sexe gros et long qui fascinait les femmes, d'autant qu'il était souvent en érection car, semble-t-il, Mahomet souffrait de priapisme.
Petit, mais costaud, notez l'auréole autour de la tête, signe de sainteté
Cela explique, sans doute, ce besoin maladif de rapports sexuels fréquents et prolongés qui devaient le soulager de la légère mais lancinante douleur que provoque le priapisme.
Ce priapisme, probablement associé à la maladie nerveuse dont était atteint Mahomet, (fièvre, sensation de froid, suées et transes, interprétées par ses contemporains comme des manifestations divines de son élection), pourrait expliquer aussi qu'ayant eu tant de femmes (dix-neuf, et encore plus de concubines, sans compter d'innombrables maîtresses de quelques minutes), il ait eu aussi peu d'enfants et seulement des filles. Les deux garçons que lui donna Khadidja, Abdullah et Al Qâsim moururent très vite. Pour avoir un fils, il dut adopter un jeune garçon, Zaïd.
Il était soigneux de sa personne : jeune, il reprisait lui-même ses vêtements, se lavait aussi souvent que possible, habitude qu'il imposera plus tard dans le Coran sous prétexte d'être propre pour la prière. Vieux, il teignit ses cheveux au henné pour qu'ils restent bien noirs, comme le fait François Hollande (c'est avec la petite taille leur seul point commun) *
Il avait l'air noble et bon et faisait preuve, dit-on, d'une extrême patience. Il s'adressa à lui-même un sévère reproche pour un geste d'impatience envers un mendiant (Coran, sourate 80). Au cours des dix-sept expéditions guerrières qu'il a menées, il a souvent fait preuve de bravoure, mais aussi d'une grande cruauté, faisant presque toujours décapiter ses ennemis.
Donc, Khadîdja invita Mahomet à boire le thé sous sa tente. La négociation fut âpre et longue. Les prétentions du jeune Mottalib étaient aussi importantes que l’organe convoité par la veuve. Finalement, il fut décidé que Mahomet entrerait immédiatement au service de Khadîdja comme directeur commercial et fondé de pouvoir.
Les jours suivants, Khadidja convainquit Mahomet de l’épouser en lui faisant miroiter qu’étant plus âgée que lui (elle avait quarante ans et lui vingt-cinq), elle mourrait avant lui, et qu’il hériterait de sa fortune.
Epouser un homme plus jeune que soi, cela ne se faisait pas chez les bédouins, non plus qu'une femme issue d'un clan noble et riche épousât son employé, orphelin et pauvre de surcroît. Alors, pour obtenir l'accord de son tuteur, son oncle 'Amr bin Assad, Khadidja le saoula à l'alkermès, une boisson anisée comme le pastis.
On retrouve dans le Coran l'exigence bédouine de l'accord du tuteur mâle de la femme, que ce soit le père, un oncle ou un frère, pour qu'elle puisse se marier.
Il fut convenu que chacun gardait sa religion : elle était de Yathrib, donc juive, et lui abrahamiste. Ce n'est que plusieurs années après que Khadîdja se convertit à l'islam.
Comme la coutume bédouine voulait que l'homme offre une dot à la femme le jour du mariage, Mahomet fit cadeau à Khadîdja des vingt jeunes chamelles auxquelles il était sentimentalement le plus attaché, manière de s'engager et de prouver que, désormais, il n'honorerait plus que son épouse.
Ils s’installèrent à La Mecque. Et Mahomet vécut un amour intense avec Khadîdja. Ils eurent six enfants, les deux garçons moururent très jeunes, mais les quatre filles vécurent : l'une épousa Ali, le futur héros des chiites, une autre épousa celui qui allait devenir le calife Uthmann.
Quant Khadîdja eut atteint la cinquantaine, elle expliqua à Mahomet qu’il allait devoir freiner ses ardeurs matinales, vespérales et nocturnes et, cependant, lui rester fidèle, sinon il perdrait l’héritage. Mahomet sut qu’il était piégé.
L'ermite à temps partiel du mont Hira
Il prit alors l’habitude d’aller se retirer de temps en temps en solitaire dans une caverne du Mont Hira, expliquant à Khadîdja que cela le calmait de rester seul dans le désert, et qu’elle pouvait profiter de ces périodes de repos pour faire fructifier leurs affaires sans être constamment dérangée par les besoins pressants et répétés du sexe mirobolant de son jeune époux.
Le mont Hira n'est pas loin de La Mecque, quatre kilomètres, à peine une petite heure de marche, alors les voisines et les amies de Khadîdja, parfaitement au courant des capacités exceptionnelles de son mari, se mirent à fréquenter la caverne pour profiter du monumental organe de Mahomet, dès que leurs époux avaient tourné le coin de la rue pour aller au troupeau ou à la boutique. Ce manège dura pas mal de temps, cinq ans environ, jusqu'à ce que Mahomet ait quarante ans.
Pendant les périodes de solitude, Mahomet réfléchissait à la situation, sachant bien que l’une ou l’autre de ses maîtresses irait un jour tout raconter à Khadîdja, par jalousie ou pure bêtise, que celle-ci voudrait divorcer et qu’il perdrait l’héritage.
Et puis, il évoquait aussi les souvenirs que lui avaient laissés ses voyages, ses entretiens avec les Chrétiens et les Juifs disséminés dans toute l'Arabie, en Syrie et au Yémen, leurs discussions religieuses, la dévotion et la grande culture des moines nestoriens, la vie rude et sauvage des Arabes qui plaçaient la force, la ruse et une générosité ostentatoire avant toute vertu.
Il pensait à tout ce que lui avait raconté le cousin de Khadîdja, Warka bin Naufel, moine chrétien, premier traducteur de la Bible en arabe, grand connaisseur des Écritures, à qui il devait beaucoup de ses connaissances dans ce domaine.
Et il réfléchissait à la façon dont ses ancêtres, Ismaël et son père Abraham, mais aussi les grands prophètes, comme Moïse, avaient su entraîner leurs peuples et prendre le pouvoir en s'appuyant sur une révélation divine et une pierre : les tables de la Loi pour Moïse, la pierre noire pieusement gardée dans la Ka'aba pour Ismaël et Abraham.
La révélation !
Une nuit, Mahomet eut un rêve, probablement inspiré par le Saint Esprit qui ne chômait pas en ce temps-là !
Le rêve de Mahomet
Imaginez le rêve de Mahomet : un Etat dont il serait le chef, respecté grâce à l'autorité qu'il tiendrait d'un dieu unique et exigeant, où l’on pourrait avoir légalement plusieurs femmes et autant de maîtresses que désirées, où celles-ci auraient le même statut social que les chèvres et les chamelles, que l’on pourrait acheter et vendre, battre, renvoyer ou tuer quand on en aurait assez...
Le bonheur !
Oui, mais les chrétiens, les juifs et les abrahamiste ne manqueraient pas de lui mettre des bâtons dans les roues. La solution ? Transformer ce rêve génial en révélation divine qui lui permettrait de créer toutes les lois qu'il jugerait bonnes pour lui-même et les Arabes, en commençant bien sûr par la polygamie. Comment ? Avec une nouvelle religion dont il serait le prophète, qu'il rattacherait à Abraham. Un abrahamisme restauré, en quelque sorte, puisqu'en s'appuyant sur son grand ancêtre, il mettrait du même coup hors course les deux grandes religions du Livre, la juive et la chrétienne.
Maurice D.
* Maurice ne cite pas le priapisme, car, concernant Hollande, ce n'est pas encore totalement certain. Ségolène Royal n'a pas démenti, mais on attend encore les confirmations de Valérie Trierweiler et de Julie Gayet... (MLS)
Suite à venir, chapitre V : Des débuts difficiles, des versets sataniques