ENTRE ARABISME ET ISLAMISME
l’expulsion des Chrétiens, le futur règne ottoman et le silence d’un très vieux pape
Michel Lhomme
le 06/11/2012
l'arabisme de Bachar Al-Assad
Benoit XVI n’en dit pas un mot
Par Maeva BambuckPublié le 13/11/2012 à 18:22
La tunique traditionnelle couverte de boue, Zargai semble revenir d'une longue journée de labeur. Mais ce jour-là encore cet ancien habitant de Tagab n'aura gagné que 100 afghanis, soit un euro cinquante, en consolidant la cabane en terre d'une voisine à Nasaji Bagrami, un camp de déplacés de la banlieue de Kaboul. «Je ne trouve qu'une ou deux journées de travail par semaine», explique-t-il. «Ce n'est pas suffisant pour faire vivre ma famille.»
Zargai a fui le district de Tagab, dans l'est de la Kapissa, avec sa femme, sa mère et leurs quatre enfants au moment même où les Français s'en retiraient, laissant le contrôle de la zone à l'armée afghane et à un bataillon américain.
Il reçoit chez lui: une pièce au toit de tôle au milieu du camp et une cour intérieure délimitée par des murs d'argile. Zargai dit avoir quitté sa terre natale après la mort de son père, de son frère et de deux de ses neveux, lors d'affrontements entre les insurgés et les forces de l'Otan dans son village de Jalukhil.
Selon ses dires, une bombe ou un mortier serait tombé sur leur maison. «À Jalukhil, nous ne prenons pas parti», souligne Zargai, «mais nous sommes pris entre la base militaire qui se trouve non loin du village, et les talibans.»
À soixante kilomètres au nord de Kaboul, Tagab a été le théâtre d'affrontements intenses entre les insurgés et les forces françaises. En quatre ans de présence dans le district, 44 soldats français y ont trouvé la mort, soit la moitié des soldats français tombés en Afghanistan depuis le début du conflit.
Dans des villages comme Jobar et Jalukhil, la population est à la merci des talibans. Lorsqu'une fillette de 6 ans a été retrouvée décapitée à Jalukhil au mois d'août, les autorités régionales ont refusé d'envoyer des policiers enquêter sur place, jugeant la mission trop dangereuse.
Les résidents du camp interrogés disent tous avoir fui les violences et la pauvreté qui en résulte.
Selon l'ambassade de France, ils seraient environ 2000 déplacés de Kapissa et de Surobi, les anciennes zones de contrôle françaises, à s'entasser dans six camps spontanés de la capitale. Ils y découvrent vite que leur statut ne leur laisse aucune chance d'intégration. Installés dans des campements illégaux, ils sont oubliés des aides de l'État afghan.
La précarité fait le reste: l'hiver dernier 14 enfants de moins de cinq ans sont morts de froid dans le camp de Bagrami.
Par le biais d'ONG comme Solidarités International, l'État français offre pourtant aux déplacés de Kapissa-Surobi une aide alimentaire l'hiver, ainsi que plusieurs programmes de formation professionnelle.
Un soutien qui devrait se poursuivre, à travers le traité d'amitié franco-afghan entré en vigueur le mois dernier, qui prévoie une aide de plus de 300 millions d'euros sur cinq ans. Le pôle de développement de l'ambassade de France à Kaboul s'est par ailleurs donné comme objectif de renverser le flux migratoire de ces déplacés internes. En mettant à leur disposition des cliniques mobiles, et en employant les hommes en âge de travailler sur les projets financés par la France en Kapissa, comme la construction d'un hôpital de vingt lits à Tagab, ils espèrent les convaincre de rentrer sur leurs terres natales.
Un effort qui serait vain si la situation sécuritaire en Kapissa se détériorait après le départ des derniers soldats français, dans quelques semaines.
Car les déplacés ne rentreront pas au prix de leur vie, comme le rappelle le chef du camp de Bagrami, Enzer Gul. Le sexagénaire redoute une répétition du chaos qui a suivi le retrait soviétique.
«Après le départ de la coalition, la situation sera calme pendant un temps», prédit Enzer Gul, «puis les combats reprendront de plus bel et les talibans prendront la Kapissa.
Puis ils prendront la ville de Bagram et enfin, le palais présidentiel, ici, à Kaboul.
Et le gouvernement tombera, comme celui du roi Najibullah.»
Un pronostic qui fait frémir.
LIRE AUSSI:
» Afghanistan: l'armée française quitte tagab
Source et publication: http://www.lefigaro.fr/international/2012/11/13/01003-20121113ARTFIG00559-l-exode-interieur-des-afghans-de-la-kapissa.php
Alors que le rapport Jospin sur le rénovation politique prône la fin du cumul des mandats, une mesure qui irrite à droite comme à gauche, une analyse de l'Ifop montre qu'il existe un impact électoral d'un tel cumul sur les résultats du PS aux dernières élections législatives.« Politico Scanner »
Une analyse de l'Ifop montre qu'il existe un impact électoral d'un tel cumul sur les résultats du PS aux dernières élections législatives. Crédit Reuters
articularité de la vie politique française, le cumul des mandats a suscité des débats virulents notamment au PS à la suite de la décision portée par la première secrétaire Martine Aubry, et validée par un vote militant, de mettre fin à cette pratique.
Présentée comme une condition indispensable au nécessaire renouvellement de la vie et du personnel politiques, cette décision a été combattue avec force par certains élus locaux et personnalités socialistes qui ont dénoncé « un désarmement unilatéral ».Cette position postule que le cumul des mandats offre un avantage électoral significatif pour un parti disposant, comme le PS, d’un réseau fourni d’élus locaux qui peuvent s’appuyer sur ces positions déjà acquises pour partir à la conquête ou défendre des mandats nationaux notamment dans le cas d’un scrutin comme les dernières législatives. Qu’en est-il vraiment ? Hormis quelques cas emblématiques bien identifiés, peut-on mesurer statistiquement au plan national l’impact du cumul ? L’ampleur d’une prime « aux cumulards » est-elle la même pour tous les mandats locaux ? Et question subsidiaire, cette pratique a-t-elle joué un rôle déterminant dans la victoire du PS en juin dernier ?
Nous avons circonscrit notre analyse au PS d’une part parce qu’il a remporté les élections législatives et, d’autre part parce que c’est dans ses rangs que les débats sur la question ont été, et sont encore, les plus vifs au regard notamment du nombre élevé de candidats et/ou d’élus concernés.
En effet, si l’on ne retient que les cas des candidats à la députation qui étaient déjà conseillers généraux ou maires, cela représente d’après nos pointages 43 % de l’ensemble des candidats socialistes en juin dernier, à raison de 99 (soit 21 % des candidats) maires, et 71 (soit 15 % des candidats) conseillers généraux, 29 candidats (soit 6 % des candidats) cumulant les deux mandats.
Nous n’avons retenu que ces deux types de mandats car ils sont remportés à l’issue de scrutins très personnalisés qui traduisent, de notre point de vue, un ancrage territorial et électoral bien plus significatif qu’un mandat de conseiller régional ou de conseiller municipal ou de maire- adjoint, où la personnalité n’est pas élue sur son nom. A l’instar de ce que nous avons observé lors de l’analyse sur les candidatures féminines, il convient également d’opérer une distinction entre les députés sortants et les non-sortants. Une fois ce tri opéré, on obtient alors les résultats suivants.
Cliquer pour agrandir
Ces chiffres démontrent très clairement que pour les non-sortants, le fait d’être détenteur d’un mandat de conseiller général ou de maire constitue un vrai avantage.La prime au cumul est même un peu plus importante lorsque l’on est maire (4,5 points de plus en moyenne par rapport aux candidats n’étant ni maire, ni conseiller généraux) que lorsqu’on est conseiller général (+3,7 points). Et si l’on affine l’analyse, le rendement est, logiquement, encore meilleur pour les maires des villes de plus de 20 000 habitants (+5,4 points) que pour ceux des communes plus modestes (+4,1 points). Ce phénomène peut s’expliquer par deux facteurs : en général, les grandes villes et les villes moyennes pèsent d’un poids plus important dans leur circonscription respective que les petites communes, et, d’autre part, la sociologie électorale des grandes métropoles est plus favorable au PS.
http://www.atlantico.fr/rdvinvite/comment-cumul-mandats-permis-aux-elus-socialistes-imposer-aux-legislatives-ifop-jerome-fourquet-et-esteban-pratviel-542520.html
Par Marc-Antoine Bindler
Publié le 14 novembre 2012 à 15h02Mis à jour le 14 novembre 2012 à 15h11
Dans la fourgonnette, les policiers ont retrouvé des ballots de résine de cannabis de 40 kilos. © MAXPPP
Une fourgonnette en provenance de Paris devait approvisionner le trafic des quartiers Nord.
Dans la chaîne d'approvisionnement du trafic de cannabis on connaissait les go-fast, ces voitures surpuissantes qui taillent la route, bourrées d'une cargaison de cannabis depuis le Maroc ou les Pays-Bas, jusque dans les cités françaises.
Mais dans la nuit de vendredi à samedi, c'est une fourgonnette en provenance de Paris que les enquêteurs de la police judiciaire ont stoppé à Marseille.
A l'intérieur du véhicule, ils ont découvert 527 kilos de résine de cannabis révèle La Provence mercredi. Une cargaison dont la valeur est estimée à près d'un million d'euros.
© MAXPPP
C'est un réseau d'approvisionnement à grande échelle que vient de démanteler l'antenne, marseillaises de l'Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS). L'enquête avait débuté en juin dernier, grâce à un renseignement évoquant l'existence d'une filière alimentant le trafic dans les deux cités marseillaise du Castellas et de la Marine bleue.
Grâce à la mise sous surveillance des deux quartiers, les enquêteurs ont pu identifier le trajet et les suspects.
Apprenant qu'un nouveau convoi était en préparation samedi, la brigade des "stups" a déployé son dispositif, composé d'une quinzaine de véhicules et d'une trentaine d'hommes, sur l'autoroute A7.
Peu après un péage, les policiers ont stoppé le convoi, composé d'une Mercedes classe B, une Renault Clio et un Volkswagen Transporter dans lequel a été retrouvée la marchandise, conditionnée en ballots d'environ 40 kilos.
© MAXPPP
Les trois chauffeurs, âgés d'une cinquantaine d'années, ont été interpellés sans heurts.
Au cours de leur garde à vue, ils ont admis avoir chargé leur véhicules en région parisienne.
Les trois hommes ont été mis en examen et écroués. La police judiciaire cherche désormais à interpeller le chef du trafic.
Une saisie record qui représente un premier succès dans la zone de sécurité prioritaire des quartiers Nord, salue La Provence.
Source et publication: http://www.europe1.fr/Faits-divers/Marseille-saisie-de-527-kilos-de-cannabis-1311475/
Le Point.fr - Publié le 15/11/2012 à 08:28 - Modifié le 15/11/2012 à 10:51
Pour Hervé Gattegno, la grève de la faim du maire de Sevran Stéphane Gatignon est inacceptable. © Sipa
Le maire EELV de Sevran en Seine-Saint-Denis, Stéphane Gatignon, est en grève de la faim depuis vendredi.
Il réclame une aide financière pour sa ville et les 100 communes les plus pauvres. Vous critiquez sa démarche.
Votre parti pris : la grève de la faim, c'est la communication de l'impuissance.
Stéphane Gatignon est un homme estimable et la cause qu'il défend est respectable. Mais le mode d'intervention qu'il a choisi est inacceptable.
Un maire est élu pour représenter ses administrés et gérer les biens publics qu'ils lui ont confiés. Son mandat, c'est de défendre l'intérêt de sa ville dans le cadre des lois.
Donc son champ d'action est institutionnel, et non émotionnel. Avec sa grève de la faim, Stéphane Gatignon s'affranchit de ses devoirs d'élu. Il exerce un chantage à la compassion qui dévalue le débat politique.
Quoi qu'on pense de son courage, on ne peut que le regretter.
Mais il explique qu'il n'avait plus d'autre solution pour se faire entendre alors qu'il lui manque cinq millions d'euros pour boucler le budget de sa ville !
On le croit sur parole. Mais on ne peut pas mieux revendiquer l'impuissance du politique.
S'il juge qu'il ne peut plus rien faire pour sa ville, plutôt que de sacrifier sa santé et son corps, il peut sacrifier son mandat : démissionner.
Allons au bout de sa logique, puisqu'il rejette les concessions du gouvernement : s'il obtenait gain de cause, ce serait une invitation pour tous les élus - et pour les citoyens - à user de ce type de menace pour obtenir des décisions. C'est une forme d'incivisme.
Comme chez les maires qui refusent d'avance de célébrer des mariages homosexuels, même si la loi devait l'autoriser.
Dans ces conditions, comment expliquer que beaucoup d'élus et même plusieurs ministres lui aient apporté leur soutien ?
C'est soit de la sensiblerie, soit de l'hypocrisie.
Ce que Stéphane Gatignon dénonce, c'est le désengagement de l'État dans les collectivités : beaucoup de charges ont été transférées pour le versement des aides sociales, mais sans les ressources correspondantes.
Et le budget 2013 prévoit d'importantes réductions des dotations de l'État aux collectivités - les riches comme les pauvres. Manuel Valls, Cécile Duflot ou le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, qui sont venus au chevet de Stéphane Gatignon, défendent ce budget.
Et les écologistes, le parti de Gatignon, le voteront. Rien de tout cela n'est très cohérent.
Est-ce que vous voulez dire, en définitive, qu'il n'y a rien à faire pour aider des villes comme Sevran ?
La solidarité nationale a ses limites : elle fonctionne sur l'argent des citoyens.
Le maire de Sevran trouve lui-même injuste d'avoir à partager le produit de la taxe professionnelle avec les communes voisines.
Si le maire de Neuilly, de Lyon ou de Nice disait cela, tout le monde pousserait des cris !
D'ailleurs, les maires des villes les plus riches (Paris, Lyon, Grenoble...) ont écrit à Jean-Marc Ayrault pour s'inquiéter de la montée des aides aux villes pauvres. La seule solution, c'est de revoir d'urgence le fonctionnement de la décentralisation. François Hollande vient d'appeler à réviser le fonctionnement de l'État et l'organisation territoriale. Il ne faudra pas s'en tenir à un plan d'économies.
Sinon, le maire de Sevran ne sera pas le seul à rester sur sa faim.
Deux femmes portant le niqab ont agressé une femme chrétienne et coupé ses cheveux dans le métro dimanche – le troisième incident du genre signalé en deux mois –, suscitant la crainte d’un mouvement croissant de justicières cherchant à punir les femmes qui ne portent pas le voile en public.
L'Organisation égyptienne des droits humains a déclaré dans un communiqué que les assaillantes ont traité la femme chrétienne, 28 ans, d’«infidèle », et lui ont fracturé le bras en la poussant hors du wagon de métro.
La femme chrétienne a signalé l'incident à la police et déposé un rapport médical pour confirmer l'agression.
Le directeur de l’Organisation égyptienne des droits humains, Naguib Gabriel, a exhorté le ministre de l'Intérieur à affronter le problème des attaques récurrentes contre les femmes non voilées avant qu’elles ne deviennent pratique courante.
La semaine dernière, une femme portant le niqab a coupé les cheveux d’une jeune fille chrétienne de 13 ans, Maggie Milad Fayez, dans le métro.
La même semaine, un tribunal égyptien a condamné une enseignante de Louxor à six mois de prison avec sursis pour avoir coupé les cheveux de fillettes de 12 ans refusant de porter le voile. [ ]
Ce type d'agression s'est aussi produit en BELGIQUE
Le cheikh Al-Khatib a été nommé à la tête de l'opposition syrienne à l'issue de la rencontre de Doha au Qatar, pilotée par le Département d'État américain, en vue de trouver une solution politique au conflit syrien.
Un imam sunnite modéré...
C'est le cheikh Moaz Al-Khatib, un religieux modéré, qui dirigera la nouvelle Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution syrienne, qui réunit la plupart des groupes qui s'opposent au président syrien Bachar Al-Assad. Khatib, ancien imam de la mosquée des Omeyyades de Damas, a été emprisonné à plusieurs reprises pour avoir critiqué le régime Al-Assad. ...
L'opposant Riad Seif, un ancien député, et la militante Suhair Al-Atassi ont été élus vice-présidents. (source : Radio-Canada)
...partisan de la charia :
Khatib a le soutien des Frères musulmans, un parti islamiste sunnite interdit en Syrie.
Des filiales des Frères musulmans sont parvenues à dominer les gouvernements élus en Égypte et en Tunisie après le renversement de dictatures de longue date dans ces pays. [ ]
En outre, les responsables américains pourraient avoir des difficultés à concilier les positions de Khatib avec la politique américaine.
Selon des diplomates occidentaux, Khatib a critiqué les accords conclus au Caire en juillet dernier, rédigés avec la contribution de Riad Seif, qui précisent que la Syrie post-Assad doit être de nature laïque.
Khatib a critiqué ces accords au motif qu'ils ne font pas référence à la charia islamique.
(source : Bradenton Herald, traduit par PdV)
Ces arriérés vont finir par le faire...
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Le leader djihadiste Murgan Salem al-Gohary a appelé à la destruction du Sphinx et des pyramides de Gizeh dans une interview diffusée par Dream TV samedi et qui a été vue par de très nombreux téléspectateurs.
Gohary, 50 ans, est bien connu en Egypte pour son apologie de la violence. Il a été condamné à deux reprises sous l'ancien président Hosni Moubarak, l’une des deux peines étant l'emprisonnement à vie.
Il a ensuite fui l'Egypte pour l'Afghanistan, où il a été grièvement blessé lors de l'invasion américaine. En 2007, il s’est rendu du Pakistan en Syrie, qui l’a livré à l’Égypte.
Après la chute de Moubarak au début de 2011, il a été libéré de prison par décision judiciaire.
«Il incombe à tous les musulmans d’appliquer les préceptes de l’islam ordonnant la destruction de ces idoles, comme nous l’avons fait en Afghanistan en détruisant les statues de bouddha», a-t-il déclaré.
Il a tenu ces propos au lendemain d’une manifestation de milliers d’islamistes ultraconservateurs sur la place Tahrir qui ont appelé à l’application de la charia dans la nouvelle constitution.
Ces appels ont suscité des inquiétudes parmi les progressistes, les laïcs et les Égyptiens non-musulmans.
«Allah a ordonné au prophète Mahomet de détruire les idoles, a-t-il ajouté. Quand j'étais avec les talibans, nous avons détruit la statue du Bouddha, ce que le gouvernement n'avait pas fait ».
Le vice-président du Parti Ennahda de Tunisie, le cheikh Abdel Fattah Moro, a appelé la station de télévision et dit à Gohary que le célèbre commandant militaire Amr ibn al-Aas n'avait pas détruit les statues quand il a conquis l'Egypte. «Alors, qui êtes-vous pour vouloir les détruire ?, a-t-il demandé.
Le prophète a détruit les idoles devant lesquelles les gens se prosternaient, or personne ne voue un culte au Sphinx et aux pyramides ».
Source : In TV interview, jihadi calls for destruction of Sphinx and Pyramids, Egypt Independent, 11 novembre 2012. Traduction par Poste de veille
Le ministère de l'Education nationale vient de suspendre la diffusion d'un dictionnaire numérique rédigé par des écoliers, en raison de définitions jugées sexistes.
Publié le 9 novembre 2012
Le Dictionnaire des Ecoliers, un outil pédagogique créé par et pour des enfants agite les réseaux sociaux depuis lundi. Crédit Reuters
Aujourd’hui, je tombe sur une dépêche « AFP ».
Rédigée avec la patte inimitable « AFP », avec ce cachet si particulier « AFP », avec ces vrais morceaux de petits bouts de vécu « AFP » dedans, elle ne pouvait qu’attirer mon attention.
En plus, ça parle de sexisme et d’enfants illettrés. Comme elle était d’importance, elle a été gentiment été copiée puis collée dans différents organes de cette presse que le monde du facsimilé nous envie.
Une analyse s’impose.
Avant d’aller plus loin, cette dépêche se retrouve ici ou encore là. Notez que le travail de l’un des sites aura consisté à insérer des retours chariots (qui montrent toute la finesse d’analyse du média en question) alors que l’autre aura trouvé la brillante idée d’insérer une jolie photo en chapeau de la dépêche. Tout ce travail sur le matériel brut de l’AFP est véritablement ébouriffant.
Pour rappel, les subventions directes à la presse (c’est à dire, votre argent) se montent cette année à plus d’un demi-milliard d’euros. On appréciera la bonne utilisation de ces fonds.
Et justement, à quoi ont été employés les fonds ? A nous narrer l’histoire rocambolesque d’un dictionnaire écrit par des écoliers, afin de les inciter à écrire et éviter ainsi l’écueil de l’illettrisme dans lequel l’Education Nationale s’emploie pourtant à les flanquer en toute bonne foi. L’idée, au départ, est comme d’habitude à la fois simple et parfaitement idiote :puisque les élèves savent à peine écrire, plutôt que reprendre leur enseignement avec des bases solides et des méthodes éprouvées, appliquons-nous à leur coller un exercice complexe et qui n’a pas été déjà fait auparavant ce qui nous évitera ainsi tout benchmark infamant. Faisons pondre à des élèves de grande section jusqu’au CM2 plusieurs milliers de définitions sur des mots divers et variés, collationnons l’ensemble et déclenchons ensuite une bonne polémique de vierges effarouchées lorsqu’on commencera à lire le résultat.
Parce qu’il faut comprendre que les définitions produites par des élèves au cerveau pas encore suffisamment lavé sont remplies d’abominables évidences machismes que seul un passage par l’Éducation Nationale, citoyenne et responsable, pendant une douzaine d’années, permet d’amoindrir.
Vous pensez que j’exagère ? Que nenni. Il suffit de lire la dépêche, phrase à phrase.
Le père, c’est « le chef de famille » et la mère « repasse »
Repasser, cela signifie qu’on porte des chemises proprettes avec, pourquoi pas, des petits pulls. Si la chemise est sous le petit pull, il n’y a alors pas besoin de la repasser, morbleu !Dès lors, plutôt que d’interdire, le gouvernement devrait lancer une campagne d’information sur les tissus sans repassage, et aussi une campagne de formation des hommes au repassage, pardi ! Si les hommes refusent de repasser, c’est à leur(s) femme(s) de se révolter et pour cela, rien de plus simple : la menace de devoir aller au travail avec une chemise froissée aura tôt fait d’éliminer cet insoutenable esclavage du fer.
15Jeudinov 2012
Publié par jpbacman in Uncategorized
Une Romanaise de 15 ans a été arrêtée mardi par la police, après le vol de trois téléphones portables auprès d’autres mineurs, le tout sous la menace d’un couteau.
Les policiers du commissariat ont ainsi enregistré trois plaintes en seulement une petite heure.
Parvenant à établir un signalement, les forces de l’ordre se sont rendues au domicile de la jeune fille soupçonnée d’être l’auteure de ces vols.
Interpellée et placée en garde à vue, cette dernière aurait avoué aux enquêteurs avoir menacé trois personnes pour leur dérober leur téléphone portable, et avoir ensuite revendu les appareils dans un magasin de la ville.
Le “gérant” du commerce, un étranger en situation irrégulière âgé de 20 ans, a donc de fait été placé, lui aussi, en garde à vue.
Ce dernier aurait indiqué aux policiers qu’il n’était pas le propriétaire, mais simplement là pour un remplacement.
Il a été remis en liberté en attendant la poursuite de l’enquête, et la jeune Romanaise fait quand à elle l’objet d’une convocation par officier de police judiciaire (COPJ) à comparaître le 18 décembre devant le juge des enfants.
Le Dauphiné.com
http://www.ledauphine.com/drome/2012/11/14/une-adolescente-de-15-ans-vole-trois-telephones-en-une-heur
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14:01 Publié dans Revue de presse
Par Europe1.fr
Publié le 15 novembre 2012 à 13h34Mis à jour le 15 novembre 2012 à 13h40
Avec l’abrogation du conseiller territorial, le gouvernement réfléchit à une réforme du scrutin pour les élections cantonales, prévues pour 2015.
Mais la proportionnelle sera écartée, a annoncé Manuel Valls devant les députés socialistes, mercredi 14 novembre, selon des informations du Lab.
Présent à la réunion du groupe socialiste à l’Assemblée nationale "pour présenter dans les grandes lignes le cadre de ce que pourrait être le projet de loi sur la réforme des modes de scrutin et du calendrier électoral", dixit le député Pascal Popelin, le ministre de l’Intérieur a expliqué le pourquoi de ce revirement.
Manuel Valls a ainsi avancé l’argument du Front national, selon plusieurs participants à la réunion qui ont confirmé l’information au Lab : "Manuel Valls, devant le groupe PS, a parlé du calendrier électoral et des modes de scrutin.
Il estime que si proportionnelle il y avait, il y aurait 400 conseillers généraux FN et le Vaucluse basculerait au FN."
Au moment où Jean-Marie Le Pen s'apprête à tirer sa révérence, même ses plus fervents détracteurs doivent convenir que le Front national est solidement installé au centre de la vie politique.
La marque Le Pen dispose désormais à nouveau d'un solide potentiel, 'une bonne race ', a-t-il déclaré en saluant la victoire de sa petite-fille Marion.
Mais pour comprendre ce regain éléctoral, il faut forcément revenir sur la vie de Jean-Marie Le Pen.
Tel est l'objectif que se sont assigné les deux auteurs à travers leur enquête : retracer, sans complaisance mais sans a priori, le parcours trépidant, et plus sinueux qu'on ne l'imagine, du fondateur du Front national, du Quartier latin des années 1950 au second tour de l'élection présidentielle de 2002 en passant par l'aventure Poujade, la guerre d'Algérie, l'héritage Lambert, la traversée du désert des années 1970, la percée des années 1980, le retour au Parlement, le divorce spectaculaire avec Pierrette Lalanne, l'affaire du ' détail 'qui ruine les ambitions lepénistes, la scission mégrétiste et, en dernier lieu, le passage de témoin, à la fois voulu et subi, à sa fille Marine Le Pen.
Si les principales étapes de cet incroyable itinéraire sont généralement connues, on en ignorait jusqu'alors lesmécanismes secrets.
Pourquoi Le Pen, parti de rien, est-il devenu l'homme politique le plus riche du pays ? Comment et pourquoi, concrètement, a-t-il bénéficié de la courte échelle de François Mitterrand ? Comment SOS Racismea-t-il été instrumentalisé pour empêcher toute alliance de la droite et du FN ?
Comment Bernard Tapie a-t-il pris le relais pour poursuivre ce travail de diabolisation du lepénisme, dans l'espoir d'en tirer un nouveau bénéfice électoral pour la gauche ?
Finalement, Le Pen a préféré détruire son propre parti plutôt que de partager le pouvoir et se préserver une chance de l'exercer un jour.
Sa place de finaliste du scrutin présidentiel de 2002 ne marque pas son apogée mais son déclin, ouvrant un cycle de nouveaux conflits internes entre le Front de Marine et le Front d'avant, ni le père ni la fille ne sachant comment gérer le conflit familial latent qui marque la succession du premier par la seconde.
Le rebond du Front national en 2002 sous l'impulsion de Marine Le Pen signe ainsi le bilan d'une diabolisation qui, en s'efforçant de marginaliser le FN, a finalement réussi à maintenir les Le Pen au centre de la politique française.
À travers cette première biographie politique exhaustive, c'est toute une histoire française qui se dévoile peu à peu au lecteur.
L'enquête de Philippe Cohen et Pierre Péan se fonde sur de nombreux documents inédits et quantité de témoignages d'acteurs connus ou méconnus de l'aventurelepéniste.
Le leader du Front national a lui-même accepté de répondre, au cours de plusieurs entretiens qu'il leur a accordés, aux questions des auteurs.
Une première, s'agissant d'un livre qui lui est consacré.
Cette conquête est aussi l'histoire d'une saga familiale et des relations complexes et parfois tumultueuses entre le chef du clan Le Pen et ses trois filles.
Plus de courant à la mosquée d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis).
La raison, ERDF a coupé le courant du fait de l’accumulation de factures EDF non payées depuis de nombreux mois, leur montant total arrivant maintenant à 60.000 €.
Le site musulman SaphirNews nous apprend que deux associations se disputent la gestion de la mosquée : l’Organisme de gestion de la mosquée d’Épinay (OGME) et l’Union des associations musulmanes d’Épinay (UAME).
La première sensée officiellement gérer la mosquée n’a pas d’argent.
La seconde “qui s’estime plus légitime, continue de gérer la mosquée et reste active en collectant les dons des fidèles… sans pour autant vouloir mettre un sou dans les factures d’électricité.”
Les dons des fidèles lui ont fait récolter 160.000 € mais « L’UAME dit garder cet argent pour l’achat d’une nouvelle mosquée », déclare le trésorier de l’OGME. Avez-vous bien suivi ?
Une somme de 160.000 € de dons des fidèles n’a rien d’étonnant puisque Épinay-sur-Seine, plus de 50.000 habitants au dernier recensement (sans compter les immigrés clandestins), est soumise à une substitution de population intense : dès 2005 rien que les personnes d’origine maghrébine, subsaharienne ou turque représentaient plus de la moitié des jeunes de moins de 18 ans de la commune.
Un micmac à l’orientale où des esprits mal intentionnés pourraient imaginer voir une tentative de faire payer une partie d’une nouvelle mosquée en ne réglant pas les factures EDF, donc sur le dos de l’ensemble des abonnés en France…
GAZA - Le décompte macabre des morts Palestiniens et Israéliens a recommencé. Jeudi 15 novembre, selon un dernier bilan, sept Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par des raids aériens.
Au même moment, un missile s'est frayé un chemin à travers le Iron Dome, le "dôme d'acier" israélien anti-missile. Il s'est abattu sur un immeuble, à 30 kilomètres de la bande de Gaza, pour tuer trois Israéliens.
Les violences ont grimpé de plusieurs crans la veille. Après une trêve de 24 heures, le Hamas a perdu son chef militaire Ahmad Jaabari, visé par un missile. En retour, il a promis "l'enfer" et lancé 250 roquettes.
Pour sa part, Israël a déclenché de féroces raids aériens et laissé la porte grande ouverte à une "intervention terrestre". Spectatrice, la communauté internationale se range derrière son challenger. Etats-Unis et Royaume-Uni avec Israël. Egypte, Russie, Iran, avec les Gazaouis.
Tout est en place pour une nouvelle "escalade" et "Pilier de défense" ravive les plaies de l'opération "Plomb durci" de 2008-2009. Quelles sont les intentions d'Israël en lançant cette nouvelle opération d'envergure ?
Frapper pour dissuader
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, s'est expliqué dans une déclaration que l'on peut retrouver traduite sur le site du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) : "Le Hamas et les organisations terroristes palestiniennes ont décidé d'intensifier leurs attaques contre les citoyens d'Israël au cours de ces derniers jours. Nous n'accepterons pas une situation dans laquelle les citoyens israéliens sont menacés par la terreur des roquettes. Aucun pays n'accepterait cela, Israël ne l'acceptera pas."
L'accumulation de roquettes et d'armes sophistiquées dans la bande de Gaza, conjuguée à une semaine de tirs ont conduit à une lente escalade.
Finalement, les responsables politiques israéliens auraient jugé la menace trop importante pour ne pas intervenir, selon les experts militaires consultés par le New York Times.
Dans les colonnes du quotidien américain, Gabi Siboni, colonel en charge du programme militaire et stratégique de l'Institute for National Security Studies à Tel-Aviv, explique ainsi : "La dissuasion devait être maintenue (...). Ce n'était qu'une question de temps avant que ce moment n'arrive."
Vers une opération terrestre ?
La dissuasion ira-t-elle plus loin ? Le porte-parole de Tsahal, le général Yoav Mordechai, a prévenu : "Des préparatifs sont en cours et si nécessaire, l'option d'une entrée par voie terrestre est à notre disposition."
L'attitude d'Israël pourrait dépendre de celle du Hamas qui risque gros dans une confrontation directe. "Israël a réussi à créer un dilemme pour le Hamas : soit une confrontation totale, soit une trêve sur des bases nouvelles", a expliqué à l'AFP Naji Charab, professeur de sciences politiques à Gaza.
Or, en cas d'intervention terrestre, le Hamas pourrait perdre le pouvoir dans la région, renversé par Israël.
Le ministre de la Défense, Ehud Barak, n'a rien exclu. "Nous sommes au début des événements et ça ne fait que commencer", a-t-il menacé, ajoutant qu'Israël entreprendrait "tout ce qui est nécessaire pour ramener la paix dans le Sud". Alors que la région est régulièrement visée par des tirs de roquettes, plusieurs habitants se sont félicités auprès de l'AFP de cette opération, malgré un regain de tirs. "Nous sommes à bout de nerfs depuis des années à cause de ces tirs de roquettes, il est temps de ramener le calme", a ainsi affirmé un habitant de Netivot, une ville frontalière de la bande de Gaza.
Une opération politicienne
Benyamin Netanyahu "a compris que sans attaque sur Gaza maintenant, on n'aurait pas voté pour lui", a glissé un autre à l'AFP. Et des voisins de commenter : "Bravo Bibi ! On est avec toi !" C'est peut-être là le second objectif de cette opération. Satisfaire l'électorat à deux mois des élections législatives.
D'abord, avec l'assassinat de Jabaari (qui avait été raté en 2004), Netanyahu s'offre son "Oussama Ben Laden", remarque le quotidien israélien Haaretz.
Soit "un formidable atout électoral" comparable a ce qu'a été le chef d'Al-Qaïda pour Barack Obama, selon le journal d'opposition. Le Figaro rappelle qu'en 2006, "Jaabari (a orchestré) la capture du soldat israélien Gilad Shalit à la lisière de la bande de Gaza".
Il a été l'un des principaux négociateurs pour sa libération contre près de 1 000 prisonniers palestiniens.
Haaretz (article payant) poursuit la comparaison avec Obama et explique encore que "Pilier de défense" et ses conséquences clouent le bec aux opposants de Netanyahu tancé dans les sondages, comme Sandy a contraint Mitt Romney à un quasi-silence.
Chacun se trouvant bien forcé de serrer les rangs. La campagne électorale est du coup gelée.
Enfin, souligne Le Figaro, l'opération permet au leader du Likoud (droite) de restaurer son image de "meilleur garant de la sécurité des Israéliens" mise à mal par les tirs du Hamas.
Le Hamas pourrait en sortir renforcé
Toutefois, la manœuvre n'est pas sans risques. D'abord, les assassinats extrajudiciaires pratiqués entre 2000 et 2005 n'handicaperont pas forcément le Hamas.
Le Monde rappelle que durant la campagne d'assassinats ciblés, "sa popularité n'a été nullement atteinte par les coups de boutoir israélien. Au contraire. Auréolé du sacrifice des ses 'martyrs', considéré par une partie de la rue palestinienne comme le parti de la 'résistance", le Hamas reporte ses ambitions sur la scène intérieure gazaouie, en participant aux élections". Pour leur plus grand succès.
Ensuite, l'opération ruine les efforts de rapprochement avec l'Egypte.
Cette dernière est dirigée depuis l'élection présidentielle de juin 2012 par l'islamiste des Frères musulmans Mohamed Morsi, proche du Hamas, qui s'était montré jusque-là conciliant.
Le président égyptien a déjà rappelé son ambassadeur en Israël, et son Premier ministre se rendra vendredi à Gaza. Morsi est dans une position délicate, pris entre la sympathie de son opinion pour la cause palestinienne et le souci de préserver les relations avec Washington. Il sera dans tous les cas moins complaisant que son prédécesseur, Hosni Moubarak.
Lors de sa campagne, Morsi avait promis une politique plus dure vis-à-vis d'Israël, dont il ne mentionne jamais le nom dans ses discours.
Source et publication: Gaël Cogné http://www.francetvinfo.fr/frappes-a-gaza-que-cherche-israel_170401.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20121116-[lestitres-colgauche/titre1]
La tirade du présentateur suédois-algérien Yahya Abu Zakaria sur la «pourriture morale» et la «dépravation» des musulmans vivant en Occident.
Extraits d’une interview du chercheur islamologue égyptien Ali Abd Al-Aal diffusée par Mayadeen TV le 12 octobre 2012 :
Yahya Abu Zakaria (présentateur): De plus en plus, dans les mosquées les imams se plaignent dans leurs prêches et sermons de « l’infiltration de l’Ouest infidèle », de « l’Occident européen croisé », et de « la maison des infidèles et la maison de l’islam ».
J’ai déjà évoqué le fait qu’en Andalousie les musulmans pratiquaient la fornication, l’homosexualité et la débauche. De nos jours, si vous voyagez en Europe où vivent 50 millions de musulmans… vous voyez que 80 % d’entre eux sont des mendiants qui vivent de l’aide sociale occidentale. En d’autres termes, les Européens paient des impôts et l’Etat donne aux musulmans de l’argent pour se nourrir.
Le musulman en Occident ne gagne pas son pain quotidien. S’il vivait dans un pays musulman, ça aurait été moindre, les vaches et les chèvres ont accès à la nourriture aussi. 80 % d’entre eux sont au chômage.
Je vais vous citer un exemple venant de Suède : il y a 500 associations islamiques et une seule association juive. Toutes les mosquées en Europe subissent des vols. En accord avec les lois européennes qui soutiennent la diversité des religions et des cultures, l’Etat subventionne les musulmans, et les dirigeants des mosquées volent ces fonds.
Parfois, vous voyez un iman qui embauche sa femme pour entretenir les sols, puis il lui demande de rester à la maison. Vous avez aussi l’arnaque des faux divorces : un musulman divorce de sa femme sur le papier, ensuite les services sociaux procurent une maison à sa femme, puis il reprend sa femme et loue cette maison au marché noir.
J’ai souvent visité des prisonniers musulmans en Occident. Ces dealers de drogue et violeurs me disaient : « Demande au gardien de nous donner des repas halal ». Ils voulaient de la viande sacrifiée selon le rite musulman. Je leur répondais : « Je vous renie tout autant que si vous mangiez du porc. Vous faites du trafic de drogue au nom de Mahomet et de l’islam, et vous osez encore proclamer que vous appartenez à la pure civilisation de l’islam ».
Les musulmans ne s’élèvent pas au niveau de leur religion. Les attentats à Londres, Madrid, et partout ailleurs… et les images en Occident de ces musulmans fiers de leurs massacres… Les caméras montrent ces musulmans à longues barbes en train d’égorger un autre musulman tout en criant : « Allah Akbar ».
Qu’attendez-vous de l’Occident quand il voit une moralité aussi pourrie ? Qu’il ignore ces faits et les pardonne ?
Ali Abd Al-Aal : Monsieur, vous êtes un type bizarre
Yahya Abu Zakariya : aussi bizarre que le monde de l’islam
Ali Abd Al-Aal : je ne sais vraiment pas quoi faire de vous
Yahya Abu Zakariya : que dieu vous vienne en aide
Ali Abd Al-Aal : Laissez-moi aussi m’exprimer. Nous savons tout ce que vous dites-là. Ces faits sont réels mais je ne pense pas que nous devrions perdre votre temps, mon temps et celui des téléspectateurs à écouter votre liste de tragédies, d’afflictions et de crimes…
Yahya Abu Zakariya : Je ne suis pas venu ici pour dénoncer l’Amérique et l’Europe. Je suis entièrement d’accord avec vous : détruisons l’Amérique, mais d’abord, arrêtons de nous massacrer entre nous et alors nous pourrons attaquer l’Amérique.
Ali Abd Al-Aal : Mon frère, je ne vous ai pas demandé de dénoncer qui que ce soit. Je suis venu discuter des relations entre l’Occident et la civilisation arabe et islamique. N’importe quel gamin au Caire ou au Yémen pourrait raconter les choses dont vous parlez. Tout le monde est au courant de cela.
[…]
Il ne faut pas croire que tous les musulmans sont comme cela. Qui vous a raconté des choses pareilles ? L’islam est plein de respect envers les animaux, et même envers les objets inanimés
[…]
Yahya Abu Zakariya : Nous invitions des prédicateurs islamiques dans les capitales occidentales. On leur disait qu’il est difficile d’organiser des sessions le matin car la plupart des jeunes musulmans sont à l’école, et que c’est plus facile de les rejoindre en soirée. Or certains de ces prédicateurs préféraient passer leurs soirées à regarder du porno plutôt que d’enseigner aux enfants musulmans.
[...]
Source : MEMRI. 12 octobre 2012. Traduction par Capucine pour Poste de veille
Sacrilège !
Une photographie des candidates au titre de Miss Belgique 2013 fait polémique auprès de nombreux Marocains qui jugent "indécent" de poser en tenue légère devant une mosquée.
Les vingt finalistes du concours Miss Belgique sont actuellement au Maroc pour le traditionnel "voyage des Miss".
Mais leur présence a sucité l'ire de certins habitants, ce lundi après que celles-ci ont posé en jupes et shorts courts devant la mosquée Hassan II à Casablanca, présentée comme la plus grande au monde après celle de la Mecque.
La photographie fait désormais couler beaucoup d'encre au pays, les tenues légères portées par les jeunes femmes ne sont pas au goût de tous.
"Ces comportements peuvent provoquer la discorde et l'instabilité. C'est une atteinte aux lieux de culte", a indiqué le journal conservateur Attajdid.
Dans les colonnes de ce quotidien attaché au parti islamiste au pouvoir au Maroc, un avocat s'insurge également. "Qui a accordé l'autorisation à ces jeunes filles de poser de la sorte devant la mosquée?". Une enquête doit être ouverte par le ministère de l'Intérieur marocain.
Le ministère des Affaires islamiques s'est refusé à tout commentaire sur cet incident diplomatique à l'heure qu'il est.
Les commentaires vont bon train sur la toile. Certains Marocains se montrent cléments envers les Miss belges en indiquant qu'il n'y a rien de mal à se dévoiler de la sorte. "De nombreux Marocains font de même.
Certains vont même batifoler derrière ce lieu de culte", commentent des habitants de la ville. Le quotidien As-Sabah, qualifie d'ailleurs cet incident de "tempête dans un verre d'eau". "Allah aime la beauté et il n'y a pas de mal à ce que de jeunes beautés posent devant la grande mosquée", peut-on lire dans ce journal.
D'autres, quant à eux, se disent "indignés" par ces clichés et dénoncent le comité Miss Belgique.
Darline Devos, la présidente du comité, a présenté ses excuses au peuple marocain. "Je comprends l'émoi", a-t-elle indiqué. "Notre intention n'était pas de provoquer. C'était spontané".
Les journalistes belges qui participent à ce voyage ont également été invités à effacer ces clichés.
Source : 7sur7, 7 novembre 2012
Qu’il me soit permis réagir aux tentatives de dissimulation manifestées par Mohamed Siffaoui dans l’émission « C’est dans l’air » du mardi 13 novembre intitulée « Les Merah une affaire de famille », pour minimiser la portée des dernières déclarations de Souad Merah, la sœur de Mohamed Merah
Le thème de cette émission, très branchée sur l’actualité, avait été choisi suite à un reportage en caméra cachée de l’émission Enquête exclusive, diffusée dimanche soir sur M6, qui montrait des images de Souad Merah, grande sœur de Mohamed, vantant sa fierté pour les sept meurtres commis par son frère.
Filmée en compagnie d’Abdelghani Merah, qui vient d’écrire un livre avec Mohamed Siffaoui, elle se justifie : « Je suis fière de mon frère, il a combattu jusqu’au bout« , explique-t-elle, avant d’ajouter qu’elle « pense du bien de Ben Laden. Je l’ai dit aux flics, je peux te le dire à toi. Je suis fière, fière, fière. »
Sur ces images, Souad revendique également son antisémitisme : « Les juifs, tous ceux qui sont en train de massacrer les musulmans, je les déteste ». « Les salafistes, ils agissent », dit-elle encore. « Moi et (Abdel)Kader, on soutient les salafistes, Mohammed a sauté le pas. »
Au cours de l’émission « C’est dans l’air « , à l’une des questions d’un auditeur quant à savoir s’il y avait beaucoup de Souad Merah en France, Mohamed Sifaoui a réagi comme un pleutre – visible à ses bajoues qui se mettent à trembler et au voile qui descend alors sur son regard – en déniant l’intérêt de cette question, pourtant fondamentale, qui visait à faire ressortir si Saouad Merah ne constituait qu’un cas isolé ou bien si elle représentait une façon de penser très répandue chez les musulmans et les musulmanes habitant dans notre pays aujourd’hui.
Or, il se trouve qu’avant d’avoir le privilège d’écrire dans Riposte Laïque, je menais mon combat d’investigation de la religion musulmane tout seul, en assistant à des conférences données par des islamistes ( Tariq Ramadan, Fédération des associations musulmanes de Bouches-du-Rhône, Elections des membres du Conseil Français du Culte Musulman ) accompagné pour la façade d’une amie marocaine quelquefois et pas toujours la même.
Souvent les discours que j’entendais contre notre pays et notre culture me tordaient les boyaux, mais après retour à l’air libre, je rigolais bien.
Plusieurs fois, je me suis rendu seul ou accompagné au Parc Chanot de Marseille et au parc des expositions des quartiers nord.
Et là j’ai assisté au spectacle ahurissant de centaines de Souad Merah voilées et de tous les âges, levant le poing vers le plafond sitôt qu’il était question d’Israël et la Palestine.
Le plus surprenant, c’étaient surtout les visages, recuits dans la haine, de femmes musulmanes âgées faisant des gestes de mise à mort, dès qu’il était question de l’avenir d’Israël en Palestine.
Monsieur Mohamed Sifaoui, encore une fois vous ne tromperez personne comme cela est conforme aux stratagèmes de votre religion en tentant de masquer la vraie nature de l’Islam.
Aussi, au lieu de continuer vous abrutir en lisant votre satané Coran, tournez votre visage vers le ciel, on vous attend.
Source et publication: Huineng http://ripostelaique.com/nen-deplaise-a-lenfumeur-sifaoui-il-y-a-des-milliers-de-souad-merah-en-france.html
16Vendredinov 2012
Publié par jpbacman in Uncategorized
Djaz, un berger belge malinois de 4 ans, spécialement entraîné pour « renifler » les billets de banque, a pleinement réussi sa mission dans la Meuse aux domiciles de trois personnes redevables de plusieurs dizaines de milliers d’euros au fisc. L’animal a été appelé pour cette opération avec l’adjudant Eric Lionnet, maître-chien à la gendarmerie d’Epinal dans les Vosges.
Il existe en France 76 équipes cynophiles, sur un total de près de 400, spécifiquement formées pour détecter les billets, composés de sept encres différentes. « L’encre est présente en très petite quantité, donc elle émane très peu, c’est une mission très difficile », insiste le militaire.
Quatre heures d’entraînement quotidien
Le Trésor public suspectait ces contribuables indélicats de dissimuler des billets de banque. Une première fouille de leurs appartements a permis de retrouver quelques armes, dont des carabines et des revolvers, mais aucun billet de banque. Djaz est alors entré en scène. Et à deux reprises il a marqué l’arrêt, une première fois devant une boîte dans laquelle l’argent était dissimulé sous plusieurs couches de sucre. Le chien a détecté une seconde liasse de billets de 10 €, de 20 € et de 50 € dans une boîte contenant du café.
Le montant des sommes saisies n’a pas été communiqué. Il ne serait pas « très important » mais confirmerait une organisation d’insolvabilité de la part des suspects. « Quand on est redevable d’une somme à l’Etat, aussi importante soit-elle, on doit la payer », insiste Gilles Guillaud, directeur de cabinet du préfet de la Meuse.
Depuis le début de l’année 2012, en France, les chiens spécialement formés à Gramat, dans le Lot, ont retrouvé pour près de 2 M€ de billets dissimulés, « dans le cadre d’affaires de trafic de stupéfiants, de blanchiment d’argent ou de fraude fiscale ». « Nos missions sont de plus en plus nombreuses », assure l’adjudant Eric Lionnet, qui se disait hier très fier?de son chien avec lequel il s’entraîne quatre heures par jour.
Le Parisien
http://www.leparisien.fr/faits-divers/lorraine-un-magot-decouvert-par-le-chien-renifleur-de-billets-16-11-2012-2326551.ph
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16Vendredinov 2012
Publié par jpbacman in Uncategorized
L’adolescent de 15 ans, originaire de Bobigny (Seine-Saint-Denis), hospitalisé jeudi soir dans un état critique après le braquage d’une bijouterie d’Ermont, dans le Val-d’Oise estce vendredi matin sorti d’affaire, selon nos informations..
Le commerçant soupçonné d’avoir ouvert le feu sur ce jeune malfaiteur présumé a été placé en garde à vue.
Jeudi soir, le quartier de Cernay, à Ermont, était plongé dans la nuit. Seule la devanture de la bijouterie Ducoulombier était encore éclairée au pied des immeubles.
Les policiers d’Ermont ont mis en place un périmètre autour du commerce. Les enquêteurs de la PJ de Cergy et les fonctionnaires de l’identité judiciaire procédaient aux premières investigations dans la boutique, dans un quartier qui restait parfaitement calme.
Le drame s’est joué à 19 heures précises, alors que le bijoutier se préparait à fermer son magasin de l’avenue de Stalingrad. Il n’y avait alors plus aucun client et c’est le moment que l’adolescent a visiblement choisi pour passer à l’acte.
Touché d’une balle dans la tête
Dans des circonstances qui n’ont pas été précisées hier soir, il a été touché d’une balle dans la tête et rapidement pris en charge par les secours, qui ont été alertés tout de suite. Les premiers soins ont été prodigués sur place par les médecins du Samu avant que la victime ne soit évacuée dans un état préoccupant vers l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.
Ce vendredi matin, son état de santé s’est amélioré selon nos informations.
Le procureur Yves Jannier et le procureur adjoint Erick Maurel se sont déplacés sur les lieux des faits en soirée, ainsi que le maire d’Ermont, Hugues Portelli.
Le placement en garde à vue du bijoutier, un homme âgé d’une cinquantaine d’années, suspecté d’avoir ouvert le feu sur la victime, a été confirmé.
Autour de la boutique, les faits semblent être passés inaperçus.
Le cuisinier comme le propriétaire de la pizzeria située en face n’ont rien entendu.
Pas plus que les habitants du quartier croisés dans l’avenue peu après les faits.
Le Parisien
http://www.leparisien.fr/faits-divers/ermont-le-bijoutier-ouvre-le-feu-sur-un-adolescent-braqueur-16-11-2012-2326369.ph
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