Quantcast
Channel: JEAN-MARIE LEBRAUD
Viewing all 5650 articles
Browse latest View live

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

$
0
0

A ceux qui prétendent qu’il y a de l’islamophobie en France

3 novembre 2012, 18:57 Auteur : Jean  
 

Si la France était si islamophobe, anti-musulmane ou anti-islam, elle ne serait pas la deuxième nation non-musulmane à accueillir le plus de musulmans…


Or la France est un des premiers pays non musulman au monde à accueillir des musulmans, avec environ 6 millions de musulmans, soit près de 10% de la population.

L’Allemagne en compte 4,2 millions, soit 5,21%.

Le Royaume-Uni en compte 2,5 millions, soit 4%.

Quant à la Chine, elle en compte 54 millions mais cela ne représente que 4% de la population totale.

Seule la Russie dépasse la France, et en pourcentage et en quantité, avec 22,2 millions de musulmans, soit 15,84% de sa population.

Les USA, avec 8% de sa population et 8,5 millions de musulmans, arrive après la France.


A rappeler à votre interlocuteur la prochaine fois qu’il accuse notre pays d’islamophobie.  

 

Sourceet publication::         http://www.enquete-debat.fr/archives/a-ceux-qui-pretendent-quil-y-a-de-lislamophobie-en-france-55204


TRIBUNE LIBRE: LES CHOCS DES CIVILISATIONS ......

$
0
0

L’Histoire démontre que l’affrontement entre l’islam et la République est inévitable

En France, depuis l’installation de la nouvelle équipe gouvernementale, tout est censé aller pour le mieux entre la République et l’islam.

Certes, il y a bien, ici ou là, des femmes en burqa, des hommes en djellaba, des prières de rue, des voitures brûlées, des filles violées par des «jeunes», des policiers tués par des «chances pour la France» et des invitations à «égorger les juifs », mais tout cela semble fort raisonnable, puisqu’on s’en accommode !

Après tout, ne nous dit-on pas que la France est devenue multiculturelle ?

Elle l’est devenue, effectivement, et cela mérite qu’on s’y attarde, car le multiculturel  ne conduit pas à l’harmonie mais au chaos.

L’harmonie n’est possible que s’il existe une authentique fusion nationale. Cela ne se construit pas par hasard, mais par raison.

Et que dit la raison ? Qu’il est primordial de partager les mêmes valeurs si l’on veut vivre en bonne entente. Or, qu’en est-il des valeurs françaises ?

Sont-elles islamiques ou sont-elles l’expression d’un humanisme démocratique et féministe ?

L’islam est-il démocratique ? Est-il féministe ? Peut-on seulement le qualifier d’humanisme ? L’humanisme ne prend-il pas pour fin la personne et son épanouissement ?

Ne faut-il pas pour cela poser l’égalité en droits de tous les humains, et par suite l’égalité des sexes ? Est-ce cela que prône l’islam ? Le musulman ne se considère-t-il pas comme au-dessus des autres êtres humains, du seul fait qu’il est musulman ?

Dans l’islam, la femme a-t-elle les mêmes droits que l’homme, et le non-musulman  les mêmes droits que le musulman ? Que dit des juifs le Coran ? Ces derniers ne sont-ils pas appelés à disparaître ? Que dit-il des femmes, sinon qu’elles sont inférieures à l’homme ?

Or, les valeurs françaises ne sont-elles pas rigoureusement opposées, dans leurs fondamentaux mêmes,  à l’antisémitisme comme à l’inégalité des sexes ?

Ces mêmes fondamentaux ne contiennent-ils pas, également, la liberté d’expression et la liberté de conscience ?

Quel musulman est autorisé à dire ce qu’il pense dès lors qu’il ne pense plus selon les exigences de l’islam ? Quel musulman est autorisé à changer de religion ou à n’en plus avoir ? Quelle sanction prévoit l’islam en cas d’apostasie ? N’est-ce pas la mort ? La France n’a-t-elle pas aboli la peine de mort ?

Hormis les aveugles idéologiques, qui donc peut assurer la France d’un avenir radieux alors que les antagonismes axiologiques entre la République et l’islam sont légion ? Car il s’agit bien d’antagonismes et non de différences. Si vous en doutez, essayer de concilier l’humanisme et la charia !

Ces chocs de civilisations ne datent pourtant pas d’aujourd’hui.

Les causes qui les produisent sont toujours identiques et reposent sur la diversité d’origine, car l’Etat ne peut pas se former du premier peuple venu. Ainsi, «à Byzance – note Aristote – les colons nouvellement arrivés dressèrent un guet-apens aux citoyens ; mais ils furent battus et forcés de se retirer».

De même, «les Antisséens, après avoir reçu les exilés de Chios, durent s’en délivrer par une bataille. Les Zancléens furent expulsés de leur propre ville par les Samiens, qu’ils y avaient accueillis. Apollonie du Pont-Euxin eut à subir une sédition pour avoir accordé à des colons étrangers le droit de cité.

A Syracuse, la discorde civile alla jusqu’au combat, parce qu’après le renversement de la tyrannie, on avait fait citoyens les étrangers et les soldats mercenaires.

A Amphipolis, l’hospitalité donnée à des colons de Chalcis devint fatale à la majorité des citoyens, qui se virent chasser de leur territoire»

(Politique, livre VIII, chap. II, paragraphes 10 et 11).

Si encore l’Histoire pouvait servir à ne pas resservir les mêmes plats !

Source : Maurice Vidal      http://ripostelaique.com/lhistoire-demontre-que-laffrontement-entre-lislam-et-la-republique-est-inevitable.html


U S A : LES CHIFFRES QUI DISENT TOUT !!!

$
0
0

USA : 10 chiffres qui disent tout

10/11/2012
 

Brève illustration de la crise par quelques chiffres sur la situation aux USA …

1) Salaires : -25%

Depuis 1990, les salaires US ont fortement baissé. Jusqu’à -25% pour les travailleurs non-qualifiés.
Sous Obama : -8%. Même en cumulant 3 ou 4 petits boulots, on reste un « working poor » (travailleur pauvre)

Baisser les salaires a t-il favorisé l’emploi comme promis ?

2) Chômage : 20%

Camouflé par les statistiques officielles, le chômage – complet ou partiel – atteint en réalité 20%. Le double chez les non-blancs.

Tout le monde s’est-il serré la ceinture ?

3) Bénéfice des sociétés : 2000 milliards

L’impôt sur les sociétés a atteint son record le plus bas en 40 ans. Les bénéfices 2012 atteindront un record sans précédent.

Qui a bénéficié de cette hausse des profits ?

4) 1% de super-riches

En 1970, un PDG gagnait 40 fois le salaire d’un ouvrier. Aujourd’hui : 1000 fois plus. Au pays de l’inégalité extrême, 1% des super-riches encaissent 25% des revenus et possèdent 35% des richesses.

Qui paie cet accroissement de la richesses ?

5) 100 millions de pauvres

1 citoyen sur 3 est pauvre : 97 millions de « bas revenus » et 46 millions extrêmement pauvres. Dont 22 millions d’enfants. En hausse constante depuis 1980.

D’où vient cette progression de la pauvreté ?

6) Licenciements : 8 millions

En 2008-2009, huit millions de travailleurs ont perdu leur job. Quand une multinationale annonce un plan de licenciement, son action bondit à Wall Street.
C’est ça être un bon capitaliste.

Ce carnage social sauve-t-il l’économie ?

7) Dette : 350% du PIB

Les USA sont un pays en faillite. Si on cumule la dette de l’Etat, celle des entreprises et celle des ménages, on atteint 350% du PIB (production totale en un an).
Une bombe a retardement.

Comment les multinationales sortent-elles de cette impasse ?

8) 4 millions de personnes ont perdu leur maison

Suite à la spéculation immobilière des banques cupides, 4 millions de personnes ont été chassées de leur maison.
Il y en aura 900 000 en plus en 2013.

A quoi est utilisé tout cet argent perdu pour les uns et gagné pour les autres ?

9) La guerre en Irak : 3000 milliards de dollars

Donner à manger à tous les êtres humains couterait 35 milliards par an. C’est ce que l’armée US dépense en deux semaines.

Les citoyens ont-ils vraiment leur mot à dire ?

10) La campagne électorale : 5,8 milliards de dollars

Dont 77% viennent directement du « big business » : banques, pétrole, armement, technologies …
Les multinationales sélectionnent et financent deux candidats dociles pour que rien ne change.

Qu’allons-nous faire ?

Le problème n’est pas « Quel président ? » On se dit souvent qu’avec le « moins mauvais », on échappera au pire. Non, car le « moins mauvais » est en fait le plus intelligent pour emballer et vendre la même marchandise.

VIA : http://www.michelcollon.info/USA-10-chiffres-qui-disent-tout.html

La seule et unique solution !


http://www.les-intransigeants.com/2012/11/usa-10-chiffres-qui-disent-tout/

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS..........

$
0
0

Explosif : Jean-Marc Rouillan reprend du service

10 novembre 2012

Explosif : Jean-Marc Rouillan reprend du service
 
 
 

Jean-Marc Rouillan, ancien chef de l’organisation terroriste Action directe, se mobilise pour la libération de son ex-voisin de cellule, Georges Ibrahim Abdallah, présenté comme « prisonnier politique » de la France alors qu’il fut l’un des terroristes les plus recherchés d’Europe !

Et, en pleine période de crise, il appelle l’extrême gauche à se radicaliser ! Ça va durer longtemps, ces clowneries ?

 

Explosif : Jean-Marc Rouillan reprend du service

Copie d’écran de 20minutes.fr

Au 18 de la rue Gambetta, à Toulouse, à quelques centaines de mètres du Capitole, se trouve la librairie Terra Nova. Un espace « alternatif »en forme de « librairie-café » où, bien sûr, le café est « équitable », les jus de fruits « bio » et la pâtisserie « algéroise ». Pieds-noirs s’abstenir: on est là dans un antre anticolonialiste et « anti-impérialiste » où la seule parole alternative est celle des gauchistes d’une ville dont la pierre rose se transforme ici en pavés du rouge le plus vif.

Mardi 30 octobre, en soirée, s’y est tenue la présentation d’un livre publié par les éditions Al Dante, ouvrage signé d’un « collectif international » accompagné d’une étoile rouge  [voir couverture du livre en bas de cet article] qui était la signature d’Action directe et sobrement titré : Georges Ibrahim Abdallah (1).

Soit 96 pages contre « l’effacement de la mémoire » à propos de celui qui est présenté, dans l’avant-propos non signé de cet « acte militant », comme « le plus ancien prisonnier politique en France » et comme « un militant révolutionnaire ».

Pour présenter l’ouvrage devant un public tout acquis à la cause du « héros » du livre, un autre « militant révolutionnaire » : Jean-Marc Rouillan.

Georges Ibrahim Abdallah, complice de crimes en série

« Prisonnier politique », Georges Ibrahim Abdallah? Les familles de ses victimes apprécieront… Incarcéré à la prison de Lannemezan, dans les Hautes-Pyrénées, ce Libanais – membre, dans les années 1970, du Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP) de Georges Habache – fut le fondateur et le chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (Farl), organisation terroriste dont le quartier général était à Beyrouth et les bases clandestines, pour ses opérations en Europe, à Paris et à Lyon. « Nous avions décidé de mener des actions à l’étranger, notamment en Europe, plutôt qu’au Liban, conformément au slogan: “Frapper l’ennemi partout où il se trouve” », confiera bien plus tard un membre des Farl à la chaîne Al-Jazeera. L’ennemi, c’est l’impérialisme américano-israélien et donc, physiquement, ses représentants…

L’apogée des Farl a lieu entre 1982 et 1984. Le 18 janvier 1982, Charles Robert Ray, attaché militaire à l’ambassade des Etats-Unis en France, est assassiné à Paris.

L’acte terroriste est revendiqué par les Farl. Le 3 avril, le diplomate israélienYacov Barsimantov est assassiné à Paris. L’acte est, lui aussi, revendiqué par les Farl. L’organisation se fait discrète en Europe durant deux ans puis, au début de l’année 1984, les crimes reprennent. Avec toujours cette obsession: frapper l’ennemi « sioniste » et ses complices partout où ils se trouvent.

Le 26 mars 1984, Robert Homme, consul américain à Strasbourg, cible d’un attentat, échappe miraculeusement à la mort. Un peu plus tôt, ce sont les locaux de la mission commerciale israélienne à Paris qui ont été mitraillés, sans faire de victimes.

Les Farl, toujours et encore, revendiquent. De même que, le 15 février 1984, elles avaient revendiqué l’assassinat, à Rome, de l’amiral américain Ray Leamon Hunt – encore aujourd’hui présenté comme « un porc » sur certains sites Internet qui pratiquent, sans que cela ne gêne quiconque, l’apologie du terrorisme.

Si Ray Leamon Hunt a été « exécuté », selon la terminologie employée par les terroristes, c’est en qualité de directeur général de la Force multinationale d’observation au Sinaï, constituée pour garantir les accords de paix de Camp David conclus en 1978 entre l’Egypte et Israël. Des accords de paix vus comme une trahison des « intérêts légitimes » du peuple palestinien…

Quand « L’Humanité » défend la cause terroriste

Pendant trois ans, Georges Ibrahim Abdallah, traqué par toutes les polices d’Europe, est l’ennemi public numéro un. Particulièrement en France qui, durant cette période, connaît d’autres vagues d’attentats commis par celui qui est considéré comme son alter ego – Carlos – et par Action directe, dirigé par Jean- Marc Rouillan. Un mouvement avec lequel Abdallah est en relations…

Arrêté en 1985 à Lyon, porteur d’un faux passeport algérien, il sera condamné en 1987 à la réclusion criminelle à perpétuité pour complicité dans les assassinats de Charles Ray et de Yacov Barsimantov, et cela après que le tristement célèbre Comité de solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient (CSPPA) avait exigé sa libération en ensanglantant Paris par une série d’attentats, dont celui de la rue de Rennes qui avait fait sept morts et cinquante cinq blessés.

C’est peu dire que le verdict de la cour d’assises spéciale de Paris fut accueilli avec soulagement, sauf par l’avocat d’Abdallah, Me Jacques Vergès, et par… le Parti communiste. Ainsi lira-t-on sous la plume deClaude Cabanes, dans « L’Humanité »: « Washington a gagné, sous les applaudissements de Tel-Aviv. »

Depuis, Georges Ibrahim Abdallah multiplie les demandes de liberté conditionnelle, systématiquement refusées. Une huitième de mande est en cours d’examen. Le parquet s’y est opposé, constatant qu’il n’avait jamais émis le moindre regret et qu’il était resté « implacable et résolu ».

Le tribunal d’application des peines doit rendre sa décision dans deux semaines, le 21 novembre. Le 23 octobre, quelques dizaines de gauchistes ont manifesté devant la prison de Lannemezan aux cris de: « Palestine vivra, Palestine vaincra/Libérez Georges Abdallah ».

Et « L’Humanité » poursuit sa croisade pour sa libération, s’étranglant dans son édition du 25 octobre qu’il «[croupisse] dans des geôles françaises [et qu’on ne lui reconnaisse] pas le statut de prisonnier politique (la démocratie française ne veut pas admettre qu’elle emprisonne des personnes pour délits d’opinion). »

L’époque des bombes : « un véritable moment de fête »
Explosif : Jean-Marc Rouillan reprend du service

Le 19 août 1982, Action Directe fait la une des médias
en revendiquant le plasticage des locaux de « Minute ».

Jean-Marc Rouillan, lui, est sorti. En 1989, le chef du groupe terroriste Action directe avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de dix-huit ans, pour l’assassinat du général René Audran, inspecteur général de l’armement, le 25 janvier 1985, et pour celui de Georges Besse, alors p-d-g de Renault, le 17 novembre 1986 – deux crimes vraisemblablement commandités par Téhéran dans le cadre du différend qui opposait la France et l’Iran dans un dossier de livraison d’uranium enrichi (2).

Depuis le 19 mai 2011, Rouillan est dehors. D’abord placé sous un régime de semi-liberté assorti du port d’un bracelet électronique, il est en liberté conditionnelle et débarrassé de son bracelet depuis le 18 mai dernier. Paraît-il, contre l’avis du parquet… Il travaille pour les éditions Agone, installées à Marseille, qui ont publié plusieurs de ses écrits, et se fait donc le VRP du « livre militant » consacré à Georges Ibrahim Abdallah, son voisin de cellule « pendant 11 ans ».

Mi-octobre il était à Istres, dans les Bouches-du-Rhône, pour y défendre « Georges » – et pourquoi pas Jojo? – et y livrer cette savante analyse: « Aujourd’hui, sa chance est peut-être de retourner au Liban. Après l’avoir oublié, aujourd’hui, la résistance palestinienne le revendique comme un de ses cadres. » 

Sûr que, dans le contexte actuel, ça va aider…

Puis il s’est donc rendu à Toulouse, où il était jusqu’alors… interdit de séjour ! Durant son régime de semi-liberté en effet, Rouillan n’avait pas le droit de se rendre dans la ville rose. Pourquoi cet interdit? Parce que c’est là que, dans les années 1970, il avait « milité » au sein des Groupes d’action révolutionnaire internationalistes (Gari), organisation armée antifranquiste responsable d’une vingtaine d’attentats et d’attaques à main armée sur le sol français; là aussi qu’il avait tissé et conservé des réseaux gauchistes… pas assez durs à son goût !

Le Centre régional des lettres n’est pas regardant

Explosif : Jean-Marc Rouillan reprend du service

Georges Ibrahim Abdallah, éd. Al Dante

Dans un entretien publié par « Libetoulouse.fr » le jour de sa venue, Rouillan se montre nostalgique de l’époque où l’âme ibérique de la ville produisait de « vraies fêtes »« La vraie fête a toujours été une remise en question de l’ordre établi… Dans la contestation radicale… En cela, la lutte des Gari par exemple a été un véritable moment de fête… » Et un mois plus tôt dans « Le Progrès de Lyon » il déclarait: « Ce qu’il manque, c’est une radicalisation véritable de l’extrême gauche, qui n’attaque pas les problèmes d’une façon radicale. » Georges Ibrahim Abdallah, le livre, est plus qu’une plaidoirie pour sa libération. C’est un véritable manifeste en faveur de celui qui « au fond de sa cellule […], n’a jamais abdiqué, ni renié la cause révolutionnaire internationaliste » en même temps qu’une défense du terrorisme rebaptisé « action anti-impérialiste ». Ainsi lit-on que s’« il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité[…] pour complicité avec les auteurs de deux actions anti-impérialistes particulièrement ciblées, la première contre l’attaché militaire de l’ambassade américaine et la seconde contre le responsable du Mossad pour l’Europe » – rappelons que les deux ont été assassinés! –, il « convient de rappeler qu’à l’époque son pays était bombardé par les avions américains et israéliens »« que des milliers de civils mouraient »« que le Sud-Liban était occupé… ».

Et alors ? En quoi cela autorise-t-il à venir assassiner des diplomates – vrais ou faux, peu importe – sur le sol français? La démonstration est d’autant moins convaincante qu’elle est d’une parfaite mauvaise foi! Ray et Barsimantov ont été assassinés par les Farl en janvier et avril 1982.

Or, l’invasion du Liban par les troupes de l’Etat hébreu (opération baptisée par les Israéliens « Paix en Galilée ») a été enclenchée le 6 juin 1982… Pour un livre qui prétend « rapporter les faits bruts », il y a à redire. De même qu’il manque un mot essentiel, celui de « terroriste », à la définition qui est donnée des Farl dans ce livre: « organisation communiste et anti-impérialiste ».

Fin 2007 déjà, Jean-Marc Rouillan avait été libéré sous un régime de semi-liberté. Moins d’un an plus tard, il repartait en prison pour avoir accordé un entretien à « L’Express » dans lequel il disait vouloir « porter le conflit[social] jusqu’à l’affrontement » et expliquait: « En tant que communiste, je reste convaincu que la lutte armée à un moment du processus révolutionnaire est nécessaire. » Et cette fois, on le laisse dehors ou on le renvoie au gnouf ?

La rencontre toulousaine à la librairie Terra Nova pour la présentation du livre par Jean-Marc Rouillan a été promue par le Centre régional des lettres de Midi-Pyrénées, financée par le conseil régional de Midi-Pyrénées – présidé par le socialiste Martin Malvy –, et par… la direction régionale des Affaires culturelles du ministère de la Culture! Rien d’étonnant, en fait, puisque les éditions Al Dante « sont régulièrement aidées/subventionnées », lit-on sur leur site, par le Centre national des livres (CNL), « établissement public du ministère de la Culture et de la Communication, [qui] a pour mission d’encourager la création et la diffusion d’ouvrages de qualité ».

SiAurélie Filipetti (le ministre de la culture) n’était pas au courant, maintenant elle l’est. 

Manuel Valls et Christiane Taubira aussi.

Antoine Vouillazère

1. Georges Ibrahim Abdallah, éd. Al Dante, 96 pages, 15 euros.
2. Lire à ce sujet : Une guerre, par Dominique Lorentz, éd. des Arènes, 1997.

Article de l’hebdomadaire “Minute” du 7 novembre 2012 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

Explosif: Jean-Marc Rouillan reprend du service

[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

SAINT-ETIENNE: L' EXTRÊME GAUCHE ATTAQUE UN LOCAL DU FN !

$
0
0

 

 Saint-Etienne : cinq interpellations lors d'affrontements entre extrémistes

  

 

Publié le 11/11/2012 à 16:36

 i les affrontements ont pu être évités lors de la cérémonie du 11 novembre à Saint-Etienne malgré des provocations de représentants de l’extrême gauche, un peu plus tôt, vers 9 heures, une bagarre a éclaté dans le local du FN faisant trois blessés.

La police a interpellé cinq personnes qui ont été placées en garde à vue.

/ Photo Claude Essertel
 
 
/ Photo Claude Essertel1 / 2
  • / Photo Claude Essertel
  • / Photo Claude Essertel
 

 Vers 9 heures ce dimanche matin, un groupe se revendiquant d’extrême gauche a pénétré dans le local du FN rue de la République et une bagarre a éclaté.

Trois jeunes du FN, tous majeurs, ont été blessés et ont porté plainte.

La police est parvenue à interpeller cinq des agresseurs, de jeunes Stéphanois majeurs qui ont été placés en garde à vue pour violences aggravées en réunion.

 

Un peu plus tard, une cinquantaine de jeunes du Front National, réunis en formation comme chaque année à Saint-Etienne ont participé à la manifestation du 11 novembre qui se déroulait place Jean-Jaurès.

Alors que les personnes présentes se rendaient place Fourneyron, les jeunes du FN ont quitté dans le calme le cortège au niveau de la place Dorian, repliant les drapeaux, pour se rendre dans leur local.

 Ils ont une nouvelle fois été pris à partie par une vingtaine de personnes se revendiquant d'extrême gauche mais les forces de l'ordre sont rapidement intervenues pour s'interposer entre les deux groupes et tous se sont séparés sans qu'aucun affrontement n'est eu lieu, les jeunes du FN refusant de répondre aux provocations et préférant entonner la Marseillaise.


A noter enfin que les représentants de l’extrême gauche ont continué à chercher l'affrontement dans l'après-midi.


Source et publication:     http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/11/saint-etienne-tentative-d-affrontement-lors-de-la-ceremonie-du-11-novembre

SYRIE/USA: MERCI MONSIEUR BARAK HUSSEIN OBAMA !

$
0
0

10/11/2012

A TABLE ! LE SOJA OGM IMPORTÉ POUR LES ANIMAUX D' ÉLEVAGE ?

$
0
0

Les animaux d'élevage français gavés de soja OGM importé

Cows feed by OGM
© Gonzalo Fuentes/reuters
En France, les vaches laitières sont parfois nourries à 25 % de tourteaux, en plus des céréales et du fourrage. 

Presque la moitié des protéines consommées par les élevages français viennent d'Amérique du Sud. Problème : il s'agit pour l'essentiel de soja transgénique, et son cours a plus que doublé cette année.
 


Attention, danger ! « Nous sommes sur un baril de poudre ! » s'inquiètent la plupart des experts agricoles français. La France importe quasiment la moitié des protéines végétales consommées par ses animaux. 

Problème : le soja, qui représente l'essentiel de ces importations, a vu son cours doubler ces derniers mois, à plus de 500 dollars la tonne. 

Tout aussi inquiétant : les agriculteurs ne peuvent plus se passer des OGM, puisque la quasi-totalité des importations vient du Brésil et d'Argentine, où le soja génétiquement modifié est la norme. 

Dépendance étrangère 50 % 

Comme le souligne Christian Huyghe, directeur scientifique adjoint à l'Institut national de la recherche agronomique, « aujourd'hui, les agriculteurs prennent conscience que le système les expose beaucoup à la volatilité des prix, et que leur autonomie est toute relative ». Comment en est-on arrivé là ? La France peut-elle reconquérir son indépendance ? Quel serait le prix à payer par les éleveurs et les consommateurs ? Décryptage. 

Une alimentation conçue pour doper les rendements 

A l'origine, il y a la quête sans fin de rendements plus élevés : des poulets prêts à consommer en cinquante jours au lieu de cent cinquante dans les années 50, des vaches qui produisent 8 000 litres de lait par an au lieu de 2 000, des poules qui pondent 250 oeufs par an contre 130 dans les années 20... En un demi-siècle, les animaux de la ferme n'ont cessé de battre des records. Au coeur de cette évolution, les progrès de la génétique, bien sûr, mais aussi une alimentation calibrée, comme celle des athlètes de haut niveau, et dopée en protéines. Pour atteindre les meilleurs rendements, on fait consommer aux boeufs, en plus des céréales et du fourrage, 5 à 15 % de tourteaux, ces résidus solides riches en protéines obtenus après l'extraction de l'huile contenues dans les graines de soja, de tournesol ou de colza. Dans les systèmes intensifs de l'ouest de la France, ce taux atteint 25 % pour les vaches laitières. 

La flambée du tourteau de soja 

Les cours se sont envolés sur les marchés mondiaux, progressant plus vite que ceux du baril de pétrole. 
market price of the ton of soya

L'Hexagone comptant 19 millions de bovins, l'« addition » pèse lourd. Et, dans le cas des élevages de porcs et de volailles, le recours aux tourteaux est encore plus systématique, car il s'agit d'animaux à croissance rapide. 

Résultat : les animaux d'élevage engloutissent 3,5 millions de tonnes de protéines par an, alors que la France n'en produit que 2 millions. « Notre dépendance dans ce domaine sera un sujet majeur des décennies à venir », affirme Michel Boucly, directeur général adjoint de Sofiprotéol. 

Alors que la planète compte déjà 7 milliards d'habitants, qu'elle en comptera 2 de plus d'ici aux années 2040-2050, et que les habitudes alimentaires changent rapidement dans des pays comme la Chine ou l'Inde, avec un engouement des classes moyennes pour le lait et la viande, « nous risquons de nous retrouver dans une impasse », s'alarme-t-il en agitant une courbe retraçant l'envolée des cours du soja. « Ils augmentent plus vite que ceux du pétrole, c'est dire ! » 

La France peut miser sur le colza et les pois 

En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des terres agricoles. Seule solution pour sortir de la dépendance à l'égard du soja transgénique : développer les cultures alternatives que sont les légumineuses (pois, féverole, luzerne, lupin...) et les oléagineux (colza et tournesol...). 

Riches en protéines, ces plantes sont bien adaptées au climat français - contrairement au soja -, et la France est loin d'avoir exploité tout leur potentiel. Seul bémol : pour les agriculteurs, il est plus risqué de cultiver ces graines que d'acheter du soja. Exemple avec le colza. On en produit 2 millions de tonnes par an, près de 700 000 il y a dix ans. Mais ce boom n'a rien à voir avec l'agriculture : il repose sur la volonté de l'Etat de développer les biocarburants. 

A l'origine, la vente de tourteaux pour les animaux n'était qu'un à-côté peu lucratif. 
Field of colza
© Robert Pratta/Reuters
Si l'utilisation des agrocarburants s'effondrait, la production de tourteaux suivrait, et la France serait encore plus dé-pendante des importations de soja. 

Pour les légumineuses, le problème réside dans la concurrence entre alimentation humaine et alimentation animale. En 2011-2012, les agriculteurs français ont consacré 245 000 tonnes de pois à la nourriture de leurs élevages. Dans le même temps, ils en ont exporté bien plus (340 000 tonnes) pour profiter de débouchés, comme l'Inde, où le pois est un aliment traditionnel. Avec la hausse tendancielle des cours du soja, les éleveurs français pourraient bien devenir des clients intéressants. Qui alors nourrira l'Inde et l'Egypte ? 

Au-delà de coûts prohibitifs pour les agriculteurs français s'ils veulent maintenir la performance de leurs élevages, se pose la question de l'opinion publique. « Comment vont réagir les consommateurs quand ils découvriront qu'une bonne partie de leur viande, de leur lait et de leurs oeufs a été produite par des animaux dopés aux OGM ? » s'interroge Michel Boucly. 

L'Europe pourrait finir par importer ses volailles 

C'est toute l'architecture d'une agriculture productiviste qui serait alors remise en cause. Pour l'instant, l'Europe et la France préfèrent fermer les yeux sur cette question explosive. Tout en sachant qu'à court terme le continent européen est pieds et poings liés. Que se passerait-il si l'Europe décidait du jour au lendemain de stopper ses importations de soja OGM ? Dans une récente étude, les experts de la Commission européenne livrent une réponse catastrophiste : le prix de l'alimentation pour les animaux d'élevage bondirait de 600 %. L'année suivant l'arrêt des importations, la production de poulets chuterait de 29 %, et celle de porcs, d'environ 35 %. D'exportatrice, l'Europe deviendrait importatrice de volailles, avec comme conséquence une hausse des prix et une chute de la consommation de 26 %. Reste à savoir qui sera prêt à payer ce prix...
http://fr.sott.net/article/11155-Les-animaux-d-elevage-francais-gaves-de-soja-OGM-importe

CANNABIS AU VOLANT: UN BÉBÉ MORT DANS UN ACCIDENT ......

$
0
0

 

Hérault. Ce que l'on sait de l'accident qui a tué un bébé de 7 mois

Publié le 11/11/2012 | 13:29 , mis à jour le 12/11/2012 | 07:22
 
 

FAITS-DIVERS – Un bébé de sept mois est mort, samedi 10 novembre dans la soirée, après qu'un chauffard a percuté le véhicule de ses parents à Pérols (Hérault).

Le conducteur a été contrôlé positif au cannabis et immédiatement interpellé. Francetv info revient en questions sur cet accident.

Que s'est-il passé ? 

Samedi dans l'après-midi, un jeune conducteur au volant de sa Fiat Punto est rentré dans l'arrière d'une voiture d'un couple de Montpelliérains et leur enfant à un rond-point situé à Pérols, commune située au sud de Montpellier. 

Le choc a projeté le siège auto de leur garçon âgé de sept mois contre le siège conducteur de la voiture.

Hospitalisé dans le coma au CHU de Montpellier, l'enfant est mort dans la soirée. La mère est elle légèrement blessée et le père, qui conduisait, s'en sort indemne.

L'enfant était-il attaché ? 

Oui. Le procureur-adjoint de la République à Montpellier, Patrick Desjardins, cité par le quotidien Midi Libre a indiqué que l'enfant était "a priori correctement attaché" à l'arrière de la voiture.

Selon les premières hypothèses, la sangle retenant le nourrisson aurait cédé sous la violence de l'impact. L'enquête et l'autopsie du corps du bébé devraient déterminer les circonstances exactes de sa mort.

Qui est le chauffard ? 

 

Le conducteur à l'origine du drame est âgé de 20 ans et domicilié à Aigues-Mortes (Gard). Il a été contrôlé positif au cannabis et affirme avoir eu un "moment d'absence", rapporte Patrick Desjardins.

Il a été immédiatement placé en garde à vue au commissariat de Montpellier et devrait être déféré au parquet lundi pour homicide involontaire par imprudence et conduite sous l'emprise de stupéfiants.

 

Source et publication: Francetv info avec AFP     http://www.francetvinfo.fr/herault-un-chauffard-controle-positif-au-cannabis-tue-un-bebe-de-sept-mois_168179.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20121112-[lestitres-coldroite/titre7]


MALI : UNE INTERVENTION QUI N' EST PAS SANS RISQUES.......

$
0
0

Mali. Une intervention militaire qui n'est pas sans risques

Publié le 13/11/2012 | 06:10 , mis à jour le 13/11/2012 | 06:10
De jeunes combattants islamistes, dont deux mineurs, dans le nord du Mali, le 27 septembre 2012.

De jeunes combattants islamistes, dont deux mineurs, dans le nord du Mali, le 27 septembre 2012.

(BABA AHMED / AP / SIPA)
 
 

MALI - "Cette intervention est nécessaire, parce qu'il est impossible de négocier avec les terroristes et les trafiquants de drogue." 

Dans un entretien au Figaro, le président nigérien Mahamadou Issoufou, qui doit rencontrer mardi 13 novembre François Hollande, résume bien l'état d'esprit général. Application de la chariadestruction de mausolées, menace terroriste et prises d'otages par divers groupes islamistes armés dans le Nord-Mali excèdent une bonne partie de la communauté internationale, qui ne jure plus que par une intervention militaire pour que le Mali, débarrassé des jihadistes, retrouve son intégrité territoriale.

 

Issoufou trouvera certainement une oreille attentive en François Hollande qui, comme son ministre de la Défense, semble pressé d'en découdre.

Dimanche 11 novembre, l'idée d'une intervention a encore fait un pas en avant. Les dirigeants de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) réunis à Abuja (Nigeria) ont décidé d'envoyer une force africaine de 3 300 hommes.

Une décision qui doit encore d'être entérinée par l'Union africaine et le Conseil de sécurité des Nations unies, le 26 novembre.

Mais derrière cette unanimisme, certains s'interrogent, à l'image de Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières : "Quand on s'engage dans un conflit, on allume des mèches qu'on n'arrive plus à éteindre."

 Et si le remède était pire que le mal ?

Et si le conflit s'enlisait ?

C'est que les risques existent, souligne le politologue Michel Galy. Militaires, d'abord. "Il semble qu'une partie de l'état-major français ne soit pas très enthousiaste", à l'approche de l'intervention.

 

Septicisme partagé par le haut commandant des forces armées américaines en Afrique (Africom), le général Carter Ham. En déplacement à Alger, il a déclaré à la presse que "la situation dans le nord du Mali ne p[ouvait] être réglée que de manière diplomatique ou politique".

Cela "traduit une pensée générale, il est facile de prendre les trois principales villes, Gao, Kidal et Tombouctou", mais tenir le désert est une autre affaire, explique Michel Galy. Chercheur à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Oumar Keïta abonde : les forces qui tiennent le Nord sont "mieux préparées que les armées régulières de la Cédéao et elles connaissent le terrain".

Quant à l'armée malienne, elle est mal équipée, démoralisée et rongée par des luttes intestines.

Pour Michel Galy, qui évalue à "6 000 hommes armés" les troupes jihadistes et touaregs qui occupent le Nord-Mali, cela explique que l'aide d'autres pays, comme le Tchad et la Mauritanie, plus habitués au désert, ou encore de l'Afrique du Sud, ait été évoquée lors du sommet d'Abuja.

Et si les combattants affluaient ?

Relativement circonscrit, le conflit malien pourrait aussi prendre un tour nouveau en cas d'initiative militaire.

Dans une tribune dans Libération en juillet, Oumar Keïta rappelait que les dernières interventions extérieures n'avaient pas été de francs succès : "En Irak, en Afghanistan, au Congo, au Soudan et dernièrement en Libye, elles ont surtout conduit à des guerres civiles prolongées." Il souligne aujourd'hui qu'"il y a un risque d'engendrement de solidarités ethniques".

Des touaregs pourraient ainsi gagner le nord du pays depuis l'Algérie, la Mauritanie, le Niger et même le Burkina Faso pour se battre contre un ennemi extérieur.

En cas de conflit, ils ne seraient d'ailleurs pas les seuls à affluer. Pour l'instant, le Mali n'a pas l'attrait de la Syrie pour les jihadistes, mais l'arrestation d'un franco-malien au Mali témoigne de l'intérêt que constituerait le pays à l'avenir. 

Et si la menace s'éparpillait ?

A l'inverse, si les jihadistes s'éparpillent dans les pays voisins sous la pression d'une force étrangère, "c'est tout le Sahel qui s'embrase", redoute Michel Galy.

C'est d'ailleurs le souci numéro 1 de l'Algérie, qui craint de voir Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), hier Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), repasser la frontière. 

Pressé d'intervenir notamment par la France, Alger mène de front des négociations avec Ansar Dine. Le groupe islamiste malien est perçu comme interlocuteur acceptable par l'Algérie. Ansar Dine vient de se distinguer d'Aqmi et du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) en proclamant son rejet du terrorisme.

Finalement, avec le Burkina Faso, l'Algérie est "très en retrait" sur l'idée d'une intervention militaire, souligne l'ancien président de MSF Rony Brauman. Or, ce sont"deux Etats extrêmements importants" dans la sous-région. "Sans leur participation, la difficulté sera plus grande", souligne-t-il, jugeant de toute façon qu'on est "encore loin du compte".

Et si les Maliens se déchiraient ?

Au sein du Mali, les difficultés sont encore plus inquiétantes, explique Oumar Keïta. "Il y a des débats internes. Ceux qui sont du Nord et ont la peau blanche (Touaregs, Maures...) souhaitent la négociation. Ceux qui ont la peau noire veulent une intervention militaire", affirme Oumar Keïta.

Les risques de représailles ne sont pas à négliger et l'hypothèse d'un nouveau conflit armé risquerait d'entériner une opposition entre le nord et le sud du pays, loin d'amener à la réconciliation.

De plus, au Nord-Mali, la présence des islamistes ne déplaît pas à tous. Dans une région hier oubliée par Bamako, ils ont apporté un semblant d'ordre. Sans compter que les islamistes, soutenus par le Qatar selon le Canard enchaîné, représentent une manne pour des jeunes désœuvrés. Maliens ou venus de la sous-région, ils toucheraient 3 800 dollars (3 000 euros) à leur arrivée, selon Sahel Intelligence.

En somme, avec "une population qui double tous les vingt-deux ans", dans une région délaissée par l'administration, sans ressources et soumise aux famines, rappelait Serge Michailof, enseignant à Sciences Po dans une tribune dans le Monde (article abonnés), le "terreau social" est "désastreux".

Et s'il n'y avait personne pour diriger ?

Au Sud, la situation n'est pas brillante non plus. Depuis le coup d'Etat de mars, le pays peine à s'organiser.

Le pouvoir se partage entre le président de transition Dioncounda Traoré, le Premier ministre de transition Cheick Modibo Diarra et le capitaine putschiste Amadou Sanogo.

"Il faut une conférence nationale qui organiserait des élections pour 2013", plaide Michel Galy. 

Et pour Rony Brauman, "ce n'est pas une intervention militaire qui permettra de régler la question de l'unité malienne, surtout quand on voit que le Mali est en faillite étatique.

Prendre le contrôle du Nord alors qu'il n'y a pas d'instance de régulation, c'est faire reposer tout ça dans le vide".

Source et publication:  Gaël Cogné      http://www.francetvinfo.fr/mali-une-intervention-militaire-qui-n-est-pas-sans-risques_168675.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20121113-[lestitres-colgauche/titre1]

MANUEL VALLS ET L' IGS ........

$
0
0

Manuel Valls s’attaque à la police des polices


Manuel Valls annonce dans une interview au Monde une réforme des services d’inspection de la police.

Il confirme aussi le départ de Claude Bard, actuel patron de l’IGS, service très critiqué dans l’affaire des « fadettes » des journalistes du quotidien, et dans la procédure lancée en 2007 visant le préfet Yannick Blanc.

C’est dans un entretien au Monde, que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls présente son prochain chantier.

Le populaire ministre de l’Intérieur veut réformer les services d’inspection de la police – la « police des polices » . Une réforme qui devrait s’accompagner d’un changement de direction.Claude Bard, actuel patron de l’IGS serait selon des sources policières, remplacé par Philippe Caron actuellement numéro deux de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) de la préfecture de police de Paris (PP) dont l’IGS est aussi l’une des directions. « Le nom du successeur de M. Bard devrait m’être proposé dans les heures qui viennent », dit à cet égard Manuel Valls dans son entretien au Monde.

Pour présenter sa réforme, Manuel Valls met en avant  »les dysfonctionnements » de l’Inspection générale des services (IGS, compétente à Paris et sa proche banlieue). « Dans la mesure où je veux réformer le système il faut un nouveau responsable de l’IGS », déclare le ministre au quotidien.

Priorité à la « déontologie »

Le ministre qui a « inscrit la déontologie au rang de (ses) priorités de même que les fonctions de contrôle et d’audit », engagera « une réforme de l’IGPN (l’Inspection générale de la police compétente sur le reste du territoire) et de l’IGS afin d’unifier la fonction de contrôle au sein de la police nationale ». Il veut ainsi « harmoniser les pratiques »: « l’IGS doit devenir une composante à part entière de l’IGPN », insiste-t-il.Interrogé sur l’enquête présumée truquée de la « police des polices » en 2007, sur un trafic de titres de séjour dans laquelle cinq fonctionnaires, dont l’ancien directeur de la police générale Yannick Blanc, avaient été mis en cause puis blanchis, Manuel Valls précise que « le pouvoir de l’époque » – Nicolas Sarkozy était alors ministre de l’Intérieur – « a cru pouvoir atteindre des fonctionnaires en détournant l’IGS de sa fonction première ».Le député PS de Paris et ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant, avait jugé que cette enquête, qui avait faussement conduit à la mise en cause de son officier de sécurité, était une « manipulation » dont il s’était décrit comme « une des victimes ». « Aujourd’hui toutes les victimes de cette affaire ont été réintégrées », fait valoir le ministre. Yannick Blanc vient d’ailleurs d’être nommé préfet du Vaucluse….par Manuel Valls.

L’express

http://m.lexpress.fr/actualite/societe/manuel-valls-s-attaque-a-la-police-des-polices_1186100.html


http://policeetrealites.wordpress.com/2012/11/12/manuel-valls-sattaque-a-la-police-des-polices/

POLÉMIQUE : BRUXELLES: PAS DE SAPINS TRADITIONNEL DE NOÊL ???

$
0
0

A Bruxelles, le sapin de Noël fait polémique

 

Par Gary AssoulinePublié le 12/11/2012 à 17:51  
  •   

Le conifère installé traditionnellement sur la Grand-Place de Bruxelles est remplacé cette année par une structure métallique lumineuse, suscitant des réactions parfois islamophobes.

C'est un sapin «électronique» de 24 mètres de haut qui remplacera cette année le traditionnel arbre de Noël de la Grand-Place de Bruxelles. Mis en avant à l'occasion de la célébration des fêtes de fin d'année dans la capitale belge, le Xmas Tree, un «sapin 2.0» en acier du label créatif 1024 Architecture, s'inscrit dans une démarche artistique qui a vocation à «dépoussiérer Noël», selon la municipalité.

Mais cette volonté de modernité initiée par le maire bruxellois, Freddy Thielemans, n'est pas du goût d'une partie de la population.

C'est le cas d'une élue locale du parti chrétien-démocrate flamand CD&V, Bianca Debaets, qui a avancé l'argument du motif religieux à l'origine de cet abandon du sapin naturel, selon Le Soir. Pour la conseillère, tout a commencé quand l'appellation «Marché de Noël» a été remplacée par celle de «Plaisirs d'Hivers», balayant toute «référence à la fête de Noël». «Qu'arrivera-t-il ensuite? La suppression des œufs de Pâques parce qu'ils se réfèrent à Pâques?», demandait la conseillère municipale dans une interview à Brusselnieuws.

Elle regrettait également la disparition de la crèche de la Nativité ; une crèche qui sera pourtant montée comme chaque année, a rassuré le maire.

 

Une tournure islamophobe sur Internet

Suite aux propos de l'élue, une pétition en ligne a été lancée samedi, donnant à cette affaire une tournure islamophobe. «On ne pliera pas devant les musulmans», écrit un internaute sur cette page qui recueillait près de 12.000 signataires lundi soir. «Ce n'est pas à nous de nous adapter, nous sommes chez nous», ajoute un autre. «Pour une Belgique belge», écrit un troisième.

 

 

L'installation sur la Grand-Place de Bruxelles (DR)
L'installation sur la Grand-Place de Bruxelles (DR)

 

Sur Facebook, des groupes appelant au boycott de l'évènement organisé par la municipalité, ou appelant au retour du sapin naturel, se sont multipliés. «Aujourd'hui, le but est de se servir de l'art pour faire disparaître un symbole païen, christianisé avec le temps par les églises», dénonce l'un d'eux, qui n'hésite pas à parler d'un processus de liquidation des traditions dans une démarche électoraliste.

 

Pour le porte-parole de la mairie socialiste de Bruxelles, Nicolas Dassonville, la communauté musulmane n'est pas à l'origine du changement de sapin. «Ce n'est pas parce que certains fondamentalistes s'agitent sur Internet que nous allons remettre en question notre décision, a-t-il déclaré.

Ceux qui prétendent que nous voulons supprimer les symboles de Noël se trompent lourdement».

Dans un communiqué, l'élue chrétienne-démocrate a regretté lundi la tournure prise par sa déclaration. Si elle avoue que l'arbre de Noël n'est pas «un symbole chrétien ou religieux», elle confirme que c'est bien, selon elle, la référence à la fête chrétienne de Noël qui lui a valu d'être banni. «Une ville historique comme Bruxelles ne se doit-elle pas d'être sensible aux traditions?

Et ne devrait-elle pas être une ville multi-religieuse qui laisse ouvertement de la place pour chaque philosophie de vie?

Pour beaucoup de gens qui ne sont pas chrétiens, l'arbre fait aussi partie intégrale de la fête», conclut-elle.

Par Gary Assouline        http://www.lefigaro.fr/international/2012/11/12/01003-20121112ARTFIG00563-a-bruxelles-le-sapin-de-noel-fait-polemique.php?m_i=jGkjUDGDTMhxTeZSic7%2B53ij5gnDNQDu0zw%2BPxyhUrRmjTcPQ




Photo
 

UN EXEMPLE DE PROGRESSISME SOCIÉTAL ........

$
0
0

 

Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille (vidéo)

Rédigé par lesoufflet le 12 novembre 2012.

12.11.2012

tammy-4-horizontal-gallery

Couvrez ce zizi que je ne saurais voir
 
 

Un enfant de 11 ans va subir une opération chirurgicale pour se faire enlever son pénis après avoir pris des hormones depuis l’age de 8 ans. 

L’enfant, élevé par un couple de lesbiennes, se sentirait une fille depuis toujours, selon ses mamans, qui lui font subir tout cela pour sa santé…

Quand le progressisme sociétal couplé à un consumérisme maladif utilisent la science pour mettre en place Le meilleur des mondes…

Dans un avenir proche, nous serons enfin libérés de l’oppression homophobe de Dame nature et nous pourrons avoir fabriquer des enfants qui ressemblent à ce qu’on veut. Car enfin, vu ce que coutent les gamins, n’est-il pas normal qu’il correspondent exactement aux attentes de leurs parents consommateurs ?

Heureusement, les Californiens « sont en avance » sur nous, ils sont plus « tolérants » et comprennent que chacun doit pouvoir vivre sa vie comme il l’entend. Ainsi, non content d’avoir autorisé le mariage et l’adoption aux homosexuels, l’état permet aussi à des enfants de subir des opérations de changement de sexe.

Un couple de lesbiennes traite donc son fils contre sa terrible condition de mâle. Depuis ses 8 ans, Thomas Lobel, un petit garçon adopté acheté par un couple de lesbiennes, et désormais rebaptisé Tammy, subit donc un traitement hormonal pour enfin devenir une fille. Pour ses 11 ans, ses deux super mamans vont même lui offrir un vagin et lui faire découper son pénis. Happy Birthday ! Mais ne soyons pas médisants : les deux mamans font cela pour la santé de leur enfant qui se sent fille depuis toujours et qui risquerait fortement de se suicider à l’adolescence s’il ne dispose pas d’un organe féminin.

On imagine évidement qu’à 8 ans, vivant entre deux mamans lesbiennes, l’enfant aura eu tout le recul et le libre arbitre pour décider de subir des modifications hormonales et chirurgicales, dont aucun enfant au monde de cet age n’a connaissance…

Pour justifier la loi inique sur l’homoparentalité et le mariage gay, les progressistes donneurs de leçons nous expliquent que plusieurs pays le font déjà. Ils oublient, du coup, les milliers d’autres pays qui refuseront toujours cette aliénation. Ils oublient, surtout, les exemples répugnants qui prouvent qu’il n’y a plus de limite une fois cette barrière sociétale explosée (mariage à trois au brésil, enfant de 8 ans bourré aux hormones pour ressembler à maman et maman…).

Mais chut ! Si vous osez poser la question des conséquences de l’ouverture du mariage et de l’adoption aux homosexuels, on considérera vos propos comme des « dérapages », vous serez considéré comme homophobe et plus personne ne vous prendra au sérieux. « On a le droit de ne pas être d’accord, mais il faut choisir ses arguments« , comme dirait Apathie…

Les monstres, les situations les plus sordides et la fin de notre civilisation, c’est maintenant !

La vidéo de l’enfant qui va servir de modèle à la France. Il (elle) fait envie non ?

Vive le progrès sociétal, vive les vaginoplasties pour des enfants de 11 ans adoptés par des couples de lesbiennes, et vive le Parti socialiste pour sa loi courageuse d’extermination de notre civilisation ! 

 

 

http://24heuresactu.com/2012/11/12/deux-lesbiennes-transforment-leur-fils-adoptif-en-fille- 



Photo
 

AU NOM DU PRESTIGE DE LA FRANCE ???

$
0
0

Dette algérienne auprès des hôpitaux français : l’ardoise est de 20 millions d’euros

15/10/2012 - 16:36


PARIS (SIWEL) —« Premier débiteur, l’Algérie accuse une dette d’environ 20 millions d’euros. Viennent ensuite le Maroc (plus de 10 millions d’euros) et les pays du Golfe (10 millions d’euros), la Tunisie (environ un million d’euros) ».

 

C’est ce qu’a révélé le  15 octobre, le journal français Le journal du dimanche (JDD). 


Bouteflika paye-t-il ses soins en France, où négocie-t-il les positions algériennnes? PH/DR
Bouteflika paye-t-il ses soins en France, où négocie-t-il les positions algériennnes? PH/DR
es révélations arrivent en un moment où la Caisse national d’assurance sociale algérienne (CNAS) a démenti l’information faisant état de l’existence de dette algérienne auprès des hôpitaux étrangers.
Et du coté de l'Hexagone, cette affaire est révélée dans un moment de crise aiguë dans la Zone euro. 

Cette dette concerne spécialement les séjours effectués par des responsables algériens dans des unités hospitalières européennes. Bouteflika a séjourné plusieurs fois à Paris, notamment à Val-de-grâce, où il a été admis. Selon d’autres informations, le chef de l’Etat algérien, fréquente ces établissements plusieurs fois par mois. Il serait atteint d’une maladie incurable. 

Tous les frais médicaux générés par les soins des responsables algériens devaient être honorés par l’argent du contribuable. 

« C’est une vieille histoire, l’AP-HP est un outil diplomatique pour la France. Des dirigeants étrangers viennent se faire opérer chez nous. On va les chercher à l’aéroport en ambulance toutes sirènes hurlantes, on leur dispense des soins de qualité et on ferme les yeux sur les factures qu’ils n’acquittent jamais", détaille Patrick Pelloux, le célèbre urgentiste syndicaliste, rapporte le journal. 

« Il y a dix ans que nous essayons de mettre cette ardoise sur la table. En vain. Mais ce qui était toléré devient moins supportable en période de course aux euros, pointe Loïc Capron, médecin syndiqué et président de la commission médicale d’établissement (CME) de l’AP-HP, le parlement des blouses blanches.
 
On fait payer par les assurés sociaux pas toujours fortunés les créances de gens aisés », appuie Patrick Pelloux, selon la même source. 

A propos du cumul de cette dette, la réponse de l’un des responsables de ces hôpitaux est significative. Pour lui, des intérêts s’entrecroisent. A comprendre que les soins de Bouteflika en France nous ont coûté probablement « des milliards de dollars de pots de vin », a souligné un médecin algérien. 

« Des intérêts croisés sont en jeu.
 
Le gouvernement ferme les yeux au nom du prestige de la France », a annoncé un chef de service aux Hospices civils de Lyon à JDD. Cela expliquerait les positions algériennes notamment sur des questions diplomatiques.
 
Depuis l'arrivée de Bouteflika au commandes, les entreprises françaises ont raflé plusieurs marchés dans de divers domaines. 

aai/JDD 
SIWEL 151636 OCT12 



ET AUSSI 
 
 

Attaques racistes contre Siwel et la Kabylie : « Vous étiez des harkis durant la guerre de libération »

12/11/2012 - 16:39

ALGER (SIWEL) — Dans un message adressé à Siwel, un Algérien a traité les Kabyles de traîtres, de Harkis et d’un poison dangereux à l’épanouissement de l’Algérie.


Nous reproduisons le message tel qu’il été envoyé à Siwel, car ce n'est pas la première fois que des messages émanant d'anonymes s'en prennent ainsi à Siwel et à la Kabylie.

 

 

L'état algérien arabo-islamiste pratiquant lui-même l'antikabylisme le plus primaire.


Ce n'est pas la première fois que Siwel est prise à partie par des message haineux. PH/DR
Ce n'est pas la première fois que Siwel est prise à partie par des message haineux. PH/DR
ous etes simplement des manipilateurs contre l'algerie. vous etes des microbes et un dangerueux virus pour l epanouissement de notre pays ,L"ALGERIE.
 
Vous etiez des harkis a l'epoque du colonialisme francais, . Apres l'independance vous aviez cherche refuge en france en status de refugies politiques ( vous etes des chretiens). arretez cette merde ,racontez votre merde entre vous.
 
Nous sommes des algeriens purs qui ne font pas confiance a ces salaups de kabyles manipules ailleurs. vous etes bon a rien ,vous etes la que pour faire nuire a notre pays si adorable et si puissant .
Vive l algerie ». 

SIWEL 121639 NOV 12      http://www.siwel.info/Attaques-racistes-contre-Siwel-et-la-Kabylie-Vous-etiez-des-harkis-durant-la-guerre-de-liberation_a4228.html

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

$
0
0
La décréation maçonnique ou le sida mental
 
par Les amis de Philippe Ploncard d'Assac, jeudi 3 novembre 2011, 16:12 ·
 

Vivre en permanence dans le bain maçonnique, enrobé de messages subliminaux, abruti par des symboles néfastes, acculturé par une TV littéralement luciférienne, malaxé par une école méchamment fraternelle, hypnotisé par la phraséologie journalistique, constitue une existence d’animal domestique qui ne permet pas au commun des mortels d’analyser correctement l’épouvantable joug mental qui l’asservit.

 

S’imaginer libre sans l’être est le premier écueil à pulvériser avant de lire froidement, objectivement, les études impartiales consacrées au sujet maçonnique, pour saisir l’ampleur du mal. On ne se satisfera en effet point des articles tortueux produits par certains personnages équivoques dont le but évident est d’ « innocenter » la secte maçonnique pour des raisons personnelles ou médiocrement philosophiques. Pourtant, étrangement, ce sont en premier lieu ces textes que l’on voit pulluler non seulement dans les revues de la presse généraliste mais également au travers de publications d’obédience droitière ou nationale.

 

Comme si la Réaction avait peur de regarder la vérité en face, comme si elle avait besoin de modérer ses attaques, comme si elle devait préserver en son sein une part puante de conformisme, aussi irrationnelle et délétère soit-elle. A moins que quelques individus ayant intégré le parti de la résistance et jouissant d’une position « respectable » et confortable au sein de la mouvance dissimulent leur affiliation sectaire…

 

Les deux facteurs expliquent certainement la pusillanimité du milieu nationaliste à l’égard de la Franc maçonnerie. Cette faiblesse à l’encontre de la secte cosmopolite dogmatique est d’ailleurs historique. Louis XVI à l’instar de sa reine fut victime de ses propres préjugés et laissa la nation se gangréner par l’action de ceux qu’il ne considérait que comme de simples « causeurs ». Il faut lire cette lettre de Marie-Antoinette répondant à sa sœur Marie-Christine pour comprendre l’abyssale naïveté du pouvoir du moment : « Je vois que vous vous frappez beaucoup trop de la Franc-Maçonnerie pour ce qui regarde la France. Elle est loin d’avoir l’importance qu’elle peut avoir en d’autres parties de l’Europe par la raison que tout le monde en est. On sait ainsi tout ce qui s’y passe ; où est donc le danger ? On aurait raison de s’en alarmer si c’était une société secrète de politique.

 

L’art du gouvernement est au contraire de la laisser s’étendre et ce n’est plus que ce que c’est en réalité : une société de bienfaisance et de plaisir. » Auparavant Louis XV n’avait pas pris les pleines mesures pour combattre efficacement les libéraux « sectarisés ». « Lorsqu’une réaction n’est pas menée jusqu’à son terme en éradiquant le mal, celui-ci repart de plus belle », écrit à ce propos Philippe Ploncard d’Assac. Cette pusillanimité de la sphère nationaliste à l’égard de la maçonnerie est en fait une constante historique ! Elle le fut ainsi sous Pétain bien malgré lui avec la complicité de Pierre Laval qui démissionna brutalement l’amiral Platon alors qu’il avait pour importante mission de surveiller la reconstitution des sociétés secrètes. Platon fut peu de temps après torturé et exécuté (écartelé entre des tracteurs) par des résistants dans sa propriété du sud-ouest…

 

Et que dire de l’infiltration maçonnique au sein de l’Eglise et du Vatican en particulier ! Un combat contre la secte mené pendant des décennies par la papauté avant qu’elle ne s’effondre sous l’infiltration judéo-maçonnique.

Ploncard d’Assac nous remémore l’excommunication des Francs-maçons par la bulle In Eminenti de Clément XII le 28 avril 1738 : « Les sociétés ou conventicules susdits ont fait naître de si forts soupçons dans les esprits des fidèles, que s’enrôler dans ces sociétés, c’est près des personnes de probité et de prudence, s’entacher de la marque de perversion et de méchanceté ; car s’ils ne faisaient point le mal, ils ne haïraient pas ainsi la lumière et ce soupçon s’est tellement accru que dans plusieurs Etats, ces dites Sociétés ont été depuis longtemps proscrites et bannies comme contraires à la sûreté des royaumes. » Au demeurant, Clément XII connaissait parfaitement la teneur idéologique de la maçonnerie et ses objectifs proches et lointains.

Aussi représentait-il un chef parmi d’autres (plus profanes) du camp antimaçonnique ; un camp qui affirmait ses valeurs et qui ne transigeait pas sur les principes. « Une ligne de front » était constituée.

 

Cette ligne de front fut dynamique jusqu’en 1945 et l’on doit d’ailleurs beaucoup à Charles Maurras dans sa régénération du début du vingtième siècle.

 

Le Front National d’avant l’ère marinière, sans constituer une véritable ligne de front, gardait vivante en son sein la lutte sous-jacente antimaçonnique.

La secte a avalé le parti tout cru et, en cela, a dévié le combat national originel au plus grand profit des intérêts juifs et cosmopolites.

La maçonnerie avait agi de la même sorte lorsqu’elle acheta le journal La Croix par le biais de quelques agents libéraux au début du XXème siècle. Les Frères triplement pointés avaient laissé se développer la publication antisémite et antimaçonnique pour rafler d’un coup la mise puis progressivement diluer sa ligne éditoriale. On sait ce qu’est devenu le titre…

Ou comment des centaines de milliers de Catholiques ont évolué avec ce canard… L’Eglise a non seulement été faible vis-à-vis des cosmopolites propagandistes et comploteurs ; elle a souvent été actrice zélée pendant les trois derniers quarts de siècle dans la guerre contre les nationalistes (le terme de nationaliste a été créé par le fondateur des Illuminés de Bavière, le Juif Adam Weishaupt qui désignait par ce vocable les ennemis de la FM !).

 

Pie XI fut l’un des pires ennemis du nationalisme avec sous son règne la condamnation de l’Action française et l’abandon des Cristeros au pouvoir maçonnique mexicain. Un crime. La désinvolture, la faiblesse autant que la complicité vis-à-vis de la maçonnerie sont objectivement des attitudes suicidaires ou criminelles. Car le combat nationaliste ne peut être vivant seulement s’il oppose principes contre principes.

 

L’histoire prouvant en effet que l’abandon d’un seul d’entre eux pour complaire au système provoque la chute vertigineuse du camp du bien. Depuis trois siècles, la lutte à mort contre les nations n’a jamais cessé. La trilogie « républicaine » Liberté, Egalité, Fraternité, représente en fait la marque de l’occupation de la nation française par les sectateurs judéo-maçonniques. Philippe Ploncard d’Assac la décrypte. « Cette devise a un sens caché et signifie en fait :

 

- Liberté, pour les Maçons, pour qu’ils puissent au nom de la tolérance, mot clé du langage maçonnique pour faire baisser la garde à leurs adversaires, agir en toute impunité.

 

- Egalité entre les Maçons, qui n’est qu’apparence du fait des degrés en maçonnerie, mais où le maçon des premiers degrés n’y voit que la façade égalitaire.

 

- Fraternité entre les Maçons, symbole tout aussi faux, car malheur à celui qui s’écarte de la ligne tracée, imposée. »

 

 

Comme l’écrivait le F.’. Ragon, « Tout profane qui se fait recevoir maçon cesse de s’appartenir. Il n’est plus à lui, mais il appartient à un Ordre qui est répandu sur la surface du globe. ». Ou comment aujourd’hui l’on peut vendre son âme au diable l’esprit tranquille.

 

 

François-Xavier Rochette.

 

Philippe Ploncard d’Assac, La Maçonnerie, Société de philosophie politique (SPP BP 30030, 83952 La Garde cedex), 303 pages, 30 euros.

L'HISTOIRE DE LA FRANCE EN PÉRIL !

$
0
0

 

  

L'Histoire de France, une discipline en péril?

Par Marc Riglet (Lire), publié le 13/11/2012 à 09:30, mis à jour à 10:47

 

Deux ouvrages, l'un de Laurent Wetzel, l'autre de Dimitri Casali, s'élèvent contre la diabolisation de l'histoire nationale, la nouvelle façon de la traiter et de l'enseigner et le politiquement correct. 


 L'Histoire de France, une discipline en péril?

La statue de Jeanne d'Arc (1412-1431) par Charles Desvergnes (1860-1928) à Notre-Dame de Paris.

Reuters

L'enseignement de l'histoire est un enjeu politique et idéologique de première grandeur.

 

L'histoire est aussi un savoir dont l'établissement requiert l'observation de règles et de disciplines dont on attend, qu'à défaut de produire des "vérités", elles aident à l'intelligence du passé.

L'ambition de cette science humaine est donc grande. Aussi bien est-il sage de la pratiquer avec humilité et en gardant à l'esprit qu'elle est "une reconstruction problématique et incomplète de ce qui n'est plus", selon la formule de Pierre Nora

Longtemps, le fait que l'écriture de l'histoire a été indissociable de la construction des nations, et qu'elle en fournit le récit, n'est pas apparu comme une incongruité.

En France, c'est au lendemain de la Première Guerre mondiale, dans les milieux pacifistes du syndicalisme enseignant, que naissent les premières indignations contre ces histoires nationales, accusées d'avoir été les fourriers des nationalismes fauteurs de guerre. 

La critique de l'enseignement de l'histoire comme récit national est aujourd'hui plus ample.

En France, en particulier, cette critique se porte bien. Du récit national, il conviendrait désormais d'en exposer moins les lumières que les noirceurs. Il s'agirait aussi de sortir le récit historique de son pré carré national et de l'élargir aux grands espaces des cultures du monde.

Sur les décombres de l'idéologie républicaine qui assignait à l'école l'objectif de fabriquer des citoyens français, l'heure est donc à la formation de "citoyens du monde". 

On ne sera pas surpris qu'en réaction à cette nouvelle doxa des indignations inversées se soient fait jour. Deux récents livres, au ton polémique assumé, disent l'inquiétude de ceux qui pensent que l'histoire nationale n'est pas diabolique en soi, et aussi que les nations, en tant que telles, ne méritent ni honneur ni indignité, et surtout que ce sont bien elles qui constituent le cadre de toute démocratie possible. 

Le premier de ces ouvrages, Ils ont tué l'histoire-géo de Laurent Wetzel, est anecdotique mais instructif. Les exemples qui remplissent le dossier d'une discipline en péril sont, en effet, légion.

C'est, par exemple, le projet de réduire l'histoire et la géographie au statut d'option dans les classes terminales S, projet heureusement défunt. Ce sont les bourdes accumulées par les autorités universitaires, comme ce "faux" document proposé à l'analyse des candidats à l'agrégation.

Et puis, c'est l'inculture historique qui gagne nos élites et le procès du "charabia extravagant" qui tient lieu de pensée pédagogique aux technocrates de l'Education nationale dont les pouvoirs doivent moins à leurs mérites intellectuels qu'à leur habileté politique. 

Le deuxième ouvrage, L'Histoire de France interdite, est plus ample. 

Dimitri Casali s'y livre à la critique serrée des effets délétères de l'influence de l'Ecole des Annales sur l'enseignement de l'histoire. L'histoire nationale se sera diluée dans l'histoire des "civilisations". A l'approche chronologique, on aura substitué l'étude thématique des "grands problèmes" du monde.

Surtout, l'auteur s'élève véhémentement contre les ravages du politiquement correct et les censures à quoi il expose.

 

Si vous êtes irrité par l'histoire "repentante", par son instrumentalisation communautaire et par la débauche de lois mémorielles, ce livre est pour vous. 



Source et publication:  http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-histoire-de-france-une-discipline-en-peril_1184366.html


L' ÉDITO DE CYRANO........LA GAUCHE, LA DROITE CONTRE LE FASCISME ISLAMIQUE !

$
0
0

 

EDITO DE CYRANO

Une première marche contre le fascisme islamiste qui en appelle d’autres…

Au lendemain de la marche parisienne contre le fascisme islamiste, le monde journalistique a choisi le silence, sur les télévisions, toute la journée de dimanche, et dans les quotidiens, ce lundi, à la grande fureur de nombre de lecteurs de Riposte Laïque, indignés d’une telle partialité. On comprend le désarroi de ceux que nous appelons les journaleux. Premier problème, la marche a été une réussite, atteignant 2.500 manifestants (certains des nôtres ont vu davantage), sans le soutien d’aucun grand parti ou d’associations subventionnées. D’autre part, qualifier d’extrême droite – ce qu’a osé la seule chaîne qui a couvert l’événement, e-télé – des personnes qui scandent, tout l’après-midi, des slogans contre le sexisme, contre le racisme, contre le fascisme, qui crient « Liberté » et qui, comme le montre cette vidéo d’un lecteur de RL, diffusent « Ma France » de Jean Ferrat, « La Marseillaise » et « Le Chant des Partisans », il faut oser !

 

http://www.dailymotion.com/video/xv0l34_10-novembre-bd-2_new

En outre, ces curieux manifestants « d’extrême droite », présentés comme d’horribles nationalistes, donnent la parole à Pascal Hilout, né Mohamed, à Stanislas Czerwinski, né en Pologne, et au suisse Oskar Freysinger ! Mais comme disait Goebbels, ministre de la propagande d’Hitler, « plus le mensonge est gros, plus ça passse ! » 

Nos faiseurs d’opinion nous rappellent, par leur silence, le désarroi qui fut le leur au lendemain des assassinats de Toulouse. Pendant 48 heures, les Askolovitch-Plenel-Fourest-Sopo-Jakubowicz ont glapi contre l’extrême droite, forcément raciste et coupable, avant d’apprendre, attérés, que l’assassin s’appelait Mohamed. On n’a alors plus entendu parler des « discours nauséeux qui rappelaient les heures les plus sombres de notre histoire », mais le célèbre « Surtout pas d’amalgame !« .

Dans un contexte différent, plusieurs mois après, leur gêne paraît semblable. Alors que l’événement est abondamment commenté dans de nombreux pays, et sur des dizaines de sites Internet, c’est donc un grand silence dans les médias traditionnels, ceux que nous appelons la collabosphère. L’AFP, qui a choisi de minorer l’événement (parlant de plusieurs centaines, donc moins de mille), a beaucoup insisté, dans son communiqué, sur la condamnation en justice, pour« incitation à la haine contre les musulmans », de Pierre Cassen et Pascal Hilout… oubliant juste de préciser qu’ils ont fait appel contre ce que nombre de compatriotes considère comme un véritable procès en sorcellerie, où ils ont été condamnés pour délit d’intention !

Dans cette vidéo, Pierre Cassen décortique les pratiques journalistiques, à Paris et en province, pour salir et intimider ceux qui ont le malheur de bouger une oreille, notamment en dénonçant la réalité de l’islam.

http://www.youtube.com/watch?v=alFCmdPGBcU

Ceux que nous persistons à appeler les « journaleux » peuvent désinformer, mentir et salir, la réalité est là : uniquement grâce àRésistance républicaine, aux 36 associations qui soutenaient l’initiative, et aux relais internet, plus de 2.500 patriotes (certains parlent de 3.000), venus de Paris, de toutes les régions françaises, mais aussi de Belgique, de Hollande, de Grande-Bretagne et de Suisse, ont osé défiler dans les rues de Paris avec le drapeau, des banderoles, des pancartes. Ce faisant, ils savaient qu’ils s’exposaient. Risque d’agressions physiques, d’abord, de la part des islamistes ou de leurs complices gauchistes, mais aussi d’être reconnu par un voisin bien-pensant, dénoncé aux « jeunes » d’un quartier, avec les inévitables représailles, identifié par un collègue de travail qui allait faire savoir que vous étiez un « facho », balancé à son employeur, voire sanctionné à son travail, comme cela vient d’arriver au porte-parole de Génération Identitaire, Damien Rieu. C’est donc un véritable acte de résistance, consciemment assumé, qui a guidé, tout ce samedi après-midi, les marcheurs de la place ô combien symbolique – Richard Roudier le rappellera – de Denfert Rochereau.

Deux ans et demi après l’apéro saucisson pinard, deux ans après les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, cette troisième grosse initiative, appelée par notre mouvance (cette fois seule) marque une nouvelle progression dans la guerre sans merci que nous devons mener à l’islamisation de notre pays. C’est la première fois qu’en France, une manifestation de rue se tient pour refuser la barbarie islamiste et la charia que des barbus fanatiques veulent nous imposer.

Le fait, pour Résistance républicaine, dont chacun connaît les liens privilégiés avec notre journal, d’avoir réussi à organiser, après deux ans d’existence, une telle manifestation, structurée par un service d’ordre très rassurant, est une réussite qu’il faut savoir apprécier. Cette initiative a été organisée sans aucun sectarisme. La présidente, Christine Tasin, a invité toutes les composantes patriotiques à la soutenir, et à y participer. Elle a respecté le choix de ceux qui n’ont pas, cette fois, choisi de descendre dans la rue, en espérant que la prochaine fois, ils seront moins… timides.

Dans son animation, Pierre Cassen, notre fondateur, a veillé à ce que les slogans ne blessent personne, voulant respecter l’esprit de la grande banderole : « Union des patriotes ». Il a fait applaudir les jeunes Identitaires de Poitiers, bien que leur association – ce que déplora Renaud Camus – n’ait pas appelé à soutenir cette marche (ce qui n’empêcha pas des membres du Bloc Identitaire d’y être venus).

Dans les différents articles de ce numéro, nombre de contributeurs, enthousiastes, voient dans cette manifestation une date historique, le début d’une reconquête, voire une renaissance de la France. Il ne faut jamais oublier de rappeler que, même si à cause de la politique irresponsable des différents gouvernements, nous avons probablement 10 millions de nés-musulmans en France (dont tous ne sont pas des jihadistes, Pascal Hilout, Ahmed Ghlamallah, Hamdane Ammar et d’autres, présents à la manifestation, en sont la meilleure preuve), nous sommes encore largement majoritaires sur notre sol, avec plus de 50 millions de « Gaulois », qualificatif que revendiquait lui-même Rachid Kaci, alors président de la Droite Libre, aujourd’hui sous-préfet de la République.

Les islamistes ne connaissent pas le critère « gauche-droite ». Ils ne sont pas divisés, ils sont des militants, unis pour conquérir la France, et y imposer la charia. En 1941, le communiste Péri et le monarchiste d’Estienne d’Orves sauront unir leurs destins pour défendre, au-delà de leurs différences, le pays, au prix de leur vie.

Ce samedi, le « bouffeur de curés » Hubert Sage soutenait une manifestation où défilait l’abbé Pagès, grand pourfendeur de ce qu’il appelle les  »laïcistes ». Dans ce numéro, Pierre Cassen interviewe Philippe Landeux, grand admirateur de Robespierre, et Jean Robin, pour qui l’ »Incorruptible » incarne le totalitarisme qu’il exècre. Pourtant, Philippe et Jean, qui ne se connaissent pas, défilaient dans le même cortège. Nous savons que nombre de manifestants seront, dimanche prochain, dans les rues de Paris, pour s’opposer au mariage homosexuel… Pourtant, ils applaudissaient à tout rompre, ce samedi Christine Tasin qui - fortement minoritaire dans la rédaction – s’y dit favorable.

Cette reconquête de la rue, cette dignité retrouvée, cette réaffirmation de notre refus de la barbarie islamiste qui menace notre pays, avec la complicité d’un gouvernement d’islamo-collabos et d’une fausse opposition, ne soit pas rester sans lendemain. Au-delà de savoir apprécier à sa juste valeur ce que fut la réussite de cette journée inoubliable, il nous faut préparer la suite.

Certains, galvanisés par cette réussite, rêvent, à présent, d’organiser le même type de marche, dans les grandes villes de France, et de faire converger ces différentes initiatives dans une grande manifestation nationale, à Paris.

Bonne idée, camarades, il suffit juste de se mettre au travail ! 

http://www.dailymotion.com/video/xv06fl_manifestation-contre-le-fascisme-islamiste-le-10-novembre-2012-a-paris_news

AGENDA DE RL

Samedi 17 novembre

16 heures, à Toufflers (59) conférence de Pierre Cassen et Christine Tasin. Thème : Pourquoi le gouvernement Hollande accélère l’islamisation de la France ? Comment résister ?

On terminera par un apéro saucisson-pinard : participation 10 euros. S’inscrire en envoyant un chèque à Résistance républicaine, 101, avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14. Date limite : 12 novembre.

Samedi 1er décembre

Rendez-vous le premier décembre, à midi, à Châtenois, 67730.

Banquet républicain en Alsace, avec Pierre Cassen et Christine Tasin

Pour l’inscription, envoyer avant le 24 novembre un chèque de 25 euros à Résistance républicaine, 101 Avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14, avant le 24 novembre. Précisez bien qu’l s’agit du banquet alsacien ainsi qu’un courriel et un numéro de téléphone pour communication de l’adresse.

Le thème sera celui de la mobilisation citoyenne et des réseaux de Résistants afin de construire un front des patriotes.

PALESTINE ET ISLAMISATION DE L' EUROPE ???

$
0
0

L’Union Européenne verse 19 millions € à l’Autorité palestinienne pour payer les familles de terroristes emprisonnés

Classé dans: Europe,Moyen-Orient | 

L’Union européenne, la Suède et la Hollande ont fait lundi 12 novembre une donation de 19 millions d’euro à l’Autorité palestinienne afin de l’aider à payer les salaires et les « pensions » du mois d’octobre de 84200 fonctionnaires.

« L’Union européenne est consciente de la complexité et de l’importance de la crise financière de l’AP » a déclaré John Gatt-Rutter le représentant de l’UE.

« Dans ce contexte, nous continuerons notre soutien financier et resterons l’un des donateurs les plus fidèles et les plus résolus afin d’assurer la stabilité financière de l’AP et protéger les efforts de construction de ses institutions », a-t-il ajouté.

Dimanche, le ministre des finances palestinien a annoncé qu’il payerait intégralement les salaires des familles de prisonniers (des terroristes pour la plupart), et que les fonctionnaires du secteur public recevraient 52% de leurs salaires. 

Samedi, le ministre israélien des finances a prévenu qu’il allait arrêter de collecter les taxes pour l’Autorité palestinienne et couperait toute coopération financière si le président Mahmoud Abbas continue à chercher un poste de pays observateur à l’ONU.

« Si les palestiniens continuent à avancer unilatéralement, qu’ils n’attendent plus de coopération bilatérale. Nous ne collecterons plus leurs impôts et taxes, et nous ne les transférerons plus », a déclaré le ministre des finances Yuval Steinitz.

Les discussions intérimaires de paix prévoient qu’Israël doit collecter les taxes et droits de douane pour le compte de l’AP, ce qui représente 100 millions de dollars par mois sur les biens importés dans les territoires occupés par les palestiniens.

L’Union européenne apporte un soutien aveugle et inconditionnel à l’Autorité palestinienne afin de l’aider dans ses efforts de destruction d’Israël.

Tout est fait, à l’échelon européen, pour aider les palestiniens à faire grossir l’abcès contre Israël, en se servant du peuple maudit, du peuple palestinien, en ceci prenant le relais de la politique de la ligue arabe depuis 1948.

Loin de proposer des solutions viables, les européens aident au pourrissement de la situation, dont les palestiniens sont la plus grande victime.

Le sujet palestinien est le point de bascule de l’Union européenne vers l’islamisation de l’Europe, et seuls les analystes nombrilistes manqueront de faire le lien entre l’excitation par l’Europe du conflit Moyen-oriental et son reflet dans la rue européenne.

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=536517&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

QUI SONT CES DJIHADISTES FRANCAIS ?

$
0
0

A Asnières, il était animateur scolaire, au Mali, il est jihadiste

  


Cédric Labo Ngoyi Bungenda, Franco-Congolais de 27 ans, tentait de passer par le Niger pour rejoindre le Mali afin d’y combattre aux côtés d’al Qaida (Aqmi).

 Une interpellation qui confirme la crainte des services de renseignement quant à l’existence d’un autre réseau de jihadistes français.

Ce n’est pas un, mais deux jihadistes français qui ont été arrêtés alors qu’ils s’apprêtaient à rejoindre Tombouctou et les combattants d’Aqmi au Mali.

Avant le Franco-Malien Ibrahim Ouattara, stoppé le 4 novembre, c’est un Franco-Congolais de 27 ans qui avait vu son périple prendre fin à Niamey, le 7 août, sans oublier les menaces de Abdel Jellil, breton converti, qui menaçait récemment la France de représailles terroristes sur son sol en cas d’intervention au Mali pour écraser les terroristes musulmans.

Arrivé au Niger quelques semaines plus tôt en provenance d’Asnières, en région parisienne, l’homme avait tenté d’acquérir un faux permis de conduire. La police nigérienne a flairé une affaire plus importante, a analysé son téléphone et son ordinateur portables, qui ont aussitôt trahi les liens avec le jihad.

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz une fois par jour.

Interrogé par les autorités de Niamey, le Franco-Congolais (RDC), animateur scolaire d’Asnières, a avoué qu’il cherchait à se rendre à Tombouctou afin de combattre aux côtés d’Aqmi.

Le terroriste musulman a été expulsé vers la France, où les services de renseignement vont l’interroger.

Les autorités françaises sont en alerte depuis que le breton Abdel Jelil, de son vrai nom Gilles Le Guen, résidant à Tombouctou, a posté une vidéo où il promet qu’une intervention au Mali aurait des conséquences désastreuses dans l’héxagone.

Abdel Jelil

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.jeuneafrique.com/niger-islamisme-aqmi-jihadmali-un-deuxieme-jihadiste-francais



ET AUSSI

 

 

ParChristophe Boisbouvier

Exclusivité RFI et Jeune Afrique : il y a trois mois, un Franco-Congolais qui tentait de gagner le nord du Mali a été arrêté au Niger, puis refoulé en France. Le 4 novembre, c’est un Franco-Malien qui a été interpellé à son tour, cette fois au Mali, alors qu’il essayait de rejoindre Tombouctou. RFI l’a révélé dès le 7 novembre. Jusqu’à présent, dans les banlieues françaises, les candidats au jihad se recrutaient surtout parmi les Français d’origine maghrébine, comme Mohamed Merah, le tueur de Toulouse et Montauban.

Aujourd’hui, le phénomène se propage chez des Français d’origine subsaharienne.

C’est pour une banale histoire de faux permis de conduire que le Franco-Congolais Cédric Labo Ngoyi Bungenda s’est fait pincer à Niamey.

Au départ, le jeune homme de 27 ans vit à Asnières, dans la banlieue parisienne, où il est animateur scolaire. En juillet, avec l’aide de quelques amis, il réunit assez d’argent pour partir au Niger et s’y installer.

Objectif : se fondre dans le paysage pour gagner ensuite le nord du Mali incognito, par la route. A Niamey, l’homme loue une maison et achète un véhicule 4X4. Il lui manque juste le permis de conduire. Il achète donc un faux permis.

Mauvais choix. Le 7 août, la police nigérienne l’interpelle. Au début, elle croit qu’elle n’a affaire qu’à un petit trafiquant. Mais l’ordinateur et le téléphone portable de l’individu indiquent qu’il est proche des jihadistes.

Lors de son interrogatoire, l’homme avoue qu’il voulait se rendre à Tombouctou pour porter assistance aux combattants d’Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique).

 

Aussitôt alertée, la France demande son rapatriement. « Elle insiste, même », précise une bonne source. Quelques jours plus tard, le suspect est refoulé en France.

Depuis son retour, son téléphone et son ordinateur sont soigneusement exploités.

 

 

http://www.rfi.fr/afrique/20121111-jeune-franco-congolais-arrete-niger-alors-cherchait-rejoindre-aqmi-terrorisme-jihadistes

 

LES MÉDIAS PIÉGÉ PAR LE CCIF !!!

$
0
0

13/11/2012

Les médias piégés par le CCIF dont l'objectif est une société globalement musulmane

Addendum 13 novembre:

Le Bloc Identitaire lance une campagne "Le CCIF pour un islam majoritaire en France?"

La RATP refuse de diffuser les affiches de propagande du CCIF financées par le mondialiste Georges Soros. (lire)

ORLY (NOVOpress) —  Marwan Muhammad du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) est à l’origine de la campagne « Nous sommes la nation », campagne reprenant les codes et les symboles du vivre ensemble républicain. Campagne accessoirement financée par le très mondialiste George Soros. Agent d’influence très efficace, puis qu’il est à l’origine des révolutions de couleur en Europe de l’est (Serbie, Ukraine, etc.). De là à croire que les Etats-Unis ont décidé de faire de la France encore plus une de leurs colonies…

Ce Marwan Muhammad se présente comme un gentil musulman moderne et « tolérant ». Seul hic, lorsqu’il est entouré de ses coreligionnaires, il montre son vrai visage. Et là nous avons affaire à un musulman qui semble se réjouir que la France puisse devenir un jour un pays musulman. Ainsi lors d’une conférence tenue à la mosquée d’Orly, il reconnaît que l’islam est un système social global -donc totalisant- et "espère" que la société française deviendra islamique Lire la suite sur Novopress

Or Marwan Muhhamad est présenté par tous les médias comme un simple musulman luttant contre le racisme et une islamophobie qui serait insupportable. Le MondeLibérationI-Télé ont été ses principaux relais médiatiques...

Tareq Oubrou, imâm de la mosquée de Bordeaux, aussi considéré comme un "modéré" par les médias, avait tenu des propos ultra-islamistes lors d'une conférence tenue en interne face à ses fidèles, un document vidéo l'atteste et a nourri notre enquête parue en librairie.

Autre exemple, Nabil Ennasri qui préside le Collectif des Musulmans de France, très proche de Marwan Muhammad qu'il accompagne à chaque manifestation du CCIF comme à la gare St Lazareavait publié un texte enflammé sur Oumma.com, premier site musulman de France, dont voici la fin :

" Qu’on ne s’étonne pas alors si une autre flambée de violences, plus dure et plus violente, risque d’embraser à nouveau les banlieues françaises. En tout cas, vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous aura pas prévenu…"

Observatoire de l'islamisation, octobre 2012


La Une de l’Express ( 14 au 20 Nov 2012)

http://img203.imageshack.us/img203/5043/expressx.jpg

L' EUROPE GÉNÉREUSE ........

$
0
0

Europe : 30 milliards d’aides à l’Afrique, 2,5 milliards pour les européens démunis

images-61.jpg

Dans un précédent article, nous apprenions que l’Europe allait donner 30 milliards d’euros d’aides à l’Afrique sur 7 ans.

 Aujourd’hui, nous apprenons qu’elle avait revu à la baisse l’aide aux plus européens les plus démunis :

 

Le fonds d’aide aux plus démunis (PEAD) de Bruxelles doit considérablement diminuer.

Des associations tirent la sonnette d’alarme : faute de moyens suffisants, elles ne pourront plus nourrir tout le monde

 

C’est un véritable appel à l’aide qu’ont lancé quatre associations caritatives (1) dans un communiqué commun. Elles craignent de ne plus disposer, à court terme, de moyens suffisants pour fournir de la nourriture aux plus démunis.

L’Europe menace, en effet, de réduire drastiquement le soutien financier accordé jusqu’à présent à travers un PEAD (programme européen d’aide aux plus démunis).

 

Ce dernier sera remplacé en 2014 par un fonds européen doté d’une enveloppe de 2,5 milliards d’euros sur sept ans, contre 3,5 milliards aujourd’hui.

Or, la commission européenne elle-même a estimé qu’il fallait 4,75 milliards d’euros pour couvrir les besoins des associations.

 

On est donc loin du compte. « Cela représente une baisse de 28 % au regard du budget actuel (500 millions pour 2012) », estime le Secours populaire.

 

Cinq cents millions déjà insuffisants « pour lutter contre la pauvreté et nourrir dix-huit millions d’Européens » pauvres dans vingt pays, protestent les associations. Car tandis que le budget fond, le nombre de pauvres à aider grandit et celui des pays concernés en Europe, aussi.

 

Autre souci : la nouvelle enveloppe serait prise dans le budget social. L’argent disponible ne serait donc pas consacré uniquement à la nourriture, mais aussi au loyer, l’habillement etc.

 

Plus d’un million de repas

 

« Entre 25 et 30 % de nos ressources proviennent du PEAD », s’alarme le président varois des Restos du cœur, Paul Bosquier, dont les antennes accueillent chaque année 10 à 15 % de personnes en plus. « Si le PEAD s’arrête, ce serait une catastrophe pour nous. Il faudrait qu’on trouve 25 % de générosité publique en plus ». Les Restos de Coluche, qui vont entamer leur vingt-huitième campagne à la fin du mois, ont distribué l’an dernier plus d’un million de repas à sept mille quatre cents personnes.

 

Mêmes craintes pour l’avenir au Secours populaire français, qui a déjà constaté des baisses en provenance de l’Europe, malgré 20 % de nouveaux bénéficiaires se pressant dans ses locaux d’une année sur l’autre.

Cette association a soutenu près de dix mille personnes en 2011. «On va être obligé de réduire les distributions »,s’inquiète Isabelle Ranucci, secrétaire départementale. Et de faire des choix : le lait, quand il vient à manquer, sera réservé aux femmes enceintes et aux enfants.

En 2011, le Var s’est vu octroyer quatre-vingt-dix palettes contre trente-troiscette année. Un mauvais signe.

 

Moins de gaspillage

 

La Croix-Rouge, de son côté, est moins inquiète dans la mesure où elle fait peu appel, dans le Var, aux fonds européens via la Banque alimentaire. Ce qui n’empêche pas Simone Long, sa présidente départementale de juger « inadmissible que l’Europe se désengage ainsi ».

 

Enfin, la banque alimentaire, qui gère dans le Var 1 600 tonnes de nourriture dont 40 % proviennent de l’Europe, s’interroge aussi sur le futur, quand le PEAD sera transformé.

 

«Ça nous demandera d’évoluer, de diversifier nos sources de revenus »,avance prudemment François Teulé, chargé de la communication, en rappelant qu’au départ, le PEAD avait été créé pour récupérer les nourritures gaspillées dans toute l’Europe, les fameux surplus de la politique agricole commune.

Aujourd’hui, il y a moins de gaspillage, on gère mieux, mais il y a toujours plus de pauvres. Cherchez l’erreur.

  

1. Les banques alimentaires, la Croix-Rouge française, les Restos du cœur et le Secours populaire français.

 


 

Pourquoi ça coince

 

Le programme d’aide aux plus démunis (PEAD) a été mis en place il y a vingt-cinq ans par Jacques Delors, à l’époque président de la Commission européenne, pour utiliser les surplus de la politique agricole commune (PAC).

En cas d’absence de stocks, qui ont fondu au fil des ans, l’UE finance l’achat de denrées sur le budget de la PAC.

 

Ce fonctionnement est remis en cause en 2011 par sept pays dont l’Allemagne, estimant que l’aide sociale ne relève pas de l’Europe, mais de chaque état membre. La Cour européenne de justice leur donne raison.

 

Devant la levée de boucliers de plusieurs pays, un compromis est trouvé fin 2011, pour maintenir le PEAD en 2012 et 2013 avec un budget de 500 millions d’euros par an. La commission propose ensuite la création d’un Fonds européen doté de 2,5 milliards d’euros sur 7 ans (2014-2020), ce qui semble notoirement insuffisant aux associations. Le conseil des chefs d’États européens doit statuer sur ce principe le 23 novembre.

 

D’ici là, les associations appellent à accentuer la pression sur les pouvoirs publics pour qu’ils soient conscients de « la nécessité d’un programme européen garantissant un droit fondamental et un besoin vital : l’accès à une alimentation suffisante [...] ».

 

« À l’heure où ses dirigeants ont reçu le prix Nobel de la paix, l’Europe ne saurait rompre ce pacte de solidarité en faveur des hommes et des femmes qui y vivent »,concluent les associations.

 


 

Repères

 

- 130 millions de repas distribués en France. C’est ce que représente l’aide alimentaire de l’Union européenne chaque année. La France est la principale bénéficiaire de cette aide, avec la Pologne et l’Italie.

 

- 72 millions d’euros ont été attribués à la France l’an dernier, sur les 500 M€ du PEAD.

 

- 2 euros par an et par habitant de l’UE. C’est ce que représente l’aide réclamée par les associations (4,5 milliards sur 7 ans).


 

L’Europe et l’emploi

 

523888_415542135167154_2082437153_n-270x225.jpg

Le concept européen avait été vendu avec la promesse de la sécurisation de la protection sociale et de l’emploi. Or, lors de l‘affaire de la délocalisation du STIF par le conseil régional d’Ile de France, nous avons appris que cela résultait d’une directive européenne obligeant les administrations à prendre le marché le moins cher, y compris hors d’europe. Même Hollande avait confirmé son impuissance.

 

En outre, l’Europe impose une immigration massive au nom des droits de l’homme et veille à s’assurer que les frontières restent ouvertes. Le printemps arabe avec ses tunisiens fuyant une Tunisie libérée avait démontré la volonté européenne à imposer un maximum d’immigration sous peine de sanction. Des centaines de milliers d’immigrés arrivent tous les ans en France dont une partie se retrouve sur le marché du travail. Il faut rappeler que 77% du social est financé par le travail.

 

Aujourd’hui, le Figaro titre un de ses articles ainsi : « Les salariés à bas salaires déferlent en France ». Il est plus loin précisé que ce sont des salariés venant d’Europe et travaillant en fonction des salaires des pays d’origine. Leur nombre aurait été multiplié par dix en 4 ans. D’ailleurs, aucune charge n’est payée à la France, que ce soit salariale ou patronale!

 

Donc l’Europe, pour l’instant c’est :

 

-Obligation de délocaliser pour les administrations

 

-Imposer une immigration massive qui pèse sur les salaires tant sur le coût que le niveau en faisant rentrer en concurrence des personnes prêtes à tout.

 

-Faciliter la venue de main d’oeuvre sous payée en dehors du droit du travail français, faisant concurrence directe aux entreprises respectueuses de nos lois et payant des charges.

 

Merci l’Europe, on comprend mieux ce qu’il se passe…

 

Source: Anthonin Lamoureux



 

300.000 européens travailleraient en France « à prix cassés »

 

cdi-cdd-interim-300x145-4df4d-270x130.jpg

Plus de 300.000 ressortissants de l’Union européenne travailleraient en France « à prix cassés », selon une note confidentielle du ministère du Travail citée dans Le Parisien de mardi.

Le chiffre officiel est de 110.000 en 2010, soit trois fois plus qu’en 2006, mais leur nombre réel se situerait entre 220.00 et 330.000, indique le document.

 

Aux ressortissants d’Europe de l’Est, se sont ajoutés ces deux dernières années des Espagnols et des Portugais fuyant la crise dans leurs pays.

 

Depuis un décret de 2007, le recours à des entreprises étrangères prestataires de services installées dans d’autres pays de l’Union européenne est légal en France. Mais celles-ci doivent respecter le droit du travail français, en matière notamment de rémunérations, ce qui est loin d’être le cas selon les syndicats.

 

« C’est un phénomène qui est connu, qui est extrêmement présent, notamment dans le bâtiment (…) et c’est un phénomène qui est illégal », a réagi sur France 2 le ministre du Travail, Michel Sapin.

 

« Être payé au smic polonais sur le territoire français, c’est illégal. Ça existe parce qu’il y a aussi des voleurs de pommes qui existent, qui sont poursuivis et qui sont ensuite jugés et condamnés », a-t-il ajouté.

 

Chine Labbé, édité par Yann le Guernigou

 




3 ème voie.jpg

 

 

 

 

 

 

http://ndpiledefrance.hautetfort.com/



Viewing all 5650 articles
Browse latest View live




Latest Images