La France est en train de crever
Dès le lendemain de la victoire de Hollande, un de nos contributeurs, Michel Tonarelli, écrivait cet article terrible : Dans 260 semaines, le mot fin sera écrit au bas de l’Histoire de France.
http://ripostelaique.com/dans-260-semaines-le-mot-fin-sera-ecrit-au-bas-de-lhistoire-de-france.html
C’est une chose que d’annoncer une catastrophe longtemps à l’avance, c’en est une autre que de se retrouver le jour venu les pieds en plein dedans.
C’est une chose que d’avertir, il y a plus d’un an, que l’élection de Hollande déboucherait sur des lendemains qui ne chantent pas, c’en est une autre que de constater, aujourd’hui et chaque jour un peu plus, l’effrayante progression de la maladie : la vitesse à laquelle la doulce France se métamorphose en hideux Frankistan ; la vitesse à laquelle la République jadis encore un peu démocratique se transforme en dictature toujours plus répressive pour certains (cloués au Mur des Cons), toujours plus complaisante pour d’autres (gavés des milliards de nos impôts) ; la vitesse à laquelle l’idéologie délirante de la gôche, imposée de force sans tenir le moindre compte de la réalité, ravage la société ; la vitesse à laquelle une République officiellement encore laïque s’affuble d’une religion d’Etat avec la croyance la plus épouvantablement arriérée qui soit et s’y ensevelit comme dans un suaire ; la vitesse à laquelle les zélites françaises qui pètent de trouille devant cette religion agressive se muent de dhimmis honteux en kollabos affichés et fiers de l’être ; la vitesse à laquelle ces mêmes zélites prostituent la France à leurs différents grands et petits maîtres internationaux, comme si la France n’était plus qu’une vieille putain décatie à refiler au plus offrant ou au plus vicelard : l’Amérique, l’Allemagne, l’Europe, le Qatar, l’Arabie Saoudite, l’Algérie sans parler de tous les autres machins non élus qui décident pour nous, et à notre place, de notre destin (FMI, OMC, OTAN, etc.).
Tout cela au nom de grands principes, cela va de soi, mais défigurés ou devenus fous : dogme droit-de-l’hommiste, égalité poussée jusqu’au grotesque, vivre-ensemble obligatoire, laïcité invoquée chaque fois qu’elle est violée, modernité, compétitivité, etc.
La France est en train de crever
Juste trois exemples révélateurs glanés dans l’actualité de ces dernières semaines :
— À Brétigny-sur-Orge, le 12 juillet, des « jeunes » détroussent les victimes du déraillement du train Paris-Limoges, puis volent et caillassent les secours au point qu’il faut l’intervention des CRS pour les faire déguerpir.
Les grosses légumes (Hollande, Ayrault, ministres, autorités préfectorales) arrivées sur place à la vitesse du TGV, ainsi que les médias kollabos et les responsables de gôche qui se bousculent devant les caméras, tous, immédiatement et avec un bel ensemble de perroquets bien dressés, nient les faits qu’ils qualifient de « fausse rumeur de la fachosphère » (le syndicat de policiers à l’origine de la « rumeur » en question présentant la tare rédhibitoire d’être classé à droite).
Pourtant, le Procureur de la République confirme, le 24 juillet, au moins 2 vols alors que 4 plaintes ont été déposées.
Et si l’accident est officiellement dû à la défaillance inexpliquée d’une éclisse, qu’on se rassure, la possibilité d’un sabotage a été immédiatement écartée par Hollande, grand expert ès-aiguillages s’il en est.
À ce jour, aucun perroquet bien dressé n’a reconnu nous avoir pris pour des cons.
— À Toulouse, le 2 août, des « jeunes » agressent et caillassent les secours appelés pour aider une jeune femme à accoucher à son domicile ; sans doute que la meuf n’était pas une voilée.
— Le lendemain, dans le même quartier décidément accueillant, des « jeunes » agressent, frappent et caillassent les pompiers venus au secours d’une femme âgée victime d’un traumatisme crânien après une chute ; celle-ci devra finalement être emmenée (« exfiltrée » ?) par sa famille.
Sur ces deux derniers faits, Valls à Gaz a parlé de comportements « d’une bêtise sans nom » ; c’est le moins, en effet.
Même si, actuellement, saison estivale oblige, les médias kollabos nous parlent surtout de sea, sex and sun, nous avons quand même été informés de ces faits, surtout le premier en raison de sa gravité, tandis que les deux autres ont malheureusement peu retenu l’attention.
Comme si tout cela était normal en Normalie de Normal 1er.
Comme si tout cela n’était que « bêtises » de « jeunes » un peu chahuteurs dans des quartiers « sensibles » ou « défavorisés » toujours un peu « chauds » en été (ramadanesque de surcroît), selon le charabia de la culture de l’excuse que nous connaissons par cœur. Mais réfléchissons bien au point commun de ces trois faits : en 2013, vingt-et-un siècles après l’Âge du Fer, en France, un pays riche d’une civilisation millénaire et d’un art de vivre réputé, en Europe de l’Ouest qui a longtemps été le centre flamboyant du monde, des individus peuvent agresser les secours et dépouiller les cadavres en toute impunité !
Cette constatation m’épouvante comme un cauchemar ou un film d’horreur, sauf que ce n’est ni un cauchemar ni un film d’horreur mais la réalité crue du pays dans lequel nous vivons. J’ai été horrifié en apprenant les événements de Brétigny ; je l’ai été de nouveau en apprenant ceux de Toulouse car ils montrent que ces comportements se banalisent à la vitesse de la lumière.
Or, aucune société humaine civilisée ne peut tolérer de tels comportements car ils sont aux antipodes de ce qu’est une civilisation ; c’est la solidarité des individus unis face aux dangers qui a permis de bâtir des sociétés vivables, c’est la certitude que mes voisins viendront spontanément à mon secours si ma maison brûle et que je ferai de même pour eux, sans me poser de question ; c’est ce dévouement réciproque qui permet à la collectivité de survivre et ça ne date pas d’aujourd’hui puisque c’est la solidarité de la famille, puis du clan, puis de la tribu, puis de la société qui a permis à nos lointains ancêtres humanoïdes, pourtant mal pourvus par la nature, de survivre envers et contre tout et de finir par dominer le monde.
Dépouiller les cadavres, voire les blessés qui réclament une aide d’urgence, agresser les secours, c’est une pulsion de mort déchaînée, un retour à la sauvagerie de nos origines il y a des millions d’années, une régression vertigineuse vers une bestialité que des siècles d’éducation n’ont manifestement pas suffi à éradiquer.
Si la loi oblige à porter secours à autrui puisqu’elle punit la non-assistance à personne en danger, elle n’a pas prévu de punir l’agression de personne en danger, et pour cause puisqu’il s’agit là d’un tabou d’origine anthropologique (voire même génétique), fondamental pour tout être humain civilisé et qui n’a pas besoin d’être écrit.
Ces individus qui ont commis de telles saloperies sont-ils des êtres humains civilisés ? Évidemment non, et parler de comportements « d’une bêtise sans nom » est une bêtise sans nom : ce n’est pas une simple « bêtise », avec ou sans nom, ce sont des actes contre-nature et criminels, des actes qui mettent leurs auteurs au ban de l’humanité, des actes qui les désignent comme des bêtes dangereuses et malfaisantes qui ne relèvent plus de la sociologie mais de la zoologie, et qu’il faut éliminer sur le champ et sans autre forme de procès car c’est la seule réponse sensée qu’une société décidée à se défendre doit leur donner.
On n’en est malheureusement pas là car notre société n’est pas du tout décidée à se défendre, et comme chaque âme sensible à la souffrance animale le sait, nos forces de l’ordre ont été tellement émasculées par les pouvoirs capitulards successifs qu’à chaque « échauffourée », leur préoccupation unique est de ne blesser personne dans le camp des « divers » d’en face, quitte à se laisser tirer dessus à l’arme de guerre sans riposter ; c’est que ça la fiche mal pour la propagande du pouvoir lorsque la simple « échauffourée » en question vire soudain à l’émeute ultra-violente généralisée de 3 jours et 3 nuits ; donc, les forces de l’ordre qui obéissent aux ordres se bornent à se protéger elles-mêmes puis à faire retraite clopin-clopant en laissant le moins possible des leurs sur le carreau, la répression du crime ce sera pour plus tard ; pour la protection des citoyens honnêtes, pourtant le premier devoir de l’État, ce sera pour encore plus tard ; et pour la défense de la civilisation contre la barbarie, ce sera, c’est promis, à la Saint-Glinglin.
La France est en train de crever
Dans la France d’aujourd’hui, on peut donc mourir après un accident ou une maladie parce que les secours d’urgence dont on a un besoin vital sont tombés dans un guet-apens organisé par des « défavorisés » pour se distraire ou s’enrichir ou pour faire comme la bande de racailles de la cité d’à-côté.
Dans la France d’aujourd’hui, les victimes d’une catastrophe peuvent être dépouillées par des voyous qui ne pensent qu’à leur faire les poches en les laissant crever dans leur sang au lieu de leur porter secours.
Dans la France d’aujourd’hui, ces faits devraient tous nous épouvanter, nous montrer que ça va trop loin, que les fondements de la société partent en morceaux, que des mesures radicales doivent être prises et mises en œuvre de toute urgence, mais ça ne fait qu’un petit tour aux journaux télévisées avant de céder la place à des infos plus passionnantes (comme les croustillants ébats de Nabilla).
Car dans la France d’aujourd’hui, quand les zélites ne parviennent plus à minimiser la violence intolérable des faits, elles nient les faits purement et simplement, elles nient une réalité qu’elles ne contrôlent plus depuis longtemps, laissant ainsi la population seule et désarmée à la merci des bêtes sauvages.
Dans la France d’aujourd’hui, les zélites sont criminelles en bandes organisées et complices des crimes qu’elles laissent se commettre.
L’ensauvagement de la France décrit par Laurent Obertone dans sa France Orange Mécanique n’est pas un fantasme d’extrême-droite, « un tissu d’âneries qui sert le FN » (Nouvel Obs, toujours bien inspiré) mais la glaçante réalité.
La mort par égorgement du jeune Jérémie, 23 ans, à Marseille, en est une nouvelle illustration.
Je souhaite vivement qu’une de ces arrogantes crapules qui nous bassine matin, midi et soir avec sa morale de pacotille soit elle-même un jour victime de ce qu’elle prétend n’être qu’un tissu d’âneries, un fantasme, un préjugé, un racisme franchouillard, et qu’elle y laisse une bonne poignée de plumes, de dents, d’argent et plus encore si affinités, ça lui donnera peut-être une meilleure appréciation de la réalité telle qu’elle est et telle que nous devons la subir en silence.
La France est en train de crever
Et pendant que la France sombre ainsi dans la barbarie, pendant que le niveau de violence toléré augmente inexorablement, pendant qu’une guerre de moins en moins sourde et de plus en plus violente s’installe partout, certains patriotes discutent du sexe des anges ; ou sodomisent des mouches pour ceux qui préfèrent les travaux pratiques.
N’y a-t-il vraiment rien de mieux et de plus urgent à faire ? Allons-nous nous laisser assassiner ou nous révolter ?
« Les droits [naturels et imprescriptibles de l'Homme] sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. » Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, art. 2
Winston Churchill disait : “Si la guerre est horrible, la servitude est pire. Si vous ne vous battez pas pour vos droits quand vous pouvez vaincre sans verser le sang, si vous ne vous battez pas quand la victoire est certaine et peu coûteuse, le moment viendra où vous devrez vous battre contre tout espoir, avec des chances de survie très minces.
Et il y a pire : peut-être devrez-vous vous battre sans la moindre chance de vaincre, parce qu’il vaut mieux périr que de vivre en esclaves. »
A méditer. Si ce texte vous touche, préparez-vous à manifester nombreux aux côtés de Riposte Laïque, Résistance républicaine et de tous ceux qui, au sein du Collectif pour la Défense des Libertés Publiques, appellent, le 14 septembre prochain, les Français à descendre dans la rue contre la répression socialiste, qui ne touche que ceux qui refusent l’ordre nouveau des Hollande-Valls-Taubira.
POUR COMMANDER RECONQUISTA OU MORT DE L’EUROPE
Vous pouvez adresser un chèque de 24 euros (5 euros de frais de port compris), à l’ordre de Riposte Laïque, à l’adresse suivante : Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.
Union européenne : 27 euros. Autres pays : 30 euros.
Vous pouvez également le commander par paypal, en cliquant sur le lien suivant :