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LA DGSE S' INTERROGE SUR LES VALEURS MORALES ???

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Le Point.fr - Publié le 23/09/2013 à 17:30

Confrontée à un rajeunissement de son personnel et à un renforcement du nombre des civils, la DGSE s'est interrogée sur les valeurs qui l'animent.

 

Dans le monde du renseignement, personne n'a oublié la vieille formule prussienne : "Le renseignement est un métier de seigneur." (Nachrichtendienst ist Herrendienst.) Mais une fois cet aphorisme prononcé, il faut bien aller voir ce qu'il y a derrière.

A priori, les agents secrets ne sont pas des parangons des vertus publiques.

Ce n'est pas une mince affaire que de chercher ce qui anime - dans une démocratie, pour faire simple - des hommes et des femmes qui écoutent les conversations des autres, conduisent des opérations illégales aussi bien du point de vue de leur pays que de celui où ils opèrent, jouent sur les sentiments humains les moins nobles, volent ici, trahissent là.

Bref, ne se comportent pas précisément en personnes bien élevées. 

Et pourtant ! Sauf cas déviants, et toujours pour se situer dans une démocratie du XXIe siècle, les services secrets ne sauraient agir sans avoir obtenu l'aval, sinon l'ordre, de l'autorité politique légitime, comme c'est le cas en France.

Parfois, une autorité judiciaire vient compléter les autorisations accordées par le pouvoir exécutif pour prendre des libertés avec la loi. C'est précisément ce qui passe aux États-Unis dans l'affaire de la NSA.

Mais comment cela se passe-t-il dans la tête des agents qui doivent parfois agir au-delà des limites fixées au commun des mortels ?

Quelles sont les valeurs qui les animent, à tout le moins en France, qui pourraient leur être opposées en cas de manquement ?

DGSE ou Ikea ?

Nous avions eu connaissance voici quelques mois d'une démarche engagée par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) pour réfléchir sur ces points, sous la houlette de son précédent directeur, le préfet Erard Corbin de Mangoux.

Entamé en mai 2012 par un séminaire des cadres dirigeants qui avaient en main une analyse lexicale des productions du service, ce travail sur les valeurs a été finalisé en avril 2013.

Il avait été rendu nécessaire par une profonde transformation des équilibres internes.

Aujourd'hui, la DGSE compte 5 100 employés, soit 20 % de plus en douze ans, auxquels s'ajoutent les 1 000 militaires du service Action qui sont payés par leur armée d'origine. L'ancienneté moyenne dans le service est de treize ans.

La moyenne d'âge s'élève à 41 ans. Hors service Action, la DGSE compte 73 % de civils recrutés sur concours et 25 % de femmes. Nous n'avons pas pu connaître la proportion d'informaticiens experts (les "geeks") qui sont recrutés en CDD pour 3 ou 6 ans. Selon l'une des personnes ayant une bonne connaissance de ce projet, "5 % des agents sur service y sont entrés depuis moins d'un an.

C'est la génération Y, zappeuse, impatiente, consommatrice. Elle vit en partie sur le Web. La question que le service s'est posée est donc très simple : quelle est la différence entre un job à la DGSE et un autre à Ikea ?".

Introspection

Collectivement, à partir de questionnaires diffusés régulièrement sur l'intranet du service, mais aussi après avoir écouté des conférences de personnalités extérieures, les agents de la DGSE ont défini eux-mêmes les valeurs animant le service.

Celles qui définissent, selon la formule d'un fonctionnaire "le code génétique du service" : "Nos valeurs sont liées à celles de la République, mais quelles sont elles ? Il fallait les déterminer, afin de les traduire en actes.

Et susciter l'indignation à l'égard de ceux qui les transgressent."

L'accouchement fut difficile ! Mais enfin, les mots ont été jetés sur la table. 42,5 % des agents s'étant engagés dans ce brainstorming, ces résultats ne manquent pas d'intérêt.

Les mots qui ont été retenus, avec plus ou moins de succès, sont les suivants, classés par ordre alphabétique et relevés sur un document interne à la DGSE dont nous avons eu connaissance : adaptabilité, anticipation, créativité, courage, désintéressement, discernement, discrétion, efficacité, engagement, esprit d'équipe, excellence, exigence, expertise, fiabilité, humilité, innovation, intégrité, loyauté, patriotisme, performance, probité, professionnalisme, réactivité, responsabilité, rigueur, secret. Bref, il n'en manque qu'un à l'appel : l'amour... 

Dans cette quête des valeurs, trois mots seulement ont atteint plus de 90 % des suffrages : secret, discrétion, engagement.

Mais ceux qui ont été finalement retenus sont quatre. Ils constituent ce que le service appelle désormais le LEDA.

Valeurs cardinales

Le "système LEDA", ce sont les initiales des quatre mots-clés du service, ses valeurs cardinales : Loyauté, Exigence, Discrétion, Adaptabilité.

Dans un court texte titré "nos valeurs", qui devrait apparaître prochainement sur le site de la DGSE, il est expliqué à propos de la loyauté qu'elle est "une valeur essentielle qui transcende les valeurs individuelles".

L'exigence n'est autre que "la conscience aiguë de l'importance du moindre détail dans la réussite de nos missions". La discrétion est "un gage essentiel de la sécurisation des missions et des agents". "[C'est une] attitude permanente de réserve, d'humilité et d'abnégation."

Quant à l'adaptabilité, "elle suppose de concilier plasticité intellectuelle et rigueur morale". 

En tout cas, voila nos agents secrets dotés d'un viatique qui les aidera dans ce monde cruel.

Mais l'exposition de telles valeurs poursuit un autre objectif : permettre aux autorités politiques, aux destinataires des notes et aux partenaires des services secrets étrangers de savoir à qui ils ont affaire.

Le secret perdure. Le mystère, un peu moins.

 

source et publication:    http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/exclusif-quelles-sont-les-valeurs-morales-de-nos-espions-23-09-2013-1734265_53.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130924


TRIBUNE LIBRE , LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Madame Monsieur,
Manifestement, une personne très haut placé au gouvernement en veut à votre vie.
Il s'agit de Christiane Taubira, ministre de la Justice.
Depuis qu'elle est arrivée, elle a multiplié les décisions, consignes et circulaires ministérielles visant à éviter la prison à des individus dangereux condamnés à de la prison ferme.
Je n'exagère pas. Rien que ces dernières semaines, des dizaines de personnes ont été victimes de son idéologie anti-prison :
• Jacques Blondel, héroïque retraité, tué par balle le 22 août dernier par des braqueurs qu'il essayait de stopper. Marouen R, le principal suspect, était déjà connu pour plus de 12 délits, dont une agression ultra-violente au couteau. Mais conformément aux souhaits de Christiane Taubira, il était libre comme l'air au moment de son crime : la Justice avait toujours pris soin de lui éviter la détention.
  
• Monique Bouquignaud, commerçante à Cambrai, atrocement agressée dans sa boutique le 20 juin 2013. L'un des malfrats, 20 ans, avait déjà été arrêté 31 fois par la police. Chaque fois, il a bénéficié des lois et des consignes ministérielles demandant de le relâcher rapidement ou de ne surtout pas l'incarcérer. Deux ans auparavant, au même endroit, c'est son époux qui avait été tué à coups de couteau, par des récidivistes, pour un butin de 40 euros
  
• deux jeunes femmes agressées à Colombes, le 7 août 2013 : l'agresseur a laissé sa première victime défigurée dans une mare de sang puis, quarante minutes plus tard, a violé une autre jeune femme sous la menace d'une arme. L'agresseur présumé, Sofiane M., est un multirécidiviste condamné pour de nombreux faits de violence, de vols et une agression sexuelle. Au moment des faits, il purgeait une autre peine, mais la consigne avait été de le libérer malgré sa dangerosité. Il bénéficiait d'un régime de semi-liberté, qui consiste à passer uniquement la nuit en prison, et passer toute la journée, à l'extérieur, sans autre surveillance. La veille, il avait déjà été interpellé pour des faits de vol à l'étalage mais il avait encore été relâché.
  
Tout ceci ne doit rien au hasard. C'est le résultat normal, prévisible, des lois en vigueur et des consignes officielles données par la Ministre de la Justice, Christiane Taubira, pour laisser dehors un maximum de criminels et délinquants.
Défendez-vous ! Indignez-vous ! REVOLTEZ-VOUS !!!
Car le pire est à venir : Christiane Taubira prépare pour le mois de septembre une nouvelle série de mesures pour diminuer encore les peines des récidivistes. C'est de la pure folie.
Signez de toute urgence la pétition ci-dessous pour lui faire barrage.
En effet, chaque année en France sont commis plus de 120 000 vols avec violences, plus de 365 000 cambriolages et près de 400 000 agressions physiques violentes.
Face à cette marée affolante, qui laisse au bord du chemin des centaines de milliers de victimes traumatisées chaque année, nous avons moins de 60 000 places de prison. C'est deux fois moins que la moyenne des Etats européens !
Mais pour Christiane Taubira, c'était déjà trop. La toute première mesure qu'elle a prise, en arrivant au pouvoir, fut d'annuler le programme de construction de nouvelles prisons décidé par le gouvernement précédent.
Elle a ensuite édicté une circulaire demandant de ne pas emprisonner les délinquants condamnés à de la prison ferme si la prison est trop remplie. C'est ainsi qu'à Dreux, début août, trois malfrats sous le coup d'une peine de prison ont été laissés libres, provoquant l'indignation du policier qui avait pris tous les risques pour les arrêter.
Mais ce qui se prépare est beaucoup plus grave encore : dans quelques jours, quelques semaines tout au plus, Christiane Taubira va tenter de faire passer une nouvelle série de mesures pour hâter les sorties de prison des récidivistes, diminuer les peines et supprimer plusieurs garanties importantes protégeant les citoyens :
 Première mesure : un détenu condamné pour la première fois bénéficie actuellement chaque année de 5 à 6 mois de réduction de peine, ce qui permet aux condamnés à 10 ans de prison de sortir, avec une libération conditionnelle, au bout de 3 ou 4 ans. (articles 721 et 721-1 du Code de procédure pénale)
  
 Cette mesure qui paraît déjà irresponsable, Christiane Taubira a décidé d'en faire également bénéficier les récidivistes, et même lesmultirécidivistes.
  
 Deuxième mesure : la loi permet aujourd'hui de laisser libre une personne condamnée à de la prison ferme, lorsqu'elle n'est pas en récidive. 100 000 peines restent ainsi « en attente d'exécution », ce qui veut dire que les coupables sont relâchés dans la nature immédiatement après leur condamnation au tribunal (article 474 du Code de procédure pénale). Cette mesure de faveur seraétendue aux récidivistes si le texte de Christiane Taubira est voté.
  
 Troisième mesure : supprimer les peines plancher qui s'appliquent à tous les récidivistes et qui prévoient, en principe, une aggravation automatique des peines de prison à l'encontre des délinquants ou criminels qui commettent les mêmes actes. Leur suppression serait d'autant plus grave qu'elles étaient la seule mesure de fermeté effective que le gouvernement précédent avait réussi à voter.
  
Et ce n'est toujours pas fini :
le projet de Christiane Taubira prévoit d'obliger les tribunaux à démontrer, avant d'incarcérer un récidiviste, « que la personnalité de l'auteur, la nature des faits et les circonstances de leur commission rendent son incarcération indispensable » (ce qui est toujours très difficile à prouver). Il exige aussi que la peine de prison ne soit prononcée pour les récidivistes « qu'en dernier recours », lorsqu'il est démontré que « toutes les autres sanctions apparaissent manifestement inadéquates », ce qui est aussi en pratique très difficile. Il s'agit du dernier alinéa de l'article 132-19 du code pénal.
C'est pourquoi il n'est pas exagéré de dire que cette femme en veut à votre sécurité et à celle de vos proches.
Si les délinquants multirécidivistes étaient chargés de réécrire le code pénal, ils suivraient exactement son projet de loi pour échapper à la sanction qu'ils méritent.
Tout ce que fait Christiane Taubira conduit à accroître le nombre de délinquants et criminels en liberté sur notre territoire. Depuis son arrivée au pouvoir, elle n'a pas pris une seule mesure permettant au contraire de garantir plus de sécurité.
Les conséquences en sont déjà visibles dans tout le pays. Depuis qu'elle est ministre, les cambriolages ont augmenté entre 5% et 14% selon les zones, les vols à la tire de 13,5% à 35,6% et les violences sexuelles de près de 30% en zone gendarmerie (c'est-à-dire dans les campagnes) !
Et c'est pourquoi je vous demande de signer de toute urgence notre pétition destinée à François Hollande.
Ne laissez pas le Code pénal de notre pays, qui devait servir, à l'origine, à protéger les citoyens, devenir un code de protection des criminels.
Face à cette réforme qui promet d'être la plus dangereuse des trente dernières années, je vous demande de vous mobiliser. Il en va de la sécurité et peut-être de la vie de vos enfants, petits-enfants ou de votre entourage.
Notre seule solution est de nous lever en masse.
Car si nous le faisons, nous pouvons pousser François Hollande à faire le bon choix et à retirer ce projet criminel.
Il a déjà forcé Christiane Taubira à céder sur un point : la libération automatique aux deux tiers de la peine, initialement présente dans le texte, a été supprimée.
Mais sur les autres mesures, il hésite encore. Car chaque jour, en ce moment-même, François Hollande subit la pression de groupes influents, comme le Syndicat de la magistrature, pour faire passer cette réforme au plus vite (pour mémoire, le Syndicat de la magistrature est celui qui avait montré l'étendue de sa compassion envers les victimes en épinglant, sur leur « mur des cons », des parents d'enfants assassinés).
Notre mobilisation doit donc être plus rapide et plus forte !
Au mois d'avril, la presse soulignait que grâce à l'activisme de l'Institut pour la Justice, la réforme pénale était en suspens. Il faut aujourd'hui mettre toute notre énergie pour que ce texte soit définitivement abandonné. C'est une question d'heures et de jours, car les derniers arbitrages de François Hollande sont en cours.
D'autres idées insensées circulent, comme la création d'un revenu pour les détenus ou d'un numerus clausus dans les prisons. Comme il manque des milliers de places de prison en France, on mettrait en place un numerus clausus dans lequel chaque nouvel entrant en prison devrait entraîner la libération automatique d'un autre détenu !
Nous ne pouvons pas laisser faire cela.
Il faut d'urgence signer la pétition de l'Institut pour la Justice. Votre signature est absolument indispensable pour tenter d'empêcher ce projet fou d'aboutir.
Je signe la pétition
Je compte sur vous.
Avec tous mes remerciements,
Laurence Havel
Secrétaire Nationale
PS : Le ministre de l'intérieur Manuel Valls a écrit à François Hollande pour lui dire à quel point il désapprouvait les mesures de laxisme de Christiane Taubira vis à vis des récidivistes. Je vous cite sa lettre au Président de la République :
 « La quasi-totalité des dispositions de ce texte (le projet Taubira) a fait l'objet de discussions, voire d'oppositions du ministère de l'intérieur »
  
 « Nous disposons de 57 235 places de prison (...). L'Espagne compte presque 76 000 places de prison pour une population d'un peu moins de 50 millions d'habitants, le Royaume-Uni, environ 96 200 pour une population identique à la nôtre. »
  
 « Nous devons traiter plus finement des récidivistes, qui obligent, pour certains, à une exigence accrue de prévisibilité et defermeté de la loi pénale. »
  
Clairement, la loi Taubira ne fait pas consensus, même au sein du gouvernement. Le retrait de ses mesures les plus dangereuses est donc à portée de main. Mais pour cela, il faut vous mobiliser, et mobiliser tous vos contacts en signant la pétition et en leur transférant ce message. 
Un grand merci pour votre action.



Institut pour la Justice
Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
www.institutpourlajustice.org

LE MAGASIN " SEPHORA " ET L' OBSCURANTISME SYNDICAL !

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TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !

 

Nicolas Doze : l’obscurantisme syndical à Sephora et les lumières des initiatives privées

L'obscurantisme syndical à Sephora et les Lumières des initiatives privéesLes syndicats sont-ils des partenaires sociaux ou des adversaires sociaux ?

 

 

C’est la question que pose Nicolas Doze mardi midi sur BFM TV alors que la Cour d’appel de Paris, saisie par une intersyndicale gauchiste absente de l’entreprise, a décidé lundi de contraindre le magasin Sephora des Champs-Élysées à fermer ses portes à 21h (contre minuit ou 1h du matin, selon les jours, actuellement) sous peine de payer 80 000 euros par infraction constatée et par salarié.

 

En attendant le résultat du pourvoi en cassation, les 50 salariés concernés par cette décision comme la CFTC, majoritaire chez Sephora, ne comprennent pas cette décision.

Heureusement, constate Nicolas Doze, il n’y a pas que Sephora dans l’actualité, il y a aussi la Halle Freyssinet et Carmat…

 

 

 
 

Nicolas Doze : l’obscurantisme syndical à Sephora et les lumières des initiatives privées


Source et publication:   http://www.ndf.fr/nos-breves/24-09-2013/nicolas-doze-lobscurantisme-syndical-sephora-les-lumieres-initiatives-privees?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29

"PRINTEMPS ARABE" UNE TRAGIQUE ILLUSION ! ( BERNARD LUGAN )

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Nouveau livre de Bernard Lugan : “Printemps arabe – Histoire d’une tragique illusion”

23 septembre 2013

Nouveau livre de Bernard Lugan : “Printemps arabe – Histoire d’une tragique illusion”
 
 

Quatrième de couverture, table des matières et vidéo de présentation détaillée du livre par Bernard Lugan.

En 2010-2011, la Tunisie, l’Egypte et la Libye connurent des évènements spécifiques, hâtivement baptisés « printemps arabe » par des journalistes voulant y voir autant d’avancées démocratiques.
L’échec de cette tragique illusion est à la hauteur des emballements émotionnels qu’elle suscita :

 

- La Tunisie est en faillite économique et le climat politique y est devenu explosif. Les Frères musulmansau pouvoir veulent faire adopter une Constitution ayant la charia pour norme, ce que refusent des foules de plus en plus nombreuses. La radicalisation des positions est illustrée par l’assassinat de leaders de l’opposition et par la naissance d’une insurrection armée islamiste qui pose de sérieux problèmes à l’armée tunisienne.

- En Egypte, ceux qui ne supportaient plus leur vieux chef militaire se sont finalement donnés à de jeunes chefs militaires pour échapper aux « fous de Dieu », ce qui n’empêcha pas le pays de basculer insensiblement dans ce qui risque de devenir une guerre civile.

- En Libye, l’Etat n’existe plus. Le nord du pays est partagé entre des milices tribales ou religieuses, cependant que tout le sud est devenu un « Libystan » aux mains des jihadistes.

Ce livre, illustré de cartes en couleur et qui n’a pas d’équivalent fait, au jour le jour, l’histoire du prétendu « printemps arabe » en Afrique du Nord. Il met également en évidence ses conséquences géopolitiques nationales, et régionales.
Il explique également pourquoi le Maroc et l’Algérie ne furent pas concernés par ces évènements.

Table des matières

Présentation

Chapitre I, Tunisie : le grand bond en arrière
I) Aux origines du mouvement
II) Un processus révolutionnaire rapide (décembre 2010-14 janvier 2011)
III) Une révolution inachevée (15 janvier-27 février 2012)
IV) L’élection de l’Assemblée constituante tunisienne (23 octobre 2011) et ses conséquences
V) La révolution deux ans plus tard

Chapitre II, Egypte : du mirage démocratique au retour des mamelouks
I) Les causes du mouvement
II) Du déclenchement de la révolution au renversement d’Hosni Moubarak (25 janvier 2011-11 février 2011)
III) L’après Moubarak et la victoire des Frères musulmans (12 février 2011-mars 2013)
IV) L’armée reprend le pouvoir (avril-juillet 2013)

Chapitre III, Libye : de la dictature à l’anarchie
I) Aux origines de la guerre civile
II) Les grandes phases de la guerre (février 2011-octobre 2011)
III) Les conséquences du conflit
IV) Les perspectives d’avenir

Chapitre IV, : Algérie : Une émeute ne fait pas le printemps…
I) La déception du « printemps berbère »
II) Une première tentative démocratique qui conduit à la guerre civile
III) Les autorités achètent la paix sociale

Chapitre V, Maroc : le roi précède le « printemps »

Conclusion
Table des cartes
Index des noms

Source : le blog de Bernard Lugan, sur lequel on peut également commander ce livre.

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

PROCÈS DE L' EX-AVOCAT KARIM ACHOUI ........

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Mercredi 25 septembre 2013

Dans un procès ordinaire, on s’attendrait à ce que le commissaire qui a permis d’identifier l’un des principaux accusés d’une tentative d’assassinat, soit encensé et soutenu par la victime.

Mais Karim Achoui n’est pas une victime ordinaire.

Lorsqu’il s’avance à la barre des témoins de la cour d’assises, jeudi 19 septembre, le commissaire Stéphane Lapeyre est tendu.

Cela fait près de cinq ans que ce policier est nommément mis en cause par Karim Achoui à l’appui de la thèse selon laquelle il aurait été victime d’un complot ourdi par la police.

Stéphane Lapeyre a déjà obtenu la condamnation de l’ex-avocat pour diffamation mais il a encore beaucoup de choses à dire.

(…) Parmi les éléments versés au dossier, figurent les relevés d’appel entre les deux hommes.

Plus de 350 en quelques mois, dont plus de 160 à l’initiative de Ruddy Terranova.

Parmi ces appels, l’un est passé le jour du guet-apens tendu à Karim Achoui et un autre le lendemain.

A l’ex-avocat, qui voit là l’un des signes du « complot policier », le commissaire Lapeyre réplique : « J’aurais été un bien piètre professionnel si j’avais commandité un assassinat d’avocat avec mon téléphone portable de service ! »

Et alors que chacun des quatre avocats de Karim Achoui, Mes Edouard Martial, Christian Saint-Palais, Jean-Marc Florand et Chiche tentent tour à tour de sauver ce qu’ils peuvent de la thèse du complot policier défendue par leur client, il s’attirent cette réponse agacée du témoin : « Ce que je pense de cette tentative d’assassinat, c’est que Karim Achoui n’a pas intérêt à ce que la réalité apparaisse.

La réalité, c’est qu’il s’agit d’un complot de voyous pour des raisons de voyous. »

Le Monde

 

source

NET ET TÉLÉPHONE SOUS SURVEILLANCE ......

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Mercredi 25 septembre 2013
MOINS BIEN DOTÉ EN PERSONNEL EN EN MOYENS QUE LA NSA AMÉRICAINE, LA DGSE N'EN EST PAS MOINS TRÈS PERFORMANTE POUR ASSURER UNE SURVEILLANCE TRÈS FINE DES COMMUNICATIONS.

 
SUR LE MÊME SUJET

"Les habitués l'appellent "le salon de lecture". Une pièce sans âme au cœur de la Piscine, le siège de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), boulevard Mortier, à Paris. C'est dans ce lieu secret que les représentants de grands groupes français peuvent accéder aux documents rassemblés par les services de renseignements sur leur secteur. "Ce sont des centaines de milliers de pages de documents internes de concurrents internationaux, offres commerciales, technologies, explique un familier de la DGSE. Les types envoyés par les boîtes, dont on ne sait pas trop quel est leur poste exact, passent des heures à potasser des piles de dossiers. La règle, c'est qu'aucun document ne sort de la pièce."

Bigre. La France se serait-elle convertie à l'espionnage à l'américaine, Big Brother dévoilé par l'ancien sous-traitant de la National Security Agency (NSA) Edward Snowden depuis juin ? Quelques semaines après ses révélations, Le Monde assurait, le 5 juillet, que la France disposait d'un outil de surveillance d'Internet similaire. Un "supercalculateur", situé dans le sous-sol du siège de la DGSE, assurait le quotidien, "stocke les interceptions d'une grande part des communications, mails, SMS, fax, ainsi que toute activité Internet des Français, et les flux entre la France et l'étranger".

La ROEM moins bien doté que la NSA

Où en est vraiment la France dans le renseignement technique, affublé du nom barbare de ROEM (renseignement d'origine électromagnétique)? "On a longtemps été à la traîne, car le renseignement humain était considéré comme plus noble dans la culture française", explique un ancien cadre de la DGSE. La France a désormais rattrapé une partie de son retard. "Elle est en première division sur ces technologies, dans le sens où nous maîtrisons tous les modes d'interception (mobiles, Internet, communications satellites…), assure Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). Mais nous restons à des années-lumière des moyens de la NSA, ou même du Government Communications Headquarters britannique, le GCHQ."

De fait, le GCHQ emploie 6.000 spécialistes des écoutes, quand la direction technique de la DGSE ne s'appuie que sur 1.100 employés, auxquels il faut ajouter les spécialistes de la Direction du renseignement militaire (DRM), soit environ 700 personnes. Quant à la NSA, c'est un monstre : elle disposerait de 55.000 employés, avec un budget annuel de 10,8 milliards de dollars, selon Edward Snowden, soit quatorze fois plus que le budget de la DGSE (600 millions d'euros), aux attributions pourtant beaucoup plus larges.

Des antennes satellites en Dordogne et dans les Pyrénées-Orientales

"Le renseignement français fait du bon boulot avec ses moyens", veut se rassurer Louis Caprioli, ancien patron de l'antiterrorisme à la Direction de la surveillance du territoire (DST), désormais conseiller au cabinet de gestion des risques GEOS. "Le renseignement français a le meilleur rapport coût-efficacité du monde occidental", appuie Eric Denécé.

La France dispose notamment d'un large réseau de stations d'écoute dotées d'antennes satellites, parfois surnommé Frenchelon, en référence au réseau Echelon américain (voir carte ci-dessus). Les sites les plus connus sont ceux de Domme (Dordogne) et Saint-Laurent-de-la-Salanque (Pyrénées-Orientales). Mais la DGSE profite aussi de stations à Kourou (idéalement placée pour écouter les Etats-Unis), en Nouvelle-Calédonie, à Mayotte et dans plusieurs bases à l'étranger (Abou Dhabi, Djibouti).

"Nous stockons bien évidemment tous les mots de passe"

Le renseignement français peut aussi compter sur les capacités d'écoute électronique des équipements militaires français, notamment les six sous-marins nucléaires d'attaque, le navire espion Dupuy-de-Lôme, ou les deux avions Transall Gabriel bardés d'électronique. La Direction générale de l'armement (DGA) dispose également de quatre microsatellites d'écoute lancés en 2011, la constellation Elisa, qui préfigurent le système d'écoute électromagnétique Ceres prévu vers 2020.

La France n'est pas dépourvue non plus dans la surveillance du Web. "A la suite des préconisations du Livre blanc de 2008, nous avons pu développer un important dispositif d'interception des flux Internet", reconnaissait l'ancien patron de la DGSE Erard Corbin de Mangoux devant les députés de la commission de la Défense, le 20 février. Le directeur technique de la DGSE, Bernard Barbier, est allé plus loin en septembre 2010, lors d'un colloque évoqué par le journaliste Jean-Marc Manach dans son blog : il affirmait que la DGSE avait "la meilleure équipe de cryptomathématiciens" de France, qu'elle pouvait pénétrer sans problème les ordinateurs pas assez sécurisés. "Nous stockons bien évidemment tous les mots de passe, nous avons des dictionnaires de millions de mots de passe", assurait même Bernard Barbier.

Un "data-center" implanté dans les Yvelines

De quoi accréditer la surveillance généralisée d'Internet évoquée par Le Monde ? La DGSE, selon la lettre Intelligence Online, dispose d'un nouveau data center "de 100 mètres de long sur 10 de large" dans les Yvelines, près des Alluets-le-Roi, sur le site d'un ancien bunker allemand. Mais les spécialistes sont sceptiques sur la possibilité d'interceptions systématiques.

"Le réseau téléphonique français est bien plus décentralisé qu'aux Etats-Unis, ce qui suppose des moyens énormes pour en surveiller l'intégralité, indique Kavé Salamatian, professeur d'informatique à l'université de Savoie. Contrairement aux Etats-Unis, la France n'a pas les moyens d'une telle surveillance généralisée, en aveugle. En gros, on peut faire de la pêche à la ligne sur des sujets précis, mais pas au chalut."

Le rôle stratégique d'Alcatel Submarine Networks

Pas si grave puisque la France dispose d'un moyen efficace de scanner le trafic Internet international à moindre coût : la surveillance des câbles sous-marins en fibre optique, par lesquels transite une bonne partie des données. Edward Snowden a ainsi dévoilé que les Américains et les Britanniques ne se privaient pas de se brancher sur ces câbles. Selon deux familiers de la DGSE, la France les "scanne" aussi allègrement. "On aurait tort de se priver, Alcatel est le leader mondial de la pose de câbles", s'amuse l'un d'eux.

Voilà qui explique peut-être pourquoi les rumeurs de cession de cette activité, Alcatel Submarine Networks, ont immédiatement mobilisé le gouvernement qui, par la voix de la ministre Fleur Pellerin, a insisté en janvier sur un nécessaire "ancrage national", avec une possible entrée au capital du Fonds stratégique d'investissement.

Techniquement, la manœuvre est facile : "Il suffit de mettre un petit équipement, un splitter optique : c'est très peu cher, ça dure trente ans, et c'est totalement indiscernable", souligne Kavé Salamatian. Une telle opération est possible aux points d'"atterrissage" des câbles, en Bretagne (Lannion, Penmarc'h) ou en Provence (Marseille).

 

Face au monstre américain, la France a encore quelques arguments.

A DECOUVRIR La carte de toutes les stations d'écoute qu'utilisent les services français

 

source    http://www.citoyens-et-francais.fr/article-comment-les-services-de-renseignement-fran-ais-surveillent-ce-qui-se-dit-sur-le-net-et-au-telephone-120174249.html

FRANCE : VIVRE SELON LA SHARIA DE LISLAM ........

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France : encore le couteau de l’islam : Elyes Aboubakeur a tenté de décapiter son épouse en pleine rue (devant leurs enfants)

Image d'archive

Image d’archive

Hier mardi 24 septembre, Elyes Ben Aboubakeur, 43 ans, a été condamné par la cour d’assises du Rhône à 10 ans de réclusion pour avoir en pleine rue de Saint-Fons, tenté d’égorger – en fait il tentait de la décapiter – son épouse le 25 juin 2011.

10 ans, cela veut dire qu’il sort dans 4 ans et qu’il peut recommencer.

L’homme, constate le président du tribunal, ne s’est pas intégré depuis son arrivée en France en 2005.

Il vit et pense selon la sharia de l’islam – vous savez, cette culture qui enrichit la France, et qui autorise l’homme à laver l’honneur de la famille en tuant les femmes infidèles et les jeunes filles qui fréquentent des garçons.

 

Cette semaine, par exemple, le conseil des droits de l’homme palestinien a publié qu’en Judée Samarie, 34 filles et femmes ont été tuées l’année dernière – par lapidation, égorgement, ou autre, pour des crimes d’honneur – non punis par la loi.

Donc Aboubakeur a décidé, un jour de marché, de laver son honneur – sa femme voulant divorcer , avec « une violence inouïe dans un contexte de rumination » expliquera Véronique Escalano, l’avocat général, en réclamant 10 à 15 ans de réclusion expliquant que « les coups de couteau portés à trois reprises à la gorge, en présence des enfants, dans la voiture étaient la signature d’un guet-apens réfléchi ».

 D’ailleurs Aboubakeur avait acheté le matin même les deux couteaux sacrificiels, et pas pour préparer un barbecue pour ses petits…

La cour a également conclu à « une altération légère» du discernement de l’accusé au moment des faits. Les juges ont besoin d’une meilleure formation : la France a changé, les criminels aussi, ils sont surtout immigrés, et arrivent avec des « altération légères » que l’on appelle aussi les enseignements de l’islam.

 

Si vous doutez, allez faire du shopping au centre commercial Westgate de Nairobi, ou allez prier à l’église à Peshawar…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

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RÈGLEMENTS DE COMPTES ? FUSILLADE EN PLEIN PARIS ?

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Paris XXe : fusillade en pleine rue mardi soir, pas de blessés

Posted On 25 sept 2013
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C’est une véritable fusillade, qui n’a miraculeusement fait aucun blessé.

Mardi soir, vers 23h15, plusieurs individus, montés sur des scooters, ont fait feu à plusieurs reprises rue Louis Lumière, dans le 20ème arrondissement de Paris, sur d’autres personnes qui se trouvaient là.

 Les tireurs étaient équipés de calibres différents, dont des douilles ont été retrouvées sur place par les enquêteurs du deuxième district de police judiciaire (2eme DPJ), chargés de l’enquête.

Un chargeur plein, tombé à terre, a également été saisi.

De même, un projectile de calibre 9mm a été identifié sur une Jaguar en stationnement à cet endroit.

La thèse d’un règlement de comptes est privilégiée.

 

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-xxe-fusillade-en-pleine-rue-mardi-soir-pas-de-blesses-25-09-2013-3168127.php

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gaïa pour www.Dreuz.info

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CES SYNDICATS QUI CRÉENT LE CHÔMAGE ......

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Ecrit le 25 sept 2013 à 11:56 par h16 dans Poing de vue
 

Entreprise par entreprise, les syndicats créent courageusement du chômage

Encore un ravage du libéralisme et de la doctrine ultra-capitaliste qui mange des chatons au petit déjeuner : Séphora, bien que bénéficiaire, va devoir se séparer de plusieurs dizaines d’employés. Heureusement, les syndicats sont sur le pont et vont batailler pour sauver de l’emploi !

Oh… Wait…

Oui, attendez un peu. Il semblerait que les choses ne soient pas aussi simples.

Normalement, dans un monde standard, une entreprise multinationale est un repaire évident de capitalistes en haut-de-forme et gros cigare vissé sur un rictus malfaisant ; cette entité, sans freins ni lois, imposera toujours le maximum à ses employés, piétaille taillable et corvéable à merci si ce n’était cet enquiquinant code du travail qui impose de verser, malgré tout, un salaire.

Et lorsque les abus sont trop forts et trop nombreux, les syndicats — qui aident la veuve, l’orphelin et le politicien de gauche à voter comme il faut — interviennent en cognant bien comme il faut le patronat apatride grignoteur d’enfants communistes.

Ensuite, les salariés obtiennent gain de cause au tribunal (qui est, aussi, très sensible aux plaintes et malheurs de la classe ouvrière), le patronat est condamné, et tout le monde rentre chez soi ravi d’avoir reçu son dû.

En France, les choses étant ce qu’elles sont (la dérive collectiviste étant maintenant bien avancée), on arrive à des situations où un syndicat qui n’a rien à voir avec l’entreprise attaque le patronat au détriment des salariés, écrase le premier et bafoue les seconds, remporte aisément la victoire auprès des tribunaux toujours aussi gentiment acquis à leur cause et part en croisade, dans la foulée, contre tous les autres commerces coupables des mêmes faits, parce que, parce que bon.

Entreprise par entreprise, les syndicats créent courageusement du chômage

C’est, en quelques lignes, l’histoire de Bricorama qui n’a pas eu le droit de travailler le dimanche.

Une fois faite l’analyse détaillée du cas en question, on se rend compte qu’il s’agit essentiellement d’une nouvelle affaire mafieuse de syndicaliste qui cherche surtout un moyen simple, efficace et légalement imbattable pour récupérer une forte somme d’argent.

Eh oui, le nerf de la guerre ne change pas, surtout que, il faut le rappeler, ce ne sont pas les sommes récupérées auprès des adhérents d’un syndicat qui vont pouvoir le faire vivre ; après tout, ces syndicats représentent péniblement 5% des salariés et si leur existence n’était pas gravée dans le marbre de la loi, si leur financement n’avait pas l’opacité légale nécessaire à camoufler tous leurs trafics, ces repaires d’aigrefins auraient déjà disparu du paysage politico-économique français au plus grand bénéfice du pays.

Et si l’on regarde l’actualité, on découvre une autre facette de ces opérations syndicales : après l’extorsion de fonds par jugement interposé, on découvre la bonne grosse intimidation pour des raisons politiques avec la récente condamnation de Séphora.

En substance, les syndicalistes de la CGT reprochent au magasin de rester ouvert trop longtemps et d’imposer des horaires de folie aux gentils salariés.

Dépôt de plainte, jugement, condamnation évidente : Séphora devra fermer plus tôt, et se départir d’une partie de ses salariés qui avaient la bêtise de croire qu’on leur laisserait, en France, l’opportunité de travailler quand ils le désirent.

Parce qu’il faut bien comprendre que ces salariés sont des enfants ou des idiots : tout le monde sait qu’ils sont, en réalité, manipulés par le Grand Kapital qui les pressure tant et plus. Ils ne peuvent pas réellement vouloir un plus gros salaire.

Ce n’est pas vrai qu’ils préfèrent travailler plutôt le soir. C’est une illusion d’imaginer qu’ils veulent des horaires décalés.

Foutaises que tout cela : le syndicat (et l’État) sait mieux qu’eux ce qui est bon pour eux, et c’est bien normal puisque ce sont des enfants ou des idiots. (Oui, c’est un raisonnement circulaire, mais ce n’est pas moi qui ai commencé.)

D’ailleurs, le fier trou du cul syndicaliste qui a mené la judicieuse bataille contre Séphora, un certain Karl Marx Ghazi, l’explique très bien lorsqu’on lui tend un gros micro mou sous sa truffe humide de joie : en réalité, il lutte et « met ses menaces à exécution » pour un monde meilleur de gens qui ne travaillent pas le dimanche et pas la nuit (comme dans les hôpitaux, les boulangeries, les cinémas, les restos, etc…) parce que lorsqu’il dort, le Karl, il veut que tout le monde dorme aussi.

Alors, finies les préoccupations petites bourgeoises de Hunjun, âgée d’une vingtaine d’années, qui avait réussi à trouver un job lui permettant de payer ses frais de scolarité et de suivre sa formation : t’es en France, ma poulette, et Karl ne te laissera pas choper un cancer du sein en travaillant trop tard, ou détruire la famille que tu n’as pas parce que tu es étudiante. Terminés, les revenus complémentaires de Touty, salement corrompue par cet évident appât du gain et du lucre capitaliste facile, qui avait cru trouver avec ce job du soir une méthode simple pour pouvoir s’occuper de ses enfants en journée.

Le gentil Karl a pensé à toi, et sait que tes enfants te préfèreront pauvre mais plus présente : au moins, vous aurez le ventre qui gargouille tous ensemble. C’est plus festif.

 

 

Allons, Diane, ne pleure pas : tu étais exploitée (mais si, tais-toi) et Karl est arrivé, avec son grand nez chapeau et son beau syndicat, et il t’a sauvé des — mais si et arrête de chouiner je te dis — il t’a sauvé des griffe du Grand Capital Qui Te Spolie et c’est tout.

Alors maintenant tu rentres chez toi toucher des aides et on n’en parle plus. Et tu dis merci à Karl.

Et croyez bien que cette vague de vengeance d’actions courageuses et utiles ne s’arrêtera pas là ! Karl et ses copains des syndicats l’ont parfaitement compris et entendent bien étendre leur combat à tous ces petits cancrelats qui osent défier les Horaires Officiels du Village France (du lundi au vendredi, de 9:00 à 12:00 et de 14:00 à 17:30, avec matinée le samedi de 9:30 à 12:00 et nocturne le troisième jeudi du mois jusqu’à 19:00) ; Séphora ne fut qu’une étape dans l’écrasement méthodique des renégats, après Apple et Uniqlo. 

D’autres suivront, qui vont morfler :

« Nous allons attaquer toutes les enseignes qui ferment leurs portes après 21 heures. Marionnaud n’échappera pas à cette règle comme la vingtaine d’enseignes des Champs Elysées dans ce cas. «

Entreprise par entreprise, les syndicats créent courageusement du chômage

Ouais. Marionnaud, on a ton nom, on sait où tu crèches, numérote tes abattis !

En réalité, après le cas Bricorama, où il s’agissait essentiellement d’une histoire de gros sous, nous avons l’histoire de la CGT Commerce de Paris où il s’agit très clairement d’une histoire de politique et de rapport de force.

Dans le cas qui nous occupe, à l’évidence, il s’agit de bien claquer le museau de ces salariés qui ont eu l’impudence de négocier directement avec la direction pour leurs horaires et leurs salaires, en passant outre les syndicats.

Ce genre de cascade osée décrédibilise complètement les inutiles encartés dont l’essentiel de la justification se résume à, normalement, représenter les salariés ; et là, les salariés ont frôlé l’épiphanie et failli se rendre compte que ces parasites syndicalistes ne servent absolument à rien.

Il fallait agir et cogner un grand coup.

Du reste, il ne faut pas s’étonner de la violence de ces syndicalistes prêts à la politique de la terre brûlée, préférant largement infliger le malheur autour d’eux, se ridiculiser aux yeux de tous et produire un peu plus de chômage dans un pays qui n’en peut mais, plutôt que représenter vraiment l’intérêt des salariés : le constat de leur inutilité leur serait bien plus préjudiciable que ces enquiquinements passagers qu’un peu de spin-media pourra effacer promptement.

Et par extension, ce cas-là illustre très bien ce qui va se passer lorsque les Français vont se rendre compte qu’on peut fort bien se passer des parasites politiciens et de toute leur clique de cancrelats accrochés aux tétons publics : eux aussi préfèreront tout brûler plutôt que voir le peuple s’arranger directement avec lui-même, sans eux.

 

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/25-09-2013/entreprise-entreprise-les-syndicats-creent-courageusement-du-chomage

LE PARTI SOCIALISTE FAVORISE L' INVASION MUSULMANE ???

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25/09/2013

Le Parti Socialiste préfère une mosquée plutôt qu'un jardin potager à Annemasse

Annemasse/Haute-Savoie:

ab54fca3efe7f11c654fa568ad0f12bb.jpegLa mairie PS de Christian Dupessey (photo) va déloger le maraîcher qui exploitait un terrain en faisant vivre plusieurs salariés, certes le plus légalement du monde.

Mais pour mettre ce terrain à disposition du Centre Culturel des Musulmans d'Annemasse (CCMA), afin d'y édifier une mosquée géante avec salles de classes pour l'enseignement de la charia, commerces, salles de conférences etc. 

- Activités cultuelles : 1100 m2
- Activités éducatives : 250 m2
- Espaces administratifs : 90 m2
- Espaces polyvalents : 360 m2
Soit une surface utile totale de 1800 m2.

Parmi les activités du CCMA, faire venir des prédicateurs islamistes comme Hani Ramadan, petit fils du fondateur des Frères Musulmans al Banna qui justifia la lapidation ( "une forme de purification") dans les colonnes du Monde dans une tribune du 10 septembre 2002, comme l'indique l'agenda de l'organisation.

http://www.islamisation.fr/archive/2013/09/25/le-parti-socialiste-prefere-une-mosquee-uoif-plutot-qu-un-ja.html
 

TRIBUNE LIBRE , LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Islamisme : nous vivons une 3èmeguerre mondiale.

Et si on disait les choses comme elles sont

25 septembre 2013

Islamisme : nous vivons une 3<sup>ème</sup> guerre mondiale. Et si on disait les choses comme elles sont
 
  
 

Tribune de Jean Bonnevey.

Les islamistes ont déclenché depuis le 11 septembre et même avant, une troisième guerre mondiale pour imposer leur islam au monde entier.

On refuse de le dire par peur de l’islamophobie. Et pourtant cet islam du terrorisme veut imposer sa lecture du coran aux mauvais musulmans et aux infidèles. Ils le font avec un terrorisme qui parfois répond à la définition de crimes contre l’humanité. Au Kenya, au Pakistan, en Egypte, au Nigeria et ailleurs, ils tuent en fonction de la religion.

Au Kenya, les clients du super marché qui ne savaient pas réciter des sourates du coran étaient immédiatement abattus par les islamistes somaliens.

Au Pakistan c’est une église qui a été visée dans le pire attentat de ce genre dans ce pays.

 

Kenya

Les milices d’Al-Chebab n’ont pas cessé de menacer le Kenya depuis leur formation fin 2006, menaces qui se sont amplifiées dès octobre 2011, lorsque les troupes kényanes ont rejoint les forces de l’Union Africaine en grand nombre pour chasser les chebabs de la capitale, Mogadiscio et les repousser vers le sud du pays.

L’armée kényane est très active aux côtés de l’Union africaine (UA), et un allié solide des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne dans la lutte contre le terrorisme en Afrique de l’Est. Pour Murithi Mutiga, rédacteur en chef du Daily Nation, journal de Nairobi cette tragédie est l’occasion de faire réaliser au monde que « nous vivons dans un monde interconnecté et qu’avoir un pays failli comme voisin, tel que la Somalie, peut avoir des effets bien au-delà de ses frontières ».

Pakistan

Un double attentat suicide commis devant une église à la sortie d’une messe a fait au moins 78 morts , bilan sans doute comparable à celui du centre commercial de Nairobi.

C’est l’attaque la plus sanglante jamais menée contre la minorité chrétienne de ce pays, selon les autorités locales.

Ces deux attaques perpétrées par deux kamikazes et revendiquées par une faction du Mouvement des talibans pakistanais (TTP) ont visé l’Eglise de tous les Saints, de Peshawar, la principale ville de la province de Khyber Pakhtunkhwa, dans le nord-ouest. Le Pakistan impliqué dans cette guerre mondiale aux cotés ou contre les talibans afghans ?

Mondialisation

Depuis la guerre qui se poursuit contre les talibans, les Usa et leurs alliés sont intervenus en Irak, en Libye et envisagent de le faire en Syrie, tout en menaçant l’Iran, rien que des pays musulmans….pas un hasard tout de même.

C’est bien une guerre mondiale asymétrique.

Les Usa tentent d’imposer leur vision du monde aux états par la guerre et les islamistes la leur, par le terrorisme ou la révolution.

On voit les imagistes en Tunisie en Egypte au Yémen et dans des pans aussi entiers de cités européennes. A quand une prise d’otage dans un de nos supermarchés ?

Qui ne comprend que c’est une guerre mondiale que nous ne voulons pas, que nos gouvernants nient, par peur de l’amalgame avec l’islam et de favoriser une islamophobie qui favorise elle-même les droites identitaires européennes ou américaines.

Pourtant c’est évident.

Ce qui se passe et ce qui s’est passé au Kenya ou au Yémen en sont des illustrations. Et la guerre ne date pas d’hier.

Le 28 novembre 2002 à Mombasa (Kenya) : Un attentat-suicide à la voiture piégée était organisé contre un luxueux hôtel tenu par un propriétaire israélien.

L’explosion tua trois Israéliens et dix Kényans. Quelques minutes avant cet attentat, deux missiles sol-air avaient été tirés en direction d’un Boeing 757 de la compagnie aérienne Arkia Israel Airlines qui venait de décoller de l’aéroport de Mombasa.

Mais l’appareil n’a pas été touché et a finalement pu atterrir sans encombre avec ses 261 passagers à Tel-Aviv. Les attaques ont toutes deux été revendiquées par Al-Qaida.

Le 7 août 1998, au Kenya toujours et en Tanzanie : Deux attaques quasi simultanées touchaient les ambassades américaines de Nairobi (Kenya) et Dar-es-Salaam (Tanzanie).

Des voitures piégées de plusieurs centaines de kilos d’explosifs firent 243 morts et des centaines de blessés à Nairobi, tandis qu’à Dar es-Salaam une douzaines de personnes moururent et quelques centaines furent blessées.

C’était la première fois qu’un tel mode opératoire, d’une telle ampleur, était appliqué en Afrique subsaharienne. A Nairobi, le souffle de l’explosion avait détruit plusieurs immeubles du quartier d’affaires où se situait l’ambassade américaine.

Des membres présumés d’Al-Qaïda ont lancé trois attaques simultanées contre des sites de l’armée et de la police dans le sud du Yémen, tuant 56 militaires et policiers, ont indiqué ces derniers jours des sources militaires et locales.

Ces 10 dernières années, deux autres attentats ont été perpétrés contre des bâtiments de guerre dans ce secteur.

Le premier a visé le destroyer américain USS Cole (DDG 67), gravement endommagé par une embarcation piégée dans le port d’Aden, en octobre 2000.

La seconde attaque s’est produite en octobre 2002 contre le pétrolier français Limburg, touché par un canot bourré d’explosifs alors qu’il se trouvait au terminal d’Ash Shihr.

Islamisme : nous vivons une 3ème guerre mondiale. Et si on disait les choses comme elles sont

Détroit de Bab-el-Mandeb

Les Etats-Unis redoutent que des attentats soient en préparation contre les navires empruntant le détroit de Bab-el-Mandeb, au large du Yémen.

Pétroliers, porte-conteneurs, vraquiers… Il s’agit de l’un des principaux points de passage du commerce maritime mondial, emprunté notamment par les navires reliant l’Asie et la région du Golfe à l’Europe. 

« Des renseignements laissent penser qu’Al-Qaïda continue de préparer des attaques en mer le long des côtes du Yémen dans le détroit de Bab-el-Mandeb, en mer Rouge et dans le golfe d’Aden (…) les risques que des bateaux soient pris pour cible sont maximaux dans les zones où les manœuvres sont peu faciles »,

C’est le même islamisme que l’on combat donc au Mali ou en Somalie et bien sur au Yemen et que l’on devrait combattre en Syrie.

Nos doutes débouchent sur des incohérences qui mettent nos soldats et nos populations en danger.

Nous sommes en guerre, car on nous fait la guerre, mais nos gouvernements ne l’admettent pas par aveuglement idéologique. Nos faiblesses sont leurs forces.

Nous nourrissons leur détermination de nos hésitations.

Et pourtant il faudra bien la mener et la gagner, cette guerre.

Jean Bonnevey

Source : Metamag.

Crédit image en Une : CIA World Factbook, via Wikipédia, domaine public. Crédit image dans le texte : DR.

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

LE MAROC VICTIME DE L' IMMIGRATION SUBSAHARIENNE ....

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Le Maroc pris au piège

MAROC HEBDO INTERNATIONAL N° 1038 - Du 13 au 19 septembre 2013

Le CNDH propose des recommandations pour une régulation du flux migratoire subsaharien. Le Maroc ne saurait accueillir tous les migrants qui souhaitent s’y installer.

Par abdellatif mansour

Jusqu’ici, on s’est contenté de réagir par des expédients et par à coups. Un déni de réalité totalement contre-productif, avec son lot inévitable d’effets pervers.

La problématique de l’immigration subsaharienne au Maroc méritait bien une approche réfléchie et globale, appuyée sur un éventail de réponses appropriées et applicables.

C’est fait. Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) vient de présenter à S.M. le Roi, le lundi 9 septembre 2013, un rapport sur la question, pour validation. À l’évidence, pour son président, Dirss El Yazami (voir interview pages 16-18), cela devenait urgent face à un phénomène qui s’inscrit, de plus en plus, dans la durée et qu’on ne peut occulter en faisant semblant de l’ignorer.

Mieux vaut tard que jamais.
Même si rien ne les différencie des Marocains du grand Sud, les Subsahariens ne constituent pas, pour autant, une communauté invisible. Ils sont dans nos murs. Nous les croisons tous les jours sur l’ensemble du territoire national.

La communication passe sans problème. À observer attentivement, nous sommes devant une situation mitigée. D’une part, on voit bien qu’il s’agit de ressortissants venus d’ailleurs, que leur nombre grandissant et leur séjour prolongé provoquent quelques interrogations, voire quelques inquiétudes diffuses. Mais, sans plus. D’autre part, les concernés eux-mêmes ne se sentent pas perçus comme des intrus indésirables, dès lors qu’ils ne font l’objet d’aucune réaction de rejet, tel qu’ils pourraient en subir sous d’autres cieux.

Profondeur historique
Que les choses se passent ainsi, ce n’est pas vraiment étonnant pour quiconque connaît, un tant soit peu, l’histoire du pays. L’Afrique a toujours été pour le Maroc une profondeur historique constitutive de sa propre identité et de son entité nationale en tant qu’État.

Quant au Sahel, dont on parle tant ces jours-ci, il n’a jamais été un obstacle géographique, encore moins une ligne de séparation humaine. Il a, par contre, représenté l’ultime marche qui donne sur l’Afrique profonde. Une marche facilitatrice d’une activité commerciale intense et continue, avec tous les brassages humains qui vont avec. Le Maroc y était, en poste avancé, à la fois comme point de départ et espace d’arrivée; comme zone d’émission et terre d’accueil. Autrement dit, le Maroc ne pouvait être qu’africain ou ne pas être. Ce bourdonnement de vie des deux côtés du Sahel, qui a traversé les âges, n’a été interrompu que par la colonisation. Le fait qu’il reprenne aujourd’hui, sous d’autres formes et dans un autre contexte, s’inscrit dans cette longue trame séculaire. On y trouve aussi l’explication de la manière avenante dont nos cousins d’Afrique sont accueillis au Maroc.

Changement d’époque
Comme quoi, “autre époque” ne rime pas toujours avec “autres mœurs”. Il n’empêche. Le changement d’époque nécessite, néanmoins, une certaine actualisation des visions et des attitudes. Certes, un bon rapport à l’Autre, surtout lorsqu’il frappe à notre porte, est un trait de culture bien de chez nous, au même titre que notre hospitalité légendaire.

Cela n’est pas pour autant de nature à nous exonérer d’un regard réaliste sur ce nouveau phénomène migratoire. En l’occurrence, un encadrement législatif de ce flux humain un peu particulier dans son genre et dans son timing.

Un vide que le CNDH appelle à combler par un effort de législation adapté, conséquent et coordonné. Le rapport du CNDH part d’un constat évident: la population migrante qui prend le Maroc pour destination n’est pas homogène.

Trois grands groupes sont à distinguer. Priorité négative à ceux qui sont en situation irrégulière et qui ont forcément franchi les frontières de façon illégale. Ils se mettent ainsi en position conflictuelle avec les représentants des pouvoirs publics, même s’il n’y a pas d’usage systématique de la force pour les dissuader. Dans ce cas d’espèce, deux principes de base sont retenus: leur accompagnement aux frontières dans les meilleures conditions possibles.

Et leur fournir tous les moyens effectifs de se défendre s’ils sont passibles de poursuites judiciaires. Les autorités consulaires sont évidemment alertées. Quelles que soient les circonstances de leur interpellation, leurs droits humanitaires doivent être strictement respectés. Il faut rappeler à ce sujet que le Maroc a souvent été la cible de critiques acerbes quant aux conditions de refoulement des immigrés illégaux. Ils seraient déposés en plein désert, sans provisions de survie, entre autres cruautés.

Des accusations pas toujours justifiées et difficilement vérifiables. D’où l’importance extrême des recommandations du CNDH et des engagements que l’État devrait prendre vis-à-vis des institutions internationales et des observateurs étrangers. Un effort de communication qui ne pourrait qu’améliorer l’image d’un Maroc pris entre l’enclume d’une déferlante migratoire et le marteau de pourfendeurs attitrés et malvenus.

sm

Catégorie à part
Les réfugiés et demandeurs d’asile forment une catégorie à part. En attendant que des dispositions législatives leur soient consacrées, ce qui ne saurait tarder, ils continueront à être régis par le statut que leur reconnaît le HCR relevant de l’ONU. Un statut qui leur donne droit à des avantages économiques et sociaux.

Étant la raison d’être de leur présence au Maroc, le non refoulement est un droit acquis. Pas question donc de livrer un refugié statutaire suite à un quelconque retournement de situation politique dans le pays d’origine ou le pays d’accueil, comme cela se produit de temps à autre de par le monde.

Le CNDH demande que soit accordé aux étrangers en situation régulière, le droit de vote aux élections locales.

Une innovation et un nouvel espace d’expression citoyenne et d’intégration que des pays du Nord, telle la France, n’ont pas encore ouvert à leurs immigrés en résidence permanente, bien qu’ils soient à l’égard du fisc tout aussi mis à contribution que les nationaux dit de souche. Ils sont ainsi injustement privés d’un doit de regard sur la gestion de leurs villes et village.

Ils restent une catégorie inclassable bien qu’elle soit partie prenante du nouveau phénomène migratoire et à l’origine de tous ses drames. Il s’agit des organisateurs des filières d’immigration clandestine, hasardeuse et meurtrière. Le CNDH demande pour ces pontes d’une nouvelle forme de traite humaine, ainsi que pour leurs acolytes avérés ou objectifs, les sanctions pénales les plus fermes et les plus dissuasives.

Retour aux sources
Sous la conduite du duo Driss El Yazami et Mohamed Sabbar, le CNDH estime que les recommandations de ce rapport sont «en rupture avec la situation et les pratiques actuelles». On peut même dire qu’elles sont au diapason des standards internationaux en la matière. Même si ces standards sont parfois appliqués de manière discriminatoire. La pertinence de ce document n’est donc pas à prouver. La représentation de l’ONU au Maroc ne s’y est pas trompée. Elle a d’ores et déjà loué la portée des propositions du CNDH. 
Il faut juste que les rouages institutionnels de production de textes de lois se mettent en marche et que les acteurs politiques et sociaux se bougent pour la mise en œuvre.
C’est précisément dans cet esprit et pour cet objectif que S.M. le Roi a présidé, le mardi 10 septembre 2013 à Casablanca, une séance de travail consacrée aux différents aspects de la question de l’immigration. Le communiqué du Cabinet royal publié à l’issue de cette réunion a pris acte d’un fait nouveau.

Après avoir été pendant des décennies uniquement un pays d’émission, le Maroc est désormais une terre d’accueil. Même si cette évolution n’est en fait qu’un retour aux sources, en accord avec son héritage culturel, le Maroc l’a subie plus qu’il ne l’a voulue par les temps actuels.
Un seul ordre de grandeur explique cette réticence compréhensible. En quelques années, le nombre d’immigrés subsahariens a quadruplé.

Et il va crescendo. De l’autre côté du Sahel, le Maroc est considéré comme l’étape ultime avant de prendre pied dans l’Eldorado européen. Il en est déjà l’anti-chambre, à quelques encablures d’un rivage de tous les fantasmes dont il dégage comme un parfum d’avant-goût. Evidemment que nos cousins du Sahel se trompent, pas seulement sur l’Europe, mais aussi sur le Maroc. 
Pour le Maroc, ce déferlement massif d’immigrés est une charge supplémentaire dont il n’avait pas besoin. L’Europe ne le sait que trop.

Ce qui ne l’empêche pas de nous demander d’être son gendarme sur ses flancs sud, en faisant de notre mieux pour endiguer et réduire la pression migratoire qui lui est destinée.  Un rôle dont le Maroc n’a ni la vocation, ni les moyens. Il a déjà suffisamment à faire pour assurer l’étanchéité de ses confins sahariens. Sur ce registre, l’attitude de l’Europe est pour le moins légère, pour ne pas dire légèrement cynique.

Attitude cynique
Ironie de l’histoire, la crise économique nous a gratifiés d’une nouvelle forme d’immigration venant de pays européens comme l’Espagne et la France, en particulier. Contre mauvaise fortune, le Maroc fait bon cœur.

Des consignes royales ont été données pour la régularisation de la situation de ces immigrés surprise, au même titre que les Subsahariens. Une égalité tout aussi inattendue. Un poids, une mesure. Comme pour boucler la boucle, nos voisins algériens nous mettent sur le dos les immigrés qui leur viennent de leur vaste contrefort saharien. Ils les acheminent, avec une diligence infinie, jusqu’à nos frontières orientales.
Sur l’ensemble de ce dossier, le communiqué du Cabinet royal rappelle que «le Royaume du Maroc ne saurait accueillir tous les migrants qui souhaitent s’y installer». Pays d’ouverture, soit, mais pas au-delà de ses moyens et capacités d’accueil.

Maroc Hebdo et les immigrés clandestins


Une998Dans son numéro du 2 au 8 novembre 2012, Maroc Hebdo avait titré sur le problème des immigrés clandestins au Maroc. Le titre de la Une avait suscité une grosse polémique poussant de nombreuses personnes (qui n’ont pas pris la peine de lire l’article, se contentant du titre “Le péril noir”, certes malheureux) à nous traiter de racistes.

Pourtant, la totalité de l’article exposait une réalité connue de tous. La situation des immigrés subsahariens clandestins au Maroc est telle qu’il fallait en parler. L’auteur, Najib Abdelhak, avait notamment écrit que le Maroc ne pouvait plus gérer ce flux constant de candidats à la clandestinité. 


Le provisoire durait déjà assez et la terre de passage qu’était le Maroc est devenue, par la force des choses, une terre d’asile, presque forcé, d’un côté comme de l’autre. Les immigrés ne pouvant pas passer en Europe doivent bien s’installer quelque part. Le Maroc, de son côté, doit faire avec des dizaines de milliers de sans-papiers qui vivent sur son sol. L’Europe, elle, joue les défenseurs des droits de l’Homme  et épingle le Maroc à chaque faux-pas.

Et les Subsahariens, de leur côté,  pointent du doigt les agissements des autorités marocaines à leur égard. Entre le marteau africain et l’enclume européenne, le Maroc doit faire face. Comment? Bien malin qui saura répondre à cette question.

Toujours est-il que l’histoire nous a donné raison, malheureusement, pour les Subsahariens. Ceux-ci vivent dans de très mauvaises conditions.  


http://www.maroc-hebdo.press.ma/index.php/component/content/article/56-numero-precedent/7980-le-maroc-pris-au-piegeA.N

POITIERS : UN PROF. DE FAC. FACE A LA GAUCHE SECTAIRE !

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.Études de droit : Un prof d'extrême-droite à la fac de Poitiers

Par Jessica (jessicaMast)
 

Benoît Fleury, ancien dirigeant du GUD, un clan d'extrême-droite, enseigne depuis quelques semaines sur les sites de la fac de droit de Niort et d'Angoulême.

Il vient d'être réaffecté en tant que professeur de l'histoire du droit à l'université de Poitiers. meltyCampus fait le point sur l'affaire.

Les étudiants dénonce la nomination d'un professeur qui incarne "une droite extrême et nauséabonde"

Déjà en 2008, la nomination du professeur Benoît Fleury, ancien président du GUD, une organisation universitaire d'extrême-droite de Paris II- Assas aujourd'hui dissoute, faisait polémique. En tant que major du concours en 2008 de l'agrégation d'histoire du droit, il avait pu choisir l'université où il voulait enseigner et son choix s'est porté sur Poitiers. Le président de l'université de l'époque, Jean-Pierre Gesson, avait alors déclaré: "Les affectations ne posent pas de problèmes la plupart du temps.

Mais la venue de ce juriste et nouvel agrégé d'histoire du droit est une source de trouble"

La polémique fait de nouveau surface aujourd'hui. 

Le Mouvement des jeunes socialistes de Vienne (MJS) et le syndicat des étudiants Unef ont adressé un communiqué commun pourdénoncer le retour de cet enseignant d'extrême-droite sur le campus de Poitiers.

 Le MJS 86 et l'Unef ont confirmé "leur détermination à défendre l'honneur d'une université républicaine en s'opposant au maintien de ses cours par tous les moyens qu'ils jugeront nécessaires", comme le rapporte le site de la Nouvelle République.

Benoît Fleury ne nie pas son passé de militant nationaliste. Mais il assure que c'est du passé et qu'il a désormais changé. "Mais je peux assurer qu'il s'agit là d'engagements qui, à mes yeux, relèvent définitivement du passé". "Je n'ai aucune leçon de républicanisme à recevoir du MJS 86 dont le ministre vient de déclarer qu'il était pour le démantèlement des camps de Roms ! Moi, je n'ai rien contre les Roms.

Et je ne vois pas pourquoi on voudrait me priver du droit d'avoir évolué, mûri, changé. J'ai été au GUD, mais c'était il y a 15 ans. C'est de l'ostracisme".

De son côté, le président de l'université, Yves Jean, rappelle qu'il est légitime qu'un enseignant qui est en position de détachement de l'université de Poitiers, retrouve son poste.

Benoît FleuryBenoît Fleury Études de droit - Contre le racisme de l'extrême-droite Études de droit - Refus d'avoir des cours donné par un ancien dirigeant de groupe d'extrême-droite VOIR LES 4 PHOTOS DE L'ARTICLE
Source et publication:     http://www.meltycampus.fr/etudes-de-droit-un-prof-d-extreme-droite-a-la-fac-de-poitiers-a213578.html
ET AUSSI
Par Jessica (jessicaMast)
 

Les étudiants boursiers qui s'inscrivent en cours juste pour percevoir un revenu financier coûteraient 100 millions d'euros à l'Etat. meltyCampus fait le point sur cette fraude.

Fraude des étudiants boursiers

Ces dernières années, le nombre de ces"faux-étudiants"n'a cessé d'augmenter. Ce phénomène est en lien avec le chômage qui touche les jeunes et l'absence de soutien financier durant la période de transition entre le lycée et l'activité professionnelle. On compte environ20 000 dossiers d'étudiants remarqués pour des problèmes d'assiduité, selon l'information de la radio RTL. Or, il s'avère queces étudiants sont boursiers et que certains touchent jusqu'à 5500 euros par an. D'où une fraude qui coûterait 100 millions d'euros à l'Etat. Ces étudiants perçoivent donc une bourse mais ne vont jamais en cours.L'inscription à l'Université n'est qu'un moyen de recevoir une aide financière.Citons l'exemple d'Alexandre entendu sur RTL qui cumule un job de serveur dans un fast food et caissier dans un supermarché:" On peut très bien ne pas aller en cours, lance-t-il. Personne ne m'a demandé le remboursement de la bourse". En 2011/ 2012, le CNOUS (centre national des œuvres universitaires et scolaires) avait adressé 5131 demandes de remboursements de bourses à des étudiants qui ne se sont pas présentés aux examens.

Les chiffres de fraude ont surpris les Universités qui estiment à 3% le nombre d'étudiants boursiers présentant des défauts d'assiduité aux examens. Le président du syndicat Uni, Olivier Vial, explique :"Ce phénomène a toujours existé, et il y a clairement des défauts d'assiduité que les universités ne remontent pas. C'est donc très difficile à évaluer, mais ce chiffre de 20 000 ne me paraît pas aberrant". Il est tout de même difficile de "surveiller" tous les étudiants. Les enseignants peuvent faire circuler une feuille de présence pendant le cours pour vérifier les absents. Mais tous les professeurs ne veulent pas devenir "policiers". C'est pourquoi, désormais, au sein de l'université Paris IV La Sorbonne, les étudiants boursiers ontun formulaire d'assiduité à faire remplir par deux enseignants chaque semestre et doivent le renvoyer au Crous. Mais attention, la fraude n'est pas toujours préméditée. En effet, certains étudiants sont contraints de ne plus aller en cours pour avoir un job dans le but de financer leurs études. Toutefois, ce problème devait être réglé avec une desmesures de la nouvelle réforme de Geneviève Fioraso, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, qui implique la création d'un échelon "o bis" qui permettra à 55 000 étudiants "en bas des classes moyennes" (comme le rapporte le sitewww.e-orientations.com) de bénéficier d'une aide annuelle de 1000 euros.

Budget supplémentaire pour financer les bourses étudiantesBudget supplémentaire pour financer les bourses étudiantes Bourses étudiantes - Précarité des étudiantsBourses étudiantes - Absentéisme aux examensVOIR LES 4 PHOTOS DE L'ARTICLE
http://www.meltycampus.fr/bourses-etudiantes-la-fraude-couterait-100-millions-d-euros-a-l-etat-a213567.html
 

À BEAUVAIS: UNE LISTE SOUVERAINISTE ET UNE LISTE FN .....

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Le Front national relance sa star des législatives

 

 

PUBLIÉ LE 26/09/2013

Par MÉLANIE CARNOT ET FANNY DOLLÉ


 

| POLITIQUE |

Florence Italiani avait obtenu 48,4 % des voix aux législatives partielles et vise la mairie de Beauvais. Comme une autre liste de la droite dure.

Discrète mais visiblement efficace, Florence Italiani, 59 ans, retraitée de l'Éducation nationale, repart au front.

Le Front national a sa candidate pour les élections municipales de 2014 à Beauvais. Sans surprise, ce sera Florence Italiani.

Celle qui a hissé son parti au second tour de l'élection législative partielle, en obtenant 48,4 % des voix dans la deuxième circonscription de l'Oise, veut évidemment transformer l'essai dans la ville préfecture.

 

« C'est la première candidate que nous annonçons pour les élections municipales dans l'Oise», a lancé, hier, Michel Guiniot. Avec les autres membres de la commission d'investiture, il a adoubé Florence Italiani, qui a tant fait parler d'elle en mars dernier. « Ici, nous avons la possibilité d'avoir des conseillers municipaux et de faire un beau score au second tour », prévoit déjà le délégué national du FN.

Pour s'en convaincre, il rappelle les scores obtenus par son parti à Beauvais lors de l'élection législative partielle : 44,61 %. Il n'oublie pas non plus que le FN, en 2008, n'avait obtenu que 6,09 % des voix lors des municipales. « On n'était pas au mieux de notre forme. Ces élections sont toujours un peu particulières pour nous. Mais l'an prochain, nous voulons asseoir notre emprise sur la première marche du pouvoir local. »
 

« Ras-le-bol des clans politiques »
 

Michel Guiniot, après avoir un temps laissé planer le doute sur ses intentions beauvaisiennes, ne conduira finalement pas de liste dans la ville-préfecture, mais gardera un œil sur Beauvais.

Car c'est bien lui, qui au sommet du parti, mène les tractations de la future campagne. Et il y en aura très certainement ici.

D'autres représentants de la droite dure se sont en effet déjà manifestés, bien décidés à se lancer dans les prochaines municipales.

Jean-Claude Giret, médecin, souverainiste et eurosceptique, a bien tenté de rassembler toutes les forces de la droite, autres que l'UMP, sous la même bannière. « Les Beauvaisiens en ont ras-le-bol des clans politiques », explique ce dernier.

Ce membre du Rassemblement bleu marine (coalition lancée par Marine Le Pen pour les élections municipales) a fait des appels du pied à Michel Guiniot pour qu'il lui donne l'investiture de la liste aux prochaines municipales à Beauvais.

Finalement, c'est de Thomas Joly - représentant du Parti de la France, membre exclu du Front national et ancien candidat FN aux élections municipales de 2008 à Beauvais - que ce souverainiste s'est rapproché.

Ensemble, ils comptent bien mener campagne. « En tant que représentant de la société civile, M. Giret est plus à même de rassembler les déçus de l'UMP que Florence Italiani, qui est complètement inexpérimentée.

On n'a jamais entendu le son de sa voix lors des dernières élections.

Aux municipales, c'est important d'avoir un ancrage local, pas seulement un prête-nom ».

Les deux hommes ne ferment pas pour autant la porte au Front national. « Le FN a déjà montré qu'il pouvait s'effacer derrière une personnalité de la vie civile.

C'est le cas à Béziers, avec la candidature du journaliste Robert Ménard, ancien président de Reporters sans frontière »

Hors de question du côté de Michel Guiniot, qui n'a pas tellement apprécié que Jean-Claude Giret se revendique du Rassemblement bleu marine. « Il n'y a qu'une seule candidate officielle : Florence Italiani. J'avais dit que je le rencontrerais, mais il s'est lancé tout seul. Nous sommes prêts à lui faire une place, selon nos conditions. »

Pour le délégué national du FN, le rassemblement est pour le moment inenvisageable. « La mouvance de Thomas Joly a été exclue de notre parti.

Comment faire alliance avec le Parti de la France alors qu'ils n'ont pas été corrects avec la présidente du Front national » Il y a aura donc une liste souverainiste et une liste Front national aux élections municipales à Beauvais.
 

Source et publication:   MÉLANIE CARNOT ET FANNY DOLLÉ      http://www.courrier-picard.fr/region/le-front-national-relance-sa-star-des-legislatives-ia186b0n194561

L'IMMIGRATION ET SES COMPLICES ! TRIBUNE LIBRE .......

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De la difficile lutte contre l’islamisation et ses complices: Belgique, Suisse, France

Liberté ou islam

• L’affiche de l’association flamande « Femmes contre l’islamisation », placardée depuis cette semaine à Anvers, montre les jambes d’une jeune femme relevant sa jupe.

Des traits indiquent quelle hauteur de jupe est acceptable ou pas par l’islam, profondément rétrograde. L’objectif est de rappeler que l’islam n’est pas compatible avec la démocratie et les sociétés ouvertes, n’en déplaisent aux aveugles volontaires.

• En Suisse, le canton du Tessin, proche de l’Italie, est le premier canton suisse à interdire le port d’un voile religieux sur le visage dans les lieux publics.

Les électeurs du canton ont voté à près de 65% pour une interdiction de se cacher le visage dans les lieux publics, une initiative considérée comme anti burqa, selon la Radio Télevision Suisse italienne qui n’est pas bien futée.

Ce canton de 350.000 habitants est donc le premier canton suisse à interdire le port d’un voile religieux sur le visage dans les lieux publics. Il confirme, encore et encore, à quel point les européens rejettent l’islam, et à quel point les élites s’obstinent à l’imposer et favorisent l’invasion en usant de toutes les menaces contre ceux qui la dénoncent.

• Ainsi, en France, le magazine Valeurs actuelle, dans le numéro de cette semaine dont la couverture titre : « l’invasion qu’on nous cache », révèle,  avec un sondage réalisé par l’IFOP, qu’une grande majorité des Français (63 %), est radicalement opposée à la forte hausse des naturalisations mises en œuvre par le Ministre de l’Intérieur.

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Et bien l’UEJF, annexe du PS, détestée par une majorité de Français juifs (personne n’a oublié les déclarations de ce Président de l’UEJF : « Je suis sioniste et pro-palestinien », ni ses 10 ans de silence assourdissant sur le mensonge al Dura, ou ses extinctions de voix quand il fallait dénoncer l’apologie des crimes du Hamas faite par Stéphane Hessel), l’UEJF donc, dépose plainte pour faire taire Valeurs actuelles, pour interdire tout débat, et menacer les journalistes non conformes qui tentent d’exprimer leur point de vue.

Drôles de juifs liberticides en vérité, plus gauchistes que juifs : la culture juive repose sur le droit naturel et sur les libertés fondamentales de l’homme, et non sur l’interdiction d’évoquer les sujets qui dérangent.

La créativité juive, qui s’épanouit si bien en Israël, pays à la pointe de la haute et de la très haute technologie, n’existe que parce que la liberté individuelle prime sur la liberté collective, parce que la liberté de penser, de parler, d’entreprendre, de se moquer, d’être impertinent et politiquement incorrect sont valorisés.

• L’Express, irrité, répond à l’UEJF, sur sa couverture, par ces mots : « Islam, les vérités qui dérangent : le coran et la violence, le sort des femmes, la modernité impossible ».

Nous pourrions ajouter : la persécution des chrétiens, la terreur, les attentats et la mort, la destruction d’Israël.

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L’Express a raison, Valeurs actuelles a raison, ainsi que les peuples européens.

Et si l’UEJF de mes deux doute, qu’il ouvre internet. Il apprendra, sur le site marocain Yabiladi que :

Le Conseil supérieur des oulémas a rappelé que la loi marocaine prévoit la peine de mort pour ceux qui se convertissent à une autre religion que l’islam.

Ils liront, ces ennemis de la liberté de l’UEJF, qu’un jeune musulman converti au christianisme vient d’être condamné à 30 mois de prison ferme – il peut s’estimer heureux, il a échappé à la mort. Et cela se passe dans le très modéré Maroc…

Ils liront qu’en prison, le jeune converti « a été tabassé par les autres détenus à cause de sa religion » et que « craignant pour sa vie, la direction de la prison l’a, finalement, mis dans une cellule individuelle. »

Et ils veulent interdire Valeurs actuelles et la société française d’en parler ? Salauds.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.rtl.fr/actualites/info/international/article/suisse-vers-une-interdiction-de-la-burqa-au-tessin-7764736042
http://www.yabiladi.com/articles/details/19850/maroc-jeune-condamne-pour-conversion/page:2

- See more at: http://www.dreuz.info/2013/09/de-la-difficile-lutte-contre-lislam-et-ses-complices-belgique-suisse-france/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29#sthash.IzGzUQUk.dpuf


"ÊTRE ET DURER " LE JOURNAL DU CERCLE NATIONAL DES COMBATTANTS !

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No 53 - septembre 2013 Adobe Flash

  • Le mot de la rédaction – Michel Verger 3
  • Éditorial – Roger Holeindre 4
  • 1812 : la Bérézina, une victoire... – Michel Verger 5
  • Il y a 150 ans,le 30 avril 1863 : Camerone – José Castano 8
  • L'esprit de Camerone – d'après Alexis Neviaski 10
  • Afrique 40/42 :la revanche et les ailes françaises – Michel Verger 11
  • Campagne de Tunisie 42/43 – Michel Verger 15
  • L'affaire Jean-François Collin – Michel Verger 19
  • Conservons notre panache ! –  20
  • Lettre ouverte au préfet de l'Isère – Michel Verger 21
  • La subversion islamique – Jean Thiery 22
  • Yves Debay : mort d'un soldat –  25
  • L'affaire syrienne – Michel Verger 29
  • Reculer sans perdre la face – Michel Verger 32
  • Armée française – Michel Verger 33
  • Monde combattant –  36
  • Hommage au lieutenantRoger Degueldre – Jacques Jazec 37
  • La vérité...à propos de la FNACA –  38
  • La vie du Cercle –  40
  • AG et congrès 2013 –  46
  • IN MEMORIAM –  47
  • Hommage à nos disparus –  48
  • Récompenses et distinctions –  50
  • Site Internet du CNC – Michel Verger 51
  • Administration – secrétariat administratif 52
  • Le coin des bibliophiles –  53
  • Que Dieu sauve la France...(dernier paru) – Roger Holeindre 55

 

Source :      http://www.cncombattants.org/223_eed.php

ÉDUCATION NATIONALE: PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES ?

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Plus de maîtres que de classes,
bonne ou mauvaise chose ?

 


Le 19 septembre le ministre de l'Éducation nationale répond aux questions du Sénat sur la rentrée scolaire.

 

14 secondes… c’est le temps que Vincent Peillon a consacré à l’un des dispositifs phares de cette rentrée scolaire : le fameux « Plus de maîtres que de classes ». 
Ce dispositif était pourtant l’un des slogans de la campagne présidentielle de 2012 sur lequel le Président s’est fait élire.

Invité à répondre aux questions des sénateurs, Vincent Peillon aura été concis, soulignant juste que le dispositif n’est adopté qu’en moindre mesure, dans quelques écoles. 



 
Sera-t-il suivi par le Conseil national d’évaluation du système éducatif, dont on attend toujours la nomination ? Espérons-le. Car jusqu’à présent en France, chaque fois que l’on expérimente, on oublie d’évaluer… Ce serait bête de ne pas y penser.
Car les questions sont nombreuses sur ce type d’initiative.
Le « Plus de maîtres que de classes » peut-il être une réponse aux problèmes des élèves ou non ?Paola Carruolo et Olivia Millioz
 
source et publié le 26 septembre 2013   http://www.soseducation.org/le-petit-reporter/plus-de-maitres-que-de-classes.php?utm_source=mail_260913&utm_medium=lien_simple&utm_campaign=newsletter&IdTis=XTC-FZHX-FC71G8-DD-AJ70O-APK

REVUE DE PRESSE ET TRIBUNE LIBRE !

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Le populiste néerlandais, Geert Wilders : "Le FN est devenu un parti sympathique"

Le Monde.fr | 14.11.2013 à 17h58 • Mis à jour le 15.11.2013 à 07h31 |
 
Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen)

Après leur rencontre de La Haye où ils ont ébauché, mercredi 13 novembre, un possible groupe des extrêmes droites "eurocritiques"dans la perspective des élections européennes de mai 2014, Geert Wilders, le responsable du Parti de la liberté (PVV, extrême-droite xénophobe) et Marine Le Pen, la présidente du Front national (FN) ont donné leur première interview commune.

Elle est parue, jeudi dans le quotidien néerlandais De Telegraaf.

Au-delà de l'éloge du"patriotisme" et de la critique de Bruxelles, les deux dirigeants n'ont pas levé tous les doutes quant à leur initiative.

  • Le contours de l'alliance
Parmi ses partenaires potentiels, Mme Le Pen cite, outre le PVV néerlandais, le FPö autrichien, les Démocrates suédois et "peut-être" la Ligue du nord italienne et l'UKIP britannique.
Ce sont "les médias" qui auraient affirmé que cette dernière formation refuse de se rapprocher d'un parti qu'il juge antisémiteNigel Farage n'a, lui, "pas dit cela", soutient la présidente du FN.
 
UKIP "examine actuellement la possibilité de collaborer avec nous dans le cadre d'un grand groupe anti-européen", affirme-t-elle. 
 
Au sujet des formations avec qui elle exclut tout dialogue, elle ne cite que le Jobbick hongrois. M. Wilders évoque, lui, le British national party (BNP) britannique (équivalent de la droite identitaire en France).

 "Quant à savoir avec qui nous collaborerons, ou non, nous le déciderons après les élections", explique-t-il.
"Les Etats-nations doivent s'occuper de leur argent, de leur législation et de leurs frontières, déclare le responsable néerlandais. Nous voulons moins d'Europe, mais le marché intérieur doit continuer à exister.""Abandonner l'Union européenne ne nous empêcherait pas de nouer des relations commerciales, mais l'Europe nous empêche de surveiller nos frontières", ajoute Mme Le Pen.
  • Le rôle de Jean-Marie Le Pen ?
"Nous verrons cela après les élections.
D'ailleurs, pourquoi m'interroge-t-on toujours sur mon père ?
Je suis aussi la mère de trois enfants", réplique la présidente, qui estime que Jean-Marie Le Pen pourrait en tout cas occuperl'un des "vingt sièges" européens que vise son parti.
 
"Mme Le Pen est le fille de son père, pas de ses idées, déclare quant à lui M. Wilders. 
Sous sa direction, le FN est, à mes yeux, devenu un parti sympathique et je me réjouis de collaborer avec lui."


Merci Jacques O.

FRANCE :EXASPÉRATION, L'INSURRECTION EST PROCHE ........

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France : les préfets alertent sur une situation pré insurrectionnelle

France : les préfets alertent sur une situation pré insurrectionnelle

 

15/11/2013 – 16h00
PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Dans sa une, leFigaro d’hier titrait sur la vague d’« exaspération » qui submerge le pays.

 Le quotidien s’est procuré la note de synthèse adressée le 25 octobre dernier par les préfets au gouvernement. Les représentants de l’État y dressent le constat unanime d’une société « en proie à la crispation, à l’exaspération et à la colère » et relèvent « que la fiscalité est devenue le principal moteur de la contestation de l’action gouvernementale ».

Ainsi la fronde contre l’écotaxe ne se limite plus à la Bretagne et s’étend à au moins vingt‑trois départements. Dans leur synthèse, document généralement marqué par l’euphémisme et l’autocensure, les préfets usent d’une grande liberté de ton.

Ainsi ils n’hésitent pas à conseiller au gouvernement le démontage pur et simple des portiques encore debout, avant destruction.

Une manière peu amène de rappeler le pouvoir socialiste au principe de réalité.

 

France : les préfets alertent sur une situation pré insurrectionnelle

France : les préfets alertent sur une situation pré insurrectionnelle

La note préfectorale apporte de l’eau au moulin à ceux qui pronostiquent une « coagulation »

Les représentants de l’État parlent sans détour d’« une Situation sociale [qui] laisse peu de place à l’optimisme », d’« un climat douloureux, [d’] un sentiment d’accablement qui empêche de se projeter dans un avenir meilleur (…) C’est sur ce terreau que prospèrent les ferments d’une éventuelle explosion sociale. » 

Le constat d’une situation pré‑insurrectionnelle s’agrégeant sur une somme toujours croissante de mécontentements catégoriels.

France : les préfets alertent sur une situation pré insurrectionnelle

La porte de la sous préfecture de Morlaix détruite par les Bonnets Rouges

Le discrédit de l’exécutif est total : après un plongeon à 21 % d’opinions favorables en fin de semaine dernière, un sondage publié hier le donne à 15 %.

Du jamais vu de mémoire de sondeurs.

Pendant ce temps, la presse alignée titre sur les malheurs de Taubira. « Assez ! » explose ainsi Libération dans sa une d’hier.

Assez de quoi ? Assez du chômage, des violences ethniques, des quartiers pourris, de l’insécurité dans les transports en commun, du racket fiscal, de l’effondrement de l’école, du racisme anti‑blanc, de la gabegie budgétaire, et j’en passe ?

Vous n’y êtes pas : pour le quotidien bobo‑bancaire dont les vrais propriétaires sont d’ailleurs inconnus, c’est « assez » de la banane à Taubira.

Quant au Canard Enchaîné, il titre dans son édition de la semaine : « Il est temps de bananer les racistes ».

On a connu le palmipède à tablier de cochon plus inspiré.

Crédit photos : malkovitch via Flickr (cc)

L' EUROPE BIENTÔT ISLAMISÉE , TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ET CONSTAT !

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Michel Onfray : “Je vois à terme, dans 50 ans, l’Europe islamisée”

 
 
 

15/11/2013 – 11h30
PARIS (NOVOpress) – Dans une émission diffusée sur Arte, Michel Onfray exprime ses craintes par rapport au développement de l’islam.

Il évoque notamment le Coran, un livre qui n’est “pas l’endroit dans lequel on vous dit qu’il faut aimer son prochain.

On vous dit qu’il faut le décapiter”.

Publié le 15 novembre 2013
http://fr.novopress.info/145017/michel-onfray-je-vois-terme-dans-50-ans-leurope-islamisee/
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