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FACE A LA DÉMISSION DE L' ÉTAT ! UN MAIRE COURAGEUX !

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Jeudi 19 septembre 2013

Roms.JPGAlors que l’insupportable présence des camps de gitans s’étend sur toute  la France, avec son lot de criminalité, d’agressions, de menaces, d’occupations illégales de terrains, de cambriolages, certains Français réagissent.

 

Si certains maires ont démissionné ou menacé de se suicider, d’autres adoptent une position beaucoup plus saine.

 

 

 

C’est le cas de Régis Cauche, le maire de la petite commune de Croix dans le Nord.

 

« Si un Croisien commet l’irréparable [contre un occupant], je le soutiendrais.


La situation est telle dans la ville aujourd’hui qu’il y a un rejet de tous les Croisiens par rapport à cette population. […]

Si demain il y a une action, on cherchera la responsabilité.

Ces gens qui se voient violer leur terrain, qu’est-ce qu’ils vont faire ? Je n’en sais rien. Mais j’alerte, il y a un risque. » a-t-il déclaré selon La Voix du Nord.

 

Il a ensuite précisé : « Je sens une population qui est aux aguets et qui, je crains, puisse commettre des choses très graves en légitime défense. Moi, je ne défendrai que des gens en légitime défense.

Ils ont vu arriver ces http://nord-pas-de-calais.france3.fr/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/2013/09/17/romscauche.jpg?itok=Xb8_GOUcpopulations qui sont en train de piller tout ce qu’il y a autour d’elles et je suis obligé de mobiliser ma police municipale pour empêcher l’accès de nouvelles caravanes.

Il faut arrêter. »


Sa commune est victime depuis plusieurs semaines d’une occupation illégale et les services de l’État n’ont toujours pas réagi malgré l’existence d’un ordre légal d’expulsion.

 

 

Le courageux maire est depuis la cible d’une violente campagne de haine déclenchée par Martine Aubry, maire socialiste de Lille et de nombreuses associations de l’anti-France.

 

Même s’il a été contraint à revenir sur ses propos, ceux-ci témoignent de la lente évolution des mentalités et prise de conscience de ce fléau.

 

Sourcehttp://www.thomasjoly.fr/article-gitans-face-a-la-demission-de-l-etat-les-fran-ais-reagissent-120134612.html


POLITIQUE "ANTIFAS" QUI CHERCHE L' AFFRONTEMENT ET POURQUOI ?

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Ça s’est passé à Paris : Les « antifas » sèment la terreur

19 septembre 2013

Ça s’est passé à Paris : Les « antifas » sèment la terreur
 
 
 

Cela aurait pu très mal se terminer. « Minute » a recueilli un témoignage exclusif sur les dernières violences commises par les amis de Clément Méric.

Ça s’est passé samedi, en plein cœur de Paris.

Samedi 14 septembre, il est 16 h30 quand une bonne vingtaine de militants dits « antifascistes » débouchent de la station de métro La Motte-Picquet-Grenelle, dans le XVe arrondissement de Paris, et foncent sur la brasserie Le Pierrot, situé à l’angle du boulevard de Grenelle et de l’avenue de La Motte-Picquet.

En quelques secondes, ils s’en prennent aux rares clients installés en terrasse, jettent tables et sièges dans la vitrine (photo en Une) et font usage de leurs armes, des matraques télescopiques en l’occurrence.

 

La scène, d’une violence rare aux dires des témoins que nous avons rencontrés, ne dure pas plus d’une minute. Les agresseurs s’enfuiront en direction de la station de métro Cambronne.

C’est là où neuf d’entre eux seront interpellés par des policiers en civil.

Pourquoi avoir ciblé La Motte-Picquet ? Imperceptiblement, depuis la fin des années 1990, de jeunes étudiants catholiques et de jeunes militants de droite ont fait de ce carrefour et de ce bar un point de rencontre privilégié. On est ici à quelques centaines de mètres de l’église Saint-Léon, très fréquentée par les étudiants, à quelques encablures des pelouses du Champ-de- Mars, si pratiques en été pour les pique-niques improvisés.

On est au cœur parisien de ce que Gabrielle Cluzel de « Monde et Vie » appelle « la France bien élevée ».

Et de fait, la Motte-Picquet est de venu un mythe pour l’extrême gauche, comme ont pu l’être en leur temps la faculté d’Assas ou l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Même si ces derniers mois les militants de droite s’y étaient faits plus rares. L’opération des « antifas » était donc sans danger pour eux, en l’absence d’adversaires et en privilégiant la surprise.

L’étrange départ des forces de l’ordre

Ça s'est passé à Paris : Les « antifas » sèment la terreur

Logo du groupe Action Antifasciste Paris-Banlieue

D’où cette stupide idée de « descente », pour reprendre le jargon militant, organisée par ces « antifas » dont les quartiers généraux se situent plutôt dans le XXe arrondissement que dans cet ouest parisien habituellement paisible. Il n’est pas assez métissé à leur goût, ce XVe arrondissement qui a gardé un peu de ce « quartier populaire et aéré » qu’évoque avec mélancolieRobert Brasillach dans Notre avant-guerre.

Toujours est-il que, par miracle, le bilan de cet épisode inquiétant s’est limité à de la porcelaine et du verre cassé.

Nous avons pu rencontrer l’un des témoins oculaires de l’agression.

Habitué du quartier, il passait par hasard à cette heure du creux de l’après-midi sur le boulevard. Il se rendait chez des amis. Bertrand R., la trentaine, a accepté de nous raconter la scène: « Il y avait cinq ou six cars de gendarmes mobiles, ce qui ne m’a pas surpris outre mesure en raison de la tenue d’une manifestation de soutien aux garçons accusés d’être les meurtriers de l’“antifa“ Clément Méric, qui devait avoir lieu au métro Duroc, donc à deux stations seulement sur la ligne 10, et qui avait été interdite par la préfecture de police. Il y avait aussi deux voitures de police banalisées, remplies de flics en ci vil. A la terrasse du Pierrot, il y avait quelques jeunes cathos, presque encore des gamins et gamines, dont deux jumeaux un peu politisés et habitués des manifestations contre le mariage pour tous. Contrairement à ce qu’on a pu lire sur des sites internet, ils ne portaient pas spécialement de sweet-shirt de la Manif pour tous.

« C’est à ce moment que j’ai soudain vu la meute d’“antifas“ débouler, cagoulée, casser la terrasse, porter quelques coups et repartir aussi sec. Cela a peut-être duré 30 secondes.

En les suivant discrètement j’ai assisté rapidement à leur arrestation et à leur fouille: visiblement les policiers recherchaient les armes qu’ils avaient utilisées lors de l’agression.

Les forces de l’ordre se sont alors remises en position au carrefour qu’ils avaient bizarrement déserté juste avant la bagarre. Ils y sont restés jusqu’au soir. »

Manuel Valls cherche-t-il l’affrontement ?

Les neufs gardés à vue seront transférés au commissariat central du XVe arrondissement, situé rue de Vaugirard, juste à côté du siège de l’UMP. A cette heure, nous ne savons pas ce qu’il est advenu d’eux. Le patron du bar Le Pierrot a porté plainte pour les dégradations dont son établissement a été la victime.

Malgré les arrestations des coupables, on peut s’attendre à d’autres violences dans les jours et les semaines qui viennent, tant les « antifas » se croient cautionnés par des médias naïfs ou complices, qui à l’instar du quotidien « Libération », présentent cette racaille sous un jour des plus sympathiques et romantiques.

Loin de se limiter à des bagarres avec des skinheads, sport idiot mais impliquant des adultes consentants, les « antifas » viennent de démontrer qu’ils veulent et peuvent s’en prendre à des gamins sans histoire, dans des établissements ayant pignon sur rue, en pleine journée.

Les habitants du XVe arrondissement, comme beaucoup de Parisiens, risquent d’attendre longtemps des déclarations rassurantes de la préfecture de police.

Fermera-t-elle le Saint-Sauveur, le bar fétiche de la mouvance « antifa » situé dans le XIe arrondissement? On en doute. Mais il est clair que si, rapidement, les forces de l’ordre ne mettent pas hors d’état de nuire les quelques centaines d’« antifas » parisiens, la situation pourrait dégénérer. Le principal responsable en serait une nouvelle fois le ministre de l’Intérieur.

A moins qu’il ne cherche délibérément à démotiver les jeunes militants de droite…

Lionel Humbert

Crédit images : DR.

Article de l’hebdomadaire “Minute” du 18 septembre 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

ALERTE ! FUMEURS !

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France

Cancers de la vessie et du rein : la cigarette, principal facteur de risque

Santésamedi 21 septembre 2013
  
 
 

 

La cigarette est le principal facteur de risque des cancers du rein et de la vessie, qui ont fait 9 000 morts l’an dernier en France.

 

De nombreuses études montrent une forte corrélation entre le tabagisme et le développement et la progression du cancer de la vessie.

 

« Le risque est multiplié entre 2 à 10 fois », relève le Dr Yann Neuzillet, chirurgien urologue à l’hôpital Foch de Suresnes.

 

La semaine européenne de l’Urologie, qui aura lieu du 23 au 27 septembre, sera axée sur la prévention des cancers urologiques.

 

Toujours plus de cancers de la vessie

 

Affection mal connue, bien qu’elle ait touché l’an dernier 12 000 nouveaux patients (5e rang des cancers les plus fréquents) et fait 4 772 morts, le cancer de la vessie progresse avec 1 % de nouveaux cas par an.

 

Il a de surcroît « le coût par malade le plus élevé de tous les cancers », selon l’Association française d’urologie (AFU), en raison des traitements lourds et répétés qu’il nécessite.

 

La survenue de ce cancer est favorisée par le stockage dans la vessie de substances cancérogènes éliminée par le rein, explique le Dr Neuzillet.

 

Cancers du rein : 4 000 décès en 2012

 

Le son de cloche est le même pour les cancers du rein qui arrivent au 7e rang des nouveaux cancers en France avec 11 500 nouveaux cas estimés l’an dernier par l’Institut national du cancer (INCa) et près de 4 000 décès.

 

« Un homme qui fume a un risque accru de 50 % d’avoir un cancer du rein par rapport à un non-fumeur », relève le Dr Marc-Olivier Timsit, urologue à l’hôpital Georges Pompidou à Paris, qui se veut toutefois rassurant : « Il suffit d’arrêter de fumer au moins 10 ans pour rejoindre la courbe des non-fumeurs. »

 

Trichloréthylène et arsenic

 

Mais si la vessie supporte mal les « carcinogènes » du tabac (au moins 43 substances cancérogènes recensées), l’exposition à des substances de l’environnement professionnel pourrait également jouer un rôle dans 5 à 25 % de ces cancers, selon les études.

 

Suspecté depuis longtemps, le rôle joué par l’exposition au trichloréthylène, solvant chloré principalement utilisé pour dégraisser et nettoyer les métaux, ne fait plus guère de doute, depuis une méta-analyse rendue publique l’an dernier.

 

Incriminé dans le cancer de la vessie et des voies urinaires, l’arsenic qu’on peut trouver dans l’eau potable mais aussi dans certains herbicides ou dans le traitement de certaines leucémies est également suspecté dans le cancer du rein.

 

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Cancers-de-la-vessie-et-du-rein-la-cigarette-principal-facteur-de-risque_6346-2231029-fils-tous_filDMA.Htm

FRANCE/SYRIE: AMOUR, HAINE ET REVANCHE ......L' HISTORIQUE !

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Samedi 21 septembre 2013

En 1936, les chefs Alaouites, parmi lesquels un certain Suleyman Assad, grand-père de l’actuel Président syrien Bachar el-Assad, écrivirent une lettre émouvante au Premier Ministre socialiste de l’époque, Monsieur Léon Blum, afin de solliciter son intervention pour éviter que la nation Alacouite ne soit annexée à la nation syrienne musulmane, à l’expiration du Mandat français.

Assad

« La nation Alaouite, que nous, soussignés représentons, supplie le gouvernement français et le parti socialiste français de garantir sa liberté et son indépendance dans ses frontières.

La nation Alaouite, amie fidèle de la France, qui lui a rendu de grands services, et qui se trouve aujourd’hui sous la menace de la destruction et de la mort, remet son sort entre les mains des leaders socialistes français, certaine de trouver auprès d’eux un soutien fort et loyal. »

Cette lettre, écrite il y 87 ans est d’une cruelle actualité.

En 2013, retournement ironique de l’histoire, le président socialiste français n’aspire qu’à « punir » le petit fils Assad et soutient les islamistes arabes contre les Alaouites au pouvoir, sans se soucier le moindre du monde du sort qui sera réservé aux minorités – y compris les Chrétiens que le monde a déjà abandonné en Egypte. Ils auront droit à être égorgés jusqu’au dernier par les membres d’al-Qaïda, si les islamistes s’emparent du pouvoir grâce à l’aide occidentale.

Ci-après, la traduction d’un article rédigé en 2012 par le Dr Mordechai Kedar, analyste de l’arène interne syrienne, fruit d’une longue recherche, très éclairante sur la situation complexe de la Syrie, ainsi que la traduction de la supplique adressée par les chefs Alaouites à Léon Blum en 1936 :

« Depuis le début des pogroms en Syrie il y a un an et demi, j’ai écrit de nombreuses fois que si les Alaouites agissent avec sévérité, cruauté et font preuve d’ une insensibilité effroyable envers l’opposition, c’est qu’ils savent que cette dernière n’ambitionne pas seulement prendre le pouvoir, mais planifie également leur destruction, dès lors ils luttent avec férocité pour garder le pouvoir entre leurs mains et leurs têtes sur leurs épaules.

De temps à autre, j’’entends les Musulmans s’exprimer oralement et par écrit de façon très dure à l’encontre des Alaouites, mais jamais, je n’ai pu percevoir la peur qui étreignait les Alaouites, la peur d’être massacrés par les Musulmans, si ces derniers en avaient un jour l’opportunité.

La Syrie moderne naquit dans le giron du Mandat français, qui fut imposé à ce pays après la première guerre mondiale et se termina en 1943. Comme c’est le cas avec d’autres états arabes du Moyen- Orient, la Syrie souffre de nombreuses maladies « génétiques », qui trouvent leurs origines dans les erreurs commises par les pays chargés d’exercer leurs mandats, à savoir la France et la Grande Bretagne.

L’Italie, qui contrôlait la Libye, est responsable, dans une certaine mesure, du chaos qui règne dans ce pays.

La principale erreur commise par les nations européennes au Moyen-Orient, fut de créer des Etats qui regroupèrent des peuples d’ethnies différentes, composés de tribus, de minorités religieuses et laïques, les unes opposées aux autres, dans l’espoir qu’un jour tous ces groupes antagonistes se retrouveraient autour d’un feu de bois, entonnant joyeusement des chants patriotiques dans une parfaite harmonie. 

Ce beau rêve ne se réalisa pas, ne se réalise pas aujourd’hui et est loin de se réaliser demain.

Les 30 août dernier, une conférence eut lieu au Conseil de Sécurité des Nations Unies avec comme thème la guerre civile qui ravage la Syrie, responsable de la mort de 5 000 personnes rien qu’en ce mois d’août 2012.

Parmi les participants à la conférence, il y avait le Ministre des Affaires Etrangères, Laurent Fabius et le représentant syrien aux Nations Unies, Bashar al-Jafari. Le représentant syrien critiqua les pays occidentaux et notamment la France pour son soutien aux rebelles.

Le ministre français lui rétorqua : « Vous parlez de façon négative du Mandat français, mais j’aimerais vous rappeler que le grand père de votre président actuel demanda à la France de ne pas quitter la Syrie et de ne pas lui accorder son indépendance. Ce document officiel, signé par le grand-père de Monsieur el-Assad, se trouve dans nos archives, au Ministère de l’Intérieur, et je peux vous donner une copie. »

Fabius se référait à une lettre, que des Chefs Alouites, parmi lesquels Suleiman el-Assad, le grand père de l’actuel président syrien, écrivirent et envoyèrent au Premier Ministre socialiste de l’époque, Léon Blum. La date de réception, qui figure sur le document, est celle du 15 juin 1936.

A cette époque, il y avait des négociations en cours entre le gouvernement français et un groupe d’intellectuels syriens, qui croyaient en la possibilité de créer un grand état syrien, regroupant des communautés différentes, comme en Europe.

Cette lettre fut publiée par le journal libanais al-Nahar et dans le journal égyptien al-Ahram, mais elle ne fit pas la une des journaux.

Ce document devrait être lu en gardant à l’esprit les évènements tragiques qui se déroulent actuellement en Syrie.

« Cher Monsieur Léon Blum, Premier Ministre de France,

 

A la lumière des négociations actuelles entre la France et la Syrie, nous, les chefs Alaouites de Syrie, attirons respectueusement votre attention et celle de votre parti socialiste sur les points suivants :

1. La nation Alaouite, qui a su, avec zèle et courage, préserver son indépendance au cours des années, au prix de nombreuses pertes humaines, est une nation différente des nations musulmanes sunnites, dans sa foi, ses coutumes et son histoire. Jamais la nation Alaouite, qui vit dans la montagne, sur la côte occidentale de la Syrie, n’a été dirigée par les Musulmans, qui règnent sur les villes à l’intérieur du pays.

2. La nation Alaouite refuse d’être annexée à la Syrie musulmane, car la religion islamique est censée être la religion officielle du pays et la nation Alaouite sera dès lors considérée comme hérétique par la religion islamique. Dès lors, nous vous prions de prendre en considération le destin terrible qui frapperait les Alaouites s’ils étaient forcés à s’annexer à la Syrie musulmane, à la fin du mandat français. Les Musulmans auront alors le pouvoir d’instaurer leurs lois religieuses. (L’Hérétique dans l’islam a le choix entre se convertir ou être exécuté. Les Alaouites appartiennent à une secte chiite hétérodoxe, une branche du chiisme, qui s’écarte de la « doctrine », ils sont donc considérés comme hérétiques par les Musulmans sunnites.)

3. Accorder l’indépendance à la Syrie et annuler le mandat constituerait un bon exemple de l’application des principes socialistes en Syrie, mais cela signifierait aussi la prise de contrôle de la nation Alaouite par quelques familles musulmanes en Cilicie, à Askadron (la bande d’Alexandretta, que les Français ont enlevé à la Syrie et annexé à la Turquie) et dans les montagnes d’Ansariyya (dans la partie occidentale de la Syrie, la continuation topographique des montagnes libanaises).

Même le fait d’avoir un parlement et un gouvernement constitutionnel ne garantira aucune liberté individuelle. Le contrôle parlementaire n’est qu’une façade, sans aucune valeur réelle et la vérité dans cette histoire, c’est qu’il sera contrôlé par des fanatiques religieux, qui persécuteront les minorités.

Est-ce l’objectif des responsables français de voir les musulmans contrôler la nation Alaouite et de la précipiter dans la misère ?

4. L’esprit de fanatisme et l’étroitesse d’esprit, dont les racines sont profondément ancrées dans le cœur des Musulmans arabes envers tous les non Musulmans, est l’état d’esprit qui nourrit continuellement la religion islamique, et dès lors, il n’existe aucune espoir pour que la situation change.

Si le mandat est annulé, les menaces de destruction et de mort s’abattront sur les minorités en Syrie, même si l’annulation du Mandat sera suivi d’un décret autorisant la liberté d’expression et la liberté de culte.

Aujourd’hui encore, nous voyons les habitants musulmans de Damas exiger des Juifs, qui vivent sous leur domination, qu’ils signent un document leur interdisant d’envoyer de la nourriture à leurs frères juifs en Palestine, victimes d’une situation terrible (NDT: c’était l’époque de la grande révolte arabe). La situation désastreuse des Juifs en Palestine illustre de façon concrète toute l’importance du problème religieux chez les Arabes musulmans envers quiconque n’appartient pas à l’islam.
Ces braves Juifs, qui ont apporté la civilisation et la paix aux arabes musulmans et ont répandu richesse et prospérité en Palestine, n’ont fait de mal à personne, n’ont rien pris par la force, et malgré cela, les musulmans leur ont déclaré la guerre sainte et n’ont pas hésité à massacrer leurs enfants et leurs femmes, en dépit de la présence de l’Angleterre en Palestine et de la France en Syrie.
Dès lors, un avenir des plus sombres attend les Juifs et les autres minorités si le mandat est annulé et si la Syrie musulmane est unifiée à la Palestine musulmane. Cette union est le but ultime des Arabes musulmans. (NDT : et l’actualité montre qu’ils n’ont pas abandonné ce but)

5. Nous apprécions votre générosité d’esprit de vouloir défendre le peuple syrien et votre volonté de leur accorder l’indépendance, mais la Syrie est loin du noble objectif auquel vous aspirez pour elle, car elle est toujours emprisonnée dans son esprit religieux féodal. Nous refusons de croire que le gouvernement français et le PS français marqueront leur accord à l’indépendance syrienne, car cela signifierait l’assujettissement de la nation Alaouite et la mise en danger de mort de son peuple.

Nous ne pouvons pas croire que vous accédiez à la requête de la Syrie nationaliste d’annexer la nation Alaouite à la Syrie, au nom de nobles principes. Si les Alaouites soutiennent l’idée de la liberté, ils n’accepteront jamais qu’une nation (la Syrie musulmane) essaye de voler la liberté à une autre nation (l’Alaouite) en la forçant à l’annexion.

6. Vous pensez certainement que les droits des Alaouites et des autres minorités seront protégés par les clause d’un traité (le traite franco-syrien qui définit les relations entre les états) mais nous insistons sur le fait que les contrats n’ont aucune valeur pour les musulmans syriens. Nous avons pu le constater par le passé avec le pacte signé par l’Angleterre avec l’Irak, qui interdisait aux Irakiens de massacrer les Assyriens et les Yazidis.

La nation Alaouite, que nous, soussignés représentons, supplie le gouvernement français et le parti socialiste français de garantir sa liberté et son indépendance dans ses frontières. La nation Alaouite, amie fidèle de la France, qui lui a rendu de grands services, et qui se trouve aujourd’hui sous la menace de la destruction et de la mort, remet son sort entre les mains des leaders socialistes français, certaine de trouver auprès d’eux un soutien fort et loyal. »

Signés par:Aziz Agha al-Hawash, Mahmud Agha Jadid, Mahmud Bek Jadid, Suleiman Assad (le grand père de Bashar], Suleiman al-Murshid, Mahmud Suleiman al-Ahmad.

 

Cela conclut le document qui fut écrit il y a 86 ans, mais qui aurait aussi bien pu être écrit hier.

Ce document décrit tous les maux dont souffrent les peuples au Moyen Orient : fanatisme religieux, violence, marginalisation de quiconque n’appartient pas au groupe dominant, stéréotypes qui déterminent la manière dont il faut penser, maux aggravés par l’ignorance occidentale et sa naïveté à l’encontre des problèmes régionaux et la façon de les résoudre.

Avec tout le respect que je dois aux signataires de ce document, les Alaouites ne sont pas non plus exempts de problèmes.

Malgré le fait qu’ils soient arabes et parlent arabe, ils se différencient des arabo-musulmans et de la scène arabe et se définissent comme la nation alaouite, parce qu’ils sont membres d’une religion différente.

Les Alaouites forment des tribus distinctes des tribus arabes, vu qu’ils se considèrent comme les habitants de souche des montagnes de la Syrie occidentale, par opposition aux arabo-musulmans qui envahirent la région au VII siècle, en provenance de la péninsule arabique, et s’y imposèrent par le sabre du second calife musulman Umar bin al-Khattab, qui força les peuples conquis à se soumettre à l’islam.

Sans aucun doute, les Alaouites tirèrent les conclusions appropriées de ce qui fut écrit dans ce document et dirigèrent les Musulmans depuis 1966 avec une cruelle poigne de fer, car ils étaient conscients de ce qui les attendraient si les Musulmans devaient un jour les dominer.

Un détail important à noter est le fait que l’empire Ottoman n’est pas du tout mentionné, dans la lettre, même s’il essaya d’islamiser les Alaouites et les obligea à construire des mosquées dans leurs villages.

Peut-être ne firent-ils aucune allusion aux Turcs afin de protéger la minorité alaouite qui vivait en Turquie, et par crainte d’une vengeance des Turcs sur leurs frères, s’ils avaient mentionné les Turcs d’une façon négative.

Mais le détail le plus surprenant fut la façon élogieuse dont ils parlèrent des Juifs dans la terre d’Israël.

Qui sait, peut être qu’à l’avenir, les Alaouites seront forcés de fuir les villes musulmanes syriennes pour échapper à leur sort funeste, comme décrit dans cette lettre de 1936, et éviter d’être décapités.

Ils établiront leur état indépendant dans les montagnes d’Ansariyya et alors, cette minorité persécutée, dans une nouvelle ironie de l’histoire, essayera de s’unir aux Sionistes, qui, aux yeux des Arabes et des Musulmans, demeure toujours une Entité illégitime et méprisée »

Les Arabo-musulmans, aveuglés par leur idéologie pseudo-religieuse, restent fidèles à eux-mêmes quelle que soit l’époque : violence, oppression, conversion forcée des minorités et/ ou mise à mort. Partout où l’islam domine, c’est le chaos, la misère, l’injustice, le crime.

En fait, la crainte des Alaouites de tomber sous la domination musulmane les rend féroces et elle rejoint en quelque sorte la nôtre – sans la férocité. Eux s’accrochent au pouvoir, car ils savent quel avenir leur réserveront les Arabo-musulmans, s’ils venaient à le perdre.

Nous devons empêcher que les Musulmans ne prennent un jour le pouvoir en Occident et fassent de nous les minorités à soumettre, à humilier, à exterminer.

Mais l’internationale socialiste, leurs alliés écologistes, et les partis traditionnels de droite ne semblent pas le réaliser et ils s’enfoncent jour après jour dans le déni de la réalité du danger islamiste, malgré les clignotants d’un rouge qui devient de plus en plus écarlate.

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

Source : Assad’s Grand father’s 1936 letter Predicts Muslim slaughter of Minorities, Praises Zionists” by Dr Mordechai Kader – The Jewis Press.com/Elder of Zyion 01.09.2013. (traduit, adapté et commenté par Rosaly)

- See more at: http://www.dreuz.info/2013/09/les-alaouites-et-le-parti-socialiste-francais-une-longue-histoire-damour-de-haine-et-maintenant-de-revanche/#sthash.JBBxoGMz.dpuf

EUROPE IMMIGRATION MUSULMANE: VOILE ET TERRORISME !

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Samedi 21 septembre 2013

La Catalogne paie le prix d'une politique d'immigration et d'intégration irresponsable.

Voile-integral-espagne
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Un groupe djihadiste affilié à Al -Qaïda menace de commettre des attentats terroristes en Catalogne, une région autonome située dans le nord-est de l’Espagne où se retrouve la plus grande concentration d’islamistes radicaux en Europe.

Les menaces viennent d’un groupe nommé Africamuslima en réponse aux efforts des législateurs catalans pour accroître la surveillance des salafistes radicaux qui cherchent à imposer la loi islamique de la charia en Espagne et dans d'autres parties de l'Europe.

La Catalogne - une région de 7,5 millions d’habitants dont le centre est la ville méditerranéenne de Barcelone - compte la plus importante population musulmane en Espagne.

La plupart des quelque 450.000 musulmans de Catalogne sont originaires du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord et de l’Asie du Sud. [    ]

Les autorités espagnoles sont particulièrement inquiètes de la menace salafiste, un courant radical de l’islam qui cherche à rétablir un empire islamique [califat] à travers le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et l'Espagne, un pays considéré par les salafistes comme un État musulman devant être reconquis par l’islam.

Selon le Centre national du renseignement de l’Espagne [CNI], la Catalogne compte des centaines, voire des milliers de salafistes, lesquels représentent, pour les experts du renseignement, la plus grande menace pour la sécurité nationale de l'Espagne.

 

Les responsables catalans ont récemment redoublé d'efforts pour améliorer la surveillance des groupes salafistes dans la région.

Le 27 août, on apprenait que la police catalane (connue localement comme le Mossos d' Esquadra) avait effectué un «recensement» pour identifier et enregistrer les femmes portant le voile intégral (burka ou niqab).

Selon les médias locaux, le ministre catalan de l'Intérieur, Ramon Espadaler - se fondant sur la conviction que ces vêtements peuvent constituer un indicateur de la propagation du salafisme en Catalogne - a ordonné aux membres du Mossos de rédiger un rapport chaque fois qu'ils voient une burka ou un niqab.


Lire la suite "Espagne : menace terroriste contre la Catalogne suite à un projet d'intrerdire le voile intégral dans l'espace public"»

DÉJEUNER DES 30 ANS DE L' AGRIF À PARIS !

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Le grand déjeuner des 30 ans de L’AGRIF à Paris !

 

Un moment exceptionnel à ne pas manquer pour la défense de notre identité chrétienne !

Communiqué.

Le déroulement du grand déjeuner d’Amitié Française de l’AGRIF du 5 octobre prochain à la Mutualité est désormais fixé dans ses grandes lignes.

1) Réception autour des stands de l’AGRIF et des associations participantes dès 10 h 30.

2) Début du déjeuner à 12 h 30. Allocutions de : Jeanne SMITS, Face au nihilisme de la culture de mort,  nos combats pour la vie ; Me Jérôme TRIOMPHE,  Face à la persécution du totalitarisme socialiste et à la répression policière, le combat de l’AGRIF pour les libertés ; Bernard ANTONY, L’AGRIF contre tous les racismes, pour la vie, la famille, la  patrie,   l’humain. Non à la théocratie totalitaire islamique.

3) Réactions de : Jean-Pierre MAUGENDRE, Renaissance catholique ;Guillaume de THIEULLOY, les Quatre Vérités ; Daniel HAMICHE, Observatoire de la christianophobie ; Alain ESCADA, Civitas ; Saïd OUJIBOU, communauté chrétienne d’Afrique du Nord ; Me Frédéric PICHON, avocat au Barreau de Paris.

4) Interventions de responsables politiques : Carl LANG, Parti de la France ; Béatrice BOURGES, Printemps Français ; Xavier LEMOINE, Parti Démocrate-Chrétien ; Bruno GOLLNISCH, Front National.

5) Attribution du Prix AGRIF 2013 à une personnalité héroïque et particulièrement persécutée par la répression idéologique.

6) Inscription : 42 € par personne, à l’ordre de l’AGRIF, par chèque ou par paypal. Dépêchez-vous de vous inscrire si vous souhaitez être avec un président de table particulier : plusieurs tables sont déjà complètes. Cliquer sur ce lien pour s’inscrire : AGRIF, 70 boulevard Saint-Germain, 75005 Paris. Tél. 01 40 46 96 31.

 - See more at: http://www.christianophobie.fr/communique/le-grand-dejeuner-des-30-ans-de-lagrif-a-paris#sthash.3nyZoP4s.dpuf

MANIF POUR TOUS, MÉDIAS ET LE LOBBY HOMOSEXUEL .....

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Ecrit le 20 sept 2013 à 15:22 par Eric Martin dans Nos brèves
 

Les responsables de l’agression homophobe du XIXe arrondissement vivent dans une cité et sont connus des services de police pour des faits de violence

Annonce Itélé ce vendredi 20 septembre 2013. Il ont 17 à 19 ans et ont été déférés jeudi soir devant un juge d’instruction.

Contrairement à ce que sous-entendaient les médias et le lobby homosexualiste, on est très loin du profil moyen du participant à la Manif pour Tous :

 

 

 
http://www.ndf.fr/nos-breves/20-09-2013/les-responsables-lagression-homophobe-du-xixe-arrondissement-vivent-cite-connus-services-police-faits-violence?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29

SÉCURITÉ ET JUSTICE ? TRIBUNE LIBRE .....

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Ecrit le 20 sept 2013 à 16:06 par Eric Martin dans Article
 

Nicolas Bernard-Buss : «Aujourd’hui, je n’ai plus confiance en ceux qui sont censés assurer la sécurité et la justice»

Nicolas B.Invité de Marc-Olivier Fogiel jeudi sur RTL, Nicolas Bernard-Buss, qui a passé trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis en juin et juillet (à cause de son opposition à la loi Taubira qui dénature le mariage et instaure un droit à l’enfant au détriment du droit des enfants à avoir un papa et une maman), remet en cause la version des policiers à qui il a été condamné à payer des dommages et intérêts, soulignant d’ailleurs que le restaurant Pizza Pino n’a pas déposé de plainte suite à sa prétendue violence.

« Je suis passé devant la 16e chambre du TGI de Paris, qui n’est pas une chambre dévolue aux comparutions immédiates mais au proxénétisme aggravé et au trafic de stupéfiants.

Est-ce que c’est une manière de traiter un opposant politique ? », s’interroge Nicolas Bernard-Buss. « On a été traités comme des dissidents chinois », explique-t-il avant de remercier les auteurs de messages de sympathie à son encontre et d’indiquer qu’il réfléchit à une riposte judiciaire.

Source :  http://www.ndf.fr/nos-breves/20-09-2013/nicolas-bernard-buss-aujourdhui-nai-confiance-en-ceux-censes-assurer-securite-justice


UNIVERSITÉ D' ÉTÉ DU FN ! POLÉMIQUE .......

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Le Point.fr - Publié le

21/09/2013 à 10:18

Lors de l'université d'été du FN, Julien Rochedy, président du FNJ, a cherché la bagarre auprès des deux invités d'honneur de Jean-Marie Le Pen.

Sur commande ?

Louis Aliot, vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen.Louis Aliot, vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen.

L'affrontement s'est déroulé lors de l'université d'été du Front national à Marseille, le 14 septembre dernier. Julien Rochedy, le président du FNJ (photo ci-dessous), tente de rejoindre la loge deJean-Marie Le Pen.

C'est qu'il veut en découdre avec les deux invités du président d'honneur, Omar Djellil, un responsable associatif marseillais, et Grégory Gennaro, ex-dirigeant du FNJ en Paca et salarié du groupe FN au conseil régional. Jusque-là, les trois hommes se toisaient sur les réseaux sociaux. 

"Rochedy voulait aller au contact, je l'en ai dissuadé"

Mais à Marseille, l'occasion est trop belle.

En fait, à en croire le courriel qu'il a envoyé a posteriori à Djellil, Julien Rochedy aurait été en service commandé. "Je me moque de vous convaincre [...], écrit le patron du FNJ.

 

En revanche je vous en veux pour vos critiques et insultes sur fb [Facebok, NDLR] [...]

 

Sachez que je vous ai demandé de venir dehors pour qu'on règle nos problèmes, sans réponse. [...]

 

Sachez aussi que je n'ai pas attendu Marion [la députée du Vaucluse était présente, NDLR] pour venir (LOL), mais simplement les DPS me bloquaient l'entrée pour ne pas venir vous exploser la gueule, suite à une demande de Louis A., et je n'ai pu entrer que lorsque Marion a dit qu'elle voulait vous parler et que je ne devais rien faire dans les loges."

Louis A. ? "À part Louis Aliot, je ne vois pas qui cela peut être", soutient fermement l'adversaire de Rochedy.

Contacté par Le Point.fr, le vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen dément avoir commandité l'agression : "Je l'ai au contraire empêchée.

Rochedy voulait aller au contact, je l'en ai dissuadé. Djellil étant l'invité de Jean-Marie Le Pen, je lui ai dit que sa présence était justifiée." Julien Rochedy, lui, nous confirme que Louis Aliot a quelques raisons d'en vouloir au jeune homme : "C'est une petite altercation ponctuée par une invitation d'honneur de ma part hélas déclinée.

Cause : les insultes récurrentes d'Omar Djellil [voir son fb] envers Marine Le Pen, Florian Philippot, Louis Aliot et moi-même."

"Vous verrez si je suis un guignol"

Fort du mail adressé par le président du FNJ, qui constitue une forme d'aveu, Omar Djellil a déposé plainte pour menaces de mort.

Connu à Marseille pour avoir dénoncé publiquement en son temps le racket que subissait les automobilistes sur un parking du centre-ville au vu et au su de la police, "inerte devant les voyous", le responsable associatif se considère comme un ami personnel de Jean-Marie Le Pen. "Je ne partage aucune des idées de sa fille", précise-t-il. 

Par ailleurs, ce n'est pas la première fois que Rochedy est épinglé pour sa violence.

Il est considéré comme un facilitateur de contacts entre les mouvements d'extrême droite violents et son parti toujours en quête de respectabilité.

"Si vous voulez que je descende à Marseille seul pour vous voir en tête à tête, discuter ou autre, on prend rendez-vous.

Vous verrez si je suis un guignol", conclut un Julien Rochedy très en verve.

Apparemment, au Front national de la jeunesse, la quête de respectabilité, c'est un combat de vieux.

 

source et publication:  http://www.lepoint.fr/politique/front-national-louis-aliot-a-t-il-commandite-une-agression-21-09-2013-1733702_20.php

ÉLECTION CANTONALE PARTIELLE: LE PDF PRÉSENT !

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COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE


Election cantonale partielle de Brignoles : le Parti de la France soutient la candidature de Jean-Paul DISPARD

 


Martine Maquet, suppléante, Carl Lang et Jean-Paul Dispard, le 21 septembre à Brignoles

Jean-Paul Dispard, militant patriote et ancien conseiller général du canton de Brignoles élu en mars 2011 portera les couleurs du Parti de la France lors de la nouvelle élection cantonale partielle qui se déroulera les 6 et 13 octobre prochains.

Face à la gauche sortante communiste et aux parachutages, Carl Lang, président du Parti de la France, présent ce samedi 21 septembre à Brignoles aux côtés de Jean-Paul Dispard a appelé les électrices et les électeurs à faire, dès le premier tour, le choix de la préférence locale, du vrai candidat de la droite nationale et de l’enfant du pays.

Afin d’assurer la défaite du candidat communiste, Carl Lang a aussi appelé l’ensemble des électeurs de droite au vote utile et crédible c’est-à-dire au vote Dispard.

 

IMMIGRATION / INVASION ET ISLAMISATION: LE CHOC ........( VIDÉO )

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Lundi 23 septembre 2013

Chers lecteurs, partagez un maximum cette vidéo. Il faut absolument que le peuple européen ouvre les yeux…et vite !

 

Le syndicat de police espagnol UFP (Union Federal de Policía)  a publié sur YouTube le 2 septembre 2013 une vidéo très politiquement incorrecte dénonçant l’invasion quotidienne de masses arabo-musulmanes et africaines à  Melilla, une enclave espagnole située sur le territoire marocain.

Les policiers auteurs de la vidéo, probablement à bout de nerfs car ils risquent  quotidiennement leur vie, ont filmé les agressions de hordes tentant de s’introduire en Europe par tous les moyens et parfois avec la connivence de la police marocaine.

Le gouvernement espagnol va t’il dissoudre l’UFP pour avoir montré la réalité de l’immigration de  masse incontrôlée dont la responsabilité incombe aux politicards qui ont transféré la souveraineté des Etats à la funeste union européenne sans demander l’avis des peuples ?

 

MAIRIE: COLLABORATION ET DHIMMITUDE ???

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LES LARMES DU DRAPEAU

  

AUTO-DÉFENSE: TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE ...;

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Autodéfense : la doctrine du double effet

 

Revenir au Moyen-Âge ? Oh oui !

Publié le 19 septembre 2013 à 18:00 dans Société

 

 

Nombreux sont nos camarades de Causeur qui se posent à l’unisson des Français la question de l’heure : a-t-on le droit de se faire justice soi-même, et dans quel cas ?

A-t-on le droit de se défendre seul ? Et surtout, le peuple et la patrie en général, c’est-à-dire le bien commun, y gagnent-ils ?

Le problème est épineux et l’on aurait tort de le traiter par-dessus la jambe, soit que l’on tienne pour acquis le monopole d’Etat de la violence, soit que l’on vante minarchiquement l’axiome « un homme, un fusil » ; soit encore que dans un pacifisme (bêlant, cela va sans dire) de mauvais aloi, l’on croie pouvoir se débarrasser du souci en regardant ailleurs.

Pour trancher ce cruel dilemme d’une nation en voie de désintégration avancée, l’on aurait tort d’oublier la sagesse des siècles, et notamment la finesse de la philosophie morale.

Il était ainsi une fois, au siècle de Saint Louis, un frère prêcheur si gros et si taciturne qu’on le surnommait le bœuf muet.

Derrière son apparence bonhomme, ce rital immigré à la Sorbonne cachait pourtant quelques ressources de génie et avait déjà résolu notre problème en proposant ce que l’on nomme depuis la doctrine du double effet.

S’agissant d’un mec des siècles obscurs du temps des cathédrales, il n’en faut pas trop demander à son esprit lourd. Voici pourtant comment il racontait sa petite histoire : il arriva, comme souvent alors selon les livres de notre bonne République, qu’un monastère fut attaqué par des brigands.

Il était interdit par nature aux moines de se battre, il leur fallait donc se laisser massacrer. Mais, et c’est là que ça se corse, il se trouvait aussi que le monastère abritait des enfants, non pour servir au plaisir des moines, je vous vois venir, mais parce qu’ils s’y étaient réfugiés.

Nos moines pouvaient-ils laisser massacrer benoîtement avec eux ces innocents ? Certes non. Pourtant, il fallait balancer aussi que, suivant le principe – chrétien – selon lequel toute vie est sacrée, celle des brigands ne l’était pas moins que celle des lardons.

Nos bons apôtres se trouvaient ainsi placés devant le problème d’apparence insoluble suivant : à se défendre, ils espéraient un effet bon – sauver la vie des enfants – et risquaient un effet mauvais – prendre la vie des brigands.

Le docteur angélique résolut donc ainsi la quadrature du cercle : ces moines devaient sortir tout ce qui leur pouvait servir d’armes, et les brandir vers les brigands. Ils n’avaient pas le droit d’attaquer les brigands, mais ils pouvaient pointer leurs armes de fortune de telle sorte que si les brigands attaquaient ils risquassent de s’y empaler. Le risque était alors pris par les seuls brigands, qui pouvaient toujours s’y soustraire en renonçant.

La morale de l’histoire, c’est qu’il est parfois justifié de produire une conséquence mauvaise si elle est seulement un effet secondaire de l’action, et non pas intentionnellement recherchée.

Sous les conditions suivantes : le bon effet doit résulter de l’acte et non du mauvais effet ; le mauvais effet ne doit pas être directement voulu, mais doit être prévu et toléré ; et le bon effet doit être plus fort que le mauvais effet, ou bien les deux doivent être égaux.

Ainsi donc, rien n’interdit aux gens de la bonne ville de Croix, banlieue résidentielle de Roubaix paraît-il, de brandir chandeliers pointus, couteaux de cuisine, fourches et autres sextoys en direction du Rom qu’ils croisent dans leur jardin.

Mais nullement de lui porter l’estocade.

Tout ceci excluant naturellement, selon les normes du Concile de Latran II de 1139, l’emploi d’arquebuses et d’armes à feu.

À moins que le voleur de poule n’accroche accidentellement la gâchette.

 


Source et publication:  http://www.causeur.fr/autodefense-la-doctrine-du-double-effet,24220

L' ISLAM IDÉOLOGIE DE PAIX ET DE TOLÉRANCE ???

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Mais l’islam est une idéologie de paix…

Posted On 23 sept 2013
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L’islam enseigne la tolérance, la fraternité, l’amour entre les peuples, les communautés, les gens, nous disent les bienpensants, pour qui l’islam est une religion comme une autre, voire même supérieure aux autres, tellement elle transcende la piété, la vertu, la modestie, la gentillesse, le respect de la vie.

Et heureusement ! Imaginez l’inverse…

Pour ces admirateurs de l’islam, la semaine qui vient de s’écouler montre une fois encore et d’une façon horriblement tragique la réalité de leurs belles affirmations.

Ces derniers jours sont rouges du sang des victimes de l’idéologie islamique.

Nigéria

Le bilan des morts du dernier massacre jihadiste de Benisheik s’élève à 161 morts.

Après avoir pris d’assaut, mardi dernier, les bureaux de l’Agence pour la Protection de l’Environnement à Benishek et massacré 55 fonctionnaires, les musulmans de Boko Haram, organisation que l’Administration Obama refuse de classer comme « terroriste », ont bloqué la route de Maiduguri-Damaturu, à trois kilomètres de la ville, et ont abattu des dizaines de voyageurs.

Les gens qui cherchaient à fuir en se réfugiant dans les buissons le long de la route ont été pourchassés et froidement abattus. Les équipes de secours recherchent encore des cadavres dans la brousse où certains blessés se sont probablement réfugiés et ont succombé à leurs blessures. (Daily Trust AllAfrica.com)

« Nous sommes les fiers soldats d’Allah, nous faisons le vœu de faire chuter le gouvernement et de détruire les Chrétiens. Nous allons vous dévorer… Notre joie est de mourir dans le jihad. Vous, Jonathan Goodluck vous ne parviendrez pas à nous arrêter ; nous n’abandonnerons jamais, bien au contraire, nous allons vous dévorer, vous le fanfaron. Nous sommes les fiers soldats d’Allah, nous accomplissons notre devoir et nous combattrons les infidèles. Nous serons les vainqueurs… pour nous, la mort est la victoire éternelle, nous n’avons pas peur, car nous ne travaillons pas pour l’homme, mais pour Allah… »

Mais non, disent les islamophiles, ces gens là ne sont pas de vrais musulmans ! Ils n’ont rien à compris à l’islam ! Pourtant ce qu’ils disent se trouve en toutes lettres dans le « noble coran », qu’ils appliquent à la lettre. Alors ?

Voici quelques versets du coran qui incitent explicitement à l’amour du prochain selon Allah :

Sourate 2, 191 :

« Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants. »

Sourate 2, 190-193 :

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. »

Sourate 2, 216 :

Vous devez combattre, même si c’est quelque chose qui vous déplaît.

IRAK

Des kamikazes sunnites ont tué 92 chiites lors d’un repas de funérailles à Bagdad ce samedi 21 septembre et blessé plus de 150 personnes.

Deux » martyrs » islamistes, l’un à pied, bardé d’explosifs, l’autre dans une voiture piégée, se sont approchés des tentes remplies de familles en deuil dans un quartier chiite de Bagdad et se sont fait exploser, entraînant avec eux dans la mort au moins 92 personnes. (Source AP)

« J’ai vu plusieurs corps carbonisés à terre, des tentes en feu, des voitures qui brûlaient, des blessés hurlaient de douleur », a déclaré cheikh Sattar al-Fartousi, l’une des personnes en deuil. « La scène était horrible. L’enterrement s’est transformé en un enfer ».

La guerre millénaire entre Chiites et Sunnites a fait des milliers de victimes en Irak rien que ces derniers mois, plongeant le pays dans un bain de sang des plus effroyables.

Cette haine fratricide et meurtrière entre Chiites et Sunnites pourrait un jour aussi exploser en Occident, où les constructions de mosquées sunnites et chiites se multiplient. Mais nos Autorités ne semblent guère percevoir ce danger, pourtant bien réel, car leur haine n’a pas de frontière.

KENYA

Attaque islamiste contre un centre commercial hier samedi 21 septembre. 59 morts.

«Ils ont séparé les musulmans des non-musulmans et assassiné seulement les non-musulmans » mais, surtout, ne vous attardez-pas sur ce «détail», ce serait de l’islamophobie, un crime contre l’humanité.

Le bilan actuel – et provisoire – de l’attaque du centre commercial Westgate par les islamistes somaliens, les Shebaab, s’élève à au moins 59 morts et à plus de 160 blessés et la prise d’otages est toujours en cours. (Associated Press).

Le Kenya essaye de rester un phare de la démocratie en Afrique, mais ce continent est tombé sous la botte de l’Islam. Le Mali, le Nigéria, le Soudan, l’Ethiopie, la Tanzanie : l’un après l’autre, les pays africains succombent à la violence de l’islam. Les non-musulmans, les infidèles, les Chrétiens le payent de leur vie. L’Administration Obama et l’UE, au lieu de combattre le fléau de l’islam, encouragent les suprémacistes islamistes en Egypte, en Libye, en Algérie et en Tunisie, et imposent cette idéologie meurtrière par la propagande mensongère de l’Occident.

Les troupes kenyanes ont combattu les islamistes d’al-Shabaab en Somalie, où un groupe anti-gouvernemental essaye d’imposer la loi islamique de la sharia par la force.

Lors d’une apparition télévisée en direct, le président kenyan Uhuru Kenyatta a déclaré :

«Nous avons déjà été confrontés à des attaques terroristes, nous nous sommes battus avec courage et nous avons vaincus les terroristes à l’intérieur et à l’extérieur de nos frontières, nous allons à nouveau les défaire. »

«La façon, dont nous menons nos vies, dans la liberté, l’ouverture, l’unité et la considération de l’autre, représente notre victoire sur ceux qui nous veulent du mal.»

Il a réitéré la volonté du gouvernement de lutter contre les agressions intérieures et extérieures et a exhorté les Kenyans à «se serrer les coudes et à surmonter ces sombres moments tragiques » en donnant leur sang, en coopérant avec les autorités et en réconfortant les victimes de la violence, qui a endeuillé le pays.

Kenyatta a ajouté qu’il avait lui-même perdu des parents proches dans cette tuerie de masse.

Alors que le nombre de victimes de l’attaque ne cesse d’augmenter, la haine islamiste ne connaît pas de trêve :

Aujourd’hui, au PAKISTAN :

Un attentat à la bombe dans une église historique de Peshawar a tué plus de 60 personnes et blessé une centaines de fidèles.

L’attentat, perpétré par deux jihadistes kamikazes, selon la police, s’est produit alors que les fidèles sortaient de l’église pour assister à un repas organisé sur la pelouse en face.

« J’ai entendu des explosions et l’enfer s’est dévoilé devant nous, a déclaré Nazir John, qui assistait à la messe avec 400 fidèles. Quand j’ai retrouvé mes esprits, je n’ai vu que de la fumée, de la poussière, du sang et des gens hurlant de douleur. J’ai vu des morceaux de corps disséminés un peu partout et du sang, beaucoup de sang. »

C’est l’attentat le plus meurtrier contre les Chrétiens dans ce pays. (Source : HufPost World)

Et personne n’a oublié Boston

Ces attentats révèlent le véritable visage de l’islam. Mais nous n’avons pas le droit de craindre cette magnifique idéologie et d’être islamophobes, ce serait un crime contre l’humanité.

L’islam veut dominer le monde, il rejette l’idée que des êtres humains ne soient pas musulmans, ne se sentent pas obligés d’adorer la divinité islamique, ne vénèrent pas le diabolique prophète de l’islam, ne sacralisent pas le livre de haine coranique, n’adoptent pas les rites islamiques, refusent de faire de la charia islamique la principale source de la loi.

Alors ils imposent l’idéologie islamique par la terreur et la violence, en semant destruction, désolation et mort, comme au siècle dernier, et au siècle précédent, et ainsi en remontant jusqu’aux premières conquêtes de l’islam.

Mais l’islam est une idéologie de paix…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

 

 

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TOUT SIMPLEMENT RIDICULE !!!

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dimanche, 22 septembre 2013

Rodez, ridicule total d'un commissaire zélé qui fait le beau devant 10 femmes courageuses...


Pendant ce temps, les banlieues sont à feu et à sang et l'insécurité explose...

Précision, ce jour là, Rodez 24 500 habitants allait subir une visite de Manuel Gaz..


Source;   http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2013/09/22/rodez-ridicule-total-d-un-commissaire-zele-qui-fait-le-beau.html


TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Les ghettos n’en sont plus, les dernières enclaves s’épuisentLa semaine dernière, Jérôme Bourbon taillait dans son éditorial un (nouveau) costume au désastreux François Hollande mimant le matamore face à la Syrie tout en s’aplatissant lamentablement devant le Crime en France. Pitoyable pantin qui devance les doléances de ses maîtres : Sionistes en haut, idéologues antifrançais en bas. Bref François Hollande, qui porte très mal son prénom, est le président de l’Etranger par excellence. Un être traité en serpillière qui se moque de la sécurité des Français comme de sa première carte du PS. Il est, encore, l’arbitre qui choisit toujours le pire en faisant mine de vouloir contenter tout le monde. Mais il est en cela aidé par une drôle d’équipe… Et à ce propos Valls et Taubira constituent les deux faces d’une même pièce, l’agitation fantasque du premier permettant d’adoucir la réalité ultra laxiste et permissive progressivement mais rapidement instaurée par Taubira et ses acolytes idéologiques.  A une période charnière où les conditions de sécurité publique se détériorent chaque jour, où les assassinats et la violence débridée s’accomplissent sur fond d’un climat « social » déchaîné, n’est-il pas légitime de se demander si les conséquences de l’excessive tolérance de ce gouvernement qui laisse en liberté des néo-barbares semant la terreur sur leur passage ne sont tout simplement pas recherchées ? Même si nous ne savons si ces funestes autorités hexagonales trouveront encore je ne sais quel sociologue stipendié capable de disserter sur je ne sais quelle baisse fantasmagorique de la délinquance, ou un grossier criminologue comme le « super Frère Trois points » Alain Bauer. Les crimes et crapuleries se déroulant de plus en plus en bas de chez la ménagère affolée, il faudrait en effet un prestidigitateur  de génie pour apaiser les bonnes gens justement angoissés  par une délinquance qui n’est plus jugulée et que l’on ne veut plus, et cela ouvertement, juguler !Une litanie non exhaustive de faits barbaresMême si nous avions la place et le temps nécessaires pour élaborer une liste exhaustive des infractions et des crimes perpétrés en Hexagonie, nous ne pourrions le faire pour la simple et bonne raison que de plus en plus de faits délinquants sont cachés par la police et par les media ! Nous apprenions ainsi, il y a quelques jours, et un mois après le déroulement des faits, qu’un homme atteint d’une balle dans les poumons avait pris en otage toute l’équipe d’un service soignant au sein d’un hôpital marseillais avec un revolver fourni tranquillement par un complice. Personne n’a évidemment porté plainte, et l’arme ayant disparu après les soins, le blessé vindicatif fut relâché dans la nature…Cependant la litanie de faits morbides que nous pouvons dresser en dit déjà long, très long, sur l’étendue de la contamination délinquante française. Tout le monde parle de Marseille et de ses 15 ou 16 « règlements de compte » (et la mort du fils Anigo) mais ces liquidations internes au milieu ne constituent que l’arbre qui cache la forêt fort dense d’ultra violence. Dans la cité phocéenne, un jeune homme de 18 ans a été tabassé (la mâchoire brisée en mille morceaux) au mois d’août par une dizaine de « jeunes » parce qu’il était… roux ! Toujours à Marseille, un automobiliste  a été blessé par balle par un « motard » en colère…  Un autre a été transporté à l’hôpital avec un trou traversant littéralement son crâne. Lorsque les policiers se sont rendu compte qu’il ne s’agissait pas de l’effet d’un tir de Kalachnikov mais de celui d’un magistral coup de couteau, la police judiciaire s’est dessaisie de l’enquête ! Malheureusement la néo-barbarie ne se cantonne pas aux Bouches-du-Rhône. Tous les faits relatés ici se sont déroulés la semaine dernière, à Marseille ou ailleurs. Dans le Val-de-Marne, à Limeil-Brévannes, un enfant découvre le cadavre d’une femme attachée à un arbre. Même jour, on retrouve une femme de 47 ans égorgée chez elle à Carvin dans le Pas-de-Calais. Le même jour, un homme de 28 ans est poignardé gratuitement à Laon. Le 4 septembre, un policier est lynché par 10 chances pour la France à Aix-les-Bains. Le 1er septembre, une interminable fusillade à la Kalachnikov a lieu à Clamart : 3 blessés graves. 2 jours plus tard une nouvelle fusillade aurait blessé d’autres caïds qui se sont faits « soignés » ailleurs… Le 1er septembre encore, un adolescent est poignardé par une bande de « jeunes » dans un bus dans le 14ème arrondissement de Paris : La victime est dans un état critique. Un peu plus tard à Vincennes, onze étrangers s’évadent du centre de détention. Le 29 août à Bondy, un jeune homme est blessé aux deux jambes par des tirs de… Kalachnikov. Au même moment, à Strasbourg, les policiers découvrent le corps d’un homme assassiné dans son appartement. A Lille, le 3 septembre, le gérant d’une station de lavage est abattu par deux hommes. Il s’agirait d’un règlement de compte (à mille kilomètres de Marseille). A Noyal-Pontivy, dimanche 1er septembre, 64 voitures sont incendiés délibérément dans un champ servant de parking à l’occasion d’un spectacle dont les bénéfices devaient alimenter une œuvre caritative. La ville de Colombes comme Clamart est sous l’empire de la Kalach’ : « Les habitants craignent un petit Marseille ».  Dans le Var, un enfant de 5 ans a été découvert sans vie dans un camion le 5 septembre dernier.  Le même jour, un ouvrier sans histoires est blessé par balle, cible mouvante d’un tireur introuvable… Encore le 5 septembre un Mahorais SDF de 25 ans a pulvérisé tous les ordinateurs du Pôle Emploi du Puy en Velay avant de mettre à terre trois policiers dont l’un est toujours grièvement blessé. La violence est partout et se rit des ghettosEt nous ne parlons pas du terrible climat antifrançais que les autorités ont laissé croître à Perpignan où les Blancos se retrouvent avec un couteau sous la gorge pour un oui ou pour un non ; à Lyon où les pompiers se font fracasser comme leurs collègues de la Région parisienne et de Toulouse ; à Metz où le 17 août Nicolas et Cyril se sont faits sauvagement agressés à la machette par Hocine et Lahcen ;  sur les plages durant cet été où les policiers n’auraient jamais observé « une telle violence » ! A Clermont Ferrand où les chauffeurs de bus se font agresser les uns après les autres par des « issus de la diversité » de 14 ou 15 ans. A Grenoble où le gérant d’une supérette se fait agressé pour 20 centimes pendant qu’une jeune fille se fait larder de coups de couteau par l’un de ces innombrables marginaux… A Saint-Etienne où une femme meurt égorgée en plein supermarché. A Brest où les buralistes se font cogner pour un regard jugé incorrect… A Lure, en Haute-Saône, un retraité de 89 ans a été le 2 septembre dernier ligoté puis torturé par trois individus à la recherche de quelques billets. Souffrant de diverses hémorragies internes et de traumatismes crâniens, le malheureux a du être opéré en urgence. Son état est critique.A tous les niveaux, dans toutes les villes et régions de France, la violence augmente en des proportions fantastiques. La mort rôde désormais partout, la délinquance n’est plus du tout  cloisonnée dans telle ou telle cité malfamée. Le ghetto délinquant n’existe plus. Le crime, en France, est ce qui circule le mieux. Les Quartiers nord de Marseille constituent surtout des couveuses pour délinquants, mais ils savent les exporter. Auparavant, il était parfaitement légitime de dire que des sortes d’enclaves délinquantes existaient, voire des ghettos qui servaient en définitive d’abcès de fixation à la France tranquille. Ce temps est révolu, la septicémie s’est déclarée. L’ensemble du corps national est atteint par l’infection. La délinquance, la violence ne sont plus ghettoïsées ! Ce sont la quiétude, le soulagement d’un instant, la sécurité momentanée qui sont désormais enclavés.  Nous ne voulons pas dire par là qu’il n’y a pas plus de violence à Marseille qu’à Guéret ou qu’il n’y a pas plus d’immigration à Marseille qu’à Guéret (Marseille est en effet la ville la plus délinquante, et la Seine-Saint-Denis le département le plus délinquant de France) mais que le meurtre s’est banalisé, l’agression contre le petit Blanc démocratisée, et que les bandes ethniques se sont (comme) disséminées. Evidemment la République refuse d’admettre la réalité, de voir en face le visage hideux de son petit bébé vomissant tous les poisons qu’elle lui a fait ingurgiter.  Non seulement parce que l’aveu du  phénomène délinquant qui atteint actuellement ses plus hautes eaux noircirait considérablement le blason de la Gueuse, mais aussi parce que cette dernière a plus que jamais pour ambition de mélanger racialement les habitants hexagonaux, Français et allogènes, jusqu’au melting-pot irréversible, jusqu’au métissage intégral et à la disparition de toute francité génétique.  Pour atteindre cet objectif, le Système doit minimiser au maximum ce phénomène pathologique pour empêcher à tout prix les réactions d’auto-défense, de protection ethnique des Français supposant, parfois à juste titre, qu’il existe une corrélation entre forte présence immigrée et une certaine forme de délinquance. Comment en effet exalter le vivre-ensemble (déblatéré initialement par des sociologues-fonctionnaires) tout en admettant publiquement, même implicitement, la cruauté des néo-barbares ?La fracture sociale stigmatisée pour empêcher toute fracture racialeLes cadres et autres fonctionnaires chargés d’une manière ou d’une autre de la « communication » (c’est-à-dire de la propagande) doivent appliquer le bon discours à la bonne situation sociale pour, à chaque fois, faire accepter à des populations autochtones des phénomènes objectivement inacceptables.  Mais franchement, nous nous demandons comment ces spécialistes du mensonge parviennent à sidérer, encore, des individus simplement pourvus d’un cerveau ?  Au mois d’août, Le Monde  interviewait le docteur Nelly Lavillunière, médecin et psychologue des pompiers de Paris qui ont subi durant l’été (et aujourd’hui encore) de très violentes et gratuites agressions. Si la psy admet « percevoir de la souffrance » chez les pompiers confrontés à une animosité inouïe,  elle refuse de les considérer comme des victimes. « Les conditions d’exercice du métier, déclare-t-elle, sont plus difficiles. Ils ne peuvent plus compter sur le mythe du héros », ose-t-elle plus loin !  Et l’on croit rêver lorsqu’elle affirme sans sourciller cette phrase qui restera dans les annales de la forfaiture : « La mission reste la même mais il leur faut s’adapter aux évolutions sociétales » ! En quoi la véritable guerre menée par des néo-barbares en casquette constituerait-elle une évolution (non sociale mais) sociétale ?! L’indécence au service de l’idéologie républicaine qui tue et de « leur » plan mortifère !Toujours dans Le Monde, ce quotidien vespéral encore sacralisé par l’Engeance, un article lyssenkiste a présenté, au mois d’août dernier,  la fracture sociale comme la conséquence exclusive du comportement raciste de la famille blanche. Thème étudié ici : les colonies de vacances qui ne mélangeraient pas suffisamment les races. Euh pardon ! Les classes sociales (supposées)… Horrible attitude ! Les parents d’enfants des villes ou des quartiers « non connotés » ne souhaiteraient pas vraiment que leurs gamins passent leurs vacances avec des chances de Corbeilles ou de Saint-Denis… Les salauds ! Racistes patentés gangrenés de préjugés nauséabonds ! Jocelyne, salariée d’une association organisatrice de colonies de vacances, met les point sur les i : « Nous organisons, avant chaque période de vacances, des réunions de présentation des séjours auprès des familles. Cette  année, lors d’une réunion dans un grand comité d’entreprise parisien, une maman a souhaité annuler le séjour de sa fille, car la colo accueillait également un petit groupe inscrit par une ville de Seine-Saint-Denis. Lors d’une autre réunion dans une grande ville des Hauts-de-Seine, j’ai vu des parents grimacer lorsque nous avons annoncé que l’autre moitié du groupe venait de l’Essonne. La pression existe bel et bien pour que nous évitions cette mixité sociale au sein de séjours. La dérive étant de se diriger vers des colos ghettos, pour les riches d’un côté, pour les pauvres de l’autre ». Pas sûr que les parents incriminés ici divisent la population hexagonale entre riches et pauvres…François-Xavier Rochette.
Les ghettos n’en sont plus, les dernières enclaves s’épuisent





La semaine dernière, Jérôme Bourbon taillait dans son éditorial un (nouveau) costume au désastreux François Hollande mimant le matamore face à la Syrie tout en s’aplatissant lamentablement devant le Crime en France.


Pitoyable pantin qui devance les doléances de ses maîtres : Sionistes en haut, idéologues antifrançais en bas.


Bref François Hollande, qui porte très mal son prénom, est le président de l’Etranger par excellence. Un être traité en serpillière qui se moque de la sécurité des Français comme de sa première carte du PS. Il est, encore, l’arbitre qui choisit toujours le pire en faisant mine de vouloir contenter tout le monde. Mais il est en cela aidé par une drôle d’équipe…


Et à ce propos Valls et Taubira constituent les deux faces d’une même pièce, l’agitation fantasque du premier permettant d’adoucir la réalité ultra laxiste et permissive progressivement mais rapidement instaurée par Taubira et ses acolytes idéologiques.

A une période charnière où les conditions de sécurité publique se détériorent chaque jour, où les assassinats et la violence débridée s’accomplissent sur fond d’un climat « social » déchaîné, n’est-il pas légitime de se demander si les conséquences de l’excessive tolérance de ce gouvernement qui laisse en liberté des néo-barbares semant la terreur sur leur passage ne sont tout simplement pas recherchées ?

Même si nous ne savons si ces funestes autorités hexagonales trouveront encore je ne sais quel sociologue stipendié capable de disserter sur je ne sais quelle baisse fantasmagorique de la délinquance, ou un grossier criminologue comme le « super Frère Trois points » Alain Bauer.


Les crimes et crapuleries se déroulant de plus en plus en bas de chez la ménagère affolée, il faudrait en effet un prestidigitateur de génie pour apaiser les bonnes gens justement angoissés par une délinquance qui n’est plus jugulée et que l’on ne veut plus, et cela ouvertement, juguler !

Une litanie non exhaustive de faits barbares

Même si nous avions la place et le temps nécessaires pour élaborer une liste exhaustive des infractions et des crimes perpétrés en Hexagonie, nous ne pourrions le faire pour la simple et bonne raison que de plus en plus de faits délinquants sont cachés par la police et par les media !

Nous apprenions ainsi, il y a quelques jours, et un mois après le déroulement des faits, qu’un homme atteint d’une balle dans les poumons avait pris en otage toute l’équipe d’un service soignant au sein d’un hôpital marseillais avec un revolver fourni tranquillement par un complice.

Personne n’a évidemment porté plainte, et l’arme ayant disparu après les soins, le blessé vindicatif fut relâché dans la nature…
Cependant la litanie de faits morbides que nous pouvons dresser en dit déjà long, très long, sur l’étendue de la contamination délinquante française. 
Tout le monde parle de Marseille et de ses 15 ou 16 « règlements de compte » (et la mort du fils Anigo) mais ces liquidations internes au milieu ne constituent que l’arbre qui cache la forêt fort dense d’ultra violence. Dans la cité phocéenne, un jeune homme de 18 ans a été tabassé (la mâchoire brisée en mille morceaux) au mois d’août par une dizaine de « jeunes » parce qu’il était… roux !

Toujours à Marseille, un automobiliste a été blessé par balle par un « motard » en colère… Un autre a été transporté à l’hôpital avec un trou traversant littéralement son crâne.

Lorsque les policiers se sont rendu compte qu’il ne s’agissait pas de l’effet d’un tir de Kalachnikov mais de celui d’un magistral coup de couteau, la police judiciaire s’est dessaisie de l’enquête ! 

Malheureusement la néo-barbarie ne se cantonne pas aux Bouches-du-Rhône. Tous les faits relatés ici se sont déroulés la semaine dernière, à Marseille ou ailleurs. Dans le Val-de-Marne, à Limeil-Brévannes, un enfant découvre le cadavre d’une femme attachée à un arbre.

Même jour, on retrouve une femme de 47 ans égorgée chez elle à Carvin dans le Pas-de-Calais. Le même jour, un homme de 28 ans est poignardé gratuitement à Laon. Le 4 septembre, un policier est lynché par 10 chances pour la France à Aix-les-Bains.

Le 1er septembre, une interminable fusillade à la Kalachnikov a lieu à Clamart : 3 blessés graves. 2 jours plus tard une nouvelle fusillade aurait blessé d’autres caïds qui se sont faits « soignés » ailleurs… Le 1er septembre encore, un adolescent est poignardé par une bande de « jeunes » dans un bus dans le 14ème arrondissement de Paris : La victime est dans un état critique.

Un peu plus tard à Vincennes, onze étrangers s’évadent du centre de détention. Le 29 août à Bondy, un jeune homme est blessé aux deux jambes par des tirs de… Kalachnikov.

Au même moment, à Strasbourg, les policiers découvrent le corps d’un homme assassiné dans son appartement.
A Lille, le 3 septembre, le gérant d’une station de lavage est abattu par deux hommes. Il s’agirait d’un règlement de compte (à mille kilomètres de Marseille).

A Noyal-Pontivy, dimanche 1er septembre, 64 voitures sont incendiés délibérément dans un champ servant de parking à l’occasion d’un spectacle dont les bénéfices devaient alimenter une œuvre caritative.

La ville de Colombes comme Clamart est sous l’empire de la Kalach’ : « Les habitants craignent un petit Marseille ». 
Dans le Var, un enfant de 5 ans a été découvert sans vie dans un camion le 5 septembre dernier. Le même jour, un ouvrier sans histoires est blessé par balle, cible mouvante d’un tireur introuvable…

Encore le 5 septembre un Mahorais SDF de 25 ans a pulvérisé tous les ordinateurs du Pôle Emploi du Puy en Velay avant de mettre à terre trois policiers dont l’un est toujours grièvement blessé. 

La violence est partout et se rit des ghettos


Et nous ne parlons pas du terrible climat antifrançais que les autorités ont laissé croître à Perpignan où les Blancos se retrouvent avec un couteau sous la gorge pour un oui ou pour un non ; à Lyon où les pompiers se font fracasser comme leurs collègues de la Région parisienne et de Toulouse ; à Metz où le 17 août Nicolas et Cyril se sont faits sauvagement agressés à la machette par Hocine et Lahcen ; sur les plages durant cet été où les policiers n’auraient jamais observé « une telle violence » !

A Clermont Ferrand où les chauffeurs de bus se font agresser les uns après les autres par des « issus de la diversité » de 14 ou 15 ans. A Grenoble où le gérant d’une supérette se fait agressé pour 20 centimes pendant qu’une jeune fille se fait larder de coups de couteau par l’un de ces innombrables marginaux… A Saint-Etienne où une femme meurt égorgée en plein supermarché. A Brest où les buralistes se font cogner pour un regard jugé incorrect… A Lure, en Haute-Saône, un retraité de 89 ans a été le 2 septembre dernier ligoté puis torturé par trois individus à la recherche de quelques billets. Souffrant de diverses hémorragies internes et de traumatismes crâniens, le malheureux a du être opéré en urgence. Son état est critique.
A tous les niveaux, dans toutes les villes et régions de France, la violence augmente en des proportions fantastiques. La mort rôde désormais partout, la délinquance n’est plus du tout cloisonnée dans telle ou telle cité malfamée. Le ghetto délinquant n’existe plus. Le crime, en France, est ce qui circule le mieux. Les Quartiers nord de Marseille constituent surtout des couveuses pour délinquants, mais ils savent les exporter. Auparavant, il était parfaitement légitime de dire que des sortes d’enclaves délinquantes existaient, voire des ghettos qui servaient en définitive d’abcès de fixation à la France tranquille. Ce temps est révolu, la septicémie s’est déclarée. L’ensemble du corps national est atteint par l’infection. La délinquance, la violence ne sont plus ghettoïsées ! Ce sont la quiétude, le soulagement d’un instant, la sécurité momentanée qui sont désormais enclavés. Nous ne voulons pas dire par là qu’il n’y a pas plus de violence à Marseille qu’à Guéret ou qu’il n’y a pas plus d’immigration à Marseille qu’à Guéret (Marseille est en effet la ville la plus délinquante, et la Seine-Saint-Denis le département le plus délinquant de France) mais que le meurtre s’est banalisé, l’agression contre le petit Blanc démocratisée, et que les bandes ethniques se sont (comme) disséminées.


Evidemment la République refuse d’admettre la réalité, de voir en face le visage hideux de son petit bébé vomissant tous les poisons qu’elle lui a fait ingurgiter. Non seulement parce que l’aveu du phénomène délinquant qui atteint actuellement ses plus hautes eaux noircirait considérablement le blason de la Gueuse, mais aussi parce que cette dernière a plus que jamais pour ambition de mélanger racialement les habitants hexagonaux, Français et allogènes, jusqu’au melting-pot irréversible, jusqu’au métissage intégral et à la disparition de toute francité génétique.


Pour atteindre cet objectif, le Système doit minimiser au maximum ce phénomène pathologique pour empêcher à tout prix les réactions d’auto-défense, de protection ethnique des Français supposant, parfois à juste titre, qu’il existe une corrélation entre forte présence immigrée et une certaine forme de délinquance. Comment en effet exalter le vivre-ensemble (déblatéré initialement par des sociologues-fonctionnaires) tout en admettant publiquement, même implicitement, la cruauté des néo-barbares ?


La fracture sociale stigmatisée pour empêcher toute fracture raciale


Les cadres et autres fonctionnaires chargés d’une manière ou d’une autre de la « communication » (c’est-à-dire de la propagande) doivent appliquer le bon discours à la bonne situation sociale pour, à chaque fois, faire accepter à des populations autochtones des phénomènes objectivement inacceptables. Mais franchement, nous nous demandons comment ces spécialistes du mensonge parviennent à sidérer, encore, des individus simplement pourvus d’un cerveau ?


Au mois d’août, Le Monde interviewait le docteur Nelly Lavillunière, médecin et psychologue des pompiers de Paris qui ont subi durant l’été (et aujourd’hui encore) de très violentes et gratuites agressions. Si la psy admet « percevoir de la souffrance » chez les pompiers confrontés à une animosité inouïe, elle refuse de les considérer comme des victimes. « Les conditions d’exercice du métier, déclare-t-elle, sont plus difficiles. Ils ne peuvent plus compter sur le mythe du héros », ose-t-elle plus loin !


Et l’on croit rêver lorsqu’elle affirme sans sourciller cette phrase qui restera dans les annales de la forfaiture : « La mission reste la même mais il leur faut s’adapter aux évolutions sociétales » ! En quoi la véritable guerre menée par des néo-barbares en casquette constituerait-elle une évolution (non sociale mais) sociétale ?! L’indécence au service de l’idéologie républicaine qui tue et de « leur » plan mortifère !
Toujours dans Le Monde, ce quotidien vespéral encore sacralisé par l’Engeance, un article lyssenkiste a présenté, au mois d’août dernier, la fracture sociale comme la conséquence exclusive du comportement raciste de la famille blanche. Thème étudié ici : les colonies de vacances qui ne mélangeraient pas suffisamment les races. Euh pardon ! Les classes sociales (supposées)… Horrible attitude ! Les parents d’enfants des villes ou des quartiers « non connotés » ne souhaiteraient pas vraiment que leurs gamins passent leurs vacances avec des chances de Corbeilles ou de Saint-Denis… Les salauds ! Racistes patentés gangrenés de préjugés nauséabonds ! Jocelyne, salariée d’une association organisatrice de colonies de vacances, met les point sur les i : « Nous organisons, avant chaque période de vacances, des réunions de présentation des séjours auprès des familles.


Cette année, lors d’une réunion dans un grand comité d’entreprise parisien, une maman a souhaité annuler le séjour de sa fille, car la colo accueillait également un petit groupe inscrit par une ville de Seine-Saint-Denis. Lors d’une autre réunion dans une grande ville des Hauts-de-Seine, j’ai vu des parents grimacer lorsque nous avons annoncé que l’autre moitié du groupe venait de l’Essonne.


La pression existe bel et bien pour que nous évitions cette mixité sociale au sein de séjours.


La dérive étant de se diriger vers des colos ghettos, pour les riches d’un côté, pour les pauvres de l’autre ». Pas sûr que les parents incriminés ici divisent la population hexagonale entre riches et pauvres…

source et publication:   François-Xavier Rochette.    https://www.facebook.com/

NAIROBI: MUSULMANS ET ISLAMISTES TOUS FRÈRES .......

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Nairobi : «Seuls les infidèles ont été tués», se sont félicités les islamistes

 

 

«Tous les musulmans présents sur place» ont été «escortés hors du centre par nos moujahidines». 

Source.

Un des témoins, qui est parvenu à se cacher pendant 8 h, entendait les islamistes faire le tri. Ils demandaient à chaque personne qu’ils dénichaient de réciter la profession de foi musulmane…

 Gare à ceux qui ne le pouvaient pas. Ils en sont morts pour la plupart. Ils étaient pour la plupart d’entre eux chrétiens et sans doute quelques-uns athées.

Partout dans le monde musulman les chrétiens trinquent.

Que nous dit le pape  ? Qu’il faut tendre la joue gauche et se rapprocher des musulmans.

Que nous dit Hollande ? Qu’il faut continuer d’aider ces monstres, en Syrie notamment…

 Que disons-nous quant à nous ? Que l‘islam et l’islamisme c’est la même chose.

Que les fondamentaux de l’islam sont l’islamisme. Qu’il n’ y a pas d’autre solution pour faire disparaître la plaie islamiste que d’interdire l’islam.

En France, déjà, en Europe ensuite, très vite. Avant de donner des coups de main à l’échelle de toute la planète à tous les patriotes malheureusement nés dans des pays musulmans et désireux d’échapper à la peste verte.

Pas d’autre solution.

Et si Flambynator veut aller en guerre c’est contre l’islam qu’il doit se lancer. tant qu’il est encore temps.

Tant qu’on peut encore limiter les dégâts pour nos enfants et petits-enfants.

Parce que si nous n’agissons pas aujourd’hui demain ce sera partout dans le monde que des fous d’Allah feront le tri.

Source :  Christine Tasin    http://www.resistancerepublicaine.eu/2013/nairobi-seuls-les-infideles-ont-ete-tues-se-sont-felicites-les-islamistes/


aff-islamophobie web


JOURNÉES MÉMOIRE AVEC " LES BRIGANDS DU BOCAGE "

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lundi 23 septembre 2013

28-29 septembre 2013 – Les Journées de la Mémoire à La Chapelle-Basse-Mer (44)

 

Les Journées de la Mémoire ouvrent leur troisième édition samedi et dimanche prochains, à La Chapelle-Basse-Mer.

Initiée en 2011 par Reynald Secher, afin de commémorer le vote par la Convention des décrets exterminateurs contre la Vendée, cette manifestation proposera plusieurs conférences et des animations assurées par  les Brigands du Bocage

Les Brigands du Bocage devant la chapelle Saint-Pierre-ès-Liens

Le programme de samedi commencera à 10h30, pour toute la journée. Parmi les conférences, nous retrouverons Pierre Gréau, François Hélie de La Harie et Reynald Secher qui viendra présenter son nouveau DVD sur la Virée de Galerne.

Le film d'une heure et demie environ sera projeté à cette occasion (bande annonce ci-dessous). 

 


Le samedi soir, vers 21h, les Brigands du Bocage interpréterons une série de saynètes sur la vie de Jacques Cathelineau, d'après une pièce de Jean Brochard.

Le programme de dimanche débutera lui aussi à 10h30, par une messe célébrée en la chapelle Saint-Pierre-ès-Liens par l'abbé Guillaume Loddé, suivie par les interventions des conférenciers.

Un stand de livres et DVD accueillera pendant les deux jours des séances de dédicaces.

Réservations pour les repas (20 € par personne ou 30 € par couple, par repas) auprès des Brigands du Bocage 


Téléphone : 02.51.46.84.99 – Portable : 06.47.61.25.82


e-mail : brigandsdubocage@orange.fr


 

"LES DROITS SUPÉRIEURS" JULIUS EVOLA !

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Julius Evola : "Les droits supérieurs"

evolaLe militarisme est, comme on le sait, une des bêtes noires des démocraties modernes, et la lutte contre le militarisme un de leurs mots d’ordre préférés, qui va de paire avec un pacifisme hypocrite et la prétention de légitimer la « guerre juste » sous la seule forme d’une nécessaire opération internationale de police contre un « agresseur ». Durant la période qui englobe la Première et la Seconde Guerre mondiale, le « militarisme prussien » est apparu aux démocraties comme le prototype du phénomène à conjurer. Nous constatons ici une antithèse caractéristique, qui concerne moins les relations entre groupes de nations rivales, que deux conceptions générales de la vie et de l’État, et même deux formes de civilisation et de société distinctes et irréconciliables. D’un point de vue historique et concret, il s’agit, d’une part, de la conception qui s’affirma surtout en Europe Centrale et notamment dans le cadre de la tradition germano-prussienne, d’autre part de celle qui s’affirma d’abord en Angleterre, pour passer ensuite en Amérique, et, d’une façon générale, chez les nations démocratiques, en étroite relation avec la primauté accordée aux valeurs économiques et mercantiles, et avec leur développement marqué dans le sens du capitalisme. Quant au prussianisme, nous avons déjà rappelé qu’il tire son origine d’une organisation ascétique et guerrière, celle de l’ancien Ordre des Chevaliers Teutoniques.

Essentiellement, l’antithèse réside dans la conception du rapport qui doit exister entre l’élément militaire et l’élément bourgeois, et donc la signification et la fonction qu’on leur reconnaît respectivement dans l’ensemble de la société et de l’État. Pour les démocraties modernes – selon une conception qui, nous l’avons vu, s’est d’abord imposée en Angleterre, mère-patrie du mercantilisme -, l’élément primordial de la société est représenté par le bourgeois et la vie bourgeoise du temps de paix, dominé par des préoccupations de sécurité physique, de bien-être et de prospérité matérielle, le « développement des lettres et des arts » servant de cadre ornemental. Selon cette conception, c’est en principe l’élément « civil » ou, si l’on préfère, « bourgeois » qui doit gouverner l’État. Ses représentants président à la politique et – selon l’expression bien connue de Clausewitz – ce n’est que lorsque la politique, sur le plan international, doit être poursuivie par d’autres moyens, que l’on a recours aux forces armées. Dans ces conditions, l’élément militaire et, en général, guerrier, est réduit au rôle secondaire de simple instrument et ne doit ni s’intégrer ni exercer une influence quelconque dans la vie collective. Même si l’on reconnaît aux « militaires » une éthique propre, on ne juge pas souhaitable de la voir s’appliquer à la vie normale de la nation. Cette conception se relie étroitement, en effet, à la conviction humanitariste et libérale que la civilisation vraie n’a rien à voir avec cette triste nécessité et cette « inutile boucherie » qu’est la guerre ; qu’elle a pour fondement non les vertus guerrières mais les vertus « civiles » et sociales liées aux « immortels principes » ; que la « culture » et la « spiritualité » s’expriment dans le monde de la « pensée », des sciences et des arts, alors que tout ce qui relève de la guerre et du domaine militaire se réduit à la simple force, à quelque chose de matérialiste, dépourvu d’esprit.

Dans cette perspective, plutôt que d’un élément guerrier et militaire, c’est de « soldats » que l’on devrait parler, car le mot « soldat » très proche par le sens de celui de « mercenaire », désignait à l’origine celui qui exerçait le métier des armes pour recevoir une solde. Il s’appliquait aux troupes à gages qu’une cité enrôlait et entretenait pour se défendre ou pour attaquer, puisque les citoyens proprement dits ne faisaient pas la guerre mais vaquaient, en tant que bourgeois, à leurs affaires privées. Aux « soldats » compris dans ce sens s’opposait le guerrier, membre de l’aristocratie féodale qui constituait le noyau central d’une organisation sociale correspondante et n’était pas au service d’une classe bourgeoise ; c’est le bourgeois, au contraire, qui lui était soumis, sa protection impliquant dépendance, et non suprématie par rapport à celui qui avait droit aux armes.

Malgré la conscription obligatoire et la création des armées permanentes, le rôle reconnu au militaire dans les démocraties modernes demeure plus ou moins celui du « soldat ». Pour elles, répétons-le, les vertus militaires sont une chose, les vertus civiles une autre ; on met l’accent sur les secondes, ce sont elles auxquelles on se réfère, essentiellement, pour modeler l’existence. Selon la formulation la plus récente de l’idéologie qui nous occupe, les armées n’auraient d’autre rôle que celui d’une police internationale destinée à défendre la « paix », c’est-à-dire, dans le meilleur des cas, la vie paisible des nations les plus riches. Dans les autres cas, on voit se répéter, derrière la façade, ce qui se passa déjà pour la Compagnie des Indes et des entreprises analogues : les forces armées servent à imposer et à maintenir une hégémonie économique, à s’assurer des marchés et des matières premières et à créer des débouchés aux capitaux en quête de placements et de profits. On ne parle plus de mercenaires, on prononce de belles et nobles paroles, qui font appel aux idées de patrie, de civilisation et de progrès, mais, en fait, la situation n’a guère changé : on retrouve toujours le « soldat » au service du « bourgeois » dans sa fonction spécifique de « marchand », le « marchand », pris dans son acception la plus vaste, étant le type social, la caste qui trône au premier rang de la civilisation capitaliste.

En particulier, la conception démocratique n’admet pas que la classe politique ait un caractère et une structure militaires ; ce serait, à ses yeux, le pire des maux : une manifestation de « militarisme ». Ce sont des bourgeois qui doivent, en tant que politiciens et représentants d’une majorité, gouverner la chose publique, et chacun sait combien souvent cette classe dirigeante, à son tour, se trouve pratiquement au service des intérêts et des groupes économiques, financiers, syndicaux ou industriels.

À tout cela s’oppose la vérité de ceux qui reconnaissent les droits supérieurs d’une conception guerrière de la vie, avec la spiritualité, les valeurs et l’éthique qui lui sont propres. Cette conception s’exprime en particulier, dans tout ce qui concerne la guerre et le métier des armes, mais ne se limite pas à ce cadre ; elle est susceptible de se manifester aussi sous d’autres formes et dans d’autres domaines, au point de donner le ton à un type sui generis d’organisation politico-sociale. Ici les valeurs « militaires » se rapprochent des valeurs proprement guerrières ; on estime souhaitable qu’elle s’unissent aux valeurs éthiques et politiques pour constituer la base solide de l’État. La conception bourgeoise, antipolitique, de l’ « esprit » est ici repoussée, ainsi que l’idéal humanitaire et bourgeois de la « culture » et du « progrès ». On veut au contraire fixer une limite à la bourgeoisie et à l’esprit bourgeois dans les hiérarchies et l’ordre général de l’État. Cela ne signifie pas, bien entendu, que les militaires proprement dits doivent diriger la chose publique – en dehors de cas exceptionnels, un « régime de généraux » serait, dans les conditions actuelles, fâcheux – mais qu’on reconnaît aux vertus, aux exigences et aux sentiments militaires, une dignité supérieure. Il ne s’agit pas non plus d’un « idéal de caserne », d’une « casernisation » de l’existence (ce qui est une des caractéristiques du totalitarisme), synonyme de raideur et de discipline mécanique et sans âme. Le goût de la hiérarchie, des rapports de commandement et d’obéissance, le courage, les sentiments d’honneur et de fidélité, certaines formes d’impersonnalité active pouvant aller jusqu’au sacrifice anonyme, des relations claires et ouvertes d’homme à homme, de camarade à camarade, de chef à subordonné, telles sont les valeurs caractéristiques vivantes de ce que nous avons appelé la « société d’hommes ». Ce qui appartient au seul domaine de l’armée et de la guerre, ne représente, répétons-le, qu’un aspect particulier de ce système de valeurs.

Julius Evola,

Chapitre IX de "Les hommes au milieu des ruines"

Source   http://la-dissidence.org/2013/09/23/julius-evola-les-droits-superieurs/

UN COMMUNIQUÉ DE SOS ÉDUCATION !

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Les places au premier Atelier de SOS Éducation sont parties en quelques jours comme des petits pains ! 

Les inscriptions au prochain atelier sont ouvertes. Si vous voulez découvrir comment l'évaluation peut aider dans l'apprentissage de la lecture, je vous conseille de vous inscrire dès maintenant, en cliquant ici.

Ancienne institutrice en RASED et psychologue scolaire, Nicole Séméria a trop souvent vu des élèves en difficulté en lecture et des enseignants démunis face à ces difficultés. Afin de pouvoir aider ces enseignants, elle a mis au point un test permettant d'évaluer la maîtrise des correspondances graphèmes-phonèmes des élèves. 

Depuis quelques années, les anglais utilisent le même test d'évaluation, appelé Screening check, à une échelle nationale.

Constance de Ayala, spécialiste des systèmes éducatifs étrangers, nous présentera comment les enseignants anglais ont réussi à transformer leur pratique, grâce au test d'évaluation mis en place à l'échelle nationale. Après une première phase de réticence des enseignants, ce test est maintenant apprécié, car les anglais sont en train d'éradiquer l'illettrisme jusque dans les milieux les plus défavorisés !

Si vous êtes professeur des écoles, rejoignez-nous le 12 octobre à cet Atelier de SOS Éducation, en cliquant sur ce lien : Comment évaluer le niveau de lecture de vos élèves.





Paola Carruolo
Chargée de mission
01.45.81.94.72
06.18.31.88.16
SOS Éducation 



P.S. Le nombre de places est limité : seuls les 20 premiers inscrits pourront participer à l’Atelier. Si vous souhaitez y assister, je vous conseille vivement de réserver dès maintenant, en cliquant ici.


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