Quantcast
Channel: JEAN-MARIE LEBRAUD
Viewing all 5650 articles
Browse latest View live

DE LA TÉLÉ RÉALITÉ À LA PRISON .....

$
0
0

Nabilla affirme être battue

 

Par: rédaction
10/11/14 - 09h36
© photo news.

Nabilla a encore changé sa version des faits devant le juge d'instruction. La star de télé-réalité affirme être battue par son compagnon, Thomas Vergara.

© photo news.© photo news.© photo news.© photo news.

Après avoir affirmé avoir été agressée par trois individus la nuit où Thomas Vergara a été poignardé, avoué les faits pour ensuite expliquer que Thomas s'était poignardé lui-même sous l'emprise de la drogue, Nabilla vient à nouveau de changer sa version des faits.

Selon RTL France, la starlette s'est présentée au juge d'instruction comme "une femme battue" et a évoqué "les pressions psychologiques exercées par son compagnon et les coups dont elle serait la victime", plaidant de la sorte la légitime défense. "J'avais peur de mourir", aurait-elle clamé.

Pas d'empreintes de Nabilla
Selon BFM TV, les résultats des premières analyses auraient démontré que les empreintes de Nabilla ne se trouvaient pas sur le couteau. Seules celles de Thomas auraient été retrouvées. Des traces de stupéfiant auraient également été détectées dans l'organisme du jeune homme.

Nabilla Benattia a été mise en examen pour "tentative d'homicide volontaire" et écrouée à la prison des femmes de Versailles ce samedi 8 novembre. Selon RTL, la jeune femme aurait été placée en isolement pour "empêcher le racket dont elle pourrait être victime".

"Thomas est violent"
Ce n'est pas la première fois que les rumeurs de violence conjugale son évoquées au sujet de Nabilla. Au lendemain de l'annonce de l'arrestation de Nabilla, Zelko, un ancien candidat de la l'émission de télé-réalité "Secret Story" avait déjà affirmé que Nabilla était victime de violences de la part de son compagnon. "C'est sûr que Nabilla en a eu marre de se faire frapper... Thomas a toujours été violent, tout le monde le sait en interne. Dommage que ça éclate au jour avec des faits tels que ceux-là", avait-il inscrit sur Twitter avant de s'excuser et de supprimer son commentaire.

Sacha, le candidat belge de "Secret Story 8" avait confirmé les propos de Zelko dans une interview à la DH. "J'ai entendu dans le milieu qu'elle était frappée par Thomas. Les gens ignorent à quel point il peut être violent. Alors, pour moi, cela peut très bien être un acte de légitime défense. Je souhaite alors plein de courage à Nabilla".

Lire aussi


LA THÉORIE DES " MÉMES " ! LA SUPPRÉMATIE ISLAMIQUE .....

$
0
0

21/09/2009

Le terrifiant génie de l'islam

Texte de 2009 mis en avant.

Le blog américain Citizen Warrior explique le suprématisme islamique sous un éclairage nouveau, celui de la théorie des mèmes.

Un même  - terme proposé pour la première fois par Richard Dawkins en 1976, est un élément culturel reconnaissable répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus.

Éventuellement regroupé en «complexe mémique», ou ensemble d'idées, le méme est responsable de l’évolution de certaines cultures.

Tout comme les gènes, les mémes sont soumis à une sélection, et les plus adaptés survivent.

 

Mecca

 

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des millions de musulmans se consacrent à tuer des Américains ?

Ou pourquoi tant d’entre eux sont volontaires pour se faire sauter afin de tuer des Israéliens ?

Ou pourquoi ils s’emploient si activement à faire sauter des gens anonymes à Bali, Londres, Madrid, etc. ?

 

Les suprématistes islamiques font ce genre de choses partout dans le monde, attaquant aussi bien les Occidentaux que leurs propres coreligionnaires. Pourquoi ?

À cause d’une doctrine. Une doctrine est un ensemble d’idées. Des coutumes, des mots, des croyances, etc. Une religion ne se limite pas à une seule idée ; c’est un ensemble d’idées. C’est l’ensemble des idées constituant la religion islamique qui fait que les musulmans ont les comportements et les sentiments que l’on observe.

Les ensembles d’idées sont en concurrence les uns avec les autres, tout comme le sont les ensembles de cellules (les organismes). Et parce que les ensembles d’idées se concurrencent, et parce qu’il est souvent possible d’ajouter ou de retirer des idées de l’ensemble, et parce que certains ensembles regroupent davantage de croyants que d’autres, les ensembles d’idées peuvent en fait évoluer.

Voyons comment les ensembles d’idées religieuses évoluent et se concurrencent. Pour commencer, imaginons qu’il existe déjà une religion installée. Elle a son livre saint et des millions de croyants.

Et puis apparaît une petite variante.

La version originale avait une attitude du genre « vivre et laisser vivre », et ne poussait pas ses adeptes à faire des convertis. Mais quelqu’un arrive avec une idée nouvelle : si vous parvenez à convaincre un non-croyant de devenir croyant, cela vous confère une sorte de mérite spirituel. Vous sauvez des âmes, et vos chances d’aller au ciel se renforcent.

On a donc maintenant deux variantes de la même religion : dans l’une, on estime qu’il n’est pas vraiment important de recruter de nouveaux adeptes. L’autre motive ses croyants à persuader d’autres personnes de rejoindre leurs rangs.

Au bout de mille ans, laquelle des deux variantes aura le plus de croyants ? Je parierais sur la version « motivée-à-se-répandre».

Le seul fait qu’un ensemble d’idées parvienne efficacement à trouver des adeptes ne veut pas dire que cet ensemble soit bénéfique à ceux qui y adhèrent.

Imaginons pour l’instant que la version « motivée » réunit beaucoup plus d’adeptes. Cela veut-il dire qu’elle rend les gens plus heureux ? Ou qu’elle les fait mieux réussir dans la vie? Ou qu’elle leur permet d’avoir de plus beaux enfants ? Non. Le seul fait qu’un ensemble d’idées parvienne efficacement à trouver des adeptes ne veut pas dire que cet ensemble soit bénéfique à ceux qui y adhèrent.

Il en va de même en génétique. Contrairement au bon sens commun, un gène qui réussit n’est pas forcément bénéfique à l’organisme. Il « réussit » dans la mesure où il a produit un grand nombre de copies de lui-même et se retrouve dans de nombreux organismes. Mais il peut en fait être nuisibleà l’organisme.

Par exemple, s’il existe un gène de l’alcoolisme et si, parce qu’il boit, un sujet commence à avoir des enfants plus jeune qu’un sujet qui ne boit pas, le gène de l’alcoolisme pourrait, sur des milliers d’années, réussir mieux (se retrouver chez une descendance plus nombreuse) que le gène du non-alcoolisme, bien qu’il soit nuisible à chaque personne qui en est porteuse.

De la même manière, le succès d’un ensemble d’idées ne signifie pas forcément qu’il soit bon pour les personnes qui y croient ou s’y conforment.

Si un ensemble d’idées dit qu’il est mal de recourir à la contraception et de se masturber, il est probable qu’avec le temps cet ensemble sera suivi par davantage de personnes que la version disant que ces comportements ne posent aucun problème (en supposant bien sûr que les gens enseignent à leurs enfants de croire comme eux-mêmes).

Alors, le malheureux croyant à un ensemble d’idées particulier tentera d’observer les règles et d’être un bon sujet en évitant les péchés de contraception et de masturbation. Et quel sera le résultat pour lui, personnellement ? Il risque d’avoir plus d’enfants qu’il ne peut ou souhaite en élever, ce qui le conduira à travailler davantage pour pouvoir les faire vivre, en prenant deux emplois si nécessaire. Cela l’enverra peut-être dans la tombe plus tôt que prévu, mais cet effort aura donné naissance à davantage de croyants à cet ensemble d’idées particulier que ce n’aurait été le cas avec une personne n’y croyant pas.

Ainsi, d’une certaine manière, l’ensemble d’idées a utilisé l’homme pour ses propres objectifs ; en tout cas, on peut légitimement analyser les choses de cette manière. Et cela jette un éclairage nouveau sur le suprématisme islamique, et c’est bien pourquoi j’ai passé autant de temps à l’expliquer.

Si vous envisagez de créer de toutes pièces un ensemble d’idées dont vous voulez qu’il finisse par dominer le monde, la pression sera forte : il vous faudra faire mieux que l’islam.

Si vous envisagez de créer de toutes pièces un ensemble d’idées dont vous voulez qu’il finisse par dominer le monde — un système qui finirait par éliminer toute autre religion ou tout autre système politique — la pression sera forte : il vous faudra faire mieux que l’islam.

Examinons un peu certaines des idées de cet ensemble. Nombre d’entre elles se renforcent mutuellement. Autrement dit, ajouter une idée aux autres peut rendre l’ensemble encore plus efficace parce que certaines idées agissent de manière synergique.

 

Voici quelques-uns des éléments essentiels de l’ensemble d’idées connu sous le nom d’islam :

 

1. Une version standardisée de l’ensemble d’idées est écrite. C’est un élément de base de plusieurs religions, et ce n’est pas une invention islamique, mais c’est un facteur important dans le succès de l’islam.

Un corpus d’idées transmis uniquement par voie orale peut changer avec le temps, alors que s’il est écrit il sera identique dans mille ans à ce qu’il est aujourd’hui, et les techniques modernes d’impression permettent de le reproduire par millions, ce qui constitue un avantage énorme pour répandre des copies identiques de l’ensemble d’idées.

2. Le Coran contient des instructions pour sa propre dissémination. Il dit aux croyants qu’ils doivent répandre l’islam. C’est leur devoir sacré de porter les commandements de Mahomet et la loi de l’islam dans tous les coins du monde.

3. L’ensemble d’idées contient des instructions pour sa propre préservation, sa protection et la fidélité de sa réplication. Le Coran, le plus important des livres saints de l’islam, affirme d’emblée à ses adeptes qu’ils ne pourront jamais changer, ou modifier, ou « moderniser » aucun des enseignements de l’ensemble d’idées. Il est parfait tel qu’il est. Essayer de le modifier est un péché mortel. Cette idée assure la préservation de tout l’ensemble d’idées.

Ces trois premières idées sont relativement classiques dans plusieurs religions qui ont réussi. Mais nous en arrivons aux choses intéressantes..

4. L’islam ordonne à ses adeptes de créer un gouvernement qui lui soit favorable.

Sharia-poster-crowd UK

C’est sans doute l’une des idées les plus ingénieuses de l’ensemble. L’islam est la seule religion qui y ait recours. D’autres groupes religieux ont eu des aspirations politiques, mais aucun autre grand groupe religieux n’ordonne à ses adeptes — comme un devoir religieux — de créer un gouvernement qui se conforme à sa propre loi.

L’islam possède un système juridique, une loi, appelé la charia, et tous les musulmans sont obligés — en permanence, et où qu’ils se trouvent — de tenter d’amener leur gouvernement à s’y conformer. Du fait de certaines des autres idées ajoutées à l’islam, vous verrez que cette addition politique à l’ensemble d’idées a des conséquences notables. C’est sans doute la plus brillante des innovations de l’islam, mais c’est aussi la plus terrifiante pour les non-musulmans.

5. Autorisation de répandre la religion par la guerre. C’est une autre innovation brillante. Certaines religions se sont effectivement répandues par la force, mais il n’existait pas grand chose dans leur doctrine pour justifier des actions de ce type.

Ce n’est pas le cas de l’islam. L’expansion par la conquête est tout à fait admise et encouragée par cet ensemble d’idées. Les enseignements islamiques présentent les choses de la manière suivante : les pauvres non-musulmans qui ne vivent pas dans un état islamique doivent être sauvés du péché qui consiste à obéir à des lois autres que celle d’Allah. Si ces gens ne changent pas volontairement leurs lois pour adopter la charia, c’est le devoir des guerriers de l’islam d’insister. Le monde ne peut pas être en paix tant que tous les gouvernements de la Terre n’obéiront pas aux lois d’Allah.

Islam-sabre2-735230 L’expérience personnelle de Mahomet donne l’exemple — et le Coran dit que tout musulman doit suivre cet exemple. Au début, Mahomet a tenté de répandre l’islam par des moyens pacifiques. Au bout de treize ans, il avait rassemblé 150 convertis.

Il a alors changé de tactique et commencé à recourir à la guerre, aux massacres, aux exécutions et aux assassinats, et en une dizaine d’années il avait converti des dizaines de milliers de personnes. Après sa mort, ses successeurs ont utilisé la même tactique et en ont converti des millions. Du simple fait de l’augmentation de la population, le chiffre dépasse aujourd’hui le milliard.

Le recours à la guerre est puissamment synergique avec le commandement de créer un état islamique. L’islam s’est donc répandu rapidement à mesure que ses armées devenaient plus nombreuses. Il a conquis et installé des états islamiques, dont la plupart durent encore, et les lois en vigueur dans un état islamique font que l’islam est très difficile à déloger. Elles rendent aussi très avantageuse la conversion à l’islam.

Il s’agit là de l’une des méthodes les plus efficaces jamais inventées pour faire entrer un ensemble d’idées dans un nombre énorme de têtes. C’est une méthode de contrôle et d’endoctrinement similaire à celles qui sont utilisées avec succès dans les états communistes et totalitaires. Mais, comme vous le découvrirez plus loin, l’islam fait un usage unique du pouvoir de la loi pour contraindre à une conversion complète à la religion.

6. Les terres doivent être conquises. Les terres que l’islam a perdues doiventêtre reconquises, comme par exemple l’Espagne ou Israël. L’empire islamique doit continuellement s’étendre. La contraction est mauvaise, l’expansion est bonne. Si une terre a été islamique et ne l’est plus, c’est une contraction, et il faut y remédier.

Selon les enseignements de l’islam, la Terre appartient à Allah. Si des régions de la Terre n’obéissent pas à la loi islamique, c’est le devoir des croyants de prendre le contrôle de ces régions et d’y instaurer la charia. Ne rien faire est un péché.

Polygamy 7. L’ensemble d’idées assure le renouvellement des combattants en autorisant la polygamie. Un musulman peut avoir jusqu’à quatre épouses, et peut faire l’amour avec autant d’esclaves qu’il le souhaite.

Le Coran encourage tout particulièrement les hommes à épouser des veuves. C’est une idée importante à ajouter à l’ensemble quand on prévoit de perdre beaucoup de soldats à la guerre. Il faut avoir un moyen de renouveler l’armée, sinon l’ensemble d’idées finirait par mourir par défaut de descendance.

8. Critiquer l’islam est un délit punissable. Vous voyez bien en quoi cette idée est bonne pour renforcer l’ensemble. Elle contribue à faire taire toute idée susceptible de réduire l’autorité des idées islamiques. Comme beaucoup d’autres, cette idée est bonne pour l’ensemble mais mauvaise pour les gens. Elle limite la liberté de parole.

9. Il n’est pas possible de quitter l’islam une fois qu’on lui appartient. Celle-ci est intéressante. Effectivement, il est illégal dans les états islamiques de renier l’islam. C’est un élément essentiel de la charia. Si un musulman a renié l’islam, il devient un "apostat". C’est un crime et un péché, puni de mort (et de damnation éternelle dans l’au-delà).

Vous comprenez évidemment pourquoi cette idée a été incluse dans l’ensemble, mais en fait elle a posé un problème à l’islam parce que ceux qui se conforment à cette religion à la lettre considèrent comme apostats les musulmans plus « modérés » (ceux qui veulent ignorer ou modifier les passages les plus violents du Coran). La punition prévue pour les apostats étant la mort, les musulmans fondamentalistes combattent les modernistes partout dans le monde et, en les menaçant de mort, empêchent de s’exprimer beaucoup de ces musulmans modernistes et rebelles, ceux qui ne sont musulmans que de nom.

Chaque fois qu’un groupe de musulmans décide qu’il faudrait sans doute modifier l’islam pour qu’il s’adapte au 21ème siècle, que les femmes devraient bénéficier de certains droits ou que le gouvernement devrait peut-être devenir plus démocratique, les musulmans intégristes les désignent comme apostats et cherchent à les tuer.

L’ensemble d’idées protège sa propre intégrité (il est interdit de modifier l’ensemble initial). Ce n’est pas bon pour les organismes (les humains musulmans) mais c’est une grande force pour l’ensemble.

Selon une autre idée de la charia, il est illégal pour quiconque d’essayer de convertir un musulman à une autre religion.

10. L’islam doit être votre première appartenance. C’est une excellente idée à ajouter à l’ensemble si l’objectif est de dominer le monde. Vous êtes musulman d’abord, avant d’appartenir à votre famille, à votre tribu ou à votre pays.

Cela entraîne deux conséquences : une unité entre des gens séparés par des frontières, ce qui permet au groupe de devenir plus nombreux que toute autre entité. Autrement dit, la « nation de l’islam » peut devenir plus nombreuse que n’importe quel pays, si grand soit-il (et cela donne au groupe un avantage numérique énorme).

Mourir en combattant pour l’islam est la SEULE manière de garantir l’entrée d’un homme au paradis.

11. Mourir en combattant pour l’islam est la SEULE manière de garantir l’entrée d’un homme au paradis. Voilà une grande idée pour former des guerriers intrépides et enthousiastes, surtout quand on connaît les descriptions très parlantes que fait le Coran des délices sensuels du paradis.

 Un musulman a une chance d’aller au paradis s’il est bon musulman, mais ce n’est pas garanti. En revanche, s’il meurt en combattant pour l’islam, il est certain d’y aller, et c’est la seule chose qu’il puisse faire pour en être certain.

12. Le Coran doit être lu en arabe. Cela unit les croyants par la langue, et la langue est un phénomène unificateur très puissant. Pour inciter encore davantage à apprendre l’arabe, une autre idée de l’ensemble affirme que l’on ne peut aller au paradis si l’on ne prie pas en arabe.

Tous les musulmans du monde partagent donc la même langue. Cela facilite la coordination à grande échelle de campagnes de protestation, de pression politique et de guerre. Je ne crois pas que Mahomet ait prévu cette possibilité, mais c’est une brillante idée, même si elle est accidentelle.

13. Il faut prier cinq fois par jour. C’est l’un des cinq « piliers » de l’islam, l’une de ses cinq pratiques essentielles. Dans un état islamique, cette obligation est imposée par la loi. Chaque musulman doit prier cinq fois par jour. Cette pratique contribue à ce que l’ensemble d’idées domine la vie du musulman, en infiltrant l’islam dans tout son rythme quotidien.

Il serait impossible d’oublier quelque chose que vous faites volontairement aussi souvent. Cinq fois par jour, tous les jours, un musulman doit s’incliner et prier Allah.

La recherche a montré que plus une personne consacre d’efforts à une cause, plus il y a de chances qu’elle y croie et y accorde de la valeur. C’est donc un bon moyen de transformer en croyants des gens devenus musulmans par force.

L’islam intervient dans tous les aspects de la vie des musulmans. Non seulement ils doivent prier cinq fois par jour, mais ils doivent se livrer à une toilette rituelle auparavant. L’islam dicte les lois, et celles-ci concernent de nombreux comportements publics et privés. Dans un état islamique, il est impossible d’être un musulman désinvolte.

14. Les prières impliquent des mouvements d’ensemble, au même moment. Lorsque les musulmans prient, ils sont tous orientés dans la même direction, s’inclinent, se prosternent à genoux et la face contre leur tapis, tous à l’unisson, et se relèvent ensemble. Et cela encore et encore.

GermanyQuand des gens bougent ensemble et en synchronie, qu’il s’agisse de danser, de défiler ou de prier, cela crée entre eux un lien physique et émotionnel. C’est pour cette raison que toute formation militaire recourt à l’exercice en bon ordre (marche au pas), même s’il y a longtemps maintenant que les unités militaires ne vont plus au combat en rangs. Savoir marcher au pas n’est plus nécessaire, mais la formation a conservé cet exercice parce qu’il est très efficace pour créer un fort sentiment d’unité entre les soldats.

Il en va de même de tous les mouvements physiques que des gens pratiquent à l’unisson. La technique de prière de l’islam est donc une idée unificatrice ajoutée à l’ensemble.

15. La femme est en situation de soumission complète. Cette idée aide beaucoup à la mise en œuvre d’autres idées de l’ensemble, comme la cinq et la six. Si les femmes avaient trop d’influence, elles essaieraient de réduire les activités guerrières. Les femmes, d’une manière générale, n’aiment pas envoyer leur mari ou leurs fils à la guerre. Mais si elles n’ont pas la parole, alors les autres idées peuvent s’exprimer sans encombre. En plaçant les femmes en position de dominées, l’ensemble d’idées évite qu’elles puissent efficacement voter contre la guerre, la violence et la conquête.

Les règles et les lois qui maintiennent la femme en position de subordination au sein de l’islam sont nombreuses. Par exemple, elle n’a pas le droit de quitter son domicile sans être accompagnée par un parent masculin. Aux termes de la loi islamique, la femme ne peut ni diriger un état ni être juge. Elle ne peut hériter que moitié moins qu’un homme. Au tribunal, son témoignage a deux fois moins de valeur que celui d’un homme. Elle n’a pas le droit de choisir où elle vivra ni qui elle épousera. Elle n’a pas le droit d’épouser un non-musulman ni de divorcer de son mari. En revanche, son mari peut divorcer d’un geste de la main. Et, selon la charia, il peut (et doit) la battre si elle lui désobéit.

Toutes ces idées la maintiennent en situation de subordination, ce qui contribue à maintenir la machine de guerre en fonction, sans interférence due à une rébellion domestique.

16. La seule manière pour une femme d’être certaine d’aller au paradis est que son mari soit content d’elle au moment où elle meurt. Quand j’ai lu ça, j’ai pensé « Mahomet, tu es malin ».

À l’évidence, cette idée facilite la soumission de la femme. Elle la motive à se soumettre par elle-même. Elle la motive fortement à subordonner ses vœux à ceux de son mari, parce que si elle a une chance d’aller au paradis en étant bonne musulmane, la seule manière de se garantir le paradis (et donc de s’éviter les souffrances éternelles de l’enfer) est de faire en sorte que son mari soit content d’elle lorsqu’elle meurt.

17. Allah s’autorise à modifier sa propre œuvre. Encore une idée intéressante. Elle dit que si un passage du Coran contredit un passage écrit antérieurement, alors c’est le plus récent qui est le meilleur. Le Coran a été écrit par fragments (les révélations de Mahomet, constituant chacune une sourate ou chapitre) sur une période de 23 ans. Les circonstances de la vie de Mahomet et sa religion ont changé notablement au cours de ces 23 années.

L’une des idées du Coran, c’est que « c’est la parole d’Allah ». Les gens avaient déjà mémorisé ses premières révélations, et Mahomet ne pouvait donc pas tout simplement les modifier. Cela aurait paru étrange, pour Allah l’omniscient et l’infiniment sage, de changer quelque chose qu’il avait déjà dit.

Mais, avec cette nouvelle idée — selon laquelle les révélations ultérieures abrogent les révélations antérieures contradictoires ou s’imposent par rapport à elles — les méthodes d’Allah pouvaient changer à mesure que Mahomet trouvait des idées plus efficaces.

Comme je l’ai rappelé plus haut, Mahomet n’est parvenu à rassembler que 150 adeptes au cours de ses 13 premières années de prédication pacifique. Mais en tant que chef militaire et conquérant violent, il est parvenu à faire passer toute l’Arabie sous la loi islamique en moins de 10 ans. Les méthodes pacifiques étaient trop lentes. La conversion par la conquête et l’instauration de la charia a été beaucoup plus rapide et plus efficace. Du coup, des versets tardifs, violents et intolérants, abrogent les passages antérieurs pacifiques et tolérants.

18. Le Coran utilise la carotte et le bâton pour imposer les comportements. Tout le livre est plein de descriptions réalistes de l’enfer, où les pécheurs et les non-musulmans devront boire de l’eau bouillante et puante, seront jetés tête la première dans un feu brûlant, et seront éternellement soumis à des tourments sans fin dans des douleurs atroces.

Vierges-du-paradis Il y a aussi des descriptions réalistes du paradis. Au paradis, annonce le livre, les croyants porteront des tuniques de soie verte et s’allongeront sur des couches moelleuses. Des arbres leur fourniront de l’ombre, avec des fruits à portée de main. Ils auront des nourritures délicieuses et des boissons rafraîchissantes leur seront servies dans des gobelets d’argent. Pour avoir une chance d’y parvenir, ils doivent être des musulmans fervents. Pour que ce soit garanti, ils doivent mourir au djihad (pour les hommes) ou faire tout pour que leur mari soit toujours content d’elles (pour les femmes).

19. Il fournit un objectif énorme et enthousiasmant. Les dirigeants des pays, des sociétés ou des religions ont tous découvert que l’on obtient le maximum de motivation et d’enthousiasme de la part de ceux que l’on dirige si on leur fournit une vision immense, un objectif énorme. Dans l’ensemble d’idées de l’islam, l’objectif demande un effort continu pour étendre le domaine de la loi islamique jusqu'à ce que le monde entier y soit soumis.

Beaucoup de religions ont l’objectif de convertir tout le monde, mais l’islam détient une méthode que personne d’autre n’emploie : s’étendre en prenant le pouvoir et en convertissant les gouvernements à la charia.

Lorsque le monde sera islamique, la paix règnera. C’est pour cette raison que les terroristes eux-mêmes peuvent dire en toute sincérité : "L’islam est une religion de paix."

Le Coran dit que le mieux est que les non-croyants acceptent l’islam et deviennent musulmans sans violence. Mais s’ils refusent, alors il faut les combattre, les conquérir et sauver leurs pauvres âmes en insistant pour qu’ils vivent selon la loi d’Allah.

Une fois tous les pays conquis, le monde sera en paix. L’islam est donc une religion de paix.

C’est un objectif énorme et enthousiasmant, extrêmement unificateur. Il suscite des adeptes motivés et enthousiastes.

20. Les non-musulmans doivent payer une lourde taxe. Lorsque les musulmans ont conquis un pays et converti le gouvernement à la loi islamique, les non-musulmans ont le choix entre devenir musulmans ou dhimmis. Les dhimmis sont autorisés à pratiquer leur religion non musulmane s’ils payent une taxe spéciale, la jizya. S’ils se convertissent à l’islam, ils n’ont plus à payer cette taxe, et il existe donc un motif concret pour se convertir. 

Kowtow dhimmi

Mais il y a un autre aspect, qui fait de cette idée un brillant ajout à l’ensemble. La taxe prend de l’argent aux non-musulmans et aux ensembles d’idées qui font concurrence à l’islam, et cet argent va soutenir l’islam. C’est du génie à l’état pur !

Le produit de ces taxes (en général un impôt de 25 % sur le revenu) a contribué à financer les conquêtes islamiques pendant les deux premiers grands djihads. Ils ont conquis de vastes territoires, dont la plupart étaient déjà peuplés de chrétiens et de juifs, parmi lesquels beaucoup ne se sont pas convertis au début, ce qui a permis à la jizya de collecter des sommes énormes pour la machine de guerre islamique.

À terme, le nombre des chrétiens et des juifs a diminué, à mesure qu’ils se sont convertis ou enfuis, jusqu’à la situation d’aujourd’hui où, dans la plupart des pays islamiques, juifs et chrétiens sont réduits à de très faibles minorités.

L’idée de taxer les non-musulmans aide l’ensemble d’idées de l’islam à se reproduire en plus grand nombre, en freinant les ensembles d’idées religieuses concurrentes et en soutenant financièrement l’islam.

Plusieurs idées de la charia renforcent cet effet. Par exemple, les non-musulmans n’ont pas le droit de construire de nouveaux lieux de culte. Ils n’ont même pas le droit de réparer les églises ou synagogues existantes. Les lieux de culte de tout ensemble d’idées concurrent se trouvent donc placés en situation de déclin permanent. Brillant.

De plus, les prières non islamiques ne doivent pas être dites si elles peuvent être entendues par un musulman — ce qui, encore une fois, évite aux musulmans d’être infectés par une religion concurrente. Il est également interdit d’afficher tout symbole d’une autre foi.

Tout cela empêche l’extension de toute religion concurrente, et fait disparaître avec le temps les ensembles d’idées concurrents. C’est pourquoi il y a aujourd’hui tant de « pays musulmans ». Pratiquement tous les autres pays du monde se composent de plusieurs religions différentes.

Une idée supplémentaire facilite beaucoup la domination des non-musulmans par les musulmans dans un état islamique : les non-musulmans n’ont pas le droit de détenir des armes, quelles qu’elles soient. Pour soumettre un peuple, tous les dictateurs de l’histoire ont fait la même chose : désarmer le peuple dominé. Il devient bien plus facile à gérer, moins dangereux, et moins capable de renverser la situation.

21. Il est interdit au musulman de devenir ami avec un infidèle. Un musulman a le droit de feindre l’amitié, mais en son cœur il ne doit jamais être vraiment ami avec un non-musulman.  C’est l’une des meilleures protections que possède l’islam contre l’abandon de la foi par des musulmans, parce que dans toutes les autres religions les conversions se produisent le plus souvent sous l’influence d’un ami qui a présenté sa religion. L’interdiction de toute amitié avec des infidèles est un moyen efficace de prévenir de telles conversions.

 

Le Coran recommande le mensonge avec les infidèles.

22. Le Coran recommande le mensonge avec les infidèles. Mahomet a recommandé à l’un de ses suiveurs de mentir s’il le devait (pour assassiner l’un des ennemis de Mahomet). Le principe était clair : si cela aide l’islam, il est bon de mentir aux non-musulmans.

Ce principe a très bien servi les objectifs de l’islam tout au long de l’histoire. Et il sert ces objectifs aujourd’hui encore. Sur le DVD Obsession : Radical Islam's War Against the West (Obsession : la guerre de l’islam radical contre l’Occident), on peut voir des exemples réels où des leaders islamiques disent une chose en anglais pour la presse occidentale et quelque chose d’entièrement différent en arabe à leurs adeptes, quelques jours plus tard.

Tromper l’ennemi est toujours utile dans la guerre, et l’islam sera en guerre avec le monde non islamique tant que le monde entier ne sera pas soumis à la charia. Tous les non-musulmans vivant dans des états non islamiques sont des ennemis. Il est donc parfaitement acceptable de tromper les Occidentaux. C’est encouragé si cela peut jouer dans le sens d’une expansion de l’islam.

On aboutit donc à l’étrange phénomène couvert par Steven Emerson dans Terrorists Among Us, (Terroristes parmi nous) où, en Amérique, des organisations levaient de l’argent officiellement pour des orphelins mais le donnaient en fait à des terroristes. Ces gens trompaient des infidèles occidentaux au bon cœur pour les conduire à donner de l’argent à des organismes qui s’occupaient activement à tuer des infidèles occidentaux. Comme il est dit dans le Coran, « la guerre, c’est le mensonge ». Cette idée confère à l’islam un énorme avantage sur les ensembles d’idées qui prônent la sincérité universelle.

23. L’islam doit toujours être défendu. Cette idée est la pierre angulaire qui justifie la guerre contre n’importe qui, comme on le verra dans l’idée suivante. Une fois l’ennemi vaincu, bien entendu, il est demandé aux musulmans de mettre en place un état islamique.

Les écritures islamiques enseignent l’utilisation de prétextes pour déclencher des guerres.

24. Les écritures islamiques enseignent l’utilisation de prétextes pour déclencher des guerres. Le Coran consacre énormément de temps à se plaindre des gens qui n’ont pas soutenu Mahomet quand il a créé sa religion, et Allah y condamne souvent ces gens aux tourments de l’enfer dans l’au-delà.

 Mahomet était plutôt agressif et insistant en annonçant sa religion et, quand les autres avaient une impression d’intrusion et protestaient, il considérait que cela voulait dire qu’ils cherchaient à empêcher le saint prophète d’apporter au monde la parole révélée d’Allah, et qu’il était donc fondé à les combattre et à les détruire en tant qu’ennemis d’Allah. C’est une démonstration du principe du prétexte.

Il est urgent que les non-musulmans du monde prennent conscience de ce principe. De toutes les idées de l’ensemble d’idées islamique, c’est la plus dangereuse pour l’Occident parce qu’elle nous enlève les défenses naturelles qui nous permettent de nous protéger. Le recours au prétexte tend à rendre l’Occident sans défense contre l’invasion islamique actuellement en cours. Les terroristes musulmans ne sont pas naïfs. Ils sont intelligents, cultivés, bien financés, et utilisés par un ensemble d’idées très astucieux.

L’invasion de l’Occident est en cours, et cela avec tant d’intelligence que la plupart des Occidentaux ne s’en rendent même pas compte. (Découvrez leur  plan de 20 ans pour renverser le gouvernement des États-Unis. Informez-vous aussi sur l’imposition de la charia en Europe.)

L’utilisation de prétextes signifie qu’il suffit du motif le plus minime pour engager des hostilités. Cela veut dire qu’en fait vous cherchez un motif, et même que vous essayez de pousser les autres à donner le premier coup (« déclencher » les hostilités).

Si la seule manière d’aller au paradis est de mourir en combattant pour l’islam, la guerre est nécessaire. Et si c’est votre devoir sacré d’amener tous les gouvernements à mettre en œuvre la charia, il faut prendre ces gouvernements. Mais vous ne voulez pas avoir l’air d’être l’agresseur. Les apparences comptent.

Tout au long du Coran, Mahomet essaie de justifier ses agressions par la défense de l’islam.

Tout au long du Coran, Mahomet essaie de justifier ses agressions par la défense de l’islam.

Le Coran répète plus de soixante-dix fois que les croyants doivent prendre Mahomet pour modèle et l’imiter. Les musulmans du monde entier essaient donc de trouver des motifs de mécontentement de manière à pouvoir déclencher une guerre sainte, afin de pouvoir combattre et mourir pour la cause d’Allah et contribuer à faire que le monde soit soumis à la loi d’Allah.

Et, du fait de la montée du multiculturalisme (respect de toutes les autres cultures) en Occident, le recours aux prétextes est très efficace contre les gens qui ne sont pas familiers de l’islam. Beaucoup de gens croient que Al Qaida est furieuse contre l’Occident parce qu’il a des troupes stationnées en Arabie saoudite. Mais ce n’est qu’un prétexte. Ils veulent que tous les non-musulmans quittent le Moyen-Orient. Alors, disent-ils, ils cesseront les hostilités. C’est un objectif ridicule et impossible, et ils trouvent donc une justification à une guerre permanente contre l’Occident.

Il est surprenant que tant d’Occidentaux acceptent ce prétexte particulier, parce qu’il s’oppose directement à un principe occidental essentiel, l’égalité. Ce que dit Ben Laden, c’est « les infidèles sont tellement indignes que leur seule présence défigure nos lieux saints ». Eh ben ! Que dit-il ainsi des non-musulmans ?

Pourquoi ce type de racisme, de préjugé ou d’infidélophobie (appelez ça comme vous voudrez) ne choque-t-il pas davantage les Occidentaux ? Au contraire, beaucoup estiment que nous devrions nous retirer du Moyen-Orient pour que ces pauvres suprématistes islamistes offensés cessent de nous en vouloir !

Le principe du prétexte signifie que vous essayez de provoquer une réaction hostile puis cherchez à utiliser cette réaction comme une raison pour intensifier les hostilités. C’est la méthode des caïds de cour de récréation depuis des milliers d’années : « Qu’est-ce que tu regardes ? Tu as un problème ? Tu veux qu’on s’explique, pauvre type ? »

 

L’islam a une norme pour les musulmans et une autre pour les non-musulmans.

25. Utilisation explicite d’un système à deux poids et deux mesures. L’islam a une norme pour les musulmans et une autre pour les non-musulmans. Ce système donne toujours l’avantage aux musulmans et, dans un pays musulman, il fournit des incitations à la conversion.

Par exemple, l’islam doit être étendu par ses croyants, où qu’ils se trouvent. Mais lorsque d’autres religions tentent de répandre leur propre ensemble d’idées, les musulmans doivent considérer cela comme une agression contre l’islam — acte d’agression contre lequel il faut « se défendre ». Retenez bien que l’islam doit toujours être défendu.

Autre exemple de la manière dont le système des deux poids-deux mesures donne à l’islam un avantage. Lorsque l’islam est critiqué d’une manière ou d’une autre, les musulmans doivent le défendre avec violence. Même s’il s’agit de dessins. Mais les musulmans peuvent et doivent diffamer les juifs et les chrétiens dans la presse et la télévision musulmanes, et ils doivent diffamer tout infidèle ou ennemi, comme ils diffament aujourd’hui les États-Unis.

Encore un exemple : les suprématistes islamiques d’Arabie saoudite déversent des flots d’argent pour la construction de mosquées dans tout le monde libre. Mais, selon la charia, qui est en vigueur en Arabie saoudite, il est interdit d’y construire le moindre bâtiment religieux non musulman.

Les musulmans du monde entier protestent avec vigueur et violence si quiconque s’oppose à la construction de nouvelles mosquées en Europe ou en Amérique.

Les suprématistes islamiques ne voient pas toute l’ironie de la situation. Ils ne trouvent pas étrange ce système de double traitement évident. Après tout, ils sont des fidèles d’Allah, et tous les autres sont dans l’erreur. La justice et l’égalité avec des infidèles d’aussi peu de valeur paraîtraient tout à fait déplacées. Les deux poids et deux mesures paraissent parfaitement appropriés quand on regarde les choses sous cet angle.

Le principe des deux poids et deux mesures est un élément essentiel de l’ensemble d’idées, et il a constitué un grand avantage pour l’expansion de l’islam (et la suppression des religions concurrentes).

26. Il est interdit de tuer un musulman (sauf pour une juste cause). Il n’est pas interdit de tuer un infidèle. Cela crée un lien entre les musulmans, suscite la peur chez les non-musulmans, et motive à devenir musulman. C’est encore un exemple explicite du principe islamique des deux poids et deux mesures.

Moutons_2ON PEUT ADMIRER le génie de l’ensemble d’idées de l’islam de manière abstraite, intellectuelle, mais c’est une réalité terrible. Des millions de personnes essaient de suivre ces idées à la lettre. Et leur croyance dans cet ensemble d’idées trouve un soutien puissant dans les effets secondaires de la charia. En soumettant le gouvernement et les lois à l’islam, l’ensemble d’idées met en application deux puissants principes d’influence : la preuve sociale, et l’autorité.

Dans un état islamique, tout le monde pratique la religion (sous peine d’être fouetté, taxé, ou tué) et personne ne peut la critiquer, que ce soit entre amis ou dans les médias. L’impact psychologique de cette situation est énorme. Au bout de trois générations, il est pratiquement impossible à un musulman vivant dans cet état de penser hors de l’islam. L’autorité et la preuve sociale seraient écrasantes.

Bien entendu, le fait que j’admire le génie de cet ensemble d’idées ne signifie pas que j’y sois favorable. En tant que non-musulman, je m’y oppose de toutes mes forces. Rappelez-vous que le succès d’un ensemble d’idées n’a rien à voir avec le fait qu’il rend les gens heureux ou les garde en bonne santé. Son « succès » signifie seulement qu’il se propage bien.

Il en va de même des gènes. Un gène qui réussit est celui qui a produit le plus grand nombre de copies de lui-même dans les générations suivantes. Les gènes qui forment un virus mortel peuvent tuer des millions de personnes et provoquer des malheurs effrayants, mais d’un point de vue génétique le virus réussit. Les gènes ne s’intéressent pas aux gens. Ils ne cherchent pas à nous rendre heureux. Ils sont froids et indifférents à notre sort.

C’est la même chose pour les idées. Un ensemble d’idées utilisera et recrachera des vies humaines au service de sa propre propagation, indifférent à la douleur, au malheur ou aux morts qu’il provoque.

Un ensemble d’idées, bien vissé dans la tête de quelqu’un et renforcé par la puissante autorité et la preuve sociale de toute sa société, peut le pousser à se faire exploser juste pour tuer d’autres personnes afin d’atteindre le but imaginaire d’aboutir à la paix mondiale et au triomphe d’Allah (et de disposer d’un harem de 72 beautés voluptueuses aux yeux sombres entièrement dévouées à la réalisation de ses moindres vœux).

L’ensemble d’idées islamique est formidable. C’est une force qu’il faut connaître, et que nous courons un grand risque à ignorer. Il a déjà pris possession de l’esprit et de la vie de près d’un milliard et demi de personnes, et pourtant c’est la plus jeune des grandes religions.

Pour autant, je ne crois pas que la situation soit désespérée. Beaucoup de musulmans qui vivent aujourd’hui dans des états islamiques sont piégés et abandonneraient l’islam si c’était sans danger.

Dans notre Occident multiculturel et tolérant, la première chose à faire c’est de nous entraider à prendre conscience du formidable ensemble d’idées qui menace de nous dominer. Il nous faut aider nos concitoyens à réaliser que les suprématistes islamiques cherchent délibérément à mettre à profit notre tolérance et notre liberté pour les éliminer.

Knowledge_is_powerC’est une guerre idéologique, et les idées qui sont dans la tête de vos semblables occidentaux font toute la différence. Et vous pouvez contribuer à renverser la vapeur. Trouvez des moyens de faire passer cette information à vos proches non musulmans. Voici quelques idées pour vous aider.

Vous serez stupéfait de découvrir combien la plupart des gens savent peu de choses sur l’islam. Et ils seront stupéfaits de découvrir les faits. Et lorsque suffisamment de non-musulmans seront avertis, les tactiques islamiques comme les prétextes et le mensonge seront prises pour ce qu’elles sont et nous ne resterons plus sans défense. Quand nous en saurons davantage sur le fondateur (celui que tous les musulmans doivent imiter) et sur les buts de l’islam, nos décisions et actions collectives pourront efficacement contrecarrer ses plans. Notre perception collective de la situation réelle entraînera des modifications dans un sens plus rationnel de nos lois et de nos politiques (comme nos politiques d’immigration actuelles).

Mais pour pratiquer ce genre de vaccination, il vous faut bien maîtriser les enseignements de l’islam. Cela impose un peu d’étude. Je sais que vous avez autre chose à faire et que vous ne pouvez pas vous consacrer à ce travail à plein temps, mais je sais aussi à quel point c’est grave, et vous devrez donc consentir quelques sacrifices.

 

 

J’ai mis au point une sorte de programme d’étude. J’ai essayé de déterminer ce que vous pourriez apprendre pour acquérir les connaissances les plus essentielles de la manière la plus facile et avec le plus faible investissement en temps. Ce programme est ici.

Étudiez ce que je vous propose et commencez tout de suite. Alors que des millions de personnes ont combattu la tyrannie et sont mortes pour obtenir les droits et libertés dont nous jouissons aujourd’hui, nous nous trouvons confrontés à un ensemble d’idées pernicieux qui fait tout pour nous les enlever. Et, de fait, l’ensemble d’idées islamique pourrait bien réussir, avec un génie terrifiant.

Agissez aujourd’hui. Cultivez-vous sur l’islam.

Chaque fois que vous aurez compris quelque chose de nouveau, chaque fois que vous aurez acquis une nouvelle certitude, vous aurez plus de courage pour vous exprimer avec force, et c’est exactement ce qu’il nous faut faire pour gagner.

 

Source : The Terrifying Brilliance of Islam, Citizen Warrior, 11 mai 2009 (Traduction par Hachebé pour Poste de veille)

 

LE PARTI DE LA FRANCE VITE !

PDF JM.jpg

 

" L' OGRE " RUSSE ET LA CONSTRUCTION DE DEUX CENTRALES NUCLÉAIRES EN IRAN !

$
0
0
 
 
 
L' EUROPE  PERDANTE......
 
 
Lundi 10 novembre 2014
L'Iran et la Russie vont signer un accord pour la construction de deux centrales nucléaires

La centrale nucléaire de Bushehr dans le sud de l'Iran

L'Iran et la Russie vont

signer un accord pour la

construction de deux

centrales nucléaires

 

 

Le chef de l'Agence iranienne pour l'énergie atomique, Ali Akbar Salehi, doit se rendre à Moscou demain 11 novembre, pour signer un accord concernant la construction par la Russie de deux centrales nucléaires nouvelles sur la côte iranienne du golfe [1]. 

D'une puissance de chacune 1000 mégawatts, ces centrales complèteront celle de Bushehr, initiée par les Allemands en 1975, puis reprise par les Russes à partir de 1995, retardée pendant des années sous les pressions us-américaine et israélienne, avant d'être enfin mise en service en 2011.


L'Agence avait précédemment annoncé vouloir construire une totalité de vingt centrales, afin de diminuer la dépendance de l'Iran au pétrole, dont le pays est pourtant très riche. Téhéran avait cependant réaffirmé ne pas vouloir construire d'arme nucléaire, promesse à laquelle pour sa part Israël n'a jamais cru. 

Cette annonce survient peu après que Georges Kerry a prévenu le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, qu'il n'avait plus que quelques jours pour répondre de façon satisfaisante au groupe des six+un, conduit par les États-Unis, exigeant suffisamment de garanties concernant la non-utilisation à titre militaire d'uranium enrichi par l'Iran.


Il semblerait que, des deux côtés, les négociations se sont durcies et qu'un constat d'échec des négociations est désormais envisageable [2]. Auquel cas l'Occident relancerait ses sanctions contre l'Iran, sanctions qu'il n'a d'ailleurs jamais complètement levées. 

Comme c'était prévisible, les sanctions décidées par les États-Unis, tant à l'égard de la Russie que de l'Iran, ont conduit ces deux pays à se rapprocher : ils ont ainsi conclu un certain nombre de contrats, leur permettant de valoriser leurs ressources respectives.
Leur coopération renforcera l'établissement d'un axe Moscou-Téhéran-Damas dans le golfe persique.

Cet axe viendra contrebalancer le monopole d'influence que s'était donné l'Amérique dans cette région, en coopération avec l'Arabie saoudite et les Émirats.


La politique absurde de sanctions contre la Russie décidée par Washington, dans le but évident de déstabiliser Vladimir Poutine, a forcément eu des conséquences négatives à court terme pour l'économie russe.
Dans ces conditions Il était logique que la Russie recherche à nouer des coopérations dans de nouvelles directions.

Elle l'a fait depuis longtemps déjà avec les pays du BRICS, comme on l'a plusieurs fois évoqué.

Elle le fera de plus en plus avec l'Iran, qui sera peut-être invitée à rejoindre le groupe des BRICS. 



L'Europe sera perdante sur tous les tableaux.

D'une part les sanctions l'affectent elle-même durement [3]. D'autre part, sous les pressions américaines, elle ne fera pas l'effort de se rapprocher du BRICS, malgré les effets favorables qu'aurait pour les deux parties un tel rapprochement. 

Dans les jours qui viennent, il est prévisible que la situation diplomatique an Moyen-Orient va se dégrader sensiblement, si aucun accord ne peut être signé entre les six et l'Iran dans le domaine de l'armement nucléaire.

Les conséquences à venir en seraient certainement très importantes, y compris vis-à-vis d'Israël. 

Notes : 

[1] 
Report : Iran-Russia Nuclear Deal to be Signed Tuesday (israelnationalnews.com, anglais, 10-11-2014) 

[2] 
US and Iran meet in bid to reach nuclear deal (aljazeera.com, anglais, 10-11-2014) 

[3] [Veille] 
L'état de l'Union européenne vu depuis l'extérieur de la France (vineyardsaker, français, 10-11-2014)

 

Source: The vineyard of the saker

http://www.wikistrike.com/2014/11/l-iran-et-la-russie-vont-signer-un-accord-pour-la-construction-de-deux-centrales-nucleaires.html

ONU: ÉTATS-UNIS/RUSSIE ET " GUERRE FROIDE " ...........

$
0
0
Mardi 11 novembre 2014
AP john kerry jef 140314 16x9 608 John Kerry to Russia: You Lost the Cold War, Get Over It
 
En mars, devant des étudiants, J. Kerry affirme que la Russie a perdu la guerre froide et qu'elle doit s'y faire.
Il y a peu, S. Power, l'ambassadrice américaine à l'ONU s'en prend à l'ambassadeur russe V. Churkin et lui envoie au visage, vous avez perdu la guerre froide et ne devez pas l'oublier. 
 
 
 
Cette affirmation soulève une impasse logique, ou du moins la nécessité d'un choix idéologique.
Soit le système soviétique n'était plus viable et a démontré ses limites, ce qui a conduit la population, par referendum et lors d'élections libres, à choisir une nouvelle voie, soit le système était viable - et l'est donc encore théoriquement - mais il est tombé sous la seule force de persuasion et de pression des Etats Unis.
Dans le premier cas, c'est une évolution démocratique, dans le deuxième cas les Etats Unis ont détruit un système soutenu par la population, ce qui n'est pas digne d'un Etat démocratique. Il est temps de préciser les concepts et de se méfier de se évidences.


Tout d'abord qui a perdu la guerre froide? La Russie ou l'Union soviétique?
L'Union soviétique ne fut qu'un des visages de la Russie qui a existé avant 1917 et existe encore depuis. C'est d'ailleurs pour cette raison que la Fédération de Russie, visage actuel de la Russie, a été unanimement admise comme coninuateur de l'Union soviétique dans les relations internationales, notamment en ce qui concerne les représentations, par exemple à l'ONU.
 
Donc la Russie n'a pas perdu la guerre froide, car elle existe. En revanche l'Union soviétique, elle, n'existe plus. Elle a perdu.
 
 
Qu'est-ce qui a été perdu lors de la guerre froide? Un pays, une idéologie ou une forme de gouvernement?
L'Union soviétique n'existe plus car l'idéologie qui lui donnait corps n'est plus à la source de la gouvernance. Ainsi, la guerre froide a montré la victoire du l'idéologie libérale occidentale sur l'idéologie communiste incarnée par l'Union soviétique. La chute de l'idéologie a entraîné la chute du régime politique qui la sous-tendait.
 
 
Comment le régime politique est-il tombé? Est-ce le résultat d'un choix intérieur ou est-ce le résultat de l'action déterminante des Etats Unis?
Si l'on estime que le système de gestion mis en place par le régime soviétique est arrivé à son terme à la fin des années 80, qu'il n'a pu convaincre la population de ses capacités de transformation, les choix exprimés par les habitants de mettre un terme à ce régime et de le remplacer par un autre, au moyen d'élections, de l'adoption d'une constitution, de la création de la CEI, est un acte de politique intérieure.
 
Le peuple a décidé de son avenir. Certes, cette interprétation dérange beaucoup. Car elle remet en cause l'image d'épinal de ce peuple toujours soumis, à peine sorti du féodalisme, qui ne connait rien à la démocratie. Or, c'est justement ce peuple qui a remis en cause le système de l'unité de parti politique, qui a élu B. Eltsine et donné carte blanche aux réformateurs des années 90.
 
 
 
Pour le meilleur et pour le pire. Mais ce fut le choix d'un peuple qui a décidé de son avenir. Et il a choisi l'avenir de la Russie, de son pays. En votant pour Eltsine et les réformateurs, ils n'ont pas voté pour les Etats Unis, mais pour un choix de politique russe. La question ne se posait pas alors. Que ce choix se soit avéré criticable, qu'il y ait eu de fortes déceptions, explique l'autre choix, celui du retour à une politique plus sociale, plus étatique, que la Russie connait depuis les années 2000.
 
Dans ce cas aussi, la chute de M. Gorbatchev et de l'URSS est le résultat d'un combat politique, qui a été perdu, définitivement en 1993, par une force au profit d'une autre.
 
Si, en revanche, la chute de l'Union soviétique est le résultat principalement de la politique amércaine à l'égard de la Russie, il faut en tirer les conclusions néccessaires:
  • Ainsi l'idéologie communiste est capable de permettre une gestion efficace des affaires publiques et rien n'explique pourquoi les postes-clés gouvernementaux, la Banque centrale, etc. sont exclusivement dans la Russie actuelle entre les mains des représentants du clan libéral. Une mixité réelle doit donc être envisageable.
  • La chute de l'Union soviétique n'a pu se faire sans collaborations intérieures et une communication de masse qui a manipulé l'opinion publique. Car il a fallu que B. Eltsine soit élu pour que Gorbatchev parte, il a fallu expliquer que la CEI est une forme de collabaration entre les Etats ressortants de l'Union soviétique, dans la continuation, mais avec plus de souplesse. Il a fallu expliqué que tout cela se faisant dans l'intérêt de la Russie et par la volonté du peuple. Donc ce n'était pas le cas. Donc B. Eltsine est un traître à la Nation, de même que les réformateurs qui l'ont aidé et dont certains sont actuellement en postes. B. Eltsine ne peut plus être représenté comme le héros démocratique de la Russie moderne, car il a vendu le pays.

 

 

Bref, il faut choisir. On ne peut pas, en toute logique, affirmer que la Russie a perdu la guerre froide et ériger B. Eltsine en pourfendeur du totalitarisme, défendeur de la démocratie. Ou alors il faut dire que c'est une révolution démocratique qui s'est passée en Russie, dans laquelle le peuple change de régime et choisie une autre voie. Voie que nous connaissons actuellement dans le pays.

Mais ici les Etats Unis, qui ont bien évidemment soutenu le processus révolutionnaire, aidé, voire en partie financé, n'ont pas eu un rôle décisif. Pour la simple et bonne raison que cela se serait passé avec ou sans eux. En revanche, ils ont pu jouer un rôle plus déterminant une fois que le peuple russe a, lui, pris sa décision et leur influence désastreuse dans les années 90 n'est pas négligeable.

 
C'est pourquoi la rhétorique de J. Kerry est absurde. Sans même parler de l'invective de S. Power. V. Churkin ne représente pas l'Union soviétique, qui n'existe plus, mais justement cette Russie démocratique qui est le résultat tant attendu de la guerre froide qu'ils sont censés avoir gagné. Donc choississez votre camps. Si vous l'avez gagnée cette guerre froide, aimez la Russie actuelle, l'URSS est morte. Si vous ne l'avez pas gagnée cette guerre froide, il ne sert à rien de vouloir s'attribuer une victoire qui n'existe pas.
 
 
 
En guise de conclusion, pourquoi la victoire n'existe pas.
 
Les Etats Unis n'ont pas gagné la guerre, car la guerre, en fait, n'est pas finie. La chute de l'idéologie communiste était, certes, impportante, mais pas suffisante. C'est la Russie qui devait tomber. Or, n'est tombée que l'URSS.
 
 
Les Etats Unis, face à une Russie qui prend une place incontournable sur la scène intenationale, ont besoin de créer cette victoire comme un élément non contestable. La Russie doit avoir le même comportement que l'Allemagne après la guerre. Signer l'acte de capitulation, baisser la tête, car un vaincu baisse la tête et suit le vainqueur. Il n' a pas d'autres choix. Et le sens des paroles de S. Power est ici. La Russie doit avoir perdu, car elle doit baisser la tête.
 
 
Mais la Russie lève la tête. La guerre n'est pas finie.
La Crimée rentre en chanson à la maison. Les Républiques populaires de Donetsk et Lugansk ont pu tenir leurs élections, propres selon les observateurs internationaux présents, et déclarent ne plus faire partie de l'Ukraine.

Les Etats Unis perdent, reculent, s'enlisent dans le sang et le jeu des alliances instables. Les peuples reprennent la parole. C'est cela la démocratie.
 
 
Aujourd'hui est la fête russe de l'Unité nationale. Journée symbolique avec la Crimée et le Donbass. Bonne fête à tous!
 
 
 
http://russiepolitics.blogspot.fr/2014/11/qui-perdu-la-guerre-froide.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+RussiePolitics+(Russie+politics)

MANIFESTATION LYCÉENNE: LA MORT DE RÉMI FRAISSE ET LES PRÉTEXTES ....

$
0
0
 
Seine-Saint-Denis : la manifestation lycéenne en hommage à Rémi Fraisse vire à l'émeute

Seine-Saint-Denis : la manifestation lycéenne en hommage à Rémi Fraisse vire à l’émeute

10/11/2014 – SAINT-DENIS (NOVOPress)
Une fois de plus, les rassemblements lycéens en Seine-Saint-Denis virent à l’émeute et les rues sont livrées à la racaille.

 

Le prétexte d’aujourd’hui : les manifestations en hommage à Remi Fraisse (le militant écologiste mort à Sivens) et contre les violences policières (sic).

Comme l’indiquent nos confrères du Parisien :

Plusieurs poubelles ont été enflammées devant l’entrée du lycée Suger. Le feu a noirci la façade et endommagé les grilles et les fenêtres. Au moins deux véhicules de pompiers se sont rendus sur place pour maîtriser l’incendie.

Un feu a également été signalé devant le lycée Cachin, à Saint-Ouen. Alors que des cours avaient débuté normalement à 8 heures ce lundi matin, les poubelles qui avaient été regroupées devant l’établissement ont été incendiées vers 10 heures.

Les pompiers ont assez vite maîtrisé le feu. La direction a toutefois choisi d’évacuer le lycée et de le fermer jusqu’à mercredi matin. «Des équipes mobiles de sécurité de l’académie sont sur place pour accompagner la direction des établissements», précise la direction académique, selon laquelle « il n’y a pas que des lycéens aux abords des établissements bloqués».

(…)Environ 150 jeunes venus de plusieurs lycées ont convergé vers 10 heures vers le centre-ville de Saint-Denis pour rejoindre le centre commercial Basilique. Sur leur passage, ils ont endommagé des voitures.

 

Arrivés sur place, ils ont tenté de pénétrer, en vain, dans le magasin Carrefour, dont le rideau de fer avait été baissé préventivement.

Ils s’en sont pris ensuite à un magasin Go Sport.

 

 

 

 

 

Crédit photo Une : DR

PATRIOTES: NOUS SOMME LE 11 NOVEMBRE ! TRIBUNE LIBRE !

$
0
0

 

11 Novembre : Paris parle de patriotisme, Berlin parle d'Europe

Le Point - Publié le 11/11/2014 à 08:04

Comment, des deux côtés du Rhin, a-t-on célébré la fin de la Grande Guerre ?

L'historienne Élise Julien éclaire la construction de nos mémoires.

Cérémonie du 14 Juillet à Paris : en 2014, pour le centenaire de la Première Guerre mondiale, la France célèbre la mémoire de ses poilus.Cérémonie du 14 Juillet à Paris : en 2014, pour le centenaire de la Première Guerre mondiale, la France célèbre la mémoire de ses poilus.© THOMAS SAMSON / AFP
 

Troisième round pour Hollande, ce mardi 11 novembre : après les cérémonies du 3 août (pour le début des hostilités) et celles du 12 septembre (pour la bataille de la Marne), la France poursuit sa commémoration du centenaire de 14-18.

Comment, au cours du siècle, la guerre a-t-elle été commémorée des deux côtés du Rhin ? L'historienne Élise Julien, maître de conférences à Sciences Po Lille et chercheuse à l'IRHiS (Lille-3/CNRS), décrit la construction progressive d'une mémoire encore divisée.

 

 

Le Point.fr : Les cérémonies du centenaire ont débuté le 3 août. Était-ce la première fois qu'on commémorait le début de la guerre ?

Élise Julien : En France, pour la commémoration officielle, oui. Les vainqueurs de l'époque ont habituellement retenu la fin du conflit, en novembre 1918. Commémorer les débuts de la guerre s'est fait en Allemagne dans les années 1920, mais de façon non centralisée, et surtout très ambiguë : les nationalistes exaltaient le combat, les pacifistes déploraient la boucherie.

C'est l'organisation internationale du centenaire qui a conduit les différents pays à choisir une année de célébration commune. Jusqu'à présent les commémorations, comme la façon même de comprendre la guerre, le récit qui en était fait, conservaient un ancrage très national.

Tous les chefs d'État et de gouvernement qui se retrouvent aujourd'hui au même endroit au même moment n'ont d'ailleurs pas forcément la même vision du conflit.

 

 

Comment les premiers anniversaires ont-ils été célébrés en France ?

 

 
 

Il existe à l'époque un éventail assez large de discours : certains mettent en avant l'héroïsme des soldats, d'autres la vanité de la guerre, mais tous se retrouvent sur le poids du deuil et la reconnaissance envers les morts.

La victoire procure une forme d'apaisement, et permet de trouver des points de convergence : prôner la paix, tendre la main à l'ancien ennemi est plus simple lorsqu'il n'y a rien à espérer d'un nouveau conflit.

L'État français était attentif à célébrer la fin de la guerre, mais était prêt, pour éviter d'ajouter au calendrier un jour férié, à organiser les commémorations le dimanche suivant le 11 novembre. Ce sont les anciens combattants qui se sont battus pour que cette date devienne non seulement un jour férié mais aussi une fête nationale, au même titre que le 14 juillet. Une loi est votée en ce sens en octobre 1922.

 

Comment les choses se passent-elles après la Seconde Guerre mondiale ?

Il y a alors une sorte de reflux de mémoire.

Les anciens combattants sont toujours là, mais le second conflit est venu submerger le premier et mettre fin au mythe de la "Der des ders".

Dans les années 1960 et 1970, la mémoire de la Première Guerre commence en outre à être contestée. Des manifestations féministes, par exemple, soulignent qu'il y a plus "inconnue" que le soldat inconnu : sa femme.

Les commémorations, qui dans l'entre-deux-guerres étaient dans l'ensemble pacifistes, sont interprétées comme représentant un ordre patriotique ancien.

Des monuments aux morts sont barbouillés, Coluche se moque, dans un sketch, des anciens combattants.

L'historien Antoine Prost raconte qu'en publiant sa thèse sur les anciens combattants à la fin des années 1970, il pensait avoir réalisé un des derniers travaux sur le sujet, que cette guerre n'intéresserait bientôt plus personne.

Or il a existé au contraire un très fort regain d'intérêt dans les années 1980, qui se poursuit aujourd'hui.

 

Pour quelle raison ?

Il s'inscrit dans une curiosité plus générale pour le passé français. Dans une période de désarroi de certains militantismes, on se tourne vers le passé pour y trouver des ressources.

Or, en France, la Seconde Guerre mondiale a profondément divisé la société, et reste moins "commémorable" que la première. On sait qu'il y a eu moins de résistants que de poilus et ces derniers fédèrent plus largement. Le poilu peut être vu comme une victime, un héros, un rebelle dans le cas des mutins, un pacifiste si on insiste sur l'après-guerre.

Mais il reste une "icône positive", comme le dit l'historien Nicolas Offenstadt.

La question de la reconnaissance des fusillés continue pourtant de faire débat.

Dès 1914 il y a eu des protestations et des demandes de réhabilitation. C'est un débat qui dure depuis un siècle, mais qui n'est toujours pas refermé, parce qu'il cristallise des antagonismes qui font "exploser", en quelque sorte, la figure consensuelle du poilu.

On s'oriente cependant de plus en plus, et c'est le sens du rapport qu'a remis la mission du centenaire au président de la République sur le sujet, vers une reconnaissance symbolique des fusillés, davantage que vers une réhabilitation juridique. C'est ce qu'avait avancé Lionel Jospin en 1998 : il parlait alors de "réintégration dans la mémoire collective", des termes qui avaient provoqué des réactions très virulentes de la droite.

Quelques années plus tard, Nicolas Sarkozy faisait une proposition similaire. Un consensus semble se dessiner peu à peu.

Comment l'Allemagne commémore-t-elle la guerre dans les années 1920 ?

Il existe une multitude de dates, qui correspondent aux valeurs différentes que les uns et les autres donnent à la guerre. Il y a le 3 août, jour de la déclaration de guerre, le 28 juin, date de la signature du traité de Versailles. Certains plaident pour une date en novembre : un jour de deuil qui corresponde à la Toussaint des catholiques ou au dimanche des morts protestant.

Des associations nationalistes très puissantes militent au contraire pour le début du printemps, qui marquerait, avec la renaissance de la nature, la renaissance nationale.

La république de Weimar manque de moyens financiers et d'autorité politique pour s'imposer dans ce débat. Elle renonce donc à agir, et laisse le terrain à d'autres acteurs jusqu'à ce qu'en 1931 le choix soit fait d'une date à l'automne.

Cette décision n'est pas applicable en 1932... et en 1933, c'est trop tard. Hitler, en arrivant au pouvoir, tranche la question de façon radicale : il regroupe les associations d'anciens combattants en une seule, qu'il contrôle, et instaure un jour de commémoration au début du printemps.

Entre 1934 et 1939, c'est un dimanche flottant. Le "jour des héros" est ensuite fixé au 16 mars.

 

Et après la Seconde Guerre mondiale ?

Dans un premier temps, les commémorations disparaissent complètement. À partir de 1952 est réinstauré en RFA un jour de deuil national en hommage aux victimes des deux guerres - la question n'étant pas tranchée de qui on englobe parmi ces victimes.

Cette commémoration a une tonalité beaucoup plus funèbre, elle est fixée en novembre à un dimanche flottant, entre la Toussaint et le dimanche des morts. Et elle ne donne pas lieu à des manifestations extérieures comme en France, elle ne s'adresse pas au grand public. Il faut également noter qu'il n'existe pas en Allemagne de lieu de mémoire national analogue à la tombe du soldat inconnu.

Ce sujet, comme celui de la date des commémorations, a fait l'objet de grands débats entre les deux guerres. Là encore, une décision avait été prise en 1932 : une forêt du souvenir en Thuringe, qui n'a pas eu le temps de voir le jour. Il existe bien un monument à Berlin, la "Nouvelle Garde", aménagé en 1931. Mais il était d'abord prussien.

C'est le chancelier Helmut Kohl qui le transforme, en 1993, en un lieu d'hommage aux victimes des guerres et de la dictature. Sans qu'une spécificité soit accordée, là non plus, à la Première Guerre mondiale.

L'histoire du nazisme a conduit à ce que celle-ci soit minorée dans la mémoire allemande.

 

Comment est-elle comprise ?

La Seconde Guerre mondiale l'a recouverte, largement. De ce point de vue, elle est une guerre "oubliée". Elle est aujourd'hui de plus en plus vue comme une clef de compréhension du XXe siècle, comme la "catastrophe originelle" qui a conduit entre autres au nazisme. Jusqu'à très récemment, les recherches des historiens allemands sur le sujet restaient cantonnées à l'espace universitaire.

Les anniversaires décennaux de 1988 ou 1998 n'ont pas provoqué les mêmes vagues de publications qu'en France. Depuis quelques mois, cependant, l'intérêt grandit en Allemagne. On voit même chez les libraires, pour la première fois, des tables entières consacrées à la Première Guerre, et dans les musées de grandes expositions s'organisent...

 

 

Comment le centenaire s'est-il organisé outre-Rhin ?

Il n'existait pas en Allemagne de "mission du centenaire" comme en France, uniquement un référent rattaché au ministre des Affaires étrangères. La grille de lecture allemande sur le conflit est d'ailleurs souvent diplomatique, sur le début de la guerre, la gestion de la crise de juillet, ainsi que les conséquences géopolitiques du conflit, quand en France la Grande Guerre est devenue un mythe fondateur de la nation.

 

Les discours des responsables politiques continuent, d'ailleurs, d'avoir des tonalités différentes.

 

Pour caricaturer, on souligne à Paris le patriotisme et l'union nationale dans l'épreuve de la guerre quand on parle à Berlin surtout de "catastrophe originelle" et de construction européenne.

Retrouvez notre dossier "Le centenaire de la Première Guerre mondiale".

 


Suivez Marion Cocquet sur Google +

Source et publication:   http://www.lepoint.fr/culture/11-novembre-paris-parle-de-patriotisme-berlin-parle-d-europe-11-11-2014-1880187_3.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20141111

 

ISLAM: MOSSOUL: LE QUARTIER AUX ESCLAVES SEXUELS......

$
0
0

 

 

L'ISLAM ET L'ESCLAVAGE SEXUEL ORGANISE (par Maurice D.)


L'État islamique est de mieux en mieux organisé.

Minurne vous avait déjà parlé de ces femmes yézidies et chrétiennes vendues au marché aux esclaves de Mossoul en Irak où elles sont amenées dans des cages... 

 

MailSchermSnapz001.png

Mossoul, Irak, 2014

 

Il y a maintenant plusieurs marchés, dont les deux plus grands sont toujours celui de Mossoul rejoint par celui de Racca en Syrie.
Un État digne de ce nom se devait de réglementer. C'est fait, et l'agence Iraqinews s'est procuré l'affichette qui fixe le prix de base des femmes en fonction de leur virginité supposée et de leur âge.


Ces prix sont assez modérées, si on les compare au prix des chèvres et des dromadaires vendus sur ces mêmes marchés : comptez environ 10 € pour une chèvre, 200 à 300 pour un dromadaire.

Sur cette affichette, placardée aux entrées des marchés on trouve les tarifs :

  • Fillette de 1 à 9 ans : 200 000 dinars (138 euros)
  • Fille de 10 à 20 ans : 150 000 dinars (104 euros)
  • Femme de 20 à 30 ans : 100 000 dinars (69 euros)
  • Femme de 30 à 40 ans : 75 000 dinars (52 euros)
  • Femme de 40 à 50 ans : 50 000 dinars (35 euros)
     

1500780840.jpg

 

Les femmes de plus de 50 ans ne sont pas commercialisées, étant impropres à l'usage que veulent en faire les acheteurs.

De plus leur prix ne justifierait pas leur nourriture et le coût du transport pour les acheminer du lieu de capture au marché. Les plus chanceuses se sont converties à l'islam, les autres, la majorité, ont été égorgées.

L'Organisation État islamique, dans un document daté du 16 octobre relevé sur un site arabe par CNN, rappelle la loi : "Chacun doit se rappeler que mettre en esclavage les familles d'infidèles et marier leur femme est un aspect fermement établi de la loi islamique".

Cette information survient peu après la diffusion d'une vidéo, montrant plusieurs combattants de l'Etat Islamique discutant, hilares, de l'achat de femmes yézidies. "Aujourd’hui c’est le jour de distribution, c’est la volonté de Dieu", lance l'un tandis que la personne qui filme fait le tour de la salle demandant qui veut d'une femme yézidie et si les intéressés seront "capables de la gérer".

Les hommes amusés détaillent leur façon de choisir : qualité de la dentition, couleur des yeux, fermeté des fesses et de la poitrine…

Ceux qui sont intéressés négocient ensuite le prix avec le vendeur.

 

Capt -salafisme_Charlie Hebdo palpe.PNG

 

Nous avons, sur Minurne, suffisamment dit dans notre publication sur la vie du prophète comment il faisait égorger les prisonniers mâles faits pendant les razzias qu'il organisait et mettre en esclavage femmes et enfants, dont il gardait une partie pour son usage personnel.

Il est inutile d'y revenir, mais cela légitime la pratique du meurtre légal et de l'esclavage en terre d'islam.

On nous objectera qu'en France, à l'exception des mille ou deux mille jeunes "loups solitaires" qui ambitionnent d'aller faire le djihad en Syrie, nous n'avons que des musulmans "modérés" sous la douce autorité du recteur Dalil Boubakeur, et que cet islam-bashing, pour reprendre une expression à la mode, est indigne.

L'ennui, c'est qu'un sondage IFOP récent publié par V.A. le 6 novembre donne une indication totalement contraire. Comme pour tous les sondages, il ne faut pas en prendre les chiffres à la virgule près, mais retenir les indications globales qu'il donne.

Ce sondage a questionné du 21 au 23 octobre 1 001 personnes françaises, âgées de 18 ans et plus, sur la participation de la France a l'intervention contre les djihadistes de l'Etat islamique.

Il révèle que si les deux tiers des Français sont favorables à cette lutte contre l'islam intégriste, ces deux tiers incluant des personnes d'origine musulmane, ils ne sont plus que la moitié chez les personnes qui revendiquent leur origine musulmane et un tiers chez celles qui se disent croyantes et pratiquantes.

Les personnes d'origine musulmane non croyantes et non pratiquantes votent comme les Français "de souche" dont 73 % sont favorables à la lutte contre le djihadisme, mais inversement les trois quarts des pratiquants sont contre toute atteinte à l'État islamique et cautionnent ses pratiques barbares par "solidarité religieuse" avec les terroristes.

 


Il y a donc bien une part importante de la population musulmane en France qui se sent plus proche du califat que de son propre pays.


Dalil Boubakeur a aussitôt dénoncé cette révélation, affimant que "L'unité des musulmans avec l'UOIF est plus important (sic) que les idées partisanes".


Mais pourquoi Boubakeur fait-il donc référence à l'UOIF ?

 

boubakeur.jpeg

Boubakeur recevant dans son bureau un dhimi (soumis)

 

L'UOIF a baptisé le collège privé musulman de Marseille "Collège Ibn Khâldoun", dont les enseignants, s'ils répondent aux critères exigés par l'Education nationale, sont rémunérés par nos impôts.

On y professe, c'est normal, l'enseignement religieux d'Ibn Khâldoun et donc celui de Majid Khadduri qui se réfère lui-même à Ibn Khâldoun dès qu'il aborde les question du djihad et de l'esclavage dans l'islam. (Majid Khadduri, War and peace in the law of Islam, The Johns Hopkins Press, Baltimore et Londres, 1979 - Le chapitre V, est consacré à la doctrine du djihâd).

Khâldoun a vécu au XIVème siècle, il enseignait la charia à l'université Al Ahzar du Caire. Il dit : "Dans l’islamisme, la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de gré ou de force. On a donc établi chez les musulmans la souveraineté spirituelle et la souveraineté temporelle, afin que ces deux pouvoirs s’emploient simultanément dans ce double but" (Ibn Khaldoun, Les Prolégomènes, trad. M. G. de Stane, Paris 1862-1868, t. I, p.469). C'est clair et bien dit.

Khadduri de son côté explique que la soumission des familles non musulmanes par leur esclavage est légitime, de même que l'usage sexuel de leurs femmes par les mâles musulmans.

Vous imaginez que nos féministes de bazar, Caroline Fourest, les Femen, Najat Belkacem, Christiane Taubira, etc. sont tous les jours à la porte du collège Ibn Khâldoun pour y manifester les seins nus barbouillés de slogans contre Mahomet et cette exploitation commercialisée de la femme ? Et bien non !

Pas plus qu'elles ne prennent la défense des Chrétiennes d'Orient vendues comme du bétail sur les marchés islamiques, elles ne prennent celle d'Asia Bibi, cette jeune chrétienne condamnée à mort au Pakistan pour avoir bu l'eau d'une fontaine dont elle ignorait qu'elle était réservée aux musulmans.

 

Comme autrefois, en Afrique du Sud, il y avait des fontaines réservées aux blancs. Car c'est bien un apartheid que les musulmans mettent en place partout dans le monde pour différencier la race musulmane des races inférieures.

Je parle de "race" puisque la loi française, en sanctionnant la critique de l'islam sous le nom d'islamophobie, a créé de fait un délit racial du même ordre que celui qui sanctionne la judéophobie et l'antisémitisme.


Personnellement je considère qu'une religion n'est pas une race, mais les socialistes, si.

En France il y a heureusement de vraies féministes, elles s'appellent Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie. Elles s'activent pour convaincre les parlementaires français et européens de mener "une initiative diplomatique d'urgence… (pour) une mobilisation internationale d'ampleur" pour la défense de la femme dans le monde musulman.


Elles sont bien seules.

Pas de Belkacem, pas de Royal, aucune des ministres du gouvernement en fait, mais pas non plus de Marine Le Pen pour les soutenir : les voix musulmanes aux prochaines élections ont bien plus d'intérêt que la vie ou l'esclavage sexuel des chrétiennes et des yézidies.

 

Maurice D.

 

  

   

ÉNERGIE LIBRE ! ON EN PARLE ...;

$
0
0
Mardi 11 novembre 2014
Énergie libre : un générateur d’électricité portable produisant de 5 à 15 kW fonctionnant à l’eau !

Invention du siècle ?

Énergie libre : un générateur d’électricité portable

produisant de 5 à 15 kW fonctionnant à l’eau !

 

 

Cette vidéo est un clip promotionnel de démonstration de la société canadienne GDS Technologie sur ses générateurs électriques fonctionnant à l'eau !

 

Ne me demandez pas comment cela fonctionne, je n'en ai aucune idée, la vidéo comme le site officiel de la compagnie ne donnant aucune explication sur le principe de fonctionnement. Surement un secret industriel qu'ils souhaitent de pas divulguer.

 

Bien que le modèle présenté génère 3.000 watts, les générateurs à la vente sur le site offrent 5.000, 10.000, et 15.000 watts avec les prix suivants :

 

  • GDS 5000 : 5.360 $CAD, soit environ 3.570 €.
  • GDS 10000 : 7.870 $CAD, soit environ 5.240 €
    GDS15000 : 14.885 $CAD soit environ 9.920 €.

 

C'est bien trop cher à mon avis, mais nul doute que le prix baissera avec le temps et la concurrence.

 

15.000 watts, c'est une puissance biens suffisante pour une maison individuelle très confortable possédant même par exemple l'air conditionné et une piscine chauffée.

 

Les maigres explications de GDS Technologies :

 

Nous avons développé un générateur alimenté en eau portable qui crée une grande quantité d'énergie pour faire fonctionner nos générateurs portables qui génèrent de l'énergie simplement en ajoutant de l'eau. Dépenser de l'argent pour de ​​l'essence chère est une chose du passé. Nous avons trouvé un moyen de produire de l'énergie à partir de l'eau du robinet.

 

GDS Technologies a créé une nouvelle solution d'alimentation d'urgence et de secours pour le camping, les camping-cars, les chantiers de construction, etc. Nos générateurs sont 50% moins bruyant que les générateurs ordinaire à essence et peuvent être utilisés à l'intérieur parce-qu'ils ne produisent pas de fumées et aucune pollution.

 

Économisez de l'énergie, réduisez vos coûts, et aidez l'environnement avec nos générateurs.

 

Source : GDS Technologie. Traduction amateur par BlueMan.

 

Un nouveau procédé d'énergie libre promise à un avenir certain, si les lobbies pétrolier, nucléaires, et de distribution d'électricité ne mettent pas de bâtons dans les roues de cette compagnie innovante.

 

À connaître !

 

Nota Bene :

 

  • Pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 17 dB.
  • Pour des vidéos ayant dans leur titre "énergie" et "libre", cliquez [ici].
  • Pour des vidéos ayant dans leur titre "générateur", cliquez [ici].
  • Pour des vidéos ayant dans leur titre "électricité", cliquez [ici].
  • Pour des vidéos ayant dans leur titre "$eau", cliquez [ici].
  • Pour des vidéos ayant dans leur titre "innov", cliquez [ici].
  • Pour toutes les vidéos de la catégorie "Énergies Libres", cliquez [ici].

 

​​Source

 

vu sur : http://www.wikistrike.com/2014/11/energie-libre-un-generateur-d-electricite-portable-produisant-de-5-a-15-kw-fonctionnant-a-l-eau.html


BRETAGNE: BOUGEOISIE URBAINE DE GAUCHE ET LES CLASSES POPULAIRES DE SOUCHE !

$
0
0
 
 
TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE
 
Published On: Tue, Nov 11th, 2014
 

Comment la bourgeoisie urbaine de gauche organise la ségrégation des classes populaires de souche

 

648x415_quatre-maires-fusion

Les maires de Nantes, Brest, Rennes et Saint-Nazaire contre l’unité régionale bretonne

BREIZATAO – POLITIKEREZH (11/11/2014)

 

Une guerre sociale et raciale est à l’oeuvre mais peu nombreux sont ceux qui osent la présenter ainsi. Cette guerre trouve son origine dans la politique suivie par les bourgeoisies urbaines, généralement acquises au Parti Socialiste Français, de ségrégation territoriale des classes blanches populaires et moyennes.

Majoritaires, ces classes ne permettent plus la constitution de majorité politique en adéquation avec les désirs des oligarchies urbaines.

 

Rupture sociale, identitaire et territoriale

La France est désormais organisée autour de 14 “métropoles” dont Paris, rebaptisé le “Grand Paris”. Cette refonte administrative, encore accélérée par la pseudo “réforme territoriale”, vise à donner à ces ensembles les leviers politiques accompagnant ceux dont elles disposent au plan économique.

Pourtant, ces métropoles, qui comptent 7% des communes, ne concentrent que 39% de la population française, 61% se situant en dehors, dans les “périphéries” rurales, périurbaines, etc.

Dans le même temps, ces métropoles produisent les deux tiers de la production nationale annuelle. Comme le résume le géographe Christophe Guilluy :

“Pour la première fois dans l’histoire la population ne se retrouve pas là où est produite la richesse”.

Et de décrire la population des grandes agglomérations : cadres moyens et supérieurs administrant un appareil de production très efficace à forte valeur ajoutée, nourrissant à leur suite des populations immigrées chargées des tâches peu qualifiées payées à bas coût.

Les classes populaires et moyennes ont été progressivement évincées des banlieues de ces grandes agglomérations, les poussant à aller vivre à 40 ou 50 kilomètres de là, ou plus.

Contrairement à une idée reçue véhiculée par les médiats institutionnels contrôlés par la bourgeoisie urbaine, la pauvreté ne se concentre pas dans les banlieues immigrées. 85 % des ménages pauvres – qui gagnent moins de 993 € par mois, soit moins de 60 % du salaire médian – ne vivent pas dans les quartiers « sensibles ».

C’est donc dans les périphéries rurales ou périurbaines que se concentrent 61% de la population, en augmentation continue. Territoires où ne sont produits qu’un tiers de la richesse annuelle, même s’ils représentent 93% des communes.

 

Crise politique majeure

La fracture est donc territoriale, sociale et ethnique. Elle est aussi explosive. Dans un système démocratique relatif, la majorité politique découle de l’adhésion majoritaire du corps électoral. Or l’oligarchie urbaine, qui dispose des leviers politiques et économiques de par sa situation avantageuse au sein des métropoles, est de moins en moins en mesure de constituer une majorité autour d’elle. Ce qui se traduit parfois par la progression du vote Front National, mais surtout par l’abstentionnisme de masse.

La partie “utile” de la population se résume donc à 39% des habitants de l’Hexagone résidant dans les grandes agglomérations. Forts du contrôle des deux tiers de la richesse produite annuellement, le sort de ces 61%, rejetés par delà les murs des grandes villes, les indiffère. Voire les inquiète dans la mesure où, dans un système présidentiel unitaire où le suffrage universel est la règle, ces 61% ont un poids sans commune mesure avec leur influence économique.

En somme, 61% des Français posent un problème politique structurel. Problème d’autant plus alarmant pour l’oligarchie urbaine que leur profil politico-idéologique s’éloigne de plus en plus de celui de la bourgeoisie citadine des grandes villes dont l’univers mental est une sorte de morale humanitaire, cosmopolite et libertaire.

 

La réforme territoriale :  l’organisation de la ségrégation des classes moyennes blanches

La réforme territoriale en région Bretagne a tourné à l’affrontement entre les maires des métropoles, Brest, Nantes et Rennes, et les tenants d’un régionalisme intégré. Ce clivage a été si profond qu’il a littéralement divisé le Parti Socialiste Français et même la gauche régionale dans son ensemble.

En vérité, la bourgeoisie urbaine contrôlant ces trois grandes villes n’a rien de “socialiste” au sens où elle développerait l’idée d’une solidarité réelle, y compris entre territoires. Au contraire, les trois maires de ces villes ont fortement poussé à accroître les ruptures spatiales afin de “libérer” Nantes, Brest et Rennes de la menace d’un pouvoir régional fort capable de les dominer et donc de capter une part de leur production pour développer l’ensemble du territoire breton.

Les oligarchies métropolitaines de ces trois villes ne veulent pas avoir de rapports avec l’hinterland composé des “perdants” de la métropolisation et de la mondialisation. Au contraire, leur succès dépend étroitement de leur capacité à conserver le fruit de leur production dans le grand jeu de la concurrence entre grandes villes.

Il y a donc eu une “entente” entre Brest, Rennes et Nantes pour combattre l’état régional breton et protéger les intérêts de leurs oligarchies respectives.

En lieu et place, les trois édiles de ces villes ont donc promu l’idée d’une région” Grand Ouest”. Le but étant de créer une région si vaste et si hétérogène qu’elle ne disposerait pas d’un socle politique suffisant pour imposer sa volonté aux trois métropoles.

De fait, le “socialisme festif” métropolitain relève d’une animation culturelle chargée de masquer une politique de prédation et d’égoïsme structurels. Son humanitarisme moraliste ne trouve aucune déclinaison dans les faits, bien au contraire.

Les seules populations trouvant grâce aux yeux de la bourgeoisie de gauche de ces centres urbains sont celles des quartiers immigrés qui leur fournissent la main d’ oeuvre pas cher dans les services dont elles ont besoin.

Si bien que cette défense des immigrés est pour le moins ambigüe.

La ségrégation territoriale des classes moyennes blanches, par ailleurs en voie de déclassement, est donc une réalité, même si elle ne dit pas son nom et n’est bien souvent même pas conscientisée par ceux qui la mettent en place.

La crise a été temporairement réglée à Lorient, lors d’une rencontre au sommet entre partisan d’un “pouvoir ducal” fort et les comtes de Rennes et Nantes, aidé de l’édile de Brest.

Jean-Jacques Urvoas, représentant l’ancien président de région Jean-Yves Le Drian a défendu le maintien de la région administrative tandis que ses opposants exigeaient sa disparition. On a donc décidé de ne pas décider.

Ce que Jean-Jacques Urvoas traduit, dans une belle langue de bois devenue insupportable pour le peuple, par la formule “le débat doit se poursuivre”.

 

Abolir le régime présidentiel et marginaliser l’électorat populaire

Logiquement, les oligarchies urbaines veulent se débarrasser du système actuel. Il ne fonctionne plus car la répartition du pouvoir politique ne recoupe pas celle du pouvoir économique. Et nous retrouvons les lignes de fracture à l’oeuvre durant la Fronde ou la Révolution, les mêmes qu’avaient parfaitement identifiées Charles De Gaulle, architecte de la Cinquième République contre les partisans de la Quatrième.

C’est précisément cette compréhension qui l’avait poussé à proposer, en contrepoids à l’émergence de la bourgeoisie urbaine, un début de régionalisation.

Les grands féodaux, remplacés par les grands bourgeois, ont identifié le régime actuel comme devenu foncièrement ingérable. Un régime monarchiste absolu comme jadis, ou présidentiel fort comme aujourd’hui, s’appuie par définition sur le soutien du peuple contre les corps intermédiaires. Or ce peuple, de plus en plus majoritairement, ne soutient plus un chef de l’Etat Français qui, lui, provient également de cette grande bourgeoisie et sert les intérêts de celle-ci.

Le fossé entre le gros des masses populaires, ségréguées territorialement et socialement mais aussi identitairement, et les élites urbaines dirigeantes est devenu tel que la rupture menace.

La question qui se pose de plus en plus est simple : soit le président brise la grande bourgeoisie urbaine, ce qu’il ne peut ni ne veut, soit la présidence disparaît pour être remplacée par un théâtre d’ombres parlementaire. Une “monarchie de Juillet” républicaine en somme.

Sans surprise, les grands bourgeois, comme hier les grands féodaux, veulent une mutation du régime. Une mutation qui puissent sauver les apparences démocratiques afin de prévenir une révolution. Cette mutation consisterait à “compter les voix différemment”. Non pas qu’il faille revenir au vote censitaire, ce serait trop brutal et maladroit. Mais en redéfinissant le rapport entre représentation politique et aire géographique, ce qui revient au même.

Pour cela, la réduction du nombre de députés serait une heureuse et habile manoeuvre : sous couvert d’une mesure très populaire car hostile aux élites dirigeantes, on donnerait un poids beaucoup plus important aux élus des grands villes. Le nombre de députés des zones périurbaines et rurales pouvant être drastiquement réduit.

Dans le même temps – cela va de paire – permettre aux étrangers, concentrés dans ces mêmes métropoles, de voter à toutes les élections. A défaut, on naturalise à rythme accéléré pour s’assurer qu’ils solidifient toujours plus l’assise politique de l’oligarchie urbaine dont ces étrangers dépendent économiquement.

Pour faire bonne mesure, on reviendrait au régime des partis. Ce qui, grâce à une carte électorale réalisée avec finesse, permettrait de relativiser le poids de la majorité des électeurs populaires et de donner le dernier mot aux boutiques politiques tenues par l’oligarchie urbaine, singulièrement parisienne.

 

Montée du socialisme identitaire dans les couches populaires

Quoiqu’il en soi, il ne faudra plus très longtemps pour que l’oligarchie hexagonale ne décide de prendre les devants en proposant une réforme en profondeur de l’ordre politique en France. Faute de quoi, les couches moyennes en voie de déclassement la feront. Puisque ségréguées, majoritaires, écartées du processus de production concentré dans les grandes villes, les classes populaires et moyennes qui se paupérisent entrent en dissidence.

D’abord en conscience, de plus en plus électoralement. Résolument en termes de valeurs et de conceptions idéologiques. Pour les classes dominantes urbaines, la menace est trop sérieuse.

Il est logique, voire légitime, que ces catégories demandent à profiter des fruits de la production générées dans les grandes villes. Cela donne par nécessité une coloration sociale et égalitariste à leur demande. Dans le même temps, la concurrence par le bas à laquelle l’immigration les soumet, notamment pour ce qui concerne le logement et la jouissance du soutien de l’état-providence, les pousse naturellement vers un réflexe de défense collective autour d’une identité commune. On peut sans se tromper y voir un socialisme identitaire, pas nécessairement collectiviste d’ailleurs, en voie de constitution.

Ce qui explique pourquoi la gauche radicale ne parvient pas à capitaliser électoralement : l’immigration est voulue et validée par la bourgeoisie urbaine et sert les intérêts de cette dernière. La valider, c’est valider l’ordre établi et la répartition actuelle du pouvoir politique et économique. Les classes populaires et moyennes blanches ne peuvent naturellement pas s’y retrouver.

 

Clivages caducs

Le rapport de force n’est donc plus bipartisan. Il n’y a pas d’un côté “la gauche” et de l’autre “la droite”. Il y a d’une part un “socialisme identitaire”, qui ne vise pas tant à l’étatisation qu’à une demande profonde de solidarité naturelle et libre qui profite aux populations autochtones fragilisées. De l’autre, une bourgeoisie urbaine, cosmopolite, moralement humanitariste et économique ségrégationniste. Peuvent s’y retrouver des grands élus “de droite” ou “de gauche”, en fonction de sensibilité de détail.

On comprend dès lors pourquoi la crise au sein du Parti Socialiste Français s’aggrave, notamment entre élus ruraux et urbains, et plus généralement au sein de la gauche française. Car même lorsqu’elle conteste la métropolisation voulue par la bourgeoisie, la gauche est si viscéralement égalitariste, tiers-mondiste et antiraciste, qu’elle ne peut qu’être favorable à l’immigration par principe. Or cette position est globalement rejetée par les couches populaires et moyennes qui formaient souvent son électorat.

 

Le cas breton

Le cas breton a été particulièrement significatif et révélateur. L’apparition du mouvement des Bonnets Rouges a eu lieu dans la partie occidentale bretonne, soit en dehors de l’aire d’attraction rennaise et nantaise. Elle a été particulièrement aigüe dans le Kreiz Breizh. Elle n’a cependant pas mordu sur Brest mais a pu déborder en revanche sur Quimper. Sa composition sociologique est à l’image de ces classes populaires et moyennes évoquées : des paysans, des ouvriers, des artisans, des petits entrepreneurs et commerçants, des chômeurs et de jeunes étudiants, des retraités. Tous en voie de déclassement, tous unis par un puissant sentiment identitaire, base d’une solidarité revendicative.

Très logiquement, ce mouvement a sonné comme un coup de tonnerre pour la gauche institutionnelle régionale et singulièrement celle du Finistère.

Le PSF du Finistère n’a jamais pu ni ne pourra jamais mobiliser 20 000 ou 30 000 personnes. Fait révélateur, la section quimpéroise du parti manifestait encore le 18 novembre 2013 contre “le racisme”, rassemblant avec toute la gauche institutionnelle, quelques centaines de personnes. Le peuple, lui, n’était pas là.

En novembre 2013, alors que les Bonnets Rouges se rassemblaient à Quimper, cette même gauche institutionnelle, syndicats et partis, se retrouvait à Carhaix pour manifester contre le meneur, Christian Troadec. Elle s’est retrouvée à manifester contre le peuple et l’opinion publique, seule.

Depuis, elle n’a eu globalement comme réflexe que d’abreuver d’injures un phénomène politique et social qui traduit son désaveu. Qualifiant les Bonnets Rouges de “Benêts Rouges”, le dernier carré du socialisme masque mal son profond désarroi. Et a renforcé encore d’avantage l’impression d’arrogance de classe d’un clergé du Progrès autoproclamé que plus personne n’écoute. Bien loin d’améliorer la situation, cela a encore accru le fossé entre cette gauche et le peuple.

Que quelques paysans, aidés du maire de Carhaix, Christian Troadec, parviennent à avoir l’oreille des masses est un signe des évolutions en cours.

La presse régionale, par définition dépendante de l’oligarchie pour ses subventions, a raillé “l’échec” de Troadec aux élections sénatoriales.

Mais ces élections sont la caricature même d’un suffrage fermé où le peuple n’est pas convié et où les élus des grands partis se cooptent.

Le déni de l’établissement est total.

 

La gauche française ne comprend plus rien de ce qui se passe

Enfin, plus récemment et toujours à Quimper, les événements autour de la mosquée islamiste ont porté à son paroxysme l’incompréhension de la gauche institutionnelle pour la réalité sociale et idéologique dans laquelle elle évolue. Par antiracisme, conformément aux canons de beauté moraux de la bourgeoisie urbaine, la gauche institutionnelle a pris fait et cause pour l’édification d’une mosquée, symbole d’une religion qui, selon les critères classiques de la gauche, est objectivement misogyne, patriarcale et cléricaliste.

Que les tenants historiques du slogan “A bas la calotte et vive la sociale” en viennent, en 2014, à défiler à une petite centaine pour l’édification d’une mosquée donne la mesure de l’effondrement idéologique et dialectique de la gauche. Qu’ils en appellent à la préfecture pour faire interdire l’opposition, donne celle de leur impuissance.

En plus de passer pour partisans d’une religion “réactionnaire”, cet affolement se traduisant par un appel à la censure achève de convaincre l’opinion publique locale, déjà suspicieuse, de se démarquer électoralement. Surtout dans au sein de son électorat historique pour qui la laïcisme et l’athéisme sont des valeurs structurantes de la gauche historique.

Aveuglée, humiliée, arrogante, les cadres de cette gauche refusent de se rendre à l’évidence et persistent, ce qui loin d’améliorer leur situation, la fragilise encore davantage. Cela va si loin que même le bon sens politique, qui voudrait qu’on ne se mouille pas à ce point pour quelques éléments issus de la communauté turque de peur de s’aliéner les couches populaires, ne parvient pas à calmer ce jusqu’au boutisme de chiens enragés.

Il faut être lucide, la rupture territoriale est déjà là. La rupture politique, sociale et identitaire se profile. Les partis français tels qu’ils sont organisés ne recoupent plus la réalité économique et politique de notre temps. La “gauche” rennaise n’a rien à dire à la “gauche” carhaisienne, quand bien même les deux se revendiqueraient du Parti Socialiste ou du Parti Communiste.

La logique territoriale, identitaire, sociale et économique débouche sur une révolution politique. Ce que les tenants du statu quo, naturellement situés dans les partis institutionnels soumis aux oligarchies urbaines, refusent de voir et à tout le moins, de valider.

 

La voie est donc ouverte pour une nouvelle offre politique. Une offre identitaire, sociale, territoriale, trouvant l’équilibre entre les libertés individuelles et le Bien Commun des populations de souche européenne.

 

 

About the Author

- Boris Le Lay est éditorialiste pour BREIZ ATAO.

L'Etat Français a lancé un mandat d'arrêt contre lui pour avoir dénoncé l'invasion de l'Europe par les masses afro-musulmanes.

COMMENT LA FRANCE À LA BOTTE DES USA VA PERDRE 20 MILLIARDS D' EUROS !

$
0
0
Mardi 11 novembre 2014
Si la France ne livre pas le porte-hélicoptère Mistral, elle perd 20 milliards d’euros

Aucune chance donc que l'on ne les livre pas...

 

Si la France ne livre pas le porte-hélicoptère Mistral, elle perd 20 milliards d’euros

 

Le 13 octobre 2014, la Russie a signé un contrat avec la Chine pour des sous-marins de classe Amur. Le contrat pour les systèmes Triumph et les avions Sukhoi 35 sera signé dès 2015, selon la décision de la France en ce qui concerne les 4 porte-hélicoptères Mistral.

La déclaration du président Barack Obama selon laquelle la Russie est la principale menace pour l’humanité après l’épidémie d’Ebola, accompagnée de  économiques imposées par les États-Unis et ses sbires (, Japon et Australie), a été suivie d’un dur avertissement lancé par la porte-parole du département d’Etat américain, Jen Psaki.


Le gouvernement français a obtempéré et a relevé de ses fonctions le directeur du programme de Mistral qui avait fait entamer les préparatifs pour la livraison officielle du premier porte-hélicoptère à la Russie, le 14 novembre 2014.

https://temasekthunderbolt.files.wordpress.com/2014/10/img_0046.jpg?w=720

 

 

Ces gestes hostiles ont conduit la Russie à prendre des mesures, en donnant les premiers coups indirects. La première urgence pour la Russie est de protéger sa frontière orientale du danger des flottes militaires des États-Unis et ses alliés dans la région : le Japon et la Corée du Sud.
Protection assurée par un avant-poste puissant comme la Chine, le plus sûr allié de la Russie. La Chine, qui est devenue la première économie mondiale, possède les plus grandes réserves de devises étrangères au monde.

Sur le plan pratique, la Russie a signé un contrat avec la Chine pour la construction du sous-marin d’ de 4ème génération de classe Amur (projet 1650) le 13 octobre 2014. La Russie assurera le transfert de technologie pour la construction en Chine d’une série de 25-30 sous-marins extrêmement silencieux de cette classe, ce qui permettra à la marine chinoise de surclasser les groupes navals américains, japonais, et coréen opérant dans la région du Pacifique occidental.

Le sous-marin de classe Amur est équipé d’un système de propulsion indépendant de l’air atmosphérique (AIP), qui lui permet de naviguer sans avoir à remonter à la surface pendant un mois, suffisamment pour traverser d’un bout à l’autre l’océan Pacifique sans être dépisté.
Le sous-marin Amur dispose de quatre tubes de lance-torpilles horizontaux de cal 533 mm et 10 VLS (système de lancement vertical) pour les 
. Les lanceurs verticaux peuvent utiliser simultanément une vaste gamme de  de croisière (avec des rayons d’action allant jusqu’à 2 500 km), des  antinavires et des  AA de longue et moyenne portée.

 

 

 

La seconde urgence est la création des conditions pour briser le bloc monolithique créé autour des États de l’UE par les États-Unis pour imposer des sanctions économiques contre la Russie. Et la situation semble favorable à la Russie, sur le plan de la scène politique, préfigurée par la France, où le spectre du chômage atteindra dans quelques mois des niveaux dont la gravité pourrait paralyser le Président François .

En décembre 2010, Nicolas  rentre d’une visite officielle en  avec la plus grande commande de l’histoire de l’aéronautique commerciale, d’une valeur de 15 milliards de dollars, visant à livrer, pendant les 8 années à venir, 180 avions Airbus à la compagnie indienne IndiGo Airlines. Ce contrat s’est exécuté dans une proportion de 30 à 40 % et peut être annulé à tout moment. En 2012, toujours grâce à , le Rafale français de Dassault a été déclaré vainqueur devant son rival européen Eurofighter Typhoon en finale du concours MMRCA-126 de l’armée de l’air Indienne.

La compétition visait à sélectionner des types d’avions multi rôles pour remplacer les MiG-21 Bizon de l’Inde. Une des conditions du contrat initial, d’une valeur de 20-25 milliards d’euros étant que presque 100 des 126 appareils soient assemblés en Inde. Comme la France a établi une période de trois ans à compter de la signature du contrat-cadre jusqu’à la livraison du premier exemplaire au bénéficiaire, selon l’Ambassadeur de Russie à New Delhi, son Excellence Monsieur Alexander Kadakin: « l’Inde a toutes les raisons de ne plus être intéressée par les Rafales, d’ici la fin de 2014. »

La raison en est le contrat de la Russie avec la Chine pour la livraison de 28 systèmes anti-aériens anti-missiles de dernière génération, le S 400 Triumph, et 24 avions de chasse Sukhoi 35 S, approuvée par le Président Vladimir Poutine. Le Contrat doit être signé dans les premiers jours de l’année 2015. Si la France maintient la décision dictée par Washington de ne pas expédier les porte-hélicoptères Mistral déjà payés par la Russie, Poutine sera obligé d’offrir à la Chine des appareils Su-35 S, avec les pièces de rechange et 100 moteurs AL-41F1S à traction vectorielle (les plus puissants moteurs pour les avions multi rôles de génération 4 ++).

La Chine a surpris la planète entière en remplaçant récemment les radars PESA (Passive Electronically Scanned Array) par l’AESA moderne (Active Phased Array Radar) sur tous les cinq avions AWACS, appelé le KJ-2000. L’avion KJ-2000 (l’appareil russe IL-76 modifié), conçu comme un poste de commandement volant, est devenu plus puissant que le Boeing E-3C Sentry américain (équipé de radars PESA). Chaque KJ-2000 est capable de suivre 300 cibles aériennes ennemies, tout en dirigeant l’interception de chacune de ces cibles par 100 avions de chasse chinois.

 

 

 

Au lieu d’une antenne conique PESA, capable de tourner à 360 degrés pour pouvoir transformer les ondes radar en un faisceau étroit, l’antenne radar AESA est composé de 1 000 à 2 000 modules TR (émetteur-récepteur), qui fonctionnent indépendamment les uns des autres. La modélisation de la forme du faisceau radar et sa projection dans un secteur très étroit et très précisément délimité dans l’espace est réalisé numériquement par un ordinateur, en sélectionnant la puissance du signal émis par chacun des modules TR en quelques millionièmes de seconde. En outre, chaque module TR peut être programmé pour fonctionner soit comme émetteur, soit comme récepteur uniquement, avec des fonctions différentes en même temps.

Le radar AESA 50N6A est dérivé du complexes AA russe Tor-M2E (déjà installé en Biélorussie, c’est la première batterie russe de ce type) et S-350, ce qui signifie qu’il est venu en Chine pour une raison, fondée sur un accord russo-chinois. Mais le radar de 50N6A chinois a un plus grand gabarit que son frère N036 Byelka dont la portée est de 400 kilomètres, à bord des 22 avions Su-35 qui ont rejoint en 2014 la dotation de l’aviation  de la Fédération de Russie. Par conséquent, la Chine, qui a de l’argent, ne s’arrêtera pas au lot des 24 Su-35 S et a l’intention de commander plus de 100 appareils de ce type.

Ainsi, connaissant la servilité du président François Hollande vis-à-vis de Washington, l’option de la France est claire : pour l’instant les conditions de livraison des premiers navires de guerre Mistral ne sont pas remplies. Rafale, le meilleur avion de chasse français de tous les temps, devient, de manière imméritée, un simple enjeu, un trophée de chasse en conséquences du jeu politique dicté par les américains. Pour bien voir le coup porté à la France par le président Hollande, je vous propose de regarder une vidéo montrant en direct comment le rafale « descend » le meilleur avion américain, le F-22 Raptor, en manœuvres de combats aériens. Ensuite il « descend » quatre fois d’affilée, des avions Eurofighter Typhoon.

 

 

 

Par effet domino, l’Inde qui est la quatrième économie mondiale et espère étendre le gazoduc russe « power of Siberia » en Inde, a annoncé le 25 octobre qu’elle prévoit des réorientations en ce qui concerne ses contrats et qu’elle allouait un montant de 13 milliards de dollars pour certains nouveaux programmes militaires.
L’Inde, qui est le plus gros importateur d’armes russes et qui a jusqu’à présent produit sous licence 200 avions Su-30MKI, se voit obligée de renoncer aux Rafales. L’avion français, équipé de radar PESA, même si c’est mieux que le Su-30MKI, est inférieur au Su-35, qui a également des moteurs de traction vectorielle que Rafale ne possède pas.

 

 

 

La seule conclusion que l’on peut tirer est qu’il semble que l’Inde va commander 126 avions Su-35 S, au lieu de Rafales, tandis que la Russie ne sentira en rien l’absence des Mistral.

Valentin Vasilescu

Traduit par Avic – Réseau International

 

vu sur : http://www.wikistrike.com/2014/11/si-la-france-ne-livre-pas-le-porte-helicoptere-mistral-elle-perd-20-milliards-d-euros.html

ACTUALITÉ DE LA HAINE ANTI-BLANCS.......

$
0
0
Attaque terroriste et viols : actualité de la haine anti-blancs

Attaque terroriste et viols : actualité de la haine anti-blancs

11/11/2014 – NEW York (NOVOpress)
La presse française a assez peu relayé l’attaque terroriste mené par un Afro-Américain le 23 octobre dernier à New York. Car le profile de Zale Thompson (photo), noir américain converti de fraîche date à l’islam, qui a agressé à la hache et blessé sérieusement deux policiers avant d’être abattu, ressemble farouchement à bon nombre de « jeunes banlieusards » vivant en France.

Un cocktail détonnant où se mêle : délinquance (arrêté à six reprises en Californie, en 2003 et 2004, apparemment pour des affaires de drogue), fascination pour les terroristes djihadistes et haine anti-blancs. Car la police new-yorkaise, selon un enquêteur, a découvert en fouillant l’ordinateur du suspect des messages postés sur les réseaux sociaux clairement anti-Occident et anti-blancs.

La France Orange Mécanique

Plusieurs viols récents en France ont montré de manière parcellaire, le profile de certains violeurs. Devant l’absence d’éléments sur les personnes agressées et les agresseurs, il est difficile de savoir si chaque cas correspond à de la haine anti-blancs. Voici les informations que nous disposons :

 

- Calais : Une Calaisienne de 42 ans a été agressée sexuellement, par selon les témoignages de riverains et de témoins, « par au moins trois hommes, de type africain et coiffés de bonnet. Ce devait être des migrants. »

- Bordeaux : Une octogénaire, habitant le quartier de la gare, a été agressée sexuellement par un individu qui ne « parle pas bien le français »

- Lyon : Une femme a été violée et une autre agressée en moins d’une heure par un étudiant de 26 ans, né à Cotonou au Bénin et de nationalité française. (Le Progrès, 29/10/2014)

DES JEUNES FRANÇAIS DJIHADISTES EN SYRIE ....

$
0
0
De jeunes enfants français armés, djihadistes en Syrie

De jeunes enfants français armés, djihadistes en Syrie

11/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
La scène se passe dans la ville de Racca (Syrie) qui est aux mains de l’Etat Islamique.

Un homme parlant français s’adresse à deux enfants. L’un répond en français qu’il vient de “Strasbourg 6-7″. L’autre enfant déclare, avec un accent de la Ville Rose, venir “de Toulouse, de la Reynerie”, un quartier sensible ; à la question “tu représentes Mohamed Merah ?  Allah Ou-akbar !” il répond “oui”.

Plus tard le “Strasbourgeois” déclare “Vaux mieux venir ici car là où vous êtes [en France] vous avez pas de chance. Parce que là-bas, vous êtes dans un pays de «koufars» (infidèles). Ici on est des «moudjahidines», on est en Syrie, on est à Racca ici, c’est la guerre ici !”

Par le droit du sol ils sont français “comvouzémoi”.

La vidéo est hébergée par Daily Military Defense & War Archive dont le but est de présenter des documents sur la guerre vue des deux cotés.

L’organisme indique que la vidéo a probablement été filmée entre octobre et novembre 2014.

L' ÉTAT ISLAMIQUE PAS TRÈS " HALAL " !

$
0
0

Nutella et Red Bull pour les djihadistes de l’Etat Islamique

nutelle-djihadiste-2

Dans un précédent article, nous avions déjà signalé comment la Fondation Zora, directement liée à l’Etat Islamique, prodiguait des conseils aux femmes pour être de bonnes épouses de djihadistes.

Il était notamment question des recettes de cuisine idéales pour préparer des plats énergétiques pour les combattants islamistes.

On apprend maintenant que de nombreux djihadistes de l’Etat Islamique sont « accros » à des petits plaisirs bien occidentaux comme le Red Bull ou le Nutella.

red-bull-etat-islamique

«Chaque jour, quatre ou cinq camions chargés de Red Bull partent de la Turquie pour rejoindre les islamistes en Syrie », a déclaré Mustafa Yilmaz qui approvisionne une section locale.

nutella-djihadiste

Des jeunes djihadistes venus du Royaume-Uni s’amusent sur les réseaux sociaux à montrer qu’ils parviennent à s’approvisionner en Nutella. Une jeune fille  qui a rejoint les djihadistes à partir de l’Autriche a également raconté que le Nutella était une délicatesse très populaire parmi les combattants de l’Etat Islamique.

Tout cela est-il bien hallal ?

 

 

LA REALPOLITIK AMÉRICAINE........

$
0
0
Jeudi 13 novembre 2014

cia

Les États-Unis ont employé, via le FBI et la CIA, plus d'un millier d'anciens nazis comme espions ou futurs agents d'occupation.

Les États-Unis ont employé, via le FBI et la CIA, plus d’un millier d’anciens nazis comme espions ou futurs agents d’occupation, dans les années d’après-guerre, au motif de lutte contre le communisme, comme le rappelle avec justesse le New York Times du 27 octobre. 

Certains de ces nazis ont coulé une retraite paisible aux États-Unis, malgré la chasse aux criminels de guerre menée contre eux par le Département de Justice. C’est ce que révèlent des dossiers secrets récemment déclassifiés. L’ampleur de ce gentleman’s agreement a été bien plus important que ce que l’on savait déjà.

Otto von Bolschwing, par exemple, était un proche collaborateur d’Adolf Eichmann, architecte de la solution finale. En récompense des services rendus, il fut accueilli aux États-unis où il y mourut en 1981.

Aleksandras Lileikis, chef de la police de sécurité à Vilnius, participa à la déportation de 60.000 juifs lituaniens. Employé par la CIA en RDA, il émigra aux États-Unis en 1956 et en devint citoyen.

Voilà bien le grand Satan américain qui donne des leçons de morale au monde entier, fait la guerre à tour de bras et embauche des nazis contre lesquels il a mené, peu avant, une guerre totale. Ceci au motif de guerre froide contre l’URSS, dont elle a été l’alliée entre 1941 et 1945, pour justement défaire l’hydre nazie ! 

Eh bien oui, bienvenue dans la realpolitik, celle des alliances contre-nature et des arrangements sales de la géopolitique, une logique qui consiste à soutenir l’ennemi de notre plus grand ennemi du moment, au risque de l’armer contre soi lors des conflits suivants.

De même que ce n’est pas la France de Richelieu, puissance dominante du XVIIe siècle, par ses alliances avec les partis protestants les plus sectaires, qu’elle armait contre l’Autriche et l’Espagne, ruinant l’Allemagne pendant la guerre de Trente Ans (les mêmes protestants pourchassés à La Rochelle ou dans les Cévennes) qui a été cause de l’essor du protestantisme…

Dieu sait que je n’aime pas le manichéisme puritain des Américains, ni leur obsession de l’argent, ni leurs industries culturelles d’abrutissement.

Mais force est de reconnaître qu’ils ne se sont pas trompés lors des grands choix historiques, contre le nazisme, puis contre le communisme, et aujourd’hui contre l’islamisme.

 

vu sur : http://www.bvoltaire.fr/stephanbrunel/realpolitik-americaine-employeur-nazis-souteneur-islamistes,135948?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=98aa47b242-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-98aa47b242-30494613&mc_cid=98aa47b242&mc_eid=3bbbfa4636

LA SYRIE ET LA RÉSISTANCE CHRÉTIENNE ! INTERVIEW ....

$
0
0

Résistance chrétienne armée en Syrie – Interview de son commandant

Chrétien-Syrien-Johan-Cosar

Michel Garroté réd chef  —  Ci-dessous, un entretien avec l’agence de presse chrétienne SINA (ici en anglais), relayé en version française par Médias-presse-info, entretien avec Johan Cosar, chef chrétien syrien et commandant du Conseil Militaire syriaque (Syriac Military Council – SMC).

 

 

SINA – Quelle est votre situation dans cette guerre ?

Johan Cosar – L’opération Tel-Hamis est en cours depuis un certain temps maintenant. Nous (Syriac Military Council) et nos amis des GPJ (Unités de protection du peuple) continuons à lutter ensemble dans cette opération. Les villages que nous avons libérés des terroristes de l’Etat Islamique au début de l’opération restent encore sous notre contrôle.

 

Quels villages ont été libérés et sont sous le contrôle de la SMC ?

Tel-Marouf, Rheya, Sharmuc, Hareke, Abu-Ghazaf u Abu-Ghasayb. Ces villages sont sous contrôle des soldats du MFS et des GPJ.

 

Quels sont les villages qui pourraient encore être libérés et placés sous le contrôle du SMC ?

Derrière Tel-Hamis il y a 150 villages, et l’Etat Islamique s’y est implanté depuis plus d’une année.

 

Quel est l’objectif du SMC ?

Prendre le contrôle de l’ensemble du Gozarto avec nos amis des GPJ et libérer les 150 villages de l’Etat Islamique.

A quelle distance vous trouvez-vous des premières lignes de l’Etat Islamique ?

Nous sommes à 1,5 km au cours de la journée et 400-500 m dans la nuit. Nous essayons de nous rapprocher et de pratiquer des embuscades la nuit.

L’évolution de Kobané peut-elle avoir un effet sur l’ensemble du Gozarto et sur le SMC ?

Si Kobané tombe, ce sera une occasion pour l’Etat Islamique d’attaquer Gozarto. Si elle ne tombe pas, l’Etat Islamique voudra toujours essayer d’attaquer Gozarto et il y aura de fortes offensives.

Qu’est-ce que le peuple de Gozarto pense du SMC ?

La population a vu qu’il y a des soldats chrétiens syriaques qui sont prêts à se battre pour Gozarto. Les gens sont heureux en l’apprenant. Nos attaques ont augmenté, plus celles menées par nos alliés de la Sutoro. Il y a des étrangers chrétiens venus de l’Europe qui rejoignent le SMC.

De quel genre d’armes le SMC peut-il disposer ?

Kalachnikov, Biksi-Doshka, RPG. La plus grande arme dont nous disposons est la puissance de la volonté.

 

Enfin, avez-vous quelque chose que vous aimeriez dire aux chrétiens syriaques vivant à l’extérieur ?

Nous sommes les soldats de notre peuple ; nous nous battons pour la liberté de notre peuple.

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info


PAS D' ADHÉSION DE L' UKRAINE À L' UNION EUROPÉENNE.....

$
0
0

 

UE: pas d'adhésion d'Ukraine tant que ses fonds publics seront détournés (Prague)

Dossier: Accord d'association Ukraine-UE

UE: pas d'adhésion d'Ukraine tant que ses fonds publics seront détournés (Prague)
21:24 30/10/2014
PRAGUE, 30 octobre - RIA Novosti

L'Ukraine ne peut adhérer à l'Union européenne, tant que ses fonds publics seront empochés par des oligarques, a déclaré jeudi le chef de la diplomatie tchèque Lubomir Zaoralek, en visite dans la ville ukrainienne d'Oujgorod (ouest), rapporte le journal tchèque en ligne Ceske noviny.

"Les Européens ne permettront pas à leurs politiques d'accepter l'Ukraine au sein de l'UE tant que les fonds publics dans ce pays se retrouveront finalement dans les poches des oligarques, tant que des centaines de millions seront puisés dans le budget de l'Etat", a prévenu le ministre.

 

Et d'ajouter que les Ukrainiens, en tant que citoyens, devaient tout faire pour ne pas être dirigés par des personnes pour lesquelles la politique est un moyen de s'enrichir.

Selon M.Zaoralek, la République tchèque, où 150.000 à 200.000 ressortissants ukrainiens habitent, est extrêmement intéressée à ce que la crise en Ukraine soit désamorcée le plus vite possible.

 

Source:  http://fr.ria.ru/world/20141030/202867674.html

L' ÉTAT ISLAMIQUE ÉTEND SON POUVOIR .......

$
0
0

 

Début de la fin: l'Etat Islamique va battre sa propre monnaie

L'argent, c'est le pouvoir

Début de la fin: l'Etat Islamique va battre sa propre monnaie

 

L'organisation terroriste de l’Etat Islamique (EI) serait sur le point d’introduire sa propre devise, et de battre monnaie avec des pièces en or

et en argent pour renforcer son califat, rapporte le Daily Mail.


Des militants de l’EI auraient rapporté sur les médias sociaux que les religieux de Mossoul et de la province irakienne de Ninive ont affirmé au cours de prières que le groupe allait utiliser une ancienne monnaie islamique, le dinar.

De nos jours, beaucoup de monnaies fiduciaires portent encore le nom de dinar, mais comme toutes les monnaies modernes, elles sont exprimées sous la forme de pièces et de billets.


Cependant, le groupe terroriste envisagerait de créer un dinar à l’image

de celui d’autrefois, lorsque cette monnaie n’était constituée que de pièces d’or et d’argent.

Cette devise ne serait utilisée que dans les régions contrôlées par le groupe.

En septembre, des medias avaient rapporté que l’EI avait imposé son programme scolaire aux écoles primaires situées sur le territoire grand comme la Belgique qu’il contrôle, et qui comprend de larges zones de l’Irak et de la Syrie.

Désormais, les enfants de ces écoles n’apprendront plus de techniques artistiques ou musicales, ni la philosophie, les sciences sociales, l’histoire, la géographie ou la littérature.


Ces matières seront remplacées par d’autres matières approuvées par l’EI : idéologie, médecine, ingénierie, chimie, physique, gestion, agriculture, ou Islam.

Selon un rapport du Conseil des droits de l'homme des Nations unies publié en Août,

le groupe terroriste « fournit systématiquement des armes et de l’entrainement aux enfants ». 

 

Source: Express

 

vu sur : http://www.wikistrike.com/2014/11/debut-de-la-fin-l-etat-islamique-va-battre-sa-propre-monnaie.html

ARMÉE: LE SILENCE DES CHEFS MILITAIRES ???

$
0
0

LETTRE ASAF 14/10 : Les chefs militaires doivent parler


Ils vont le faire prochainement, comme tous les ans, à l’occasion de leur audition par les commissions parlementaires de la Défense.

Ils vont le faire prochainement, comme tous les ans, à l’occasion de leur audition par les commissions parlementaires de la Défense. Mais leurs propos ne seront guère connus, à moins que les médias ne les invitent à s’exprimer sans « langue de bois » sur les missions que remplissent nos forces en opération, leurs capacités, leurs insuffisances et leur moral.

Les chefs d’état-major en ont la légitimité, la compétence et aujourd’hui le devoir, tant la situation de nos unités est critique. Ils en ont aussi le droit. C’est ce qu’a rappelé monsieur Kader Arif, secrétaire d’Etat aux Anciens combattants, en réponse à une question posée par l’ASAF à ce sujet.

 

Pourquoi parler aujourd’hui ?

L’armée, bien que très appréciée, est méconnue de la Nation et la suspension du service national est loin d’en être la seule cause.


Depuis 30 ans, l’armée n’a cessé de se contracter comme peau de chagrin au point, qu’aujourd’hui, plus d’un tiers des départements n’a plus de garnison ! En 10 ans, entre 2009 et 2019, terme de la loi de programmation militaire en cours, l’armée professionnelle aura perdu 80 000 personnes soit le quart de ses effectifs.


Simultanément les multiples engagements opérationnels  contribuent à accentuer les méfaits de cette désertification militaire par l’absentéisme qu’ils induisent dans les garnisons.


Enfin, les restrictions financières se traduisent par une paupérisation des unités telle que, pour la plupart d’entre elles, les colonels n’ont plus les moyens d’accueillir les groupes scolaires ou de cadres civils qui désirent connaître et comprendre le fonctionnement de leur régiment ou de leur base. Dans ces conditions,  ne soyons pas surpris que les échanges avec la population et la connaissance réciproque civilo-militaire soient hélas parfois réduits à néant.

Cette situation est renforcée par le silence médiatique qui entoure le volet  militaire de nos engagements extérieurs au nom d’un pseudo « secret défense ». Comment les Français peuvent-ils comprendre ces opérations et leur justification en une minute au journal de 20 heures, au cours duquel  leur est présentée la vidéo d’un tir guidé laser en Irak, ou l’explosion d’une roquette tirée par un hélicoptère d’attaque Tigre au Mali ? Et s’ils ne comprennent pas ce qui se joue « là-bas », comment peuvent-ils soutenir leur armée ?

Pourquoi  n’y a-t-il plus aucun reportage sur la RCA où la France engage plus de 2 000 de ses soldats dans des conditions souvent « acrobatiques » ? Pourquoi ne pas annoncer et commenter davantage les succès de nos forces au Mali ?

 

Les chefs militaires doivent parler car ils en ont la légitimité

Ce sont eux qui commandent les soldats dans les opérations et engagent éventuellement leur vie. Ils connaissent les réalités opérationnelles, les forces et les faiblesses de notre armée mieux que quiconque. Ils connaissent bien les hommes et les femmes qui sont sous leurs ordres car, au cours de leur carrière, ils ont tous partagé pendant plusieurs années leur quotidien, leurs souffrances et leurs sacrifices. Par ailleurs, les  hauts responsables militaires ont une vision à long terme de leur action ; ils  ne sont pas soumis à des échéances électorales à très court terme…  Ils savent aussi qu’avec la conduite d’opérations qui s’inscrivent dans la durée, la préparation du futur à horizon de 20 ou 30 ans est une  préoccupation majeure. C’est d’autant plus vrai que leur formation est nourrie par une expérience de trois décennies de service, et que la vie des matériels majeurs s’étend sur près d’un demi-siècle.

 

Les chefs doivent parler car il y a urgence

Une armée est d’abord un corps hiérarchique dans lequel chacun remplit sa tâche en toute confiance. Cette dernière s’acquière, se développe et se renforce, dès le  temps de paix, dans la vie quotidienne, lors de l’instruction et l’entraînement. Le subordonné doit avoir toute confiance dans son chef et réciproquement. C’est à l’aune de cette confiance réciproque que se mesure la valeur d’une troupe ou d’un équipage. Or, la situation est aujourd’hui si critique que la confiance est menacée.

L’armée, que les réorganisations successives et incessantes ont tronçonnée, complexifiée et affaiblie, doute d’elle-même. Méconnue de l’opinion, sans cesse pressurée sur le plan des effectifs, contrainte excessivement sur le plan financier et pourtant employée à 120%, comme l’a rappelé récemment le chef d’état-major des Armées, elle perd confiance dans ses chefs qui souvent, avec les nouvelles structures et contraintes, ne peuvent plus résoudre les problèmes de leurs subordonnés qui relèvent en principe de leur responsabilité. Le commandement pourrait se trouver ainsi rapidement contesté et voir s’estomper la confiance de la troupe s’il n’obtient pas des améliorations rapides dans les domaines des conditions de vie et de travail.

 

La situation est bien plus grave qu’il n’y paraît

L’état des armées présente à court terme un tel risque d’implosion qu’il est urgent d’arrêter la spirale infernale qui menace leur cohésion. Parce que la classe politique continue d’ignorer les besoins réels de son armée, il appartient aux chefs militaires de l’expliquer à l’opinion. Cela n’effacera en rien la responsabilité personnelle des dirigeants politiques.

Le haut commandement se doit donc d’intervenir avec force et clarté pour que les Français prennent conscience de la gravité de la situation, faute de quoi ceux-ci la découvriront lors d’évènements graves, dont la résolution nécessitera alors, une armée robuste et disciplinée qu’ils n’auront plus !

LA REDACTION

 

Merci Michel M.

 

 

Commentaires (6)

  • Jean-Bernard COMTE

    15 octobre 2014 à 18:09 |
    Situation très inquiétante. Lorsque la base n'a plus confiance dans sa hiérarchie, tout est possible !
    Même constant dans l'industrie. Allez donc faire avancer un groupe après cela !!!
  • jallas

    16 octobre 2014 à 15:31 |
    Membre de l'ASAF je regrette l'attitude trop timorée à mon gré de ses dirigeants. Il me semble que seule une manifestation - analogue à celle de la manif pour tous - des militaires en retraite ou ayant été militaires serait à même de convaincre les pouvoirs publics de modifier leur politique de désintégration de notre Défense.
    (Il est totalement illusoire de compter sur les chefs militaires en fonction.).
    • Martin

      23 octobre 2014 à 20:17 |
      Je partage tout à fait cette opinion.
      Écrire est un plaisir personnel, mais sans considération de nos gourvernants.
      Parler, même devant nos gouvernants n'apporte rien,ils ne bouge que lorsqu'il y a blocage du paysan ors oui ã une manif d'anciens et des ascendants de nos filles et garçons sous le drapeau
  • Allobroge

    17 octobre 2014 à 17:36 |
    Ils doivent mais le feront ils ? Et les politiciens leur laisseront ils l'opportunité surtout si les militaires sont critiques et comment ne pourraient ils pas l'être, eux à qui on détruit l'outil de travail.Il faudra bien un jour que ceux qui nous gouvernent depuis plus de 30 ans prennent conscience que la variable d'ajustement budgétaire est arrivé au bout, que l'élastique va casser si ce n'est déjà fait !
  • Plume

    23 octobre 2014 à 19:33 |
    Oui, ils doivent le faire. Mais cela changera-t-il quelque chose ?
  • PYD

    25 octobre 2014 à 12:42 |
    Ceux d'actives peuvent parler, mais souvenez-vous de ce général de gendarmerie "écarté" pour avoir donné son opinion. Il y eut aussi des collectifs anonymes de gendarmes et de de militaires (les trois autres corps) qui publiaient des billets sous l'ancienne présidence et il me semble qu'ils ont été "traqués".
    Alors parler pour quel résultat? Il faut être entendu par le peuple qui est attaché à son armée et désinformé sur la situation.
    La commission de la défense est, selon moi, un bureau de comptables cherchant à encore plus désagréger l'armée sans que ça se voit (trop).
    Un mouvement populaire peut être une solution mais ne doit pas être récupérer politiquement.

DÉCÉS DU PÈRE DU " FAMAS " ! LE GÉNÉRAL PAUL TELL!É !

$
0
0

Décès du général Paul Tellié, le "père" du Famas

Depuis 1978, tous ceux qui ont porté l’uniforme, ou du moins une grande partie d’entre eux, ont eu entre les mains le fameux Fusil d’assaut de la Manufacture d’armes de Saint-Étienne, c’est à dire le Famas.

Peu nombreux connaissent son concepteur, à savoir le général Paul Tellié, qui s’est éteint dans sa 95e année à Sorède (Pyrénées-Orientales), où il s’était retiré, l’heure de la retraite venue.

Saint-Cyrien en 1940 ayant rejoint, après l’armistice, l’Afrique du Nord où il rencontra celle qui sera son épouse pendant 70 ans, le général Paul Tellié reprit ses études à l’âge de 30 ans pour obtenir un diplôme d’ingénieur. Par la suite, il fut nommé à la Manufacture d’armes de Saint-Étienne.

Là, le projet du Famas commença, sous sa direction, en 1967. Quatre ans plus tard, le premier prototype était prêt…

Une fois les essais achevé, le Famas entra en service au sein de l’armée de Terre à partir de 1978… Année où Paul Tellié obtint ses étoiles de général avant de partir en retraite. Pour avoir imaginé ce fusil d’assaut – produit à 400 000 exemplaires - il ne reçut qu’une « simple prime », a confié son épouse, au quotidien L’Indépendant.

« Mon mari avait son caractère. Quand il avait une idée, personne ne pouvait lui en faire changer. Ce qui lui a valu quelques soucis avec la hiérarchie. Il avait par exemple refusé de mettre au point un lance-flammes, car il estimait l’arme trop cruelle » s’est-elle aussi rappelé.

Outre le Famas, qui sera remplacé dans le cadre de l’actuelle Loi de programmation militaire, l’on doit aussi au général Tellié le Fusil à Répétition modèle F1 (FR-F1), qui fut la première arme de précision française. Cette dernière resta en service de 1966 à 1989.

SYRIE ELA RÉSISTANCE CHRÉTIENNE

$
0
0

Résistance chrétienne armée en Syrie – Interview de son commandant

Chrétien-Syrien-Johan-Cosar

Michel Garroté réd chef  —  Ci-dessous, un entretien avec l’agence de presse chrétienne SINA (ici en anglais), relayé en version française par Médias-presse-info, entretien avec Johan Cosar, chef chrétien syrien et commandant du Conseil Militaire syriaque (Syriac Military Council – SMC).

SINA – Quelle est votre situation dans cette guerre ?

Johan Cosar – L’opération Tel-Hamis est en cours depuis un certain temps maintenant. Nous (Syriac Military Council) et nos amis des GPJ (Unités de protection du peuple) continuons à lutter ensemble dans cette opération. Les villages que nous avons libérés des terroristes de l’Etat Islamique au début de l’opération restent encore sous notre contrôle.

Quels villages ont été libérés et sont sous le contrôle de la SMC ?

Tel-Marouf, Rheya, Sharmuc, Hareke, Abu-Ghazaf u Abu-Ghasayb. Ces villages sont sous contrôle des soldats du MFS et des GPJ.

Quels sont les villages qui pourraient encore être libérés et placés sous le contrôle du SMC ?

Derrière Tel-Hamis il y a 150 villages, et l’Etat Islamique s’y est implanté depuis plus d’une année.

Quel est l’objectif du SMC ?

Prendre le contrôle de l’ensemble du Gozarto avec nos amis des GPJ et libérer les 150 villages de l’Etat Islamique.

A quelle distance vous trouvez-vous des premières lignes de l’Etat Islamique ?

Nous sommes à 1,5 km au cours de la journée et 400-500 m dans la nuit. Nous essayons de nous rapprocher et de pratiquer des embuscades la nuit.

L’évolution de Kobané peut-elle avoir un effet sur l’ensemble du Gozarto et sur le SMC ?

Si Kobané tombe, ce sera une occasion pour l’Etat Islamique d’attaquer Gozarto. Si elle ne tombe pas, l’Etat Islamique voudra toujours essayer d’attaquer Gozarto et il y aura de fortes offensives.

Qu’est-ce que le peuple de Gozarto pense du SMC ?

La population a vu qu’il y a des soldats chrétiens syriaques qui sont prêts à se battre pour Gozarto. Les gens sont heureux en l’apprenant. Nos attaques ont augmenté, plus celles menées par nos alliés de la Sutoro. Il y a des étrangers chrétiens venus de l’Europe qui rejoignent le SMC.

De quel genre d’armes le SMC peut-il disposer ?

Kalachnikov, Biksi-Doshka, RPG. La plus grande arme dont nous disposons est la puissance de la volonté.

Enfin, avez-vous quelque chose que vous aimeriez dire aux chrétiens syriaques vivant à l’extérieur ?

Nous sommes les soldats de notre peuple ; nous nous battons pour la liberté de notre peuple.

Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

Viewing all 5650 articles
Browse latest View live




Latest Images