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DOSSIER: QUI FINANCE LES PUSSY RIOTS ? ( MICHEL GARROTÉ )

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Qui finance et manipule les Pussy Riots ?

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Michel Garroté, réd en chef – Le 21 août dernier, dans mon analyse intitulée « Pussy Riot – L’émeute des chattes » (voir lien vers source en bas de page), j’ai tenté de démontrer que les médias européens, notamment français, nous racontaient n’importe quoi, sur ces nanas hurlant dans les cathédrales, nanas pas si innocentes que ça.

Les lectrices et lecteurs trouveront, ci-dessous, une série d’informations très éclairantes, sur la face cachée des Pussy Riots, et, sur leur financement.

A vrai dire, je ne suis pas du tout surpris. Je n’ai pas cru une seule seconde que des gamines russes et ukrainiennes, mono-neurones et complètement fauchées, finançaient elles-mêmes, leurs déplacements, voyages, logements, frais de bouche (désolé mais c’est comme ça qu’on dit), contacts avec les médias, relations publiques, communication, publicité, relations avec le show-biz, exhibitionnismes, danses du ventre et des nichons, hurlements, etc.

Des ONG américaines de gauche financées par l’administration Obama ont utilisé les Pussy Riot.

 Lu ici : L’ancien maire de New York, Ed Koch, a publié ses commentaires sur l’affaire « Pussy Riot », dans lesquels il approuve la décision du tribunal moscovite.

Extraits adaptés de ces commentaires : L’élite culturelle occidentale se mobilise pour la défense des perturbateurs dans la cathédrale de Moscou. Certains approuvent l’attaque verbale contre Poutine. D’autres soutiennent la dénonciation de la direction de l’Église orthodoxe russe ainsi que les désordres dans l’édifice en raison du soutien que celle-ci fournit à Poutine. Tous ceux qui ont été cités caractérisent le problème comme étant celui de la liberté de parole. Ce n’est pas mon cas. Je suppose que bien des partisans des Pussy Riots adopteraient une position différente, et à juste titre, si ici, aux États-Unis, une église afro-américaine était envahie par trois hommes ou femmes se conduisant de la même façon, en profanant les endroits sacrés de l’église et en insultant le pasteur.

Je me rappelle que lorsque j’étais maire en 1989, le groupe de militants du mouvement « Act up » (association de lutte contre le SIDA), injustement en colère contre le cardinal John O’Connor, a envahi la cathédrale Saint-Patrick et interrompu la messe, jetant par terre les hosties consacrées – qui, pour les catholiques, sont le véritable corps du Christ. Certains furent arrêtés.

Pour autant que je puisse m’en rappeler, aucun n’a été puni. Je pense que la décision du tribunal russe de punir un délit de haine est juste et doit être applaudi, plutôt que condamné et ridiculisé.

On peut certes discuter concernant le degré de sanction, se demander si des amendes n’auraient pas été plus opportunes que des peines de prison, mais cela est du ressort des procédures pénales russes, conclut Ed Koch.

L’ancien conseiller du président américain Ronald Reagan, économiste et écrivain, Paul Craig Roberts,déclare, quant à lui, que ce sont des ONG financées par Washington qui ont utilisé Pussy Riots pour nuire au gouvernement russe et même, selon son expression,  pour le diaboliser.

Sur le financement des Pussy Riot, cet article révèle (extraits adaptés) : On sait désormais que l’oligarque en exil Boris Berezovski aurait visiblement prémédité cette opération de communication en se servant des Pussy Riot pour porter un coup médiatique au Kremlin.

L’ancien bras droit de ce dernier, Alex Goldfarb aurait selon ses propres dires collecté des fonds via la fondation internationale pour les droits civils, qu’il dirige mais qui a été créé par Boris Berezovski, et transféré ces mêmes fonds au projet Voice qui gère la défense des Pussy Riot à l’international.

Mieux, des bruits courent, selon lesquels des fonds auraient aussi été levés afin qu’une grosse agence de communication anglaise puisse payer des stars du Show business à l’ouest, et ce afin de leur faire prendre position en faveur des Pussy Riot.

 

Les naïfs qui pensaient  peut être que des stars courageuses pouvaient prendre position en faveur des punkettes doivent être bien déçus, la prise de position en faveur des Pussy Riot serait rétribuée près de 100.000 euros.

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Reproduction autorisée

Avec mention www.dreuz.info


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