Mais il faut plus.
L’école, à défaut du service militaire, doit redevenir le véritable ciment de la nation et moyen de promotion sociale, le lieu de l’apprentissage de la langue française, des valeurs de la République française où l’éducation civique aurait à nouveau un sens.
Mais il faut plus.
Les mosquées de France doivent désormais accueillir des imams formés en France et non plus au Maroc ou en Arabie Saoudite, ces derniers devront prêcher et enseigner en français comme cela est le cas pour les autres religions et les autres lieux de cultes.
Cesser de commercer avec ceux qui financent les terroristes
Mais il faut plus. Cesser de commercer avec ceux qui financent les terroristes. Cesser d’accepter que les clubs de sport, les chaines de télévision, les grands hôtels, les grandes compétitions équestres soient achetés par le Qatar. Refuser de subventionner nous-mêmes le matériel de guerre que nous leur vendons !
La real politique doit aussi avoir ses limites. La lâcheté aussi
La suppression de l’aide médicale d’État, des pensions de retraite attribuées à des immigrés qui viennent en France au-delà de l’âge de la retraite et qui n’ont jamais travaillé ni cotisé en France, des allocations données dans le cadre d’un regroupement familial qui se base sur des épouses multiples ou des enfants dont le lien familial direct est plus qu’incertain, des allocations sociales pour les parents d’enfants mineurs délinquants sont quelques mesures possibles pour contrebalancer, même symboliquement, la cessation de certaines recettes fiscales.
La Grande-Bretagne en applique déjà certaines sans pour autant être devenue un pays fasciste.
L’accueil de l’étranger au désir sincère de rejoindre la patrie des droits de l’homme doit rester une constante française sous réserve que ce dernier souhaite réellement s’intégrer et participer à la construction de la France comme l’ont fait tant d’immigrés avant lui.
En finir avec la bien-pensance et la perversion du langage
Pour que la France et toutes ses composantes retrouve leurs valeurs, leur position, leur éclat et leur rôle, il faut avoir le courage de dire ce que l’on pense et penser ce que l’on dit, en finir avec la bien-pensance et la perversion du langage.
La déclaration de Winston Churchill prononcée devant la Chambre des Communes le 13 mai 1940 résonne à nos oreilles avec une actualité inquiétante, mais c’est aussi à ce prix que nous retrouverons notre liberté et notre fierté.
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