Les musulmans islamophiles passent 30 fois plus à la télévision publique que les mécréants islamocritiques
Très intéressante vidéo publié par le site « Enquête et Débats ».
On y découvre – ce dont on se doutait un peu – que, sur la question de l’islam, pour passer sur les chaînes de télévision publiques, financées donc par nos impôts, il vaut mieux être musulman et enfumer le téléspectateur avec la religion d’amour, de tolérance et de paix, que non musulman, et oser émettre quelques réserves, voire parfois plus, sur l’islam, et les pratiques de ses disciples, en France et dans le monde.
On constate en effet, chiffres en main, l’incroyable disparité qui s’exerce sur les chaînes publiques, entre les fréquents passages d’Houria Bouteldja, Abdennour Bidar, Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dounia Bouzar, Abdelwahab Meddeb, Abd al Malik ou Yacine Bellatar, qui, chacun à leur façon, défendent l’islam, et ceux de Christine Tasin, Rémi Brague, René Marchand, Pierre Cassen, Marie-Thérèse Urvoy ou Anne-Marie Delcambre…
L’enquête réalisée par Jean Robin est en effet sans appel : à eux tous, en sans doute en ajoutant Véronique Genest, les « non-musulmans qui critiquent l’islam » ne totalisent pas 10 invitations sur les chaînes publiques.
Par contre, les « musulmans » approchent les 300.
Vous avez dit service public ? Vous avez dit « démocratie » ?
Paul Le Poulpe
Source: http://ripostelaique.com/les-musulmans-islamophiles-passent-30-fois-plus-a-la-television-publique-que-les-non-musulmans-islamocritiques.html
ET AUSSI
Je rêve d’être le nouveau chef de l’islam de France, devinez, devinez, devinez qui je suis…
Devinette : je suis un imam de France. Mais qui suis-je ?
Pour que les lecteurs de Riposte Laïque et les membres de Résistance Républicaine parviennent à me découvrir, voici un aperçu de mon pedigree.
J’ai toujours voulu naître en France mais Allah m’a fait naître en Tunisie.
J’ai choisi de fréquenter l’école coranique, réputée pour son enseignement des sciences humaines, des mathématiques, de la physique … puis j’ai roulé ma bosse à la recherche de « l’islam magique » qui m’a fait parcourir la Syrie, l’Algérie, l’Inde, le Pakistan et surtout la Turquie où les « minorités sont protégées ». Certains prétendent qu’elles ont été forcées à l’exode ou vouées aux massacres, les Grecs, les Arméniens par exemple, mais ce sont des négationnistes. Ce pays où « l’État est séparé de la religion », je le considère comme un modèle.
Arrivé dans mon pays, la France, en 1996, j’ai fait plusieurs boulots : en 2004, j’ai prêché le jihad dans un foyer Sonacotra. J’adore ce sujet car « celui qui va mourir au jihad ira en direction du paradis ». Cela m’a valu d’être défavorablement connu par la DCRI (Direction Centrale des Renseignements Intérieurs). Je ne vois pas pourquoi. Puis j’ai exercé comme pizzaiolo. Mes pizzas étaient excellentes et garantieshalal par les dépositaires de l’estampille à la mosquée d’Évry, tout près de chez moi.
Qui suis-je ?
Un jour, en 2006, pour avoir dit : « Les enfants d’Israël et d’Ismaël sont cousins », ma maison a été vandalisée. Cette parenté serait-elle mal vue ?
J’ai accepté de soutenir la loi contre la burqa. Perdre la burqa et gagner le voile, c’est tout bénef ! Maintenant, toutes les femmes musulmanes sont autorisées, en France, pays laïque, à porter le voile, le حجاب. ça sert d’être filou dans la vie.
En 2010, j’ai été agressé dans ma mosquée. Certains malintentionnés, ont affirmé que ce n’était pas vrai.
Je suis marié. Ma femme est française. Son prénom est Zeinab. Elle est « d’origine arabe et porte le voile ». Je la trouve « radieuse avec son voile ». Ma femme est « la bergère dans la maison de son époux ». J’ai cinq enfants, français bien sûr, aux ravissants prénoms bien de chez nous : Myriam, Mohamed, Soumeyya, Amina, Lyes. Ils sont scolarisés dans une école catholique. Mes filles peuvent y porter le voile. Quelle chance ! Car « on sonne le tocsin face à des femmes voilées pétries des valeurs de la République mais désignées comme des menaces en embuscade ». Quand elles vont chercher leurs enfants à la sortie des écoles « elles rencontrent des insultes et des moqueries et retournent chez elles, blessées ». C’est vraiment injuste.
« Je suis un membre de la oumma et un citoyen de la République. J’appartiens à la nation française et à la nation musulmane ». Franchement, quand on s’intègre bien – et je suis bien intégré -, « on peut même retrouver des racines communes d’une ancienne présence musulmane, spirituelle ou culturelle, anthropologique ou scientifique […] ». Bien sûr, il faudrait faire des recherches mais je le sens et ça me suffit.
Dans ma vie spirituelle, « je suis fièrement et heureusement pétri » par le Coran, qui est « surtout un ensemble de valeurs universelles ». Je suis un imam, l’homme le plus proche du Coran et donc, je « dois puiser au plus profond de ma foi et au plus profond de la charia ». L’iman que je suis « doit vivre avec son temps, dans son pays, avec l’inaltérable Coran » car la « Lumière coranique suffit à nos mosquées ». Je cherche à « imiter le Prophète tout au long de ma vie » car le Prophète est « un Coran qui marchait parmi les gens » (comme l’a dit Aïcha, son épouse, qu’Allah soit satisfait d’elle). Je suis un « traducteur fidèle des écritures ». Le Coran a quelque chose de magique : « C’est seulement avec les versets coraniques que l’imam peut dégoupiller les bombes islamistes ». C’est miraculeux, le Coran, même si les terroristes crientAllahou Akbar en lançant leurs bombes.
J’ai ma façon de défendre la laïcité : dans un pays laïque, les « cimetières musulmans peuvent constituer un terreau pour favoriser la fusion de l’islam dans la République ». Je l’affirme. C’est tout. Cette laïcité que j’affectionne « n’a pas besoin d’ayatollahs qui mesurent la distance entre la religion et l’état en mesurant la largeur du voile et la longueur de la barbe ». « Le but de la laïcité n’est pas de réprimer la visibilité de la piété qui a le droit de s’exprimer au nom de la foi ». Donc les prières musulmanes dans les rues de Paris ou d’ailleurs en font partie et je ne peux que les approuver.
1ercimetière public musulman à Strasbourg
J’espère vous avoir guidé suffisamment pour me découvrir. Si, par malheur, vous n’avez pas deviné qui je suis, c’est que je ne suis pas encore assez connu, cela viendra. Je m’emploierai à mieux façonner mon image médiatique d’imam français à l’esprit ouvert. Je fréquenterai encore plus les non-musulmans, je me lierai d’amitié avec les mangeurs kascher, avec les mangeurs de porc. J’accepterai des invitations des porteurs de kippas ou de croix. Je paraîtrai au maximum dans les manifestations publiques couvertes par la télé. Ainsi je gagnerai mon titre du meilleur iman français et du plus français des imams.
Si vous n’avez pas deviné qui je suis, adressez-vous à Christine Tasin, elle en sait long sur moi.
Et ça vous dit, vous pourriez chanter, sur l’air d’ « Au bal masqué… » d’après la Compagnie Créole :
Derrière mon loup je fais ce qui me plait, me plait.
Devinez, devinez, devinez qui je suis …
Aujourd’hui, je berne qui je veux, je peux.
Aujourd’hui tout est permis.
Le meilleur imam de France