L’islam, une menace qui plane sur l’Afrique
Face aux rêves, il y a les très réelles menaces auxquelles l’Afrique est confrontée aujourd’hui. L’islam a conquis aujourd’hui en Afrique des positions dominantes et souvent radicales. Il rassemble sur le continent environ 400 millions de fidèles, soit plus de la moitié de la population.
Cependant l’évolution d’un islamisme radical et intolérant, nourri de fondamentalisme et de populisme, fait peser une menace sur la stabilité des régimes africains modérés.
République islamique du Mali ? 22 mosquées à Trounkoumbé, 32 à Banconi, 10 à Yéréyé : le spectre de la mésentente
Si le gouvernement ne se ressaisit pas pour mettre de l’ordre chez les musulmans, notre pays va vers une catastrophe. Le terme islam selon un historien est chargé de sens pour un musulman, car il signifie «soumission», «abandon» à Allah ou «engagement» envers lui. Il exprime le sentiment le plus profond de ceux qui ont prêté l’oreille à la prédication de Mohammed. Musulman veut dire celui qui suit l’islam.
La création d’un ministère des Affaires Religieux et du Culte aurait provoqué un sentiment d’anarchie chez les musulmans. L’islam au lieu d’unir les pratiquants musulmans maliens tend à devenir un cercle de la violence.
A Trounkoumbé dans le cercle de Nioro, on peut dénombrer 22 mosquées pour une population qui n’atteint pas 50.000 âmes. Chaque grande famille nantie de Trounkoumbé possèderait sa mosquée.
A Yéréyé (22.000 âmes), situé à quelques kilomètres de Trounkoumbé, une dizaine de mosquées reçoit les fidèles.
A Bamako, c’est le quartier de Banconi en Commune I qui détient le record en construction de mosquées (32).
Le président de l’Assemblée Nationale du Mali attaché diplomatique de l’ambassadeur de France au Mali ?
«L’Inter de Bamako» répond par l’affirmative parce que c’est un mur mitoyen qui sépare la résidence de l’ambassadeur de France à Bamako et celle du président de l’Assemblée Nationale du Mali à la cité militaire de l’Etat-major. Des hauteurs de sa résidence l’ambassadeur de France voit tout ce qui se passe chez le président de notre auguste Parlement. Il le tient à l’œil.
De sa résidence l’ambassadeur de France peut capter toutes les activités du président de l’Assemblée Nationale du Mali (Issaka Sidibé) quand on sait que grâce au système de filature, on peut intercepter une conversation sur GSM en s’approchant au plus près de la personne écoutée.
Les «grandes oreilles», officielles ou sauvages, peuvent également brancher la borne reliant le réseau GSM au réseau téléphonique traditionnel. Là aussi, il convient de connaitre le lieu d’émission le plus régulièrement utilisé, souvent proche du lieu de travail ou du domicile de l’intéressé.
Pourquoi le Président de l’Assemblée Nationale du Mali refuse de donner le quitus du Parlement à Mariko pour un visa d’entrée en France ?
Connaissez-vous le nombre de personnes parties en France sous couvert du président de l’hémicycle ? Des quidams sont partis à Paris pour se déambuler ou continuer sous d’autres cieux. Trafic de visa ou clientélisme politique ? Une telle pratique n’augure rien de bon pour Bagadadji, quand on sait que le trafic de visa est une pratique courante chez nos élus nationaux. Nous savons que l’élu au perchoir fut député de 2002 à 2007.
En 2008, il partait fréquemment en France (à Paris où il a un appartement) avait beaucoup de difficulté à avoir son visa d’entrée en France, au motif que le prix d’une demande de visa était très élevé. Elu président, il refuse le visa français à l’honorable Mariko et permet à ses militants RPM de Koulikoro de l’avoir. Pourtant il existe bel et bien un réseau d’honorables qui font le trafic de visa d’entrée en Europe. Ce réseau d’honorables est connu par tous à l’Assemblée Nationale du Mali. Il est uniquement composé d’amis du Président de l’institution.
Et d’un ministre trafiquant de visa d’entrée en Europe
Un jeune ministre du gouvernement et chef d’un petit parti politique aurait transformé son domicile en un bureau de retrait de passeport visé pour l’Europe. Ce jeune ministre très mégalo est administrativement nul. Cependant, il sait comment voler ou détourner l’argent ou s’enrichir.
La Radio FM Patriote menacée de fermeture
La Radio FM dénommée Patriote est menacée de fermeture, sa fréquence aurait été affectée à tierce personne qui émet à Djélibougou à quelques mètres de radio Patriote. Avant son décès, Moussa Kéita avait cédé la fréquence à 6 millions de FCFA à Madjou Simpara.
Dans cet imbroglio politico-judiciaire qui oppose le directeur de radio Patriote aux héritiers de feu Moussa Kéita Traoré (ses demi-frères), c’est un abus de pouvoir. Le papier de vente a été établi entre Madjou Simpara et Moussa Keita et devant des témoins qui sont encore vivants. Ici, la police politique s’est mise en branle pour abusivement retirer la fréquence avec comme argument ;que la radio est toujours au nom de son premier promoteur Moussa Kéita. Une fois la vente effectuée Madjou devait passer chez un notaire pour procéder au changement de nom. Ce qui n’a pas été fait.
Alors pourquoi retirer la fréquence qui fait l’objet d’une vente ? Est-ce parce que Radio Patriote donne la parole aux auditeurs qui critiquent le régime en place ? Allez savoir auprès du chef des renseignements généraux et du ministre porte-parole du gouvernement?
Remaniement ministériel : IBK dans un dilemme cornélien
Selon des sources bien fondées plusieurs chefs rebelles doivent rentrer dans le prochain gouvernement. Le hic, beaucoup serait des hommes sans bagage intellectuel. Là n’est pas le mal. Ce qui fâche, c’est comment permettre à des rebelles qui ont pris les armes contre leur pays de diriger encore ce même pays. Ce serait permettre à ces apatrides de se préparer financièrement pour ensuite aller militairement prendre les armes et réclamer leur territoire.
IBK a successivement nommé dans ses gouvernements tous les grands délinquants financiers des régimes ADEMA et ATT des 20 dernières années (1992- 2012), tous des milliardaires qui se succèdent à la cité ministérielle. Un remaniement gouvernemental n’est plus la solution. C’est le pouvoir IBK qui est contesté pour raison d’un retour dans les Institutions des délinquants à col blanc.
Ibrahim Konaté pressenti DG des Impôts ?
L’Inspecteur des Impôts Ibrahim Konaté n’est pas un cadre inconnu des Maliens, il fut directeur de cabinet de son homonyme Ibrahim Boubacar Kéita à la Primature de 1994 à 2002. Son mentor, élu président du Mali, Ibrahim Konaté réclame sa part du gâteau : devenir Directeur général des Impôts.
Notre ancien directeur de cabinet ne cache pas ses ambitions pour ce poste. Selon nos sources il aurait reçu des promesses fermes pour diriger la boite. Directeur de cabinet d’IBK à la primature, il a osé évacuer son chien malade en France pour le soigner au grand dam du citoyen lambda.
Election à la CCIM le nom du futur président connu d’avance
C’est une farce d’organiser des élections à la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM), car le verdict serait déjà connu. Les mauvaises langues susurrent le nom d’un opérateur économique de Bamako connu sous le sobriquet «Sancho (thé Sancho)», gendre d’une haute personnalité du pays, qui serait en bonne position pour ratisser large.
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