L'ISLAM ET L'ESCLAVAGE SEXUEL ORGANISE (par Maurice D.)
L'État islamique est de mieux en mieux organisé.
Minurne vous avait déjà parlé de ces femmes yézidies et chrétiennes vendues au marché aux esclaves de Mossoul en Irak où elles sont amenées dans des cages...
Mossoul, Irak, 2014
Il y a maintenant plusieurs marchés, dont les deux plus grands sont toujours celui de Mossoul rejoint par celui de Racca en Syrie.
Un État digne de ce nom se devait de réglementer. C'est fait, et l'agence Iraqinews s'est procuré l'affichette qui fixe le prix de base des femmes en fonction de leur virginité supposée et de leur âge.
Ces prix sont assez modérées, si on les compare au prix des chèvres et des dromadaires vendus sur ces mêmes marchés : comptez environ 10 € pour une chèvre, 200 à 300 pour un dromadaire.
Sur cette affichette, placardée aux entrées des marchés on trouve les tarifs :
- Fillette de 1 à 9 ans : 200 000 dinars (138 euros)
- Fille de 10 à 20 ans : 150 000 dinars (104 euros)
- Femme de 20 à 30 ans : 100 000 dinars (69 euros)
- Femme de 30 à 40 ans : 75 000 dinars (52 euros)
- Femme de 40 à 50 ans : 50 000 dinars (35 euros)
Les femmes de plus de 50 ans ne sont pas commercialisées, étant impropres à l'usage que veulent en faire les acheteurs.
De plus leur prix ne justifierait pas leur nourriture et le coût du transport pour les acheminer du lieu de capture au marché. Les plus chanceuses se sont converties à l'islam, les autres, la majorité, ont été égorgées.
L'Organisation État islamique, dans un document daté du 16 octobre relevé sur un site arabe par CNN, rappelle la loi : "Chacun doit se rappeler que mettre en esclavage les familles d'infidèles et marier leur femme est un aspect fermement établi de la loi islamique".
Cette information survient peu après la diffusion d'une vidéo, montrant plusieurs combattants de l'Etat Islamique discutant, hilares, de l'achat de femmes yézidies. "Aujourd’hui c’est le jour de distribution, c’est la volonté de Dieu", lance l'un tandis que la personne qui filme fait le tour de la salle demandant qui veut d'une femme yézidie et si les intéressés seront "capables de la gérer".
Les hommes amusés détaillent leur façon de choisir : qualité de la dentition, couleur des yeux, fermeté des fesses et de la poitrine…
Ceux qui sont intéressés négocient ensuite le prix avec le vendeur.
Nous avons, sur Minurne, suffisamment dit dans notre publication sur la vie du prophète comment il faisait égorger les prisonniers mâles faits pendant les razzias qu'il organisait et mettre en esclavage femmes et enfants, dont il gardait une partie pour son usage personnel.
Il est inutile d'y revenir, mais cela légitime la pratique du meurtre légal et de l'esclavage en terre d'islam.
On nous objectera qu'en France, à l'exception des mille ou deux mille jeunes "loups solitaires" qui ambitionnent d'aller faire le djihad en Syrie, nous n'avons que des musulmans "modérés" sous la douce autorité du recteur Dalil Boubakeur, et que cet islam-bashing, pour reprendre une expression à la mode, est indigne.
L'ennui, c'est qu'un sondage IFOP récent publié par V.A. le 6 novembre donne une indication totalement contraire. Comme pour tous les sondages, il ne faut pas en prendre les chiffres à la virgule près, mais retenir les indications globales qu'il donne.
Ce sondage a questionné du 21 au 23 octobre 1 001 personnes françaises, âgées de 18 ans et plus, sur la participation de la France a l'intervention contre les djihadistes de l'Etat islamique.
Il révèle que si les deux tiers des Français sont favorables à cette lutte contre l'islam intégriste, ces deux tiers incluant des personnes d'origine musulmane, ils ne sont plus que la moitié chez les personnes qui revendiquent leur origine musulmane et un tiers chez celles qui se disent croyantes et pratiquantes.
Les personnes d'origine musulmane non croyantes et non pratiquantes votent comme les Français "de souche" dont 73 % sont favorables à la lutte contre le djihadisme, mais inversement les trois quarts des pratiquants sont contre toute atteinte à l'État islamique et cautionnent ses pratiques barbares par "solidarité religieuse" avec les terroristes.
Il y a donc bien une part importante de la population musulmane en France qui se sent plus proche du califat que de son propre pays.
Dalil Boubakeur a aussitôt dénoncé cette révélation, affimant que "L'unité des musulmans avec l'UOIF est plus important (sic) que les idées partisanes".
Mais pourquoi Boubakeur fait-il donc référence à l'UOIF ?
Boubakeur recevant dans son bureau un dhimi (soumis)
L'UOIF a baptisé le collège privé musulman de Marseille "Collège Ibn Khâldoun", dont les enseignants, s'ils répondent aux critères exigés par l'Education nationale, sont rémunérés par nos impôts.
On y professe, c'est normal, l'enseignement religieux d'Ibn Khâldoun et donc celui de Majid Khadduri qui se réfère lui-même à Ibn Khâldoun dès qu'il aborde les question du djihad et de l'esclavage dans l'islam. (Majid Khadduri, War and peace in the law of Islam, The Johns Hopkins Press, Baltimore et Londres, 1979 - Le chapitre V, est consacré à la doctrine du djihâd).
Khâldoun a vécu au XIVème siècle, il enseignait la charia à l'université Al Ahzar du Caire. Il dit : "Dans l’islamisme, la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de gré ou de force. On a donc établi chez les musulmans la souveraineté spirituelle et la souveraineté temporelle, afin que ces deux pouvoirs s’emploient simultanément dans ce double but" (Ibn Khaldoun, Les Prolégomènes, trad. M. G. de Stane, Paris 1862-1868, t. I, p.469). C'est clair et bien dit.
Khadduri de son côté explique que la soumission des familles non musulmanes par leur esclavage est légitime, de même que l'usage sexuel de leurs femmes par les mâles musulmans.
Vous imaginez que nos féministes de bazar, Caroline Fourest, les Femen, Najat Belkacem, Christiane Taubira, etc. sont tous les jours à la porte du collège Ibn Khâldoun pour y manifester les seins nus barbouillés de slogans contre Mahomet et cette exploitation commercialisée de la femme ? Et bien non !
Pas plus qu'elles ne prennent la défense des Chrétiennes d'Orient vendues comme du bétail sur les marchés islamiques, elles ne prennent celle d'Asia Bibi, cette jeune chrétienne condamnée à mort au Pakistan pour avoir bu l'eau d'une fontaine dont elle ignorait qu'elle était réservée aux musulmans.
Comme autrefois, en Afrique du Sud, il y avait des fontaines réservées aux blancs. Car c'est bien un apartheid que les musulmans mettent en place partout dans le monde pour différencier la race musulmane des races inférieures.
Je parle de "race" puisque la loi française, en sanctionnant la critique de l'islam sous le nom d'islamophobie, a créé de fait un délit racial du même ordre que celui qui sanctionne la judéophobie et l'antisémitisme.
Personnellement je considère qu'une religion n'est pas une race, mais les socialistes, si.
En France il y a heureusement de vraies féministes, elles s'appellent Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie. Elles s'activent pour convaincre les parlementaires français et européens de mener "une initiative diplomatique d'urgence… (pour) une mobilisation internationale d'ampleur" pour la défense de la femme dans le monde musulman.
Elles sont bien seules.
Pas de Belkacem, pas de Royal, aucune des ministres du gouvernement en fait, mais pas non plus de Marine Le Pen pour les soutenir : les voix musulmanes aux prochaines élections ont bien plus d'intérêt que la vie ou l'esclavage sexuel des chrétiennes et des yézidies.
Maurice D.