OTTAWA, MALI, SYRIE, IRAK, MÊME COMBAT ! (Maurice D.)
Lundi dernier, deux jeunes militaires canadiens en uniforme, marchant dans une rue d'une banlieue sud de Montréal, ont été fauchés volontairement par la voiture d'un canadien de 25 ans de retour de son djihad en Syrie-Irak.
L'un a été tué sur le coup, l'autre gravement blessé. la police arrivée rapidement a abattu sans hésiter l'assassin musulman déclarant agir "au nom d'Allah", après une course poursuite. Comme on écrase un cafard.
Officiellement, moins de cent djihadistes de nationalité canadienne sont rentrés au pays. Plus de mille en France. Pourtant, comme en France, la police canadienne affirmait les surveiller et les suivre de près.
Hier mercredi, en fin d'après midi pour Paris, le matin à 9 h 50 pour les Canadiens, deux de ces jeunes djihadistes ont attaqué à quelques minutes d'intervalle, à Ottawa, capitale fédérale du Canada, les soldats en poste devant le monument aux morts et le Parlement fédéral.
Des coups de feu auraient également été entendus à proximité d'un centre commercial, Rideau center.
Des deux soldats du monument aux morts, l'un est mort, l'autre à l'hôpital. Dans un pays traditionnellement réputé pour sa liberté de penser, de parler et de circuler (presque l'antithèse de la France), ces jeunes soldats ne s'attendaient pas à être agressés par des animaux sauvages en pleine ville.
Au Parlement, une fusillade de plusieurs minutes a eu lieu, et un autre djihadiste a été abattu, Michael Zehaf-Bibeau, le second serait toujours recherché à l'heure où j'écris.
Bientôt à l'Assemblée nationale ?
Attendons la suite, mais constatons que cela remet en cause la politique qui consiste à considérer ces jeunes crétins islamisés comme "récupérables" sous prétexte qu'ils ont un passeport national, et qu'avec de la patience et de la douceur on leur fera comprendre que la vie en Occident est préférable à celle que leurs parents ont fui en venant se réfugier dans nos pays.
Ils ont subi un tel lavage de cerveau dans leurs mosquées et pendant leur djihad qu'ils sont tout aussi irrécupérables que l'étaient les jeunes nazis ou les jeunes communistes endoctrinés sous Hitler et Staline dans les locaux des Jeunesses hitlériennes et des Jeunesses communistes.
Cela remet surtout en cause le mythe d'un islam "modéré" assimilable par la République, opposé à un islam djihadiste que notre armée combat dans plusieurs pays d'Afrique, cinq selon ce qui était dit à C dans l'air hier soir, alors que nous pensions n'être en guerre qu'au Mali et en Centre-Afrique. Sans oublier l'Irak et l'Afghanistan où nos soldats sont toujours présents.
Mais ça, c'est le mensonge socialiste ordinaire.
Il faut bien comprendre une chose, que nos minus habens du gouvernement et du PS ont du mal à assimiler, formatés qu'ils sont par le marxisme et l'enseignement public rétrograde dispensé dans la France d'aujourd'hui.
C'est qu'on peut être racketté et ruiné de 2 façons :
- la première : vous vous laissez séduire par une annonce vous promettant qu'en investissant vos économies dans un placement miracle, vous aurez rapidement doublé votre mise ;
- la seconde : trois voyous encagoulés pénètrent chez vous un soir, vous menacent un rasoir à la main, égorgent Médor qui voulait vous défendre, violent Mamie et partent avec bijoux, argenterie, argent liquide.
La première méthode est "modérée", la seconde violente. Mais l'objectif et le résultat final sont les mêmes : vous prendre tout ce que vous avez de précieux, vous arracher l'avenir heureux que vous envisagiez.
Avec l'islam, c'est exactement la même chose.
Il y a la méthode violente, celle des conquêtes des VIIème et VIIIème siècle, celle de l'Espagne andalouse, celles moins connues de la Grèce, de la Macédoine, de la Bulgarie, de la Judée, etc. Celle de Boko Haram, des Talibans, de l'ASL, de Daech... Conquêtes faites au sabre ou à la kalachnikov, dans un fleuve de sang avec leur cortège de décapités, de crucifiés et d'esclaves.
Et il y a aussi la méthode dite "modérée", que l'islam a utilisée à maintes reprises dans l'histoire. Elle est à l'œuvre chez nous.
Dans un premier temps, les musulmans arrivent comme commerçants, réfugiés politiques ou économiques, voire en touristes. Quand ce n'est pas nous qui les faisons venir pour occuper les emplois les plus rébarbatifs. Ils ne demandent rien que le droit de vivre et de pratiquer leur religion dans la discrétion.
Puis, soutenus par tout ce que la société compte de gogos associatifs, ils se posent en victimes d'actes racistes et de discriminations diverses, pourtant bien moins graves que celles subies par leurs concitoyens dans leurs pays d'origines livrés depuis les indépendances à la corruption politique, au terrorisme islamique et à la misère.
Ils réclament alors, avec l'aide d'élus avides de voix électorales et de syndicalistes en quête de légitimité, des "petits" droits différents : vêtements, viande halal, prière du vendredi, lieux communautaires, aides et regroupement familial, logements, séparation des hommes et des femmes, gratuité des soins. Ce que nos amis québecois nomment joliment "les accomodements raisonnables".
Nous en sommes là, presque partout en France.
Devenus nombreux et forts, ils prennent alors le pouvoir politique, exigent une justice et un droit différents, entament un combat ouvert contre tous ceux qui ne sont pas musulmans et refusent de se soumettre, et les expulsent. Comme on l'a vu au Kosovo, berceau de la Serbie où les albanais musulmans immigrés et descendants d'immigrés devenus majoritaires ont chassé les Serbes avec l'appui de l'OTAN et du "gouverneur" Bernard Kouchner.
Cette phase de la conquête en est à ses prémices dans certaines villes de France, comme on peut le voir à Lille, Roubaix, certaines banlieues de Lyon, Nantes, Bordeaux et Marseille où la communauté musulmane "modérée" exige et obtient des terrains et des subventions pour ses mosquées, des cantines halal dans les entreprises, la tolérance du voile, un enseignement expurgé de tout ce qui pourrait contrarier la version islamisée de l'histoire et des sciences sociales, expulsant les forces de l'ordre de quartiers entiers où les politiques finissent par recommander ou même ordonner de ne pas intervenir "pour ne pas faire de provocations".
Tant que l'islam est minoritaire, il est conciliant. Dès qu'il est majoritaire il redevient ce qu'il est partout : dominateur, esclavagiste et intolérant.
En France, nous voyons bien, enfin, au moins ceux qui vivent dans leur quartier au contact des musulmans (ce qui est trop rarement le cas des politiques), les dents de la hyène pointer sous le sourire avenant du petit commerçant de quartier si sympathique et ouvert jusqu'à plus d'heure.
Cela dit, il est vrai que certains sont parfaitement intégrés à la France, leurs racines ne sont découvertes que par la connaissance de leur nom. Mais combien ? Ceux-là ont leur place dans la société française qui n'a jamais repoussé le moindre étranger qui veut sincèrement s'y assimiler, acquérir sa langue, ses moeurs, sa culture.
Par contre, qu'ils soient Huns (Ste Geneviève), Anglais (Jeanne d'Arc) Nazis (de Gaulle) ou Musulmans, tous ceux qui ont tenté de nous coloniser ont été ou seront finalement rejetés, fut-ce au prix du sang.
Parce qu'elle est comme ça la France, fière de son histoire, de sa langue, de sa culture, de son humanisme.
Ce qui nous choque le plus, c'est le manque de loyauté qu'est le refus de la réciprocité.
Nous les accueillerions volontiers s'il nous était permis de construire des églises, des synagogues, des temples en terre d'islam ; s'il nous était permis d'aller nous installer chez eux comme ils le font chez nous et d'y recevoir des aides sociales, des logements, des soins comme nous les leur prodiguons (il n'y a que le Maroc qui pratique au moins partiellement cette réciprocité) ; s'ils nous proposaient d'annuler dans nos mémoires leurs tentatives de colonisation militaire en Europe du 7ème au 19ème siècles en échange de la notre au Maghreb et au Moyen-Orient au 19ème siècle jusqu'au milieu du 20ème, d'oublier l'esclavage islamique qu'ils pratiquèrent intensivement chez nous en échange de l'oubli de celui, commercial, que nous avons pratiqué un temps chez eux.
Seulement le langage qu'ils nous tiennent est qu'ils veulent tout, le plus vite possible et nous imposer leur loi et que de gré ou de force nous devrons accepter.
Ça, nos politiques lâches et timorés sont prêts à le leur céder en échange de leurs voix, que ce soit Mélenchon, Hollande, Juppé ou même, depuis quelques mois, Marine Le Pen fâcheusement influencée par Florian Philippot.
Mais nous, les Français, nous ne le voulons pas.
Ils s'intègreront selon nos lois et nos mœurs, ou ils partiront.
Nous ne nous laisserons pas coloniser par la politico-religion ultra-conservatrice, dominatrice et oppressive qu'est l'islam.
Quant aux médias qui, comme TF1, ont prétendu, dès qu'ils ont eu connaissance de l'attaque islamiste d'Ottawa, que le djihadiste canadien Michaël Zehaf-Bibeau n'est pas un terroriste mais un "pauvre petit gars perdu dans notre société perverse et consumériste", il faut qu'ils sachent qu'un jour ils seront purgés de tous les cafards qui les peuplent.
Maurice D.
On pourrait ajouter que le Sergent Kevin Vickers, qui a abattu le terroriste est aujourd'hui considéré au Canada comme un héros national. Il a été félicité par les élus ainsi que par le Ministre de la Justice Peter MacKay (voir la vidéo ci-dessous).
Je vous laisse deviner le sort que les médias lui aurait réservé en France, sans compter la justice taubiresque qui l'aurait immédiatement mis en examen pour s'assurer qu'il s'agissait bien d'un cas de légitime défense et d'une riposte appropriée à l'attaque...
MLS