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LA VRAIE NATURE DE L' ISLAM ( 6) ( MAURICE D.)

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LA VRAIE NATURE DE L'ISLAM (6) - L'HÉGIRE ET LA CONQUÊTE

 

Ce texte constitue le sixième volet d'un document qui en compte dix :

 

LA VRAIE NATURE DE L’ISLAM (6)

 
IMPERIALISTE, INTOLERANT, TOTALITAIRE

 MIEUX LE CONNAITRE POUR MIEUX LE COMBATTRE

 

L'hégire et le début du pouvoir temporel de Mahomet


Refoulés par les arabes chrétiens de Ta'if, Mahomet et ses fidèles muhâjirûns allèrent alors jusqu’à Yathrib (Médine) où Mahomet avait sa belle-famille, celle de son épouse juive Khadîdja et des amis dévoués à sa cause.

On appelle cette fuite à Yathrib  «l’Hégire». Elle eut lieu le 24 septembre 622, même si, pour des raisons d’adaptation au nouveau calendrier, on l’a ensuite datée du 17 juillet 622 quand elle a été donnée pour la première année du calendrier musulman.

On était donc en 622 pour les Chrétiens du pays, en 4383 pour les Juifs et en 0 pour les adeptes de l'abrahamisme restauré par Mahomet, que lui-même n’appelait pas encore isläm (qui signifie en arabe "la soumission").

Yathrib sortait tout juste de graves conflits entre deux tribus, les Aws et les Kazrajau.

Les notables arabes et juifs, associés dans la gestion de la ville, pensèrent que l’homme charismatique qu’était Mahomet saurait se poser en arbitre et obtenir un retour définitif au calme qui permettrait de relancer le commerce. Il se retrouva donc tout de suite en position de prendre le contrôle politique de Yathrib. Il ne s'en priva pas.

 

Mahomet à Médine.jpg

Mahomet arbitrant à Médine

 

Lui et les muhâjirûn furent très tôt rejoints par les ansârs, des yathribois qui adhérèrent aux préceptes juridiques et religieux que Mahomet préconisait. De plus, sa belle-famille juive le poussa à s’associer aux clans juifs de Yathrib dans une série d’accords qui furent appelés "Constitution (ou Charte) de Médine" (fin de l'année 622).

Politiquement parlant, c’était une innovation spectaculaire, puisqu’on substituait aux associations tribales bédouines traditionnelles une association inter-raciale et inter-religieuse, fondée sur un concept géographique, la province de Yathrib, maintenant Médine (Madinatan'Nabi signifie "la ville du prophète"), par des gens désireux de participer à la création d’une structure sociale nouvelle.

Mahomet, pour se concilier tout le monde, expliqua aux Juifs qu'il considérait leur religion comme très proche de celle qu'il prêchait et que, d'ailleurs, personne, juif ou chrétien, ne devait la craindre, puisque c'était celle d'Abraham qui, ayant vécu avant Moïse et Jésus, n'était ni juif, ni chrétien.

Cette charte de Médine contient plusieurs articles qui permettraient aujourd'hui de régler le conflit israélo-arabe, comme "Aucun croyant monothéiste ne doit en tuer un autre" ou "Les Juifs ne font qu'une communauté avec les musulmans…", mais Mahomet l'a vite violée, comme beaucoup de ses principes du début de l'islam.

À partir de-là, c’est-à-dire du moment où Mahomet sentit qu’il tenait son État islamique, même si ce dernier était encore balbutiant, le rythme des révélations s’accéléra et elles devinrent plus longues et plus détaillées.

La sourate "La Vache", la plus longue du Coran, en est le meilleur exemple. Un ordre politique, social et religieux nouveau s’instaura peu à peu.

 

La réussite sociale de Mahomet, ses petits arrangements avec la loi

 

Mahomet maîtrisait maintenant les trois éléments qui définissent la réussite sociale d'un homme : le sexe, par lequel il s'était illustré dès son adolescence, l'argent, obtenu par son mariage avec une vieille et très riche veuve, le pouvoir sur les hommes, qu'il détenait depuis son arrivée à Médine.

Assuré de son autorité, Mahomet promut Khadîdja au rang de première épouse, c’est-à-dire chef de la maisonnée, mais écartée de son lit car elle avait maintenant soixante-huit ans et, de toute façon, elle ne lui avait pas donné de fils.

Puis, alors qu'il avait 53 ans, il épousa Aïcha, la très jolie fillette âgée de neuf ans d’Abû Bakr, le compagnon de la première heure.

Il prit encore assez rapidement huit épouses de plus, sans compter les maîtresses et concubines, mais c’est Aïcha qui resta toujours sa préférée.

Car, en plus d'être belle et rapidement devenue très habile aux jeux de l'amour, Aïcha était riche.

 

Mohammed-and-Aisha.jpg

 

Ce mariage avec une gamine ne fit pas scandale, c'était courant chez les Arabes.

Ses amis lui ayant fait observer que cela faisait quand même beaucoup, Mahomet eut une révélation qui fixa le nombre légal d'épouses à quatre, plus autant de concubines que l'on voulait, à prendre parmi les esclaves de la maisonnée (Coran sourate 4).


Mais une autre révélation précisa que Mahomet étant prophète était donc parfait et pouvait, lui, dépasser ce nombre et prendre autant de femmes qu'il pourrait en consommer.


Il eut donc, pour lui-même, jusqu'à quinze femmes et onze concubines simultanément, chiffre au-delà duquel il semble qu'il n'arrivait plus à assurer. Il le dit lui-même à deux reprises dans le coran (18:109 et 41:5), il n'est qu'un homme comme nous, enfin presque car il a deux avantages : il a un sexe d'acier et c'est lui qu'Allah a choisi pour la "révélation".

Cependant, quand il obligea Saïd, un esclave qu'il avait affranchi et adopté, à répudier sa femme, Zeïnab, cela fit scandale. La légende dit que, Zeïnab et Saïd habitant dans la grande maison de Mahomet, celui-ci serait tombé amoureux de ZeÏnab après l'avoir vue faire l'amour avec son mari.

Les peintres persans ne se sont pas privés de s'en moquer dans des tableaux devenus impensables dans l'islam rigoriste actuel.

 

zayd-zaynad-mahomet.jpg

Mahomet se masturbant en regardant Saïd s'occuper de Zeïnab (11e siècle)


Ce désir incestueux aurait tellement perturbé Mahomet qu'Allah, représenté ci-dessous en buisson noir et desséché, voyant que Mahomet tentait pour se guérir de retrouver Khadîdja devenue bien vieille (le squelette) l'aurait autorisé à prendre Zeïnab comme épouse.


Comme dit le proverbe : de deux maux, il faut choisir le moindre.

 

mahomet-khadidja.jpg

L'autorisation d'Allah (le buisson noir) est inscrite dans le texte à droite

 

Pour justifier ce mariage, Mahomet eut une nouvelle révélation dans laquelle l'archange Gabriel précisait que Mahomet pouvait disposer des femmes des autres comme il l'entendait (Coran sourate 33).



Ne pensez pas que j'en fais trop en insinuant que Mahomet c'était Rocco Siffredi et DSK réunis !

 

Ces épisodes de la vie du prophète sont à l'origine d'une réunion du Parlement égyptien le 27 avril 2012. Il y fut proposé de légaliser la pédophilie en abaissant l'âge du mariage pour les filles, et la nécrophilie"jusqu'à six heures après le décès de l'épouse" ! 

Il s'est même trouvé un député d'origine marocaine, Abdul Bari Zamzami, pour demander que dans un souci d'égalité homme-femme très najatbelkacemien, la femme soit autorisée à la réciproque : avoir une relation sexuelle avec son mari décédé si la raideur post-mortem provoquait un semblant d'érection chez ce dernier...
Sur une intervention vigoureuse d'une députée représentant une association féministe égyptienne, la loi n'a finalement pas été votée. (source Al Arabyia-TV)

 

Quand Aïcha se fit prendre en flagrant délit d'adultère, on vint aussitôt rapporter la chose à Mahomet. Mais celui-ci tenait beaucoup à Aïcha qui était au lit une vraie furie et avait - ce qui ajoutait incontestablement à son charme - une très belle maison à Médine.

 

Mahomet eut donc une nouvelle révélation-express (Coran sourate 24) qui innocentait Aïcha !
Cela mit un terme aux propos malveillants qui circulaient dans Médine.

On peut s'étonner de ce que les musulmans n'aient tiré aucune conclusion du fait que Mahomet était le premier à transgresser les préceptes qu'il édictait pour les autres, ni qu'ils ne se soient jamais interrogés sur la vraisemblance de ces prétendues révélations divines qui tombaient toujours à pic pour tirer Mahomet des situations embarrassantes et de ses propres contradictions.

On en trouve des dizaines d'exemples dans les détails relatifs à la vie et à la personne de Mahomet que nous ont transmis les historiens musulmans, persans et occidentaux.

Mais non ! c'est le prophète, il est donc parfait par définition, tout ce qu'il fait est approuvé par Dieu ! Si Dieu l'a pourvu d'un sexe phénoménal, c'est pour qu'il s'en serve, s'il commet des erreurs, ce ne sont pas des erreurs mais des épreuves faites pour jauger la foi des fidèles, etc. C'est vraiment la foi qui sauve !

De même, on sait que Mahomet était très riche pour l'époque.

 

Outre le butin qu'il accumulait, il avait, rien que dans sa maison, plusieurs dizaines de femmes, épouses et maîtresses, et d'esclaves, vingt-deux chevaux, cinq mules (sa préférée s'appelait Doldol), deux ânes (Olaïf et Lafour), quatre chameaux à monter et vingt chamelles laitières, une centaine de brebis, des chèvres, etc.


Mais sa biographie officielle nous décrit un homme pauvre, se serrant souvent la ceinture à cause de la faim, cultivant lui-même son jardin, raccommodant ses habits, n'ayant pas de quoi faire du feu dans sa maison !
Mahomet doit officiellement avoir été pauvre, sinon cela désespèrerait la misère musulmane.

 

De même, en URSS il était interdit, sous peine de Sibérie, de photographier Lénine dans sa Rolls-Royce, il ne devait être vu qu'à pied ou en train. De même, "pour ne pas désespérer Billancourt" comme disait Sartre, il ne faut pas savoir que les élus socialistes font tous sans exception partie de la catégorie des 3 % de Français les plus riches.
 
Ni, comme l'a démontré Jean Montaldo, que les comptes des dirigeants communistes à la Banque de l'Europe du Nord croulaient sous les millions.
Si on laissait le peuple savoir tout cela, où irait-on, je vous le demande.

 

Quant au Coran, il fait une vertu cardinale de la charité et du don aux pauvres, mais sans doute Mahomet en était-il exempté puisqu'il était le prophète.

 

Maurice D.

 

Suite à venir, chapitre VII : l'émergence de la violence islamique

 

 

   


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