Scène ordinaire du racisme antiblanc aux États-Unis dont aucun média ne parlera
Samedi dernier, à Memphis (Tennessee), une trentaine (de 20 à 40 selon les témoignages) de criminels noirs ont attaqué un commerce de la ville, laissant pour mort un jeune blanc de 25 ans qui travaillait comme vendeur dans une supérette, et agressant les deux autres blancs qui se trouvaient sur place, un autre vendeur et un client. Les deux employés étaient venus au secours du client agressé sur le parking.
Les faits se sont déroulés le 6 septembre 2014, mais aucun média national n’a évoqué l’affaire aux États-Unis, et aucun média international non plus.
Les autorités locales policières – le chef de la police, Toney Armstrong, est un Afro-Américain – et administratives – le maire de la ville, A. C. Wharton, est un Noir – comme les médias locaux ont caché le caractère raciste évident, le commentaire d’un témoin, sur la vidéo suffit à le montrer, de l’attaque.
Aucun média n’a non plus dénoncé le fait que l’ensemble des postes-clés de la ville est aux mains des Noirs, une chose qui avait « choqué » dans l’affaire de Ferguson et « prouvé » le « racisme » d’un policier attaqué par deux criminels africains violents.
La seule différence est que Ferguson est une toute petite localité, alors que Memphis est la deuxième plus grande ville de l’État.
Durant une conférence de presse après l’agression, le chef de la police s’est ému du sort des jeunes, désœuvrés et la nécessité de leur trouver des alternatives productives, pointant par ailleurs un manque de contrôle parental.
Loin d’un accident survenu durant une opération policière menée contre des criminels noirs et tournant – comme cela arrive très rarement – mal comme tous les médias du monde l’ont évoqué ces derniers temps (alors qu’un rapport du FBI a révélé que seul un cas d’homicide sur quatre impliquant un policier était commis par un Blanc sur un Noir), ces « black mob » très organisées, ultraviolentes ce sont multipliées ces dernières années aux États-Unis, sans la moindre réaction des autorités complices, dont la lâcheté est soutenue par les médias qui censurent les informations à ce sujet.
Soumise à une lente invasion, la ville de Memphis compte aujourd’hui 63 % de Noirs contre 30 % de Blancs.