GUERRE, MONDIALISME & MANIPULATION (par Luc Sommeyre)
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AVERTISSEMENT : Le raisonnement développé dans cet article est complexe. Il ne peut se résumer en quelques lignes. Toutes les zones d’ombres doivent être éclairées minutieusement, l’une après l’autre, sous peine d'incohérence.
Irak, territoires occupés : un… “serviteur d’Allah”
Une photo suffit.
Cité du Vatican : le Pape François
Fait absolument EXCEPTIONNEL dans l'histoire de la Papauté moderne qui ne cautionne jamais la moindre action militaire fut-elle légitime : lors d’une conférence de presse improvisée le 18 août à bord de l’avion qui le ramenait de Seoul, vol que les contrôleurs du ciel surnomment Shepherd One (Berger Un), le Pape François prend position en soutenant à demi-mots une intervention armée, jugeant que « arrêter l'agresseur injuste est licite ».
Ah, bien !
De même suite, il souligne qu'il faut « stopper l'agresseur » mais qu'il ne faut « ni bombarder, ni faire la guerre ».
Ah bon…
Le Pape insiste aussi très lourdement sur le rôle de l'ONU. « Une nation à elle seule ne peut juger comment on arrête cela » dit-il, en poursuivant « arrêter l’agresseur injuste est un droit qu’a l’humanité. » Sous-entendu : pas une nation seule.
Tiens, tiens…
Les commentateurs des articles parus dans divers journaux, tombant dans le piège, se répandirent en contre-sens à la quasi-unanimité. Toutes vérités n'étant pas bonnes à dire, le langage papal est hermétique. Aussi convient-il de le décrypter.
La diplomatie vaticane est grande-maîtresse en l'art de la litote — du Grec λιτότης < litótès > [= apparence simple], figure de rhétorique consistant à déguiser sa pensée de façon à la faire deviner avec d'autant plus de force qu'on ne la dévoile pas complètement. On pousse l'interlocuteur àréagir, ce dont il est parfois capable. Ex. : « Hollande semble avoir quelques faiblesses » → traduire par « Hollande est bon à rien et mauvais à tout ») et aussi encore plus subtilement en celui de l'oxymore, autre figure de rhétorique frôlant l'hypocrisie où l'on oppose deux concepts contradictoires (du Grec ὀξύμωρος < oxúmōros > de ὀξύς < oxús > [= spirituel] et de μωρός < mōrós > [= stupide] ce qui signifie “spirituel sous une apparente stupidité” — en parler populaire : bête de loin mais loin d’être bête) pour faire deviner par réaction à une apparente incohérence, ce qu'on ne veut pas dire ouvertement mais qu'on aimerait bien faire comprendre. Ex. : « Hollande est un grand homme d'état » → traduire par… ce que vous voudrez !
Quand on veut persuader quelqu'un, il est subtil de le manipuler pas-à-pas jusqu’à ce qu’il dise lui-même ce dont on veut le convaincre comme si ça venait de lui, même et surtout s’il pensait le contraire une minute auparavant.
J'entends d'ici maugréer certains de nos amis Lecteurs : “le voilà encore avec sa rhétorique et son étymologie, celui-là !”
La rhétorique (du Grec ῥητορικὴ τέχνη < rhètorikê teknè > [= technique de l'orateur] — ce qui montre bien qu'il s'agit d'une technique dont on acquiert ou non la maîtrise) ou l'art de s'exprimer pour convaincre par la parole ou l'écrit, est le seul moyen dont dispose l'homme pour communiquer, échanger des points de vue, des informations (qui ne sont jamais présentées de façon innocente) dans l'unique but d'amener “l'autre” à embrasser sa propre idée. Une sorte de marketing du langage ou l'art de faire avaler la pilule si vous préférez.
- En politique, aidée par les médias du Système dont il ne faut pas négliger l'importance, la rhétorique socialiste a bien réussi à faire élire Pépère, non ? Il en fallait des arguments, des sous-entendus, des suggestions et d'adroites formulations, n'est ce pas ? Pourtant, l'annonce de sa brillante inefficacité (parfait exemple d'oxymore) était inscrite dans son programme : il suffisait de le lire et de l'étudier.
- Adolf Hitler avait lui aussi annoncé tout son programme dans Mein Kampf. Mais le Führer était, lui, un surdoué de l'art oratoire comme on en connut peu dans l'Histoire, faisant montre d'une habileté hors du commun à persuader ou à retourner tout auditoire.
- Et l'islamà votre avis ? Avez-vous pensé à la puissance de la rhétorique de ces sergents-recruteurs que sont les imams et autres prédicateurs hirsutes et barbus, portant une robe informe et coiffés d'une serpillière ? Croyez-vous que ce soit en leur faisant lire le Coran et les hadiths dans Le Livre de Poche que de jeunes Européens de souche se laissent pousser la barbe, portent jupe et babouches dans un accoutrement ridicule, et vont se faire sauter le caisson en Irak ou en Syrie ? — Eh bien non : les hadiths (أحاديث) sont précisément cet ensemble de commentaires oraux puis transcrits, des traditions relatives aux actes et paroles de Mahomet et de ses compagnons, considérés comme des principes de gouvernance personnelle et collective pour les musulmans, que l'on désigne généralement sous le nom de tradition du Prophète. Les hadiths auraient été rapportés par près de… 50.000 compagnons !
LA PAROLE DONNÉE DEVIENT LA PAROLE REÇUE. Pour autant qu'elle ait été donnée avec adresse. Mais aujourd’hui, l'homme ne lit plus et étudie encore moins : il voit mais il ne regarde pas ; il entend mais il n'écoute pas… Il laisse simplement s'imprégner les images et les sons dans la partie émotion de son cerveau reptilien, qu'il appelle naïvement “intelligence”.
La puissance des mots sur l'esprit est incalculable.
J'avais écrit un article il y a quelque temps intitulé Le Mal des Mots. J'ai été amèrement déçu qu'il n'ait pas été lu davantage. Déçu mais pas surpris.
Mais revenons à nos moutons et parlons du Berger. Le Pape François est tout sauf un benêt, de très loin s'en faut. De toute évidence, il sait que nul n'arrêtera les djihadistes en faisant brûler un cierge… Chimiste de formation avant d'entrer au séminaire et éminent Jésuite de surcroît, Sa Sainteté a toutes les qualités requises pour élaborer un merveilleux “cocktail Molotov eucharistique”.
Le Pape François est un géostratège d’une intelligence hors-normes. N'oublions pas non plus que le Vatican est l'un des très-hauts-lieux planétaires du Renseignement. Et il est peu probable que le Saint-Siège promeuve le djihad…
Alors ? — Patience… L’affaire est aussi enchevêtrée que la dialectique vaticane.
Le Minotaure s'enrhume, ou « l’arbre qui cache la forêt »
Depuis quelques jours, nous observons que La Voix du Minotaure (lesmédias du Système pour celles et ceux qui ne seraient pas accoutumés à mon jargon) semble s'érailler : le Minotaure s'enrhume ! Rassurez-vous, il va s’en remettre.
Ainsi, une chaîne de la télévision du Système, “LCP Assemblée Nationale”, a OSÉ (osé… aux yeux de certains, je veux dire : aux yeux du grand public qui se croit informé, aux yeux de ce grand public visé par le film : « Ah, tu vois ? Je l’savais ! » lui fait-on dire pour flatter son ego) a osé donc, projeter le vendredi 22 août, GUERRE, MENSONGES ET VIDÉO de François Bringer.
Journaliste français, Bringer est crédible. Il avait déjà contesté la fiabilité du Renseignement américain lors des attentats du 11 septembre 2001, ou plutôt il avait mis en lumière le détournement des analyses de la CIA par le pouvoir politique dans son livre Ils avaient donné l’alerte publié aux Éditions du Toucan. Intéressant.
Il est dit très clairement dans le film ce que nous savons tous depuis longtemps : il fallait CRÉER un nouveau Pearl Harbour. « Maintenant, on peut aller en Irak » dira Donald Rumsfeld au lendemain du 11 septembre. On n’engage jamais une guerre si on a l’opinion publique contre soi. Jack Straw (Secrétaire d’état aux Affaires étrangères de Grande Bretagne 2001-2006) écrira pourtant dans un rapport confidentiel adressé le 6 avril 2002 au Premier Ministre Tony Blair, juste avant son voyage aux USA où il rencontrera Bush dans son ranch : “If 11 September had not happened, it is doubtful that the US would now be considering military action against Iraq. In addition, there has been no credible evidence to link Iraq with UBL and Al-Qaida. Objectively, the threat from Iraq has no worsened as a result of 11 September.” (« Si le 11 septembre n’était pas arrivé, il est douteux que les USA envisageraient en ce moment une action militaire contre l’Irak. De plus, il n’y a eu aucune évidence crédible permettant de relier l’Irak avec UBL [Usama Bin Laden] et Al-Qaïda. Objectivement, la menace de l’Irak n’a pas empiré à la suite du 11 septembre. »)
Fait plus remarquable encore qu’il convient de souligner, généralement passé sous silence : le 12 septembre 2002, Saddam Hussein rencontre les membres du Conseil du Commandement de la Révolution et leur dit textuellement : « Maintenant qu’Al-Qaïda a attaqué les États-Unis, les Américains peuvent devenir nos alliés puisque nous avons un ennemi commun : Al-Qaïda ! » Les Américains, bien entendu avaient connaissance de cette déclaration. Elle est pas belle, l’histoire ?
Je vous laisse découvrir ou vous remémorer certains épisodes des turpitudes du trio infernal (Bush-Cheney-Rumsfeld) qui, si les conséquences n’avaient pas été aussi dramatiques, auraient eu un effet du plus haut comique.
Seule justification des délires paranoïaques de la Maison Blanche : « L'absence de preuve ne signifie pas la preuve de l'absence » dira Donald Rumsfeld. C'est subtil, élégant et bien formulé. Ça me plaît. Mais ça ne me convient pas. Je ne suis pas un admirateur béat de la démocratie moderne, mais je trouve ça quand même un peu… léger pour engager une guerre qui fera des dizaines de milliers de morts.
Entre Dick Cheney à gauche et Donald Rumsfeld à droite, remarquez bien que Bush figure en arrière-plan, l'air un peu… dépassé
N'oublions pas l'une des éminences grises les plus sulfureuses dans ces affaires : Paul Wolfowitz, Secrétaire adjoint à la Défense de 2001 à 2005. En récompense de ses bons et loyaux services, il fut nommé président de la Banque Mondiale le 1er juin 2005. Avec sûrement une médaille en chocolat décernée par le Board de la FED. Lors de la première Guerre du Golfe il avait convaincu Israël de ne pas intervenir militairement pour maintenir la cohérence interne de la coalition qui comprenait de nombreux pays arabes.
Il fut élu “Homme de l'Année” par The Jerusalem Post en… 2003. Une coïncidence sans doute. Parfois, il est adroit de refuser certaines distinctions.
Paul Wolfowitz : le Détonateur
53 minutes, un bon rapport intérêt/temps :
Très bizarrement, le compte YouTube a été fermé le 31 août… Sur les bords du Potomac, préparerait-on un remake dans la bouche d'un Président plus coloré ?
Nous vous proposons donc le lien de Dailymotion
Sur la pellicule, François Bringer démontre bien gentiment par A + B comment George Bush Jr a sciemment ordonné la falsification de toute la chaîne des informations et l’élaboration des fausses-preuves qui ont conduit non sans mal mais qui ont conduit quand même le Congrès à ratifier la déclaration de guerre. Les USA sont entrés en Irak le 19 mars 2003. Personne n’a oublié la grandiose supercherie des armes de destruction massive que l’on accusait Saddam Hussein d’avoir accumulées dans le but d’agresser les démocraties occidentales en général et les États-Unis en particulier (sic). Je cite souvent Napoléon qui considérait la répétition comme la plus forte des figures de rhétorique. Les manœuvres tordues, les mensonges répétés de l’administration américaine et le lavage de cerveau puissant, subtil et ininterrompu qu’a subi l’opinion publique aux USA puis en Europe sont une merveilleuse illustration de MANIPULATION. « L’essentiel dit Bringer, c’est de répéter les mots, et puis de les répéter encore et encore… Chaque musicien joue sa note, et on finit par entendre une mélodie simple, efficace, pédagogique. » C'est vrai.
Me référant à son film, sachant qu’on ne convainc quelqu’un jamais davantage qu’en lui disant en permanence ce dont il est persuadé, j’observe que, par cette technique du déjà-vu, on enfonce le clou pour préparer l’opinion publique à accepter sans réfléchir ce qu’on va lui dire ensuite.
Or, si Bringer nous livre le hors-d'œuvre et le dessert, il manque le plat de résistance.
En 53 mn de projection, Bringer a évoqué la question du PÉTROLE
Pas un mot. Et pourtant… Comment associer les mots « Bush », « Cheney » et « Irak » en omettant de mentionner le pétrole ? Surtout dans les années 2000…
Évidemment, il était hors de question de faire allusion aux relations des familles Bush et Ben Laden et encore moins Ben Laden / CIA.
Sachez pourtant que la SICO (Saudi Investment Company) filiale sise à Lausanne de la holding SBG (Saudi Binladen Group) travaillait en étroite collaboration avec la banque anglo-pakistanaise BCCI (Bank of Credit and Commerce International) — où ont été employés deux anciens Directeurs de la CIA, Richard Helms et William Casey. Qualifiée de « banque la plus sale de toutes » par Time Magazine dans son numéro du 29 juillet 1991, la BCCI avait notamment participé comme pool-leader au blanchissement de l'argent de la cocaïne de l'ancien homme fort de Panama, le Général Noriega (on voit immédiatement le rapport avec une certaine organisation fédérale américaine). Avant sa banqueroute retentissante en juillet 1991, cette banque créée par le chiite pakistanais Agha Hasan Abedi et enregistrée aux Îles Caïman, était détenue pour partie par la famille de Khaled Ben Mahfouz, fils du fondateur de la première banque saoudienne, la NBC (National Commercial Bank). Khaled Ben Mahfouz possède une résidence-palais à Houston où il entretient des relations d’amitié avec les Bush. (Notons au passage que Oussama Ben Laden avait épousé la sœur de Khaled Ben Mahfouz.) Harken Energy Corporation (pétrole) petite société appartenant à George Bush Jr se vit attribuer les concessions pétrolières de Barhein en rétrocommissions de contrats passés par son père, George Bush Sr alors Président des États-Unis, avec le Koweït. L’intérêt tout particulier porté par George Bush à ce petit émirat était-il purement humanitaire ? — J'en doute un peu.
Je ne vous abreuve pas de mille autres détails croustillants…
Si, encore un quand même. C’est cette même BCCI qu’utilisa la CIA pour faire transiter les fonds envoyés en Afghanistan pour les besoins des Moudjahidines dans leur lutte contre les forces armées de l'Union Soviétique : deux milliards de dollars. Excusez du peu. N'oubliez pas non plus que les islamistes afghans n'ont pas acheté les missiles FIM-92, les célèbres Stinger, au supermarché de Kaboul (1983-84). Ayant apprécié la fleur de coca, les herboristes de la BCCI ont aussitôt adopté le pavot.
Que dire aussi de Dick Cheney, fondateur du think-tank néoconservateur PNAC (Project for the New American Century — Projet pour un Nouveau Siècle Américain) ? Avant d'être choisi comme Vice-président des États-Unis par George Bush Jr, Dick Cheney dirigeait le groupe d’ingénierie pétrolière Haliburton qui réalisa des profits pharaoniques en Irak en 2003.
Cheney formait avec Donald Rumsfeld un binôme qu’on surnommait dans les coulisses « Le Duo du Diable ». Le bureau de Cheney avait un surnom lui aussi : « La Gestapo ». Ça ne s’invente pas.
Notons surtout que le Vice-président Dick Cheney, à plusieurs reprises, s'est rendu personnellement au siège de la CIA pour instruire les analystes de la Company de ce qu'ils devaient fournir comme preuves de la possession d'armes de destruction massive par Saddam Hussein et surtout, pour faire le tri des informations ! Du jamais-vu dans l'histoire des Services.
George W. Bush Jr « seul responsable » de la deuxième Guerre du Golfe
Deuxième et non seconde puisque nous entrons dans la troisième.
Richard Clarke apparaît comme un commentateur de très haut niveau, « crédible » côté américain. Coordinateur national pour la sécurité, la protection des infrastructures et le contreterrorisme au sein du Conseil de Sécurité Nationale (NSC — National Security Council, qui dépend directement du Président) de 1998 à 2003, Richard Clarke n’avait pas caché son scepticisme voire son opposition au discours de Bush sur la thèse des armes de destruction massive. Cohérent, il démissionna en 2003. Richard Clarke est l'auteur de Contre tous les ennemis, au cœur de la guerre américaine contre le terrorisme (Albin Michel éd., en Français). Seulement voilà… Tout au long de ses interventions, Clarke porte des accusations plurielles. Quand il dit « J'avais le sentiment d'être dans le ventre d'une bête » il ne fait pas allusion à l'abdomen de George Bush. Et de poursuivre « J'étais au cœur […] d'une machine sur le point de commettre une terrible erreur qui aurait des conséquences sur le monde entier ».
Dan Rather (présentateur à CBS News de 1981 à 2005) précise : « Ils étaient très organisés, ils s'exprimaient très bien et ils étaient opiniâtres. Tout était calculé. […] Dans l'absolu, c'est une pure merveille (“This is a thing of beauty” dira-t-il), un coup de maître. La manipulation de l'opinion publique dans toute sa splendeur. »
Le LOBBY-ORGANISATEUR a même été jusqu'à produire des témoins fabriqués et à utiliser des faux grossiers comme celui du SISMI italien (Servizio per le Informazioni e la Sicurezza Militare) [une peau de banane de plus entre les Services italiens et américains] à propos de la prétendue fourniture d'uranium par le Niger à l'Irak pour tenter d'accréditer la thèse selon laquelle Saddam Hussein développait un programme nucléaire militaire. L'ambassadeur US au Gabon, Joseph Wilson, a démontré la parfaite inexactitude de cette information à son retour de Bamako où, fort de ses relations étroites avec les plus hauts sommets de l'état nigérien, il avait été envoyé par la CIA. Évidemment, ses conclusions irréfutables ont été purement et simplement balayées et Joe Wilson a été renvoyé à ses occupations de diplomate. L'expression anglaise “shooting the messenger” (tuer le messager) qui signifie éliminer celui qui apporte des nouvelles contraires à celles qu'on attend, est ici parfaitement illustrée.
Le faux-transfuge des Services de Saddam montré au public comme dans un film de la série B : une mise-en-scène de Grand Guignol.
Aux USA, le ridicule n'est pas une maladie mortelle.
Voilà donc pour la MANIPULATIONdont tout le monde a conscience aujourd'hui.
MAIS le film de Bringer apporte une conclusion très intéressante… L'esprit humain est ainsi fait qu'il ne retient que les derniers mots, les dernières images, le dernier ressenti.
À la fin du documentaire, comme pour effacer ses allusions précédentes, Richard Clarke, dont personne ne met en doute l'objectivité, conclue : « En fin de compte compte, la personne qui a réellement décidé de faire la guerre était George Bush. La personne qui voulait faire la guerre était George Bush. Peut-être a-t-il été manipulé reconnaît-il quand même pour en arriver à cette conclusion. Mais ÇA N'EST NI DICK CHENEY, NI DONALD RUMSFELD, NI PAUL WOLFOWITZ. EN FIN DE COMPTE, C'ÉTAIT CE QU'IL VOULAIT LUI. C'EST ARRIVÉ À CAUSE DE LUI. »
C'est clair, non ?
Ceci est un merveilleux exemple de CONTRE-MANIPULATION : à trop s'approcher de l'arbre on ne voit pas la forêt.
INTOX + CONTRE-INTOX = INTOX
Même si de nombreux autres témoins comme John Walcott de l'agence de presse Knight Ridder, démontrent que la manipulation était globale et ne pouvait PAS émaner d'un seul homme, Bringer insiste : le méchant, c'est George W. Bush Jr. Point barre./
Et de conclure : « Pour George Bush, qui a associé à jamais manipulation et guerre d'agression à l'histoire de son pays, une seule punition : être réélu en 2004. »
Mais maintenant rassurez-vous : c'est fini ! Tout le monde a compris. On ne recommencera pas. Promis-juré !
Et pendant que les sales gosses jouent à la guéguerre sous le préau de la maternelle, la CIA avait déjà transmis à Damas au mois d'août 2014 (via le BND, le Bundesnachrichtendienst, équivalent allemand de la DGSE) des informations sur les positions de formations de l'EI qui ont permis des frappes syriennes précises sur les cibles islamistes. Cette collaboration secrète démontre s'il le fallait que la Company ne commet pas en interne les fautes lourdes résultant des manipulations du pouvoir politique américain.
Il y aurait beaucoup à dire sur ce sujet… La vraie question est : « qui gouverne les USA ? » Mais ce genre de question, “on” n'aime pas trop…
Si les Américains, empêtrés dans leurs contradictions et leurs lobbies, hésitent encore quant à la conduite à tenir vis-à-vis de l'EI, les Russes, eux, sont passés à l'action. Un nouveau lot d'hélicoptères de combat MI-28 dit Chasseurs de nuit vient d'être livré à l'armée régulière irakienne pour combattre les djihadistes.
Comme me disait un ami hier midi encore, heureusement que le Tsar est droit dans ses bottes, la Russie d'une main, la Chine de l'autre. Beaucoup réfléchissent aujourd'hui. Et même à Washington !
L'Angleterre (de Tony Blair) s'est ralliée aux USA (de George Bush)
Il est fait état abondamment, toujours et partout, de la soumission de l'Angleterre aux États-Unis. RIEN N'EST PLUS FAUX.
L'escapade de Tony Blair aux USA le 7 avril 2002 où l'on prétend qu'il est venu chercher sa feuille de route au ranch de George Bush est une grossière manœuvre d'illusionniste destinée à détourner l'attention de l'opinion publique, manœuvre par laquelle le prestidigitateur se laisse lui-même abuser.
Depuis la début du XXème siècle (quand la « LONDON CONNECTION » a dicté le rapport Aldrich rédigé à partir de 1910 sous la plume de Paul Warburg, qui aboutit à la création de la FED le 23 décembre 1913 — la Réserve Fédérale américaine) la CITY dirige toujours le monde. Dans le jargon de l'armée de l'air la « cible Wall-Street » est un leurre. En fait, la City est… partout. Et nulle part. Il serait beaucoup trop long et complexe d'en détailler ici les raisons et les causes profondes. Cela dépasserait largement le cadre de cet article. J'en parlerai plus clairement en détails et preuves à l'appui, dans le livre Les Protocoles du Quincy que j'espère pouvoir publier en 2015.
Cette certitude démontre si besoin était que Petit Bush n'était qu'une marionnette animée par des intelligences hors-du-commun (je ne parle pas de la Triade Infernale dont Bush Jr était le porte-parole — certes composée de personnalités intellectuellement brillantes — mais de leurs Supérieurs).
Pour autant, n'oubliez pas la déclaration en octobre 2013 du Speaker — pardon : du Premier Ministre — David Cameron, digne successeur de Tony Blair : « Londres est déjà le plus grand centre pour la finance islamique hors du monde musulman. Et notre ambition est aujourd'hui d'aller plus loin. » Plus loin… De telles perspectives et leurs incidences géopolitiques et humaines sont évidemment angoissantes pour celles et ceux qui, comme vous-même et Votre Serviteur, sont profondément attachés à notre Terre, à notre Civilisation, à notre Patrie.
Les implications et déclinaisons ci-dessus s'étendent bien entendu au travers du Système qui gouverne la France depuis plus de 30 ans. La pseudo-alternance Droite/Gauche n'a pas la moindre incidence. L'appellation “UMPS” pour désigner tant la Droite que la Gauche dans notre Pays est objectivement juste et appropriée.
Juste un mot sur le NOUVEL ORDRE MONDIAL
Au risque de choquer certains de nos Lecteurs, que l'on use de quelque dénomination que ce soit comme « Lobby-organisateur » ou « City of London » ou bien qu'on les affuble d'appellations fantaisistes, folkloriques ou pseudo-ésotériques de bazar n'a aucune importance : ceux qui dirigent les MONDIALISTES ont une vision à long et très terme juste et parfaite de l'évolution de la Planète. [Prière de ne pas sortir cette phrase ou partie de cette phrase de son contexte svp — Merci.]
Raisonnement global
La Planète est trop peuplée → on encourage les ventres immigrés à devenir des instruments de travail en débloquant des indemnités (traduisez : en créant de la dette) palliant aux salaires qui devraient correspondre aux emplois qu'ils ne veulent pas assumer ou qu'ils ne peuvent pas, ce qui revient froidement strictement au même : on a tout faux.
La nourriture et l'eau potable manqueront un jour inéluctablement → on tente d'y répondre par le développement des OGM qui mettent en péril la santé, et le gaspillage tous azimuts est toujours de règle : on a tout faux.
Pour accélérer le mouvement, presque tous les gouvernements montrent un laxisme hallucinant à l'endroit de la pollution qui tue la vie à-petit-feu → les charlots “écologistes” se mêlent de politique politicienne : on a tout faux.
Les hommes, de plus en plus acculturés — en partie parce qu'on les prive de l'enseignement de leur langue et de leur histoire pour les remplacer par des jeux du cirque abêtissants, leur cachant ainsi une vision de leur avenir (y a-t-il meilleur moyen pour tuer un arbre que de couper ses racines ?) — et d'une stupidité subséquente croissant exponentiellement, ne se supportent pas les uns les autres sans même savoir pourquoi → on veut les forcer à vivre ensemble selon un modèle parfaitement utopique, vicieux et dangereux : on a tout faux.
Fiction ou réalité ?
Comme l'illustre brillamment Aymeric Chauprade (Professeur de géopolitique et Député européen FN) dans son livre Chronique du Choc des Civilisations (Chronique éd.) — ouvrage d'une clarté exceptionnelle que je vous conseille très vivement d'acquérir et de bien étudier — les civilisations se heurtent et s'opposent avec d'autant plus de violence qu'elles sont devenues aveugles. Ce choc entre groupes fermés s'opère selon le principe de base de la biologique cellulaire : celui de la préséance des superorganismes ce qui m'amène à évoquer un autre ouvrage-culte absolument indispensable à la compréhension du monde, du comportement des groupes humains et à leurs interactions : Le Principe de Lucifer (Le Jardin des Livres éd.) d'Howard Bloom.
Deux choix sont proposés
- La gouvernance mondiale directe et unipolaire : le modèle dit américain.
- La gouvernance mondiale différée et multipolaire : le modèle dit russe.
(Ce sont évidemment des raccourcis de langage.)
Comme nous le disons et répétons à l'envi, nous ne sommes pas opposés à l'Europe réelle, loin s'en faut. Nous combattons simplement le concept de l'Union Européenne tel que nous le connaissons, inféodé à la BCE, c'est à dire à la FED. Bruxelles prend ses ordres à Washington selon un modèle thalassocratique mercantile zombifiant que nous rejetons sans appel.
Les ententes économiques entre pays voisins ne sont pas nuisibles au développement des Nations, bien au contraire. Dans la mesure où ces Nations conservent leur personnalité, leur culture et leur âme. On ne s'enrichit mutuellement que de nos différences.
Pour autant, la “haute conception” mondialiste n'est pas intrinsèquement perverse comme l'aurait dit Pie XI. Il est sain de regrouper des Peuples selon des critères géographiques, raciaux (en novlangue politiquement correcte on devrait dire ethniques mais je suis malhabile à user de ce sabir hypocrite et j'ai coutume d'appeler un chat un chat), linguistiques et malheureusement religieux qui souvent s'accordent. Tout ceci forme un ensemble cohérent qui facilite les échanges de tous ordres. (L'adverbe “malheureusement” n'engage que moi. Je considère en effet que depuis l'apparition sur Terre des religions dites révélées, les hommes se livrent des guerres sans nom pour se précipiter les uns les autres au fin-fond des enfers, parés de la toge de la Vertu : c'est MOI que Dieu a choisi !)
Nous avons donc le choix. Le choix entre deux conceptions antinomiques du devenir de l'humanité.
Entre la gouvernance mondiale centralisée de type américain et la multipolarité eurasiatique qui laisse à chaque Peuple son âme je choisis sans hésiter la seconde.
Mais attention ! DE TRÈS NOMBREUX AMÉRICAINS PARTAGENT CE POINT DE VUE. Ne m'accusez pas une fois de plus d'antiaméricanisme primaire, s'il vous plaît !
Revenons à Rome…
Traduction du discours papal :
Fort instruit des dessous de la Guerre du Golfe II et des influences néfastes du lobby-organisateur, le Pape ne rejette pas une action militaire contre l'EI. Il ne reconnaît simplement pas aux États-Unis le droit régalien de décider seuls si une guerre est juste ou non. Les déclarations du Saint-Siège à l'ONU (qui se trouve, je vous le rappelle, à New-York USA) faites par Mgr Tomasi, représentant permanent du Vatican aux Nations-Unies, ne sont pas empreintes du pacifisme béat que certains chrétiens refoulés dans leur mal-être professent comme s'ils ne pouvaient trouver le salut de leur âme que face aux lions du Circus Maximus.
Mgr Sylvano Tomasi — Mgr Fernando Filoni
Le représentant permanent du Saint-Siège à l’ONU Mgr Silvano Tomasi déclarait dès le 9 août que « l’action militaire est nécessaire en ce moment pour arrêter l’avancée des djihadistes en Irak. […] Il faut intervenir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard ». Le cardinal Fernando Filoni, qui a longtemps séjourné en Iran et en Irak, estimait quant à lui que « les réfugiés ont besoin non seulement d’une aide humanitaire mais aussi d’une action politique et militaire ».
La barbarie inhumaine des djihadistes ne permet aucune hésitation quant au sort qu'un Homme d'honneur, quelles que soient ses croyances religieuses ou philosophiques, doit réserver aux “immondices d'Allah”. Leur dangerosité extrême justifie à elle seule l'usage des armes sans semonce. À mots feutrés (diplomatie vaticane oblige) et par la voix de son représentant à l'ONU, le Pape leur a déclaré la guerre.
Pour autant, nous référant à ce que nous venons d'examiner quelques lignes plus haut, nous observons que le mondialisme papal se démarque haut-et-fort du mondialisme thalassocratique américain. Devant l'énormité des fautes commises par l'administration Bush et sachant à qui il a à faire, le Pape a insisté : « Tant de fois, sous ce prétexte d’arrêter l’agresseur injuste, les puissances se sont emparées de peuples et ont mené des vraies guerres de conquête ».
Par voie de conséquence, l'Église de Rome ayant vocation d'universalité (synonyme de mondialisme) opte sans restriction aucune pour cette forme de gouvernance mondiale différée et multipolaire dont nous parlions plus haut.
Pendant ce temps-là en Irak, à Mossoul
« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche. S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine.
L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs.
SI VOUS NE COMPRENEZ PAS CELA RAPIDEMENT, VOUS TOMBEREZ VICTIMES D'UN ENNEMI QUE VOUS AUREZ ACCUEILLI DANS VOTRE MAISON. »
Il n'y a rien à ajouter.
Mgr Amel Shamon Nona, archevêque de l’Église chaldéenne de Mossoul
Rappel historique — L’Église chaldéenne, appelée à l’origine « l’Église d’Orient », fut fondée au cœur même de la Mésopotamie (Irak) par l’apôtre Thomas et ses deux compagnons Addaï et Mari. Cette Église de tradition syriaque (araméenne) est restée fidèle à la tradition antique du Christianisme avec une liturgie fondée sur l’incarnation de Jésus (liturgie de Jérusalem).
… et chez nous, en France ?
Bien sûr n'entendrons-nous pas dans les jours qui viennent Cheney, Rumsfeld et Wolfowitz. Ces trois-là jouissent aujourd'hui d'une retraite bien dorée, assurément.
Mais nous allons entendre dans les jours qui viennent la voix d'autres Cheney, d'autres Rumsfeld et d'autres Wolfowitz. Qui, soyez-en sûr, ne vont pas commettre les mêmes erreurs. Ben voyons…
Déjà en voilà un ! En France, notre inénarrable Fabius marche sur les traces du porte-parole Bush : le 22 août 2014, à propos de la troisième Guerre du Golfe, notre ministre des magouilles étrangères déclarait : « L'État Islamique est né largement en Syrie. Et Monsieur Bachar el-Hassad l'a aidé à naître. » Faut l'faire, non ? Tout comme l'Irak a été attaqué pour toucher Al-Qaïda, le clan “occidental” rejette dédaigneusement toute alliance avec la Syrie qu'elle peut s'apprêter à frapper au prétexte de combattre l'EI alors que chacun sait que les djihadistes sont les pires ennemis de Bachar el-Hassad, comme les réseaux d'Al-Qaïda l'étaient de Saddam Hussein !
Et en voici un autre ! Pépère déclarait jeudi dernier (28 août) « Assad ne peut pas être un partenaire de lutte contre le terrorisme, c'est l'allié objectif des djihadistes » alors qu'au même moment, Damas se déclarait prêt à coopérer avec Washington… Il est bête ou méchant, ce type ? — Les deux mon général !
Mais où est donc passé BHL ?
C'était quand, Mardi-Gras ?
Il manquait quelqu'un dans la reconstitution made in France de ce feuilleton tragi-comique : Hollande dans le rôle de Bush et Fabius dans celui de Cheney… Qui donc pourrait jouer le rôle de Bush Père ? Bon sang, mais c'est bien sûr ! Notre bien-aimé Sarkozy s'était-il gêné pour expurger de Libye ce méchant dictateur Khadaffi qui assurait la laïcité dans son pays ?
PS akhbar ! UMP akhbar ! Avec ces gens-là, les djihadistes seront bien gardés !
Et pendant ce temps, Juppé (fervent partisan de porter la guerre contre Damas, ne l'oublions pas) continue de lécher les babouches des Frères Musulmans de Tareq Obrou à Bordeaux et rêve de l'Élysée !
Les gouvernements français du Système ont toujours servilement plagié Washington :
- En Irak, les Américains ont porté Saddam Hussein au pouvoir, puis l'ont tué.
- En Libye, les Français ont déroulé le tapis rouge sous les babouches de Khadaffi, puis l'ont tué.
Et dire qu'en France de braves gens croient encore à l'honorabilité de l'UMP ou du PS… Certes, de moins en moins. Mais tous les yeux ne s'ouvrent pas en même temps.
TOUTE CETTE CLIQUE NAUSÉABONDE DE L'UMPS ME DONNE ENVIE DE VOMIR.
N'imitons pas les autruches comme nous avons trop souvent coutume de le faire. Les temps que nous allons vivre très prochainement (d'ici un mois) risquent d'être d'une pénibilité extrême. Il ne fait aucun doute que les “immondices d'Allah” vont tenter de porter le fer en Europe et particulièrement en France où ils disposent de nombreux soutiens et relais.
De très nombreuses personnes “nées musulmanes”, vivant pacifiquement sur notre terre rejoindront nos rangs et abandonneront l'islam wahhabite. Ceci est aussi une CERTITUDE. Mais l'acculturation gigantesque de notre société et l'extrême pauvreté intellectuelle de nos concitoyens venant se superposer au lavage de cerveau adroit dont sont victimes de nombreux jeunes ne nous faciliteront pas la tâche.
Les gouvernements successifs que nous subissons depuis plus de 30 ans ont appauvri notre Armée, notre Gendarmerie, notre Police. Nous allons devoir compter aussi sur nous-mêmes. C'est clair ? — Oui.
Si l'attaque peut parfois être contestable, la DÉFENSE est toujours légitime.
Notre devoir moral d'Homme est de nous opposer à l'ennemi de la Civilisation de toutes nos forces et de l'anéantir, quels que soient les moyens employés : il y va de notre SURVIE. Car le moteur du « Grand Remplacement » mercantile et pseudo-stratégique est mû par des principes contraires à la dignité humaine et à l'intelligence. Cette invasion maligne a été voulue et programmée par certaines puissances occultes qui ont placé leurs valets-de-chambre à la tête de toutes les Nations d'Europe. Nous allons en subir les conséquences directes.
Aussi j'en terminerai par une prière angoissée : ne me parlez pas, je vous en conjure, de chrétiens ou des personnes nées chrétiennes (ce que vous êtes presque tous), de païens (ce que je suis), de juifs, de franc-maçons, d'agnostiques ou d'athées. Remisez une fois pour toutes cette cacophonie ridicule, clamée toujours par ceux qui ne savent pas mais qui parlent beaucoup.
L'heure est à l'UNION SACRÉE devant les choix vitaux que nous devons faire pour notre Pays et pour nous-mêmes.
Ne portez pas au pouvoir ceux qui nous ont enfoncé vers notre déchéance.
Qu'un sang impurabreuve nos sillons !
Luc Sommeyre