Valls-Goasguen : qui est d’extrême-droite ?
Nouvelle pirouette de Valls pour fuir ses responsabilités, cette fois dans l’affaire Notre-Dame-des-Landes : il accuse le député UMP Claude Goasguen de “venir de l’extrême-droite”. Venant d’un disciple assumé de François Mitterrand, d’un ami d’un ex-néo-nazi et d’un membre du Parti Socialiste Français, cela ne manque pas de sel.
Inutile de revenir sur les relations de M. Valls avec Terry Cooper (photo), ex néo-nazi, les lecteurs de ce site connaissent cette histoire par cœur (bien qu’aucun grand média ni personnalité politique n’ai osé relayé l’information à ce jour, 4 mois après sa divulgation).
Peut-être M. Goasguen sera-t-il le premier à l’oser ?
Inutile aussi de revenir sur l’appartenance de M. Valls au Parti Socialiste, qui s’est allié depuis tant d’années au totalitarisme communiste, qui vient d’ailleurs de ses rangs (le PCF est une scission en 1921 du parti socialiste). 100 millions de morts, des populations affamées et lobotomisées, qui dit mieux ?
Inutile enfin de revenir sur la figure principale du Parti Socialiste depuis 50 ans, dont Manuel Valls et ses copains socialistes se réclament tous sans exception : François Mitterrand. Ami de René Bousquet jusqu’au bout, alors qu’il est le principal responsable de la rafle du Vel d’Hiv.
Ayant rétabli la torture en Algérie (ce que même Jacques Attali reconnaît).
Ayant fait l’alliance avec les communistes financés par le totalitarisme soviétique.
Ayant menti sur son cancer, et sur sa fille cachée.
Ayant espionné les Français par des écoutes.
Ayant reçu la francisque un an avant la Libération.
Ayant fleuri la tombe du Maréchal Pétain chaque année de 1984 à 1991, plus que n’importe quel autre président de la République.
Ayant monté de toutes pièces un faux attentat pour qu’on s’apitoie sur son sort.
Ayant fait passer la loi scélérate et stalinienne dite Gayssot, j’en passe et des pires (c’est le chapitre le plus long de mon livre noir de la gauche).
Comme le rapporte Libération ce matin, M. Goasguen n’était pas «membre d’Occident, contrairement à des proches comme Alain Madelin, Gérard Longuet, Patrick Devedjian, mais président de la Corpo d’Assas (syndicat étudiant de droite)”.
«Etant alors partisan de l’Algérie française, j’ai soutenu Jean-Louis Tixier-Vignancourt (candidat d’extrême droite, ndlr). Mais tous ceux qui défendaient l’Algérie française n’avait pas une démarche d’extrême droite».
Et M. Goasguen aurait pu rajouter qu’au deuxième tour de l’élection présidentielle de 1965, Jean-Louis Tixier-Vignacourt avait soutenu quelqu’un que Manuel Valls connaît bien : un certain François Mitterrand.
source et publication: http://www.enquete-debat.fr/archives/valls-goasguen-qui-est-dextreme-droite-74261