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COMMUNIQUÉ DE L' INSTITUT POUR LA JUSTICE !

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Vous avez sans doute entendu parler de ce gendarme, fauché par une voiture, la semaine dernière à Nice.

Mais savez-vous que l'auteur « présumé » de ce meurtre est un délinquant multirécidiviste, que la Justice avait volontairement remis en liberté 5 jours avant ce drame ?

Rappel : la semaine dernière, le major Daniel Brière est intervenu avec ses collègues près de Nice à la recherche d'une bande de cambrioleurs. Un barrage routier est mis en place. Un véhicule s'avance, approche et... accélère volontairement contre l'un des gendarmes, Daniel Brière.

Le choc est terrible. Il est projeté en l'air à plus de 12 mètres et décède peu après son arrivée à l'hòpital. Il laisse derrière lui une femme qui devra s'occuper seule de leurs deux enfants.

Le principal suspect, bientôt arrêté, est – évidemment – « bien connu » des services de police et du Procureur. Il a déjà été condamné à plusieurs reprises.

Mais surtout, il y a seulement quelques mois, il avait été incarcéré pour une dizaine de cambriolages, le vol de deux voitures et la détention de cannabis.

Son procès n'avait pas encore eu lieu. Mais la Justice a estimé qu'il ne présentait aucun danger pour la société. Elle a décidé de le remettre en liberté, et le major Brière est mort.

Il faut dire STOP à cette irresponsabilité de notre système judiciaire. Et c'est pourquoi l'Institut pour la Justice a lancé ungrand référendum national pour la Justice contre l'impunité des criminels.

Il est vraiment urgent de réagir.

Car juste avant le meurtre de ce gendarme, il y a eu ce procès des viols collectifs de Fontenay-sous-Bois.

Nina et Stéphanie avaient été auditionnées des dizaines de fois par les enquêteurs. A chaque fois, elles avaient raconté les viols collectifs qu'elles ont subis, dans des caves ou dans des cages d'escaliers.

Les hommes faisaient la queue, attendant leur tour à cinq, à dix, quinze ou parfois même vingt. Rien n'était épargné aux victimes : humiliations, coups de poing, insultes, brûlures de cigarettes. Un témoin a déclaré, au journal Le Parisien, que les victimes étaient devenues des « morceaux de viande qu'on faisait tourner ».

Mais savez-vous que, pour ces horreurs, trois des quatre individus reconnus coupables ont été condamnés à de la prison... avec sursis ???

Et que le plus violent n'a été condamné qu'à un an de prison ferme, lui qui est aussi en détention provisoire pour le meurtre de sa femme ?

Et ce n'est pas le pire. Lors du procès, les victimes ont été harcelées sans relâche par les avocats des 14 accusés, sous les rires ou les insultes des accusés.« Grosse vache, tu crois que je t'ai violée ! » a déclaré l'un des accusés sans aucun rappel à l'ordre des magistrats présents à l'audience.

Les accusés ont déclaré qu'elles « aimaient le sexe », que les victimes étaient consentantes puisqu'elles étaient présentes.

Et pour cela, ils ont reçu des condamnations « avec sursis ». C'est-à-dire rien du tout.

Mais peut-être imaginez-vous que cette affaire est exceptionnelle ?

Pas du tout, malheureusement.

Il y a un an, un procès du même type s'est tenu à Avignon.

Une jeune fille de 14 ans avait été violée, exhibée, filmée et prostituée pendant un mois entier par une bande de 30 individus âgés de 16 à 22 ans.

Le criminologue Xavier Raufer avait raconté ce qui s'était passé lors du procès.

Un psy, en chemise à fleurs, avait expliqué que les violeurs avaient vécu ce passage à l'acte « comme un rite initiatique », qu'ils n'étaient pas « armés pour anticiper la relation avec cette jeune fille » et n'ont donc pas « perçu la contrainte situationnelle ». Eux qui étaient par groupes de dix dans une cave autour de la victime.

Pire, le psy avait insinué que cette fille avait pu, durant son calvaire, « ressentir une forme de plaisir affectif ». Et il avait estimé que les violeurs ne présentaient aucun risque de récidive, alors que les deux principaux accusés étaient détenus pour une autre cause.

Ce qu'ont dit de la victime les avocats de la Défense est encore plus grave. Echantillon : « C'est dans la relation avec le sexe qu'elle va vers l'autre. Ce n'est pas une recherche de plaisirs; elle s'exprime avec son cul » (sic).

Et, pour couronner le tout, la Justice a prononcé des peines dérisoires, essentiellement assorties de sursis.

On ne peut pas accepter plus longtemps un système aussi injuste.

Mais il n'y aura aucun changement si le peuple français ne se lève pas en masse pour dire NON.

Et c'est pourquoi je vous demande d'agir et de participer au grand Référendum national de l'Institut pour la Justice.

Je compte sur vous pour signer ce référendum et faire signer tout votre entourage en en cliquant ici.

Merci d'avance,

Laurence Havel
Institut pour la Justice 


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