Dieudonné / Interdiction Conseil d’Etat : la décision prise par un descendant de Dreyfus !
BREIZATAO – ETREBROADEL (10/01/2014) De prime abord, nombreux peuvent être ceux des Bretons à regarder l’affaire Dieudonné M’Bala M’Bala comme parfaitement étrangère à la vie bretonne.
Il n’en est rien.
La fin de l’état de droit
Chacun sait que nous vivons de facto sous le régime juridique français. Chaque dérive de ce régime frappera, tôt ou tard, des Bretons.
Nous avions, à l’occasion de nos procès successifs, pointé du doigt les évidentes et flagrantes violations de procédure faites à BREIZ ATAO.
Ces dernières furent faites en connaissance de cause par les magistrats, sur ordre du pouvoir politique français et sur pression des hyènes médiatiques.
Dans l’affaire Martin notamment, la Cour d’Appel de Rennes nous avait donné raison durant l’instruction, reconnaissant les violations de procédures diverses et annulant ainsi les poursuites.
Ces annulations furent niées par le Tribunal de Grande Instance de Quimper puis par la Cour de Rennes. Les raisons sont évidentes : le pouvoir politique voulait un lynchage judiciaire, un procès de Moscou.
Les conclusions étaient simples : le droit ne s’applique pas aux opposants et surtout aux nationalistes.
Arbitraire et répression
Ceci fut fait en violant des lois qui, déjà en elles-mêmes, sont terriblement liberticides : lois antiracistes ou “anti-discriminations” qui ont réduit en 40 ans le champ de la liberté d’expression au point que désormais, un simple appel au boycott de produits israéliens est considéré, en France, comme un “appel à la haine raciale”.
Sur le plan historique, des chercheurs qui contestent le bilan de 39-45 sont désormais internés, comme Vincent Reynouard, il y a peu de temps, à un an de prison.
Plus récemment, et toujours pour des motifs fallacieux, l’Oeuvre Française a été dissoute bien que vieille de 45 ans et malgré le fait qu’elle ne fut mêlée ni de près ni de loin à l’affaire Méric.
Autre exemple récent, la condamnation à de la prison ferme de l’écrivain Hervé Ryssen pour une blague visant le maire de Paris.
Enfin, des livres vieux de plus de cent ans ont récemment été interdits par un tribunal français sur requête de la LICRA(association israélienne antiraciste) parce “qu’antisémites”.
A chaque fois, ce sont les opposants au sionisme qui ont fait les frais de cette répression. A chaque fois, l’état de droit censé prévaloir en France, a été un peu plus démantelé pour laisser la place à un état de force.
Après les écrivains emprisonnés, les livres interdits et les partis politiques légaux dissous, voici le temps de l’interdiction de travailler faite aux artistes non-conformistes.
Le lobby sioniste détruit la jurisprudence française
C’est en détruisant une solide jurisprudence vieille de 81 ans, fondée sur l’arrêt Benjamin, que le ministre de l’Intérieur français, Manuel Valls – marié à une juive – a pu obtenir l’interdiction, a priori, d’un spectacle n’ayant pas encore eu lieu.
Cette décision prise par le Conseil d’Etat français en quelques heures, en vérité prise d’avance, a stupéfié de nombreux juristes, à commencer par des juristes de gauche.
En d’autres termes, on interdit désormais des spectacles préventivement – avant qu’une infraction ne se déroule effectivement – pour délit d’opinion suspecté. En somme, il n’est même plus nécessaire en France de violer la loi pour interdire des représentations artistiques déplaisant au pouvoir.
Ce dernier pourra les interdire par avance, en intimant aux préfets l’ordre de le faire, tout spectacle jugé de mauvais goût.
La décision anti-Dieudonné prise par un descendant de Dreyfus !
Bref, en république française, en 2014, l’art et l’humour relèvent désormais du travail de police et un humoriste peut être interdit de jouer parce qu’il heurte le bon goût de l’établissement politico-médiatique en place.
Il n’aura fallu pour cela que deux heures au gouvernement français, en appelant le Conseil d’Etat – dont il nomme les membres – à l’instar Arno Klarsfeld, avocat de la LICRA, pour briser 80 ans de jurisprudence en faveur de la liberté d’expression.
Le juge responsable de la décision est un certain Bernard Stirn, arrière petit-neveu d’Alfred Dreyfus. Inutile de préciser l’origine ethnique de cet individu ni la cabale qui a précédé et permise cette atteinte gravissime aux libertés fondamentales.
Si la pieuvre sioniste en vient à de pareilles extrémités, c’est le signe évident qu’elle se sent hors d’atteinte et certaine de son impunité.
Mais elle témoigne aussi de sa peur grandissante face à la prise de conscience des masses, éveillées notamment par l’internet.
Nous entrons à présent dans la répression au sens strict.
Et nous connaissons les noms : Haziza, Stirn, Klarsfeld, Lévy, Cohen, Elkrieff, etc.
Il faudrait être aveugle pour ne pas le voir, sourd pour ne pas l’entendre.
source et publication: http://breizatao.com/2014/01/10/international/interdiction-dieudonne-larbitraire-sappliquera-dans-toute-sa-rigueur-aux-opposants/