25/10/2012
ONU : Il faut limiter la liberté d'expression pour prévenir la violence musulmane (Navi Pillay)
Navi Pillay reprend à son compte l'obsession liberticide de l'OCI au lieu d'encourager les musulmans à se comporter de manière civilisée.
A noter également la mention de l'attaque contre le consulat de Benghazi.
Or il ne s'agissait pas d'une réaction au film "anti-islam" mais d'un attentat djihadiste par des éléments liés à Al-Qaïda.
Note à Navi Pillay : le blasphème NE cause PAS le terrorisme.
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Un haut responsable des droits humains a déclaré, depuis le siège de l’ONU, que les dirigeants mondiaux doivent trouver un moyen de s’assurer que la liberté d’expression n’est pas synonyme de violence.
Le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Navi Pillay, a déclaré qu’il y a des signes de tensions croissantes entre la liberté d'expression et la religion. « J’ai publiquement déploré ou condamné diverses manifestations de haine religieuse ou de sectarisme, et j’ai régulièrement exhorté les leaders politiques et religieux à condamner la violence, y compris les pertes de vie en réaction à de tels incidents dans différentes parties du monde », a-t-elle dit.
Les protestations au Moyen-Orient et en Afrique du Nord contre un film anti-islamique ont tourné à la violence, incitant le gouvernement américain à publier de larges avertissements aux voyageurs.
L'adjointe au Haut Commissaire aux droits de l'homme, Kyung Wha-kang, a dit à des fonctionnaires du Maroc cette semaine que des incidents comme l'attaque du mois dernier en Libye où un ambassadeur américain a été tué ont « sonné l’alarme sur le niveau de haine et de cynisme des éléments écervelés et extrémistes dans les sociétés ».
Source : Pillay: Hatred, free speech dont mix, UPI, 24 octobre 2012.
Traduit par Poste de veille
France : «L'islam n'est pas une religion de paix, de tolérance et d'amour» (Michel Onfray)
Le philosophe français Michel Onfray parle de l'islam dans ses textes : le coran, les hadiths et la sira (biographie de Mahomet). Le 18 octobre sur la chaîne française LCI :
À ceux qui voudraient répondre en citant certains passages de l’ancien testament pour démontrer qu’il n’y a pas moins de violence dans la bible et, qu’en dernière analyse, tout est dans l’interprétation des textes sacrés, lire cette chronique d'Hélios d'Alexandrie : L'islam et la sanctification de la violence.
Voici la conclusion de sa chronique bien étayée :
«La violence islamique se distingue nettement des autres violences religieuses par le fait qu’elle ne peut être dissociée de la divinité qui l’ordonne, qui la sacralise et qui en fait la voie la plus sûre du salut.
Le jihad est indissociable de la foi en Allah, la terreur est son instrument de conquête privilégié.
Le musulman qui s’engage dans le jihad doit tout faire pour instiller la terreur dans le cœur du non-musulman, c’est par la terreur que l’islam conquiert et se répand.
Les musulmans d’aujourd’hui sont les descendants de ceux qui jadis ont cédé à la terreur islamique, ils ont embrassé la religion des envahisseurs pour sauver leur vie et épargner à leurs proches l’horreur de l’esclavage.
Quelques générations plus tard les vaincus se sont mués en clones de leurs vainqueurs, et ils ont à leur tour asservi d’autres peuples de la même façon que leurs pères ont été asservis.
L’arbre de la terreur et de la tyrannie a été planté il y a quatorze siècles, depuis, l’humanité n’a cessé de récolter ses fruits empoisonnés.
Les musulmans sont prisonniers du coran et de la violence dont il est rempli ; ils ne peuvent embrasser sincèrement la paix, la tolérance et le bon voisinage sans renier, en tout ou en partie, leur croyance ; s’ils lui restent fidèles, deux choix s’offrent à eux : se soumettre en silence aux extrémistes ou se joindre résolument à eux.»