Madame la ministre Duflot, comme vous je suis sensible au sort des sans abris.
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Comme vous, j’ai cherché des solutions pour les loger durant les dures journées d’hiver, et comme vous, j’ai trouvé une solution.
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Voici 14 magnifiques châteaux, soit plusieurs milliers de lits inoccupées, qui appartiennent à la CGT, FO, etc, et à divers comités d’entreprises – souvent des entreprises publiques.
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Et, vous le disiez si justement concernant les bâtiments des églises, « je ne comprendrais pas que les syndicats ne partagent pas vos objectifs de solidarité ».
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Château de Fontenay-les-Briis propriété de la branche CGT de la RATP.
Situé aux portes de Paris dans un parc de 74 hectares, dont près de 40 hectares de forêt, avec deux cours de tennis, deux restaurants, un mini-golf, un étang à truites, et trente chambres :
Fontenay les briis CGT
Le château de la Brévière, au coeur de la forêt de Compiègne. Il appartient à Force Ouvrière qui sera j’en suis sûr ravi de le mettre à votre disposition :
Chateau de la brévière-FO
Avec ses 36 hectares de vignes dans le Sauternes, voici le château Lafaurie-Peyraguey du CE de GDF-Suez :
Chateau Lafaurie Peyraguey
Les pieds dans l’eau, avec ses 31 chambres dont 5 suites, 2 salles de restaurant, jacuzzi, saunas etc… Castellamare du CE de la Snecma :
Castellamare CE Snecma
Le château du Plat, à Vallière dans la Creuse, entouré de plusieurs bâtiments, et qui appartient au Comité d’Entreprise de la RATP, possède 114 hectares de terres, des forêts et des prairies, et des écuries avec une trentaine de chevaux. Le château est en bon état, car le CE vient de faire d’énormes travaux, auto-financés sur son pactole de 50 millions d’euros par an :
Chateau du Plat – RATP
Château de Montreul de la Fédération des Organisations Sociales des PTT :
Château de Montreul – PTT
A seulement quelques kilomètres des superbes plages de Honfleur, Trouville et Deauville, dans un parc boisé de 3 ha, le Château de Prêtreville appartient au Comité d’Entreprise de la Caisse d’Allocations Familiales du Val d’Oise. Il est composé de 8 bâtiments :
Chateau-de-Pretreville – CAF Val d’Oise
Au cœur de la Bourgogne, le château de Ragny. Un véritable château médiéval du XIIe siècle qui appartient à la Banque de France qui l’a confié à son au Comité d’Entreprise. En été, il accueille des centaines d’enfants en colonies. Tennis et piscine font naturellement partie des prestations de base :
Chateau de Ragny CE- banque de France
L’association Ageforel (Association de Gestion des Foyers de la Région Ferroviaire de Lyon) gère le château de La Bachasse. Propriété de la SNCF depuis 1947, c’est une jolie bâtisse du XIXe siècle avec un parc de 8 hectares au cœur de Sainte-Foy-Lès-Lyon :
Château de La Bachasse
Le Comité d’entreprise de la SNCF est également propriétaire du magnifique château du Vernay, à Challuy, au sud de Nevers, qui comprends terrains de tennis, piscines, parc privé et forêt :
Chateau-Plagny-Vernay-CE-SNCF
Dans le Nord, le Comité d’Entreprise d’EDF GDF à majorité CGT est propriétaire du château de Cappelle-en-Pévèle, dit aussi château du Béron. Piscine couverte chauffée et deux tennis. Une riche propriété foncière :
Château de Cappelle-en-Pévèle – CE EDF
Château de Sainte-Croix du CE de l’EDF, dans l’Ain :
Château de Sainte-Croix – CE EDF
Sublime château d’Agecroft du CE de l’EDF sur la Côte d’Azur :
Château d’Agecroft – EDF
Château de Blomard dans l’Allier, toujours au CE de l’EDF :
Château de Blomard – EDF
Château de Vaux à Argenton-sur-Creuse, également au CE de l’EDF :
Château de Vaux – EDF
La CGT possède le très beau château de Courcelle-sur-Yvette, dans l’Essonne :
château de Courcelle – CGT
Château de Bierville à Boissy-la-Rivière, non loin d’Etampes – CFDT :
Chateau de Bierville – CFDT
Ce ne sont que des exemples, les syndicats vous donneront les adresses des autres châteaux.
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Vous pourrez également réquisitionner très utilement les milliers de lits des centaines de maisons de vacances des comités d’entreprises et des syndicats, dont ils seront ravis de vous donner la liste par solidarité pour les plus démunis -
Je crois, Madame la ministre, que le problème des sans abris, avec ma modeste contribution, est réglé.
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aller encore une petite pour la route
Eh bien, selon nos informations, Bertrand Delanoë fait mieux encore. Voilà 9 ans qu’il finance avec l’argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT, planqués dans une des mutuelles de la ville, la MCVPAP.
Dans un rapport au vitriol, l’inspection générale de la capitale chiffre à 1,2 million d’euros par an le coût de ce petit cadeau, consenti «sans aucun fondement juridique» à l’organisation de Bernard Thibault. On peut donc estimer que plus de 10 millions d’euros ont été consacrés depuis 2001 à cette œuvre charitable. Cinq fois plus que les frasques de Jacques Chirac.
http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/exclusif-emplois-fictifs-a-la-mairie-de-paris-delanoe-pire-que-chirac-541472?xtor=RSS-217
faut réquisitionner toutes ces permanances syndicales et mettre des sdf dedans
cette article montre la vrai nature des syndicat la source s’est capital un magasine sérieux d’économie
Les affaires se multiplient, où l’on voit des élus du personnel détourner de l’argent et se le mettre dans la poche. Capital lève le voile.
Ce militant CFDT ne s’embarrassait pas de fausses factures. Trésorier du comité d’entreprise de Transpac, une filiale rennaise de France Télécom, il se contentait de se faire des versements avec le chéquier de l’institution, et de griffonner des libellés fantaisistes sur le talon du chèque – «location été camping», «cadeau naissance Aubert» ou «tourisme et culture Disney». Pendant sept ans, de 1999 à 2006, ses amis du syndicat n’y ont vu que du feu. Il faut dire que leur CE, riche d’un budget annuel de 1,6 million d’euros, y allait franco avec les dépenses : il lui arrivait de proposer aux salariés des week-ends à New York en Concorde ! Lorsque le pot aux roses a été découvert, à la suite d’une restructuration de l’entreprise, le butin de notre élu indélicat atteignait 230 747 euros. Le coupable a dû vendre son pavillon de la banlieue chic de Rennes pour pouvoir tout rembourser, y compris les 44 305 euros de frais d’expertise engagés pour le confondre. Mais aucune poursuite n’a été engagée contre lui. Comme souvent dans ces affaires, les représentants des travailleurs ont préféré écraser le coup.
Gwenaël Eslan, le secrétaire de la section Unsa des personnels non roulants de la RATP, en prenait aussi pas mal à son aise. Avant d’abandonner sa fonction en janvier 2011, cet ancien contrôleur était tellement en cour auprès de la direction qu’il pouvait décrocher une promotion pour à peu près n’importe qui. Et, à en croire plusieurs de ses camarades, il n’hésitait pas à exiger des faveurs sexuelles en échange de ses services. La brigade de répression de la délinquance contre la personne a ouvert une enquête pour «harcèlement sexuel et trafic d’influence». «Plusieurs salariées ont accepté de témoigner», assure Réda Benrer-bia, son successeur à la tête du syndicat
Chez Renault, deux élus CFDT sont allés plus loin encore. Cette fois, ce sont des titres de séjour que «Monsieur Guy» et «Tonton Amadou» prétendaient pouvoir fournir, par on ne sait quel canal, à cinq jeunes Africaines. Mais tout travail mérite salaire. Selon nos informations, les camarades auraient contraint ces naïves à se prostituer pendant plus d’un an dans le local syndical situé au 3, rue Nationale, à Boulogne-Billancourt
En comparaison, les bonnes vieilles histoires de larcins paraîtraient presque vénielles. Le mode opératoire le plus courant des aigrefins à banderoles consiste à piller l’argent des comités d’entreprise. Avec quelques variantes. Au CE de l’usine Electrolux de Blois (Loir-et-Cher), le trésorier encaissait les chèques à l’insu de son secrétaire, alors que chez le cartonnier Kaysersberg, à Saint-Just-en-Chaussée (Oise), c’est le secrétaire qui imitait la signature de son trésorier pour se servir. Lui aussi a dû vendre sa maison pour rembourser les 137 000 euros dérobés… Toujours dans l’Oise, mais à Thourotte, quatre responsables du CE de Saint-Gobain Bâtiment ont détourné 595 000 euros. On attend le verdict de leur procès. Mais ce sont les œuvres sociales d’Euro Disney qui détiennent la palme : entre 2006 et 2010, 915 000 euros s’y sont volatilisés dans l’atmosphère…
Les dirigeants CGT du comité d’entreprise de Bombardier n’y sont sans doute pour rien. Mais l’Urssaf, qui a diligenté un contrôle dans leur propre CE, a tout de même quelques reproches à leur faire. L’ex-secrétaire, Michel Poce, aurait oublié de justifier 24 000 euros de frais de restaurant en 2007 et 58 000 en 2008.
A défaut de dépouiller leur CE, Patrick Deshayes et Brice Friboulet, secrétaire et trésorier de la CGT du Port du Havre, s’en sont pris aux finances… de leur syndicat. Ces faux frères se faisaient remettre des factures vierges par leurs restaurateurs préférés – l’Ampère, la Baraka, le Marco Polo – et se les faisaient rembourser par la CGT après les avoir remplies. Selon les juges, les deux militants s’offraient aussi des week-ends dans des hôtels de luxe avec leurs épouses, et des virées dans des bars à hôtesses parisiens (sans leurs épouses).
Pour piocher à son aise dans les finances de son propre syndicat, Gwenaël Eslan, le secrétaire général de l’Unsa Commercial RATP (les personnels non roulants), avait ouvert un compte à la banque HSBC et s’était fait attribuer cette carte de crédit sans en parler à personne. Il l’approvisionnait grâce à la dotation de 25 000 euros versée par l’entreprise pour l’entretien des locaux syndicaux
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