Dissolution des JNR ?
Alerte maximale, les libertés publiques sont en danger
Les staliniens qui ont pris le pouvoir en France sont à l’oeuvre, ils seraient en passe de dissoudre le groupe desJeunesses Nationalistes Révolutionnaires de Serge Ayoub.
Motif ? La mort de Clément dont l’agresseur a été exonéré de toute préméditation par le témoignage d’un vigile ?
Non. Pas du tout. Tout à coup Valls se souvient que depuis des semaines ou des mois (va savoir) ils pensaient à dissoudre les JNR ! Et ça leur revient tout à coup à l’esprit et Ayrault de dire sans rire que cela se fera sur la base d’éléments antérieurs et «plus larges»…
Et cela va se faire en toute quiétude, sans procès, par la volonté et le fait du prince, sans que les concernés puissent se défendre.
Je crains bien que ce ne soit que le début d’une longue série de sites patriotiques visés. Il est clair que les anti-Hollande, quels qu’ils soient, quels que soient leur combat, gênent. Terriblement.
Et la presse Internet est trop active, elle se développe trop vite. Ils sont en train de paniquer complètement.
Alors ils sont prêts à tout. Les mauvaises langues de certains témoins affirment même que lors de la dernière « Manif Pour Tous » des policiers auraient enlevé leurs brassards avant d’aller jeter des projectiles sur leurs collègues, histoire de justifier arrestations et interdits.
Je ne sais si c’est vrai mais ce qui se passe aujourd’hui nous le laisse croire, hélas.
Voilà la France de Hollande, Valls, Taubira.
Notre pays est en danger.
Nos libertés sont en danger.
Une poignée de politiques dépassés par les évènements essaient de faire revivre la diabolisation des opposants qui a si bien réussi à Mitterrand.
Ils oublient deux choses.
30 ans ont passé.
Les Français ouvrent les yeux malgré les medias et les discours de nos dictateurs en herbe.
Ce qui se passe dans la patrie de Voltaire est terrible.
Mais nous ne resterons pas les bras croisés.
Tous les patriotes doivent exprimer leur solidarité avec Serge Ayoub et son organisation, quelles que soient nos divergences, quels que soient nos désaccords politiques.
Ils sont les victimes sacrifiées sur l’autel de la haine. Haine de la liberté. Haine de l’autre. Haine de nous qui refusons de lécher les babouches des médiocres au pouvoir.
Liberté, nous écrirons ton nom, partout !
source : Christine Tasin / Résistance Républicaine