LA REVOLUTION GRONDE : LA JEUNESSE REPREND LA SORBONNE ! LES FRANCAIS EN REVOLTE FONT MAI 2013 AVEC LE NOUVEL ARBITRE ( source )
La Jeunesse reprend la Sorbonne!
Les Français en Révolte font mai 2013
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16 Mai 2013 • 6h36
La Jeunesse reprend la Sorbonne! Les Français en Révolte font mai 2013
Nouvel Arbitre est en direct du Quartier Latin aux côtés des Français en Révolte pour sonner le glas de mai 68. La Jeunesse reprend le cœur symbolique et intellectuel de Paris dans un élan qui fera date. Nous vous invitions à nous rejoindre!
Vous pouvez suivre nos rédacteurs en temps réel sur notre compte Twitter : https://twitter.com/NouvelArbitre
Retrouvez notre entretien avec David l’un des organisateurs.
Ce soir la Jeunesse est au rendez-vous dans le Quartier Latin pour dire son exaspération devant les magouilles de François Hollande. Tous les mouvements se rassemblent Place de la Sorbonne pour reprendre ce haut lieu de la contestation intellectuelle des doxas mortifères qui voulurent empêcher le peuple de suivre le Bon Sens et la foi. Dany le Rouge avait réuni dix copains avant de saccager la pensée française pendant quarante ans, nous réunissons plus de cent fois ce nombre afin de faire entendre les voix des Français en Révolte.
Samuel Lafont a participé à la mise en place de cette manifestation, retrouvez l’entretien qu’il avait accordé à Nouvel Arbitre quelques jours avant son agression.
Début de la Manifestation:
La Police Politique craint visiblement la colère de la Jeunesse. Le dispositif organisé par Manuel Valls et le préfet de police de Paris est à la hauteur de leur incompétence. Une fois encore le ministère de l’intérieur prouve qu’il n’a ni compris le sens de la révolution internet, ni mesuré combien les débordements policiers exacerbent la mobilisation.
Les organisateurs de la Manifestation, joints par nos soins, se félicitent du formidable mouvement de convergence de tous les opposants au projet de Loi. Ils attendent une foule importante et notent que le dispositif policier est révélateur de la crainte des autorités. Ils nous font savoir que toute manipulation policière est fausse: le rendez vous est et demeure place de la Sorbonne.
19h
Les policiers sont autour de la Sorbonne, ils bloquent les rues! On nous apprend que les forces de l’ordre sont très tendues.
Les slogans débutent: « François ta Loi, on en veut pas. »
Le reportage photos par Nouvel Arbitre
19 h 15 : La gendarmerie est déjà très présente et bloque les rues des alentours.
19h 20 : « C’est l’égalitarisme qui nous détruit! » entend-t-on scander.
19 h 30 : Il y a foule, vraiment beaucoup de monde, « un petit millier » nous dit V. Hoch.
19 h 35 : Les « salopards » sont de la fête :
19 h 38 : Le message n’est-il pas assez clair, Monsieur le Président ? Sur la grande banderole déplié : « Hollande démission »
19 h 40 : « Un père, une mère c’est élémentaire » Une vérité toujours bonne à dire qui déchire les oreilles de nos dirigeants !
19 h 43 : A grand renfort de torches et de fumigènes, Les HoMman entre en scène ! Sur la banderole qu’ils déploient est inscrit »Hollande retire ta loi ».
19 h 50 : Ce nouveau mai 68 a de tous autres couleurs que ceux que les soixante–huitards nous ont donnés à voir. Les HoMmen continuent leur action avec l’excellence de la mise en scène qu’on leur connait.
20 h 00 : Combien donc de camionnettes ont-ils cru bon de mobiliser ? Combien de policiers les caprices du gouvernement ont-ils été privé de match télévisés ce soir ? Comment savoir ? Les CRS ont bloqué la place de partout.
20 h 15 : Combien alors ? Bien, pas assez… Des renforts arrivent encore, mais pas du « bon côté », une dizaine de camions de gendarmes arrivent sur les lieux.
20 h 30 : Le dispositif se renforce, ils encerclent et cernent les manifestants. Plus de doute, la Sorbonne est en « état de siège ». La question est : par qui ?
Parce qu’à bâbord… côté rue de la Sorbonne, c’est eux :
et à tribord… côté bd Saint-Michel, c’est encore eux :
20 h 35 : La Place de la Sorbonne pour ce mai 2013, enterrant le vieux mai 68 est comble.
Sortir ? C’est encore permis. Mais attention, il faut déposer les armes :
20 h 40 : Encore un peu, et ces CRS seraient presque mal à l’aise, avant les HoMman, ne sachant plus quoi pensée.
Mais qu’est-ce que cet objet-là dont les manifestants n’auraient pas encore eu le plaisir de goûter ?
Les salopards reprennent le mégaphone pour faire ce pourquoi ils sont le plus doués : mettre de l’ambiance… « Taubira, ta loi, on en veut pas ! »
20 h 45 : Ça va pété ! Quelques jets de bouteilles retentissent sur les pavés. Petite salutation fraternelle entre Citoyens et CRS, échanges de pétards et de lacrymo.
20 h 50 : Bloquée encerclée, si vous vouliez sortir il fallait y penser avant. A présent, il est trop tard…
21 h 00 : Ah, si Auguste Comte savait qu’il allait un jour se faire porte-parole de La Manif Pour Tous ?
Place aux artistes !
21 h 00 : Les CRS se mettent en tenue de combat : rabattent les visières, lèvent les boucliers !
21 h 10 : Et pourtant… en face, une ambiance bon enfant règne. Cigarette à la bouche, verre à la main, mobile dans l’autre, on garde des souvenirs de ce moment historique.
21 h 30 : La foule toujours bloquée par les Forces de l’ordre. Mais on ne lâche rien non plus à l’intérieur de l’Université, où des sorbannards ont déployé une banderole !
21 h 45 : Ce soir, la nuit tombe sur une France où mai 68 et ces dictas sont renversés ; sur une France où le symbole de l’ultralibéralisme et socialisme dégénéré est redoré par les valeurs véritables de la famille qui feront la France de demain. Nourrissant l’espoir d’un renouveau, un drapeau flotte dans le soleil couchant, devant le symbole de l’intellectualisme gauchissant…
Tour d’horizon de la manifestation :
A babord…
Comme à tribord.
Privé de ses photographes, temporairement nous l’espérons, nous sommes au regret de vous informer que le direct est interrompu, rendez-vous sur les réseaux sociaux pour en savoir plus.
Après presque une heure de black-out, envers et contre tous, Nouvel Arbitre reprend son direct pour votre réinformation !
22 h 20 : La nuit est tombée sur la capitale et sur le cœur du quartier latin où pas un seul manifestant ne quitte la Place de la Sorbonne.
22 h 30 : Les policiers trouveraient-ils à ce point les manifestants trop calmes, qu’ils leurs aillent faire de pareilles provocations ?
22 : 35 : Bousculer les jeunes filles ne leur suffit pas, il leur faut aussi mettre la main sur le bas clergé. Un prête est si mal mené par quatre CRS qu’il a peut-être la main cassée.
20 h 30 : Si parfois l’on entend un CRS chanter avec les manifestants « il était une bergère… », les manœuvres d’encerclement et de resserrage n’en sont pas moins diminuer.
22 h 50 : La police se mobilise de manière romanesquement, Samuel Lafont témoigne :
22 h 50 : Parce que ce monsieur croit en la puissance de la non-violence. Nous ne manquerons pas de relevé le caractère allégorique de ce cliché.
23 h 00 : Heure où lundi dernier, le Trocadéro était à feu et à sang et où les policiers se faisaient petits, ce soir autour de la Sorbonne tout se passe dans le calme, et l’on ne saurait compter les CRS.
23 h 05 : les manifestants sont poussés vers les bouches de métros par les CRS, qui n’hésitent pas à la moindre occasion de charger et de gazer pour le principe.
23 h 15 : Aussitôt rentrés dans le métro, les manifestants ressortent pour scander encore des slogans. A présent, la place de la Sorbonne est laissée par quelque manifestants, qui se lancent à travers Paris, par le boulevard Saint-Michel. C’est parti pour un « Cache cache pour tous ». La nuit s’annonce encore longue pour les forces de l’ordre…
23 h 20 : La foule s’élance vers l’Opéra. Des dizaine des camions de police les prennent en chasse rue de Rivoli.
23 h 30 : La course est à nouveau engagée dans Paris. Une fois de plus, quoi de plus naturel, après avoir été si oppressé par la police, de vouloir un peu prendre l’air ?
23 h 40 : les manifestants projettent de rendre visite à notre président préféré, qui ne semble pas l’entendre de la même oreille. L’Elysée est assiégé par une quarantaine de camions de police. On ne passe plus nul part. Le quartier pullule le policiers en civil.
23 h 50 : l’une de nos reporters, est parmi les coureurs de ce « Cache cache pour tous » dont l’issue sera sans surprise aucune. Les règles de ce dernier ont ceci de particulier il y a plus de chats que de souris.
0 h 20 : la course continue, les deux côtés sont essoufflés et fatigués. Mais ce n’est pas encore gagné par les forces de l’ordre, qui viennent de rater une interpellation.
0 h 30 : Les actions sont trop éclatées pour que les reporters de Nouvel Arbitre puissent les suivre. Un grand merci à tous de nous avoir suivis ! Nous fermons notre direct.
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