06/02/2013
Deux avions qataris à la rescousse des djihadistes au Mali
Lu sur Le Temps d'Algérie du 5 février:
"Des informations font état de l'atterrissage de deux avions du Qatar au nord du Mali «pour transporter des djihadistes et empêcher leur arrestation ou leur élimination par les armées française et malienne»
. L'opération qui commence à faire le tour du monde du renseignement, expliquerait, en partie, le fait que des chefs d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) ne soient pas arrêtés, jusqu'à présent, plusieurs semaines après le début de l'offensive militaire française et la récupération de plusieurs villes du Mali, dont Kidal, Tombouctou, Monti et Gao.
«Cette information circule depuis récemment», nous a déclaré Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R).
Le Qatar, qu n'a, jusqu'à présent, pas démenti cette information, avait, rappelle-t-on, exprimé son désaccord vis-à-vis de l'intervention militaire française, au Mali, après avoir proposé d'assurer la médiation avec les djihadistes armés se trouvant au nord de ce pays.
Pour rappel, quatre humanistes qataris avaient été signalés au nord du Mali.
Ce qui nous a été confirmé par Mickael Sibdiga, chef d'antenne de la Croix-Rouge à Kidal.
Les quatre «humanitaires» qataris étaient, ajoute-t-on de source malienne locale, arrivés de façon non officielle, c'est-à-dire sans informer le comité international de la Croix-Rouge. «Ils ont dit qu'ils sont venus pour faire l'appréciation des besoins des populations», a ajouté Mickael Sibdiga.
Le Qatar est soupçonné de soutenir et financer les djihadistes qui sévissaient au nord du Mali et dans d'autres régions du monde."`
Il faut d'urgence interdire au Qatar d'investir en France, notamment dans nos entreprises stratégiques
. La France doit également passer outre les règles de l'UE pour se protéger des OPA hostiles.
Nicolas Sarkozy a une lourde responsabilité sur la facilitation des prises de positions qataris dans notre économies, et l'octroi de passe-droits fiscaux.