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TRIBUNE LIBRE, POINT DE VUE ET CONSTAT ! REVUE DE PRESSE !

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L’égorgement est un truc d’arabe

by bibliothequedecombat
Depuis le début de ce conflit, nos médias compassionnels n’ont eu de cesse – comme pour minimiser l’horreur de ces exécutions- de véhiculer l’idée qu’Hervé Gourdel, James Foley, Steven Sotloff, David Haines avaient été décapités… comme notre guillotine permettait de le faire il y a encore un demi siècle, en France. Cela fait effectivement plus « propre » et heurte moins les sensibilités… mais c’est un mensonge.
Ces hommes ont été égorgés comme des moutons, exécutés avec une bestialité assumée dans le but de terroriser la victime, la faire souffrir et la reléguer au rang d’animal ; ce que ne veulent pas voir les médias occidentaux pour qui il s’agit toujours de protéger en priorité un fantôme : l’arabe modéré et civilisé qui aime les chiens et ne ferait pas de mal à une mouche...
Ce n’est qu’une fois l’égorgement accompli, qu’on décapite le corps et puis que l’on pose la tête sur le corps. Quelle que soit la victime sacrifiée, le rituel et les procédés utilisés sont les mêmes.
Selon les médias terrorisés, la décapitation relèverait pourtant de la seule barbarie dont, par définition occidentale, seule une infime minorité d’humains serait capable. En réalité, l’égorgement (et c’est bien ce qu’il s’agit de ne pas entendre ou laisser voir) relève d’une culture, d’une coutume, d’un rituel, d’une tradition institués par le prophète-racaille Mahomet qui déclara un jour dans un hadith : «Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement !».
L’idée d’un peuple égorgeur par seul effet de son imaginaire religieux est naturellement inconcevable dans une pensée compassionnelle qui refuse de «généraliser, «d’amalgamer» et «d’essentialiser» et qui se condamne ainsi à la stupidité et à l’aveuglement ; puisque l’essentialisation et la généralisation sont les ressorts même de toute pensée.
L’égorgement est dans le Coran. Joignant le geste à la parole, le fondateur passablement psychopathe de l’Islam ordonna la décapitation, en l’an 627, de tous les hommes pubères de la tribu juive des Banu Qurayza après la « bataille de la Tranchée » (800 à 900 personnes) et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage. «L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 800 à 900 », rapporte à cet effet l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.
Depuis lors, pour justifier leurs décapitations, les arabo-musulmans qui ne sont pas plus barbares que vous et moi (mais simplement arabos-musulmans) se réfèrent au Coran qui, dans sa Sourate 8, 12-13, précise : «Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : Affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les coeurs des mécréants [les non-musulmans]Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à son messager».
Laisser la peur envahir les citoyens du monde (mais aussi les Arabes du camp ou de la famille de l’égorgé), faire de cette peur une bête intime, cruelle à son tour, et l’installer pour des temps infinis... Qui peut voir de la folie «barbare» là-dedans ? Il s’agit juste d’une manière de voir les choses, rien que cela.
Par ailleurs, quand les pères de famille arabo-musulmans installés en France, chaque année lors de la « Fête du mouton » (l’Aïd el-Kebir), apprennent à leurs jeunes garçons à égorger des moutons, ils les rendent, de fait, mentalement insensibles à cet acte barbare qu’ils considèrent naturel, adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est accompli. Dernièrement, c’est un neveu Mohamed Merah, âgé seulement de dix ans, qui est entré dans la peau du sacrificateur.
Devenus adultes, les enfants arabo-musulmans pérennisent à leur tour cette coutume de l’abattage qui, inéluctablement, débouche sur des agressions barbares comme, entre autres, celle pratiquée sur les sept marins italiens à bord de leur navire dans le port de Gigel (anciennement Djidjelli), sur les sept moines trappistes français du monastère de Tibhirine enlevés en mars 1996 et retrouvés décapités deux mois plus tard et sur les deux religieuses espagnoles qui aidaient des familles malheureuses dans un quartier pauvre à Alger… autant d’actes monstrueux commis au nom de cet islam que la «bien-pensance» accepte toujours de regarder comme une «religion de paix et d’amour, pacifique et tolérante».
Les âmes chagrines qui cultivent jusqu’au non-sens la religion de l’humain toujours bon et du radieux avenir de l’Homme sous le règne des bons sentiments accompagnés du reflux de l’Etat (qui était justement une saine méfiance envers l’Homme) affirment ordinairement que leur conscience marchandisée et connectée se révolte au spectacle de tous les crimes. Mais là, curieusement, c’est l’esprit de minoration qui prévaut : les télévisions parlent inlassablement de décapitation et non d’égorgement, et elles en font dix fois moins pour Hervé Gourdel que pour trois anciens champions victimes d’un accident d’hélicoptère... Hervé Gourdel, quelle solitude !!!
Les images de son égorgement seront aussitôt diffusées sur les réseaux sociaux dans un but précis : répandre la terreur et s’amuser entre-soi de cet occident de sensibleries littéralement incompréhensibles pour un vrai «musulman arabe». Pourtant, avec Daesh, qui n’est même pas la plus extrémiste des organisations arabo-musulmanes, sous sommes bien en présence d’un florilège de l’égorgement.
Car ce n’est pas seulement d’une guerre qu’il s’agit, mais de joie et d’excitation religieuse à exterminer. Ces massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents venus, eux, d’une culture envahie par le tabou du sang ont manifestement pour objectif d’arracher, devant la frayeur si visible de l’Occident, un joyeux avant-goût de ce que serait la grande victoire arabe si elle devenait possible dans quelques décennies, quand les vagues d’immigration musulmanes se seront rendues maîtres des principaux Etats européens...
Ainsi, le fléau de l’égorgement est aujourd’hui en germe dans TOUTES les populations arabo-musulmanes d’Europe ; communautés désormais travaillées intensément par l’essence même de leur religion qui est DANS l’égorgement et dans sa joie. L’égorgement, c’est bien un truc d’arabes...
Et si vous en doutez, regardez donc les statistiques des égorgements commis en France dont parle Laurent Obertone : les chiffres explosent et accompagnent strictement les courbes de l’immigration arabo-musulmane. Il n’y avait pas un seul égorgement en France en 1960. On en comptait une cinquantaine en 2014.
Lieutenant gaspard – Le lys noir n°15
 

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