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L'SLAM UTILISE LA DÉMOCRATIE POUR MIEUX LA TUÉE ..........

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L'islam utilise la démocratie pour tuer la démocratie

L'enseignement judéo-chrétien a conduit les Occidentaux à une passivité exagérée, exacerbée, au point où on demande presque à la victime de s'excuser devant son agresseur. Ajoutez à cela que les sociétés occidentales ont honte de ce qu’elles ont été, honte que leurs ancêtres aient pu faire les Croisades, même si elles étaient justifiées, honte d'avoir eu des colonies, même si la colonisation a eu aussi des effets bénéfiques. Ce principe semble avoir été adopté même par les Nations qui n'ont pas de passé colonial, ce qui est totalement incompréhensible et paradoxal.

 

C'est de la faute de l'Occident

Alors que ce sentiment de culpabilité est totalement absent dans l'islam. Par exemple: ils justifient toutes les guerres de conquête qu'ils ont mené depuis l'an 622 par les versets hégémoniques du coran, y compris les pires carnages, les pires atrocités qu'ils aient pu commettre, comme les massacres du Hindi Kouch. Il en est de même pour l'esclavage: le reproche en est toujours fait aux Occidentaux, en oubliant que les plus grands esclavagistes ont été les musulmans, que l'esclavage, qui est encore pratiqué dans certains de leurs , est justifié par 15 versets du coran, qui est, selon eux, la parole infaillible et intangible d'Allah l'Omniscient (Lire mon post  Le Coran, l’islam et l’esclavage).

L'islam ne connait pas d'état d'âme. 

 

L'islam utilise la passivité des Occidentaux et leur sentiment de culpabilité ainsi que la démocratie, pour prendre possession de l'espace, s'imposer et imposer son dogme et ses règles liberticides et mortifères. 

 

C'est ainsi qu'il avance ses pions à travers tout l'Occident. Dans un autre post, j'avais comparé l'islam à un boa constrictor qui resserre ses anneaux à chaque expiration de sa proie: c'est exactement ce qui se passe. L'Occident continue de respirer malgré tout, mais chacune de ses expirations l'étouffe un peu plus. 

 

Même si elle est invisible pour beaucoup, la dictature islamique se met en place et menace déjà une des bases de la démocratie: la liberté d'expression. Fatwas contre des écrivains ou des opposants à l'islam, tentatives d'intimidation, menaces de mort, attentats, tous les ingrédients nécessaires pour créer un climat de terreur sont présents. Avec la complicité des dirigeants aveugles (ou pire: traîtres et véreux), l'islam travaille à faire interdire toute critique des religions. Il enregistre déjà quelques succès: divers accommodements et aménagements concédés aux musulmans dans certaines entreprises pour intégrer les obligations islamiques (salles de prières, repas halal, aménagement d'horaires, ramadan ...), égorgement des animaux de boucherie sans étourdissement, nourriture halal qui s'impose presque partout, port du voile qui se généralise (en dépit de la réglementation pour certains pays)... 

Une de ses plus grandes victoires, bien préoccupante pour les amoureux de la liberté: de nos jours, critiquer l'islam est considéré comme un discours de haine et un discours raciste. Succès islamique qu'on doit en partie à Hillary Clinton et à son discours de soutien au Processus d'Istanbul. Il ne reste plus qu'à entériner cet état de fait par l'ONU.

L'islam engrange quotidiennement d'autres succès, d'autres victoires, à cause de la couardise de l'Occident, comme l'interdiction de territoire européen signifiée à Pamela Geller et Robert Spencer, à cause de la lâcheté et de la duplicité de David Cameron, parfait dhimmi de l'islam. 

Il obtient aussi des succès indirects, comme la décision du caricaturiste de Charlie Hebdo de ne plus faire de dessins de Mahomet. 


Quand des journalistes s'autocensurent, ils envoient un message fort à l'islam: c'est le début de la capitulation et c'est la défaite de la démocratie. Ce n'est pas simplement la liberté d'expression qui est en jeu, c'est la liberté tout court. La liberté d'exister.

Les journalistes de la presse nationale française semblent l'avoir oublié, c'est pourquoi ils ont attendu le 28 mai 2015 pour parler de ce lycéen du Val-de-Marne menacé de mort depuis le 22 janvier pour avoir soutenu Charlie Hebdo. Ils ont enfin traité le sujet, presque sous la contrainte, puisqu'ils ont attendu que Charlie publie un hommage à ce lycéen pour évoquer ce fait pourtant gravissime.

 

"Ici, c'est terre musulmane"

Les Occidentaux ont fait quelque chose d'inimaginable pour toutes les autres nations du monde: laisser des groupes de personnes instaurer ses propres règles de vie, dans des portions de territoires incontrôlés et maintenant incontrôlables, les "no-go-zones". Des zones de non-droit, pudiquement dénommées "zones urbaines sensibles" par les bien-pensants, qui se sont de facto mises en place un peu partout en Europe, partout où la présence musulmane est significative. 


Essayons d'envisager la même chose en terre musulmane. Pas chez "les intégristes": l'Arabie des Saoud, le Yémen, le Pakistan, le Soudan, etc. Non, chez ceux qu'on nous présente comme de bons musulmans bien modérés, comme la Turquie, la Jordanie, le Maroc. Ou encore les Maldives, ce "paradis touristique" . Non, finalement, les Maldives, c'est juste pour bronzer idiot, comme on dit... Imaginons donc que, dans ces pays, des chrétiens (des chrétiens, car les autres croyants non monothéistes et les non-croyants ne sont pas admis dans ces pays, vrais modèles de compréhension et de mansuétude) décident de vivre selon leurs propres lois, en ignorant tout ou partie de la législation locale. On arrête là toute divagation: chose impensable chez les adeptes du triptyque "amour-paix-tolérance". C'est ce qu'on pourrait appeler la réciprocité à la mode musulmane. 

 

D'ailleurs, on peut se faire une idée des notions musulmanes du "vivre-ensemble", à travers cette  loi koweïtienne sur la citoyenneté. L'article 4.5 de cette loi dit que pour être citoyen de ce pays, il faut impérativement être musulman par naissance, ou, pour un converti à l'islam, passer par une période probatoire de 5 ans minimum. 

La nationalité ainsi acquise est perdue ipso facto et le décret de naturalisation rendu nul ab initio si la personne naturalisée renonce expressément à l'Islam ou si elle se comporte de manière qui indique clairement son intention de renoncer à l'islam. Dans un tel cas, la nationalité de toute personne à charge de l'apostat qui avait bénéficié de la naturalisation est également frappée de nullité.

 

Heureux pour l'apostat et pour sa famille qu'on ne les décapitent pas au sseif, le sabre islamique. Telle est donc l'idée qu'on se fait de la nationalité dans les pays musulmans, une antithèse des notions démocratiques de la citoyenneté, où la liberté de religion et de conscience est primordiale.

 

Revenons aux no-go-zones. Dans certaines de ces enclaves musulmanes d'Occident, les seuls "blancs" qui restent sont ceux qui n'ont pas les moyens de faire autrement. Ils sont tout juste tolérés, à condition qu'ils se soumettent aux règles communes.

Les services administratifs ont quasiment plié bagages et laissé s'instaurer des minis-califats, plus ou moins régis par la charia. La police ne pénètre plus dans certains de ces secteurs, seules des brigades de CRS surarmées s'y risquent encore parfois, par exemple en cas d'émeute. Même les pompiers n'y entrent plus, de peur de se faire lapider (on dit couramment "caillasser", mais ce néologisme n'est pas adapté, le terme exact est bien lapider: jeter des pierres). 


Selon moi, cet abandon de souveraineté est dû à plusieurs facteurs: la démission des pouvoirs publics, la lâcheté des élus, la peur d'être taxé de raciste. Et aussi les effets de la "repentance", mot à la mode. Ainsi que cette sorte de culpabilité développée par l'Occident post-colonial qui se traduit par un laisser-aller incompréhensible. Ce qui est totalement injustifié, puisque cette attitude "politiquement correcte" (expression elle aussi à la mode) consiste en quelque sorte à endosser les exactions commises par des ancêtres plus ou moins lointains. Autant demander aux Allemands d'aujourd'hui de se charger de tous les crimes nazis.
Mais voila, c'est comme ça: on préfère fermer les yeux sur la réalité et produire des films complaisants comme "Indigènes", quitte à sacrifier la vérité historique. 

 

Démocratie en danger

Il ne reste comme solution que d'interdire l'islam.

Tant qu'il ne sera pas criminalisé, il restera dangereux pour la démocratie car il utilise les armes qu'elle lui fournit pour l'anéantir. Mais est-ce que l'Occident est prêt à revoir par exemple certaines de ses lois, certaines de ses conceptions, certaines manières d'aborder les problèmes? À laisser tomber le "politiquement correct" et les "accommodements (dé)raisonnables", avant que n'éclatent partout des guerres civiles?  

 

Il est peut-être inconcevable d'interdire la liberté aux ennemis de la liberté, mais il est totalement utopique de croire que l'islam peut changer. Il peut se faire tout petit sous la contrainte, mais pas changer. Jamais. Jamais les musulmans n'accepteront qu'on modifie les versets antijuifs et antichrétiens, homophobes, misogynes, pédophiles, etc. Jamais ils n'accepteront qu'on change le moindre des signes diacritiques de leur coran, tout en sachant pourtant que ces signes ont été ajoutés plusieurs années après la mort de leur prophète. Jamais ils ne renonceront aux versets qui les incitent au djihad contre tous les non-musulmans [1].

L'islam peut faire des concessions, mais cela ne pourra être que temporaire, tant qu'il se considérera comme étant dans une position d'infériorité. Car, c'est une autre caractéristique de l'islam, il n'envisage les relations entre humains que de dominant à dominé (lire mon post L'islam a hiérarchisé les humains). 

Le problème, c'est le contenu du coran et ses innombrables aspects non acceptables en démocratie. Les exégèses officielles (tafsir) viennent aussi durcir ces aspects incompatibles avec les concepts démocratiques. Et sachant qu'il est dit très clairement dans le coran [2] comme dans les hadiths que tout renoncement ou désaccord avec les textes islamiques équivaut à un acte d'apostasie punissable de mort, aucun musulman ne prendra le risque de dénoncer ou de chercher à modifier quoi que ce soit de la sunna (coran, hadiths, tafsir). Sauf sous la contrainte, car les sunnites ont compris l'importance de la taquiya, invention des chiites qui leur permettait de mentir sans risquer la punition dans l'au-delà, et ils l'ont reprise à leur compte: un sunnite peut ainsi utiliser la taquiya, le mensonge utile, tant qu'elle est profitable à l'islam. 


Tout, dans l'islam, est contraire aux valeurs inscrites dans la Déclaration universelle des Droits humains de 1948. Inégalité dans l'héritage entre hommes et femmes, polygamie, répudiation de l'épouse simplement en prononçant un mot ("talaq") devant trois témoins, mariages forcés, inégalité entre hommes et femmes, mutilations génitales, inégalité entre musulmans et non-musulmans, antisémitisme, antichristianisme, homophobie, pédophilie, supplices et tortures, toujours en vigueur dans le Golfe Persique: tous ces principes sont légaux en islam, ils sont tous inscrits dans le coran. Ce sont même des symboles de haute moralité islamique et donc encouragés dans le monde musulman. Ils sont en contradiction la plus absolue avec les lois et les principes démocratiques. Jusque dans sa morale et sa moralité, l'islam est le contraire parfait de la démocratie. 

 

Autre différence fondamentale pour laquelle on peut dire que l'islam est incompatible avec le système démocratique: l'islam n'est pas une religion, c'est un appareil aux ambitions géopolitiques hégémoniques (le coran demande l'asservissement de toute l'humanité) qui réglemente tous les aspects de la vie, publique comme privée; un système totalitaire, qui regroupe toutes les activités humaines: sociales, politiques, judiciaires, y compris dans les actions les plus anodines des individus. Tout est très précisément codifié, jusque dans les moindres détails, y compris dans les domaines les plus intimes, comme les manières d'uriner, de déféquer ou de se torcher le derrière. 


Le voile islamique a fait couler beaucoup d'encre. À son sujet, une citation résume assez bien la considération qu'a l'islam envers les femmes. La citation nous vient de la très moderne et très modérée Turquie, elle a été prononcée par le non moins très moderne et très modéré Suleyman Demirci, chef du Département de la promotion et des médias du très moderne et très modéré parti politique AKP au pouvoir en Turquie: 

Une femme sans voile est comme une maison sans rideau. Une maison sans rideau est à vendre ou à louer.

La femme, juste un objet: c'est la conception qu'en a le coran, et il faudra bien que l'Occident s'accommode de ce genre de déclarations et comportement médiévaux, d'autant que la Turquie frappe à la porte d'entrée de l'UE. Comme elle ne veut pas changer, ce sera aux autres de s'adapter...

Une citation toute islamique qui peut choquer les esprits, mais pas autant que cette autre, sortie du cerveau malade du grand mufti d'Australie et de Nouvelle, l'Égyptien Cheikh Taj el-Din Hilaly, à propos des femmes victimes de viols:

Si vous laissez la viande à découvert et que vous la placez à l'extérieur, dans la rue, ou dans le jardin ou dans le parc, ou dans l'arrière-cour, sans qu'elle soit recouverte et que les chats viennent et la mangent ... à qui la faute? Aux chats ou à la viande non couverte? La viande découverte est le problème. Si elle était dans sa chambre, dans sa maison, dans son hijab, aucun problème ne serait arrivé. 

La femme, moins qu'un objet: juste un morceau de barbaque... Et si ce n'est pas compatible avec les valeurs de la démocratie, ça ne doit pas être bien grave, puisque l'Occident (en l'occurrence l'Australie) permet à ce décérébré moyenâgeux de continuer d'exercer son métier d'imam et de guide "spirituel" de toute l'Océanie et qu'il servira d'exemple et de maître à penser à des ribambelles de gamins, qui feront de bons musulmans modérés, futures "cellules dormantes", futurs imams ou futurs djihadistes, c'est selon. 

 

Chassez le naturel, il revient au galop

Le mot islam se traduit par "soumission". Soumission et obéissance, jusqu'au reniement de l'individu, qui se fond dans la Oumma. Ce concept est une des barrières principales à l'acceptation de la démocratie par l'islam. Un obstacle parce que l'Occident reconnaît avant tout la primauté de l'individu sur le groupe. Un obstacle parce que l'islam ne donne pas le choix entre l'obéissance aux lois humaines ou à celles d'Allah.


On est donc amenés à nous poser légitimement la question: peut-on faire confiance à l'islam? Même si en apparence les musulmans d'Occident acceptaient les règles qu'on pourrait leur imposer, la démocratie ne sera pas pour autant à l'abri d'un possible retour en arrière, un retour au strict respect du dogme. La vraie nature de l'islam reprendrait ses droits très rapidement, à la moindre occasion.

 

Tant que l'islam ne sera pas interdit en Occident, le risque demeurera. On l'a constaté avec la boîte de Pandore ouverte par les Saoud d'Arabie: le wahhabisme, invention du 18ème siècle qui prône le retour aux origines et le strict respect du message laissé par Mahomet, est la création des Saoud, les "gardiens du dogme". Au passage, il faut souligner que l'Occident, en soutenant les Saoud et les autres émirs du Golfe, soutient également le wahhabisme qui prend le pouvoir un peu partout dans le monde, pas seulement au Yémen, en Afghanistan, au Pakistan, en Irak, en Syrie. Tout comme les USA avaient soutenu, armé et financé ben Laden contre les soviétiques. On en mesure aujourd'hui les conséquences. 

 

La vraie nature de l'islam reprendrait donc rapidement ses droits. D'ailleurs, ce sont les musulmans eux-même qui nous le disent, il suffit de savoir interpréter les messages qu'ils nous envoient. Quelques exemples: 

 

1° Selon un récent sondage réalisé en mars 2015 par al-Jazeera, les musulmans déclarent massivement soutenir l'État islamique. La question qui a été posée à 38.000 personnes est: "Soutenez-vous les victoires de l'État Islamique en Irak et en Syrie?"À 81%, les sondés approuvent les conquêtes d'ISIS dans la région. 

 

2° Un autre sondage, moins récent (de juillet 2014), réalisé en Arabie Saoudite: 92% des sondés estiment que l'État islamique représente précisément l'islam et la charia. Ce qui est parfaitement indéniable, l'Etat islamique en Irak et en Syrie ne faisant que reproduire exactement les actes de Mahomet et de ses compagnons (lire mon post:  L’islam réinvente les razzias, les viols et les massacres).

 

3° Une enquête de Gallup dit que 51% des Pakistanais ont pleuré la mort de ben Laden, tandis qu'une autre, réalisée par la World Public Opinion, montre qu'une très grande majorité de musulmans est d'accord avec l'objectif d'al-Qaïda d'instaurer la charia. Les chiffres de cette enquête sont instructifs et révélateurs: 76% d'Indonésiens, 60% de Pakistanais et 64 % de Marocains approuvent al-Qaïda. Ainsi que 88% d'Égyptiens, autrement dit quasiment 100% des musulmans d'Égypte si l'on considère que les 10% de Coptes n'approuvent pas al-Qaïda.


4° Autre sondage: en octobre 2014, 80 % des musulmans de Londres déclaraient soutenir l'État islamique. Il y a environ 1 million de musulmans à Londres, ils représentent 12,4% de la population. Bonne chance aux défenseurs du multiculturalisme et de l'intégration. Tandis qu'en Hollande, une enquête a révélé que 73% des musulmans du pays disent que les djihadistes partis en Irak et en Syrie sont des héros. Et 80% des jeunes Turcs du pays disent que la violence exercée par l'État islamique contre les non-musulmans est justifiée. 

 

D'autres sondages et statistiques, effectués en terre musulmane comme en Occident, montrent que les peuples, ou plutôt la Oumma islamiyya, contrairement à la taquiyya diplomatique affichée par les dirigeants musulmans, soutiennent massivement ce qu'on continue à dénomment "terrorisme" ou "islamisme". Pourquoi? Parce que les musulmans le savent très bien: ce sont les djihadistes qui représentent le mieux l'islam.

 

On doit également avoir à l'esprit toutes ces foules musulmanes qui sont spontanément sorties en masse dans la rue pour "fêter" les attentats du 11 Septembre 2001. Des scènes de liesse indécentes, dans de nombreuses capitales musulmanes. C'est la vraie nature de l'islam qui se réveille et se montre telle qu'elle est.

 

"Tuez tous les kuffars, là où vous les trouvez"

Mais l'Occident oublie vite et continue de nier l'évidence, pour on ne sait trop quelles obscures raisons et il continue à dire de l'islam qu'il est religion de paix. Il continue à lui donner les moyens de détruire ce qu'il a mis plus de trois millénaires à construire... Pourquoi l'Occident ne veut pas admettre ce simple constat: l'islam n'est pas une religion, encore moins la religion de paix qu'il essaie de faire croire? Partout où il est présent, il nous montre qu'il est contre la démocratie, contre l'égalité et contre la liberté.

 

Le constat est pourtant d'une aveuglante limpidité: l'islam est le seul dogme qui pose problème partout où il est présent.

L'Europe et l'Occident attendent quels signes pour se réveiller? Dans une vidéo de 2013, Denis Cuspert, rappeur allemand devenu djihadiste leur avait prédit, il y aura du sang:

Je souhaite ma mort et ne peux plus attendre, armé de bombes et de grenades
Dans les casernes des croisés, appuyant sur le bouton, al-jannah, al-jannah [paradis, paradis]
Je fais exploser la bombe dans la foule, appuyant sur le bouton, al-jannah, al-jannah
Dans le centre-ville ou dans le métro, appuyant sur le bouton, al-jannah, al-jannah
En souriant à mon Créateur, appuyant sur le bouton, al-jannah, al-jannah
Rappelez-vous vos devoirs et craignez Allah, appuyant sur le bouton, al-jannah, al-jannah.

Mais l'Occident ne comprend pas son langage. Alors, en avril 2015 il nous retransmet le message d'Allah et de ses troupes, inspiré du coran:

Ô ennemis d'Allah. Où sont vos troupes? Nous ne pouvons plus attendre
Allah, détruis-les! Accorde-nous la victoire
Rend-nous honorables, prend notre sang. Fisabilallah [pour la cause d'Allah]
Maintenant, écoutez, vous les chiens de l'enfer
Les mots ont été écrits. L'encre a séché
Le jugement rendu. Votre fin approche
Les soldats mutilés reviennent dans votre patrie de désespoir
Les yeux crevés. Les corps sans jambes
Nous voulons votre sang. Son goût est merveilleux
[...] Les frères fonctionnent. Terroriser le kafir (l'infidèle)
[...] Allah vous a appelé. Il n'y a pas moyen de fuir
Faites le plein de votre voiture. Mon frère, dépêche-toi!
Ton voisin est kafir, il calomnie le messager
Prend un grand couteau et donne-lui ce qu'il mérite. À juste titre!

 

Messages que les Autorités allemandes ne considèrent que comme de la simple propagande salafiste et circulez, y'a rien à voir!

Allez, continue de chanter, Denis Cuspert! C'est pour la bonne cause!

 

 

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[1] "Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul" (coran, versets 2:193 et 8:39). 

 

[2] "Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur" (coran, verset 4:89) 

 

 Source   http://apostat-kabyle.blog4ever.com/l-islam-utilise-la-democratie-pour-tuer-la-democratie?trck=notif-11110191-1005631-11WoR



28/05/2015

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