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Primo: quelques faits divers que les grands médias ont "oublié" de traiter durant ce mois de mai 2015.

- Le 11 mai à Sarcelles, une femme juive a été agressée dans la rue par 3 musulmanes, qui lui crient "Sale race" et "Hitler n'a pas fini le boulot". 

- Il faut noter que peu avant, le 1er mai, une quarantaine de gauchistes du NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste), pro-palestiniens et amis des adeptes de la religion d'amour, avaient, quant à eux, agressé et blessé deux juifs boulevard Voltaire à Paris. Courageux gaucho-néandertaliens qui se mettent à 40 contre 2!

- Et, le 15 mai, c'est encore à Paris, aux Buttes-Chaumont, qu'un adolescent juif a été violemment agressé par trois musulmans 

- Le 23 mais 2015, c'est un lycéen de 17 ans qui est menacé de mort après la publication d'un journal spécial "Charlie Hebdo": 

Un élève scolarisé dans un lycée de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne), rédacteur en chef du journal de son lycée, a été l'objet de menaces de mort répétées depuis la publication fin janvier d'un numéro spécial " Charlie Hebdo ".

Dès le lendemain de la diffusion du journal, il découvre dans la boîte aux lettres du journal une enveloppe contenant la "Une" du fameux numéro sur laquelle ont été agrafés une croix gammée, un cercueil et une lettre de menace de mort.
Au total, sept menaces de mort lui ont été adressées depuis fin janvier , dont deux comportant une ou plusieurs balles. 

- A Venise, durant la 56ème Biennale qui se tiendra du 9 mai au 22 novembre 2015,l'église Santa Maria della Misericordia sera convertie en mosquée.

Jusqu'à maintenant, Venise était l'une des rares villes européennes sans mosquée. Maintenant, l'église aura ses murs baroques décorés de calligraphie arabe et son sol recouvert d'un tapis de prière dirigé vers la Mecque.

Le crucifix sera caché derrière un mihrab islamique, cette niche qui indique la direction de la "ville sainte" des musulmans. Mohamed Amin al Ahdab, président de la communauté musulmane, est heureux, mais il l'aurait été plus encore si le projet initial avait prévalu, dans lequel l'église se voyait couverte de tags d'affiches portant l'inscription "Allah akbar" (Allah est le plus grand). Comme Sainte-Sophie de Constantinople.

Pour l'instant, c'est donc simplement temporaire. Mais si l'Occident continue de nier l'évidence de la sorte, la transformation d'églises en mosquées deviendra réalité très bientôt, dans toute l'Europe de l'Ouest. 
Peut-être est-ce en réponse à cet imam algérien, Abdel Fatah Hamadache Zeraoui,  bien entendu modéré comme la plupart des imams, qui demande que toutes les églises soient transformées en mosquées ou détruites...  

Secundo: petit retour en arrière

A propos des migrants musulmans qui affluent vers l'Europe.

- Alors que les richissimes émirs du Golfe persique ne lèvent pas le petit doigt pour aider leurs coreligionnaires migrants en situation de détresse,
- Alors que l'Algérie, forte de ses 100 milliards et plus de réserves de change dus au gaz et au pétrole persiste à ignorer totalement le problème posé par la misère de leurs coreligionnaires et n'a donc à ce jour accueilli chez elle aucun réfugié,
- Alors qu'aucun des 57 pays musulmans membres de l'OCI ne fait pas non plus le moindre geste vers ces fuyards en détresse, 
- Alors qu'on a même assisté à bien pire: la marine musulmane égyptienne bombarde un bateau transportant des réfugiés (musulmans eux aussi) venant de Somalie et d'Erythrée,
- Voila que ceux des migrants qui réussissent à aborder les côtes de l'Union européenne se mettent à faire la fine bouche et à refuser ce qu'on leur donne généreusement. Ne cherchez pas à comprendre: c'est ça aussi, l'islam! 

Rappelez-vous l'histoire inouïe qui s'est passé dans une petite ville d'Italie du Nord en août 2014, une histoire parmi tant d'autres: 

Les réfugiés n'aiment pas les pâtes italiennes: émeutes et pneus crevés!

Traduction libre de l'article de Libero Quotidiano du 24 août 2014:

Nous y revoilà! Même les réfugiés refusent la nourriture italienne. Notre cuisine, les clients de la Mare Nostrum ne l'aiment pas. Ce n’est pas la première manifestation de ce genre: des précédents ont eu lieu dans le centre de réfugiés de Pozzalo en Sicile, ainsi qu’à Rome - où de nombreux repas ont finis à la poubelle - [les bénévoles du centre] ont fourni [des repas] à une quarantaine d'immigrés, qui logent depuis quatre mois dans le Centre de solidarité La Secca, commune de Ponte nelle Alpi, province de Belluno, Vénétie [100 km au nord de Venise]. En signe de protestation contre un menu qu'ils disent monotone et pas du tout adapté à leurs délicats palais, les migrants africains ont barré la route principale du village avec un banc en bois, répandu leurs repas sur l'asphalte: des pâtes à la sauce tomate, du pain et des œufs. "Nous ne mangeons pas ce genre de choses", ont-ils dit. Si Marie-Antoinette vivait encore... elle aurait pu dire à ces gens subtils et raffinés: "Si vous n'aimez pas le pain, mangez-donc de la brioche!".

 Ensuite, ils ont jeté des sacs contenant des vêtements et ils ont menacé d'abandonner le camp. Puis, ces pauvres désoeuvrés ont crevé les pneus des voitures des bénévoles du centre. En signe de remerciement... 

Belluno: émeute d'immigrants dans les rues.  Parce qu'ils n'aiment pas le repas qui leur est servi gratuitement, ils crèvent les pneus des voitures de bénévoles du centre de réfugiés (photo JEDA-News).

Mais ce n'est pas tout. En plus d'exiger qu'on leur servent des repas dignes de leur estomacs si fins, si délicats et si sensibles, ils ont demandé à être logés dans un environnement plus confortable où ils auraient à disposition des loisirs pour tuer le temps. Car le fin fonds de l'histoire est là: ces pauvres hères s'ennuient. Les émeutes seraient imputables à leur oisiveté: ils ne savent pas quoi faire, les malheureux - et ils l'ont fait connaître - ils n'ont même plus de professeur d'italien.

En fait, les leçons ont été suspendues depuis le début du mois: l'enseignant est en congé. 

Pour dégager la voie, il a fallu l'intervention de la police, des carabiniers et des médiateurs culturels. Malgré le chaos, aucun des réfugiés n'a été arrêté, car dans ce cas, sa demande d'asile, selon toute vraisemblance, n'aurait plus aucune chance d'aboutir. La grève de la cuisine italienne a duré deux jours. Ensuite, les immigrants ont fait un effort surhumain et ont enfin accepté de manger. 

Parmi les protestations, celle de la sénatrice de la Ligue du Nord, Raffaela Bellot: "Nos grands-parents émigrés ne se seraient jamais conduits d'une manière si barbare". 

Pour Antonio De Lieto, président du Syndicat libre de la police (LISIPO): "Il est incroyable que, tandis que des centaines de milliers de familles italiennes font la queue pour une assiette de pâtes, les immigrants méprisent ce que notre pays leur donne généreusement." Même Don Gigetto De Bortoli [*], président du Centre de solidarité (Centro Italiano di Solidarietà - CEIS) de Belluno, s'est déclaré très peiné: "Je suis désolé qu'ils essaient de passer le message d'un centre qui vit dans la pauvreté".
Ailleurs, en Sardaigne, même son de cloche: après les émeutes, des réfugiés de l'hôtel Janas Village de Sadali, petite localité au nord de Cagliari, une cinquantaine de réfugiés ont décidé d'abandonner leur centre d'hébergement.

Les nouveaux arrivants, des familles de Syriens, de Palestiniens, des citoyens du Mali, un Soudanais et un Erythréen, ont décidé d'abandonner le lieu, situé à deux heures de route de Cagliari. 

 [*] Don Gigetto De Bortoli ajoute dans une interview au journal en ligne The local: 

"Il y a des milliers d'Italiens qui vivent dans la pauvreté et qui ne mangent même pas un repas par jour, encore moins deux ou trois.

Ils ne se plaignent pas en disant que la nourriture n'est pas bonne, ni que ce n'est pas la nourriture de leur pays. Mais quand vous êtes hébergé dans la maison de quelqu'un, par exemple, vous mangez sa nourriture, non?

A de nombreuses occasions, on m'a accueilli en Angleterre, je ne m'attendais pas à ce qu'on m'y serve des spaghettis." 

Le plus important pour l'Occident est de continuer le discours négateur, malgré les 100.000 chrétiens tués chaque année à cause de leur foi, un génocide humain et culturel dû en très grande partie à la "religion" autoproclamée d-amour-de-tolérance-et-de-paix. 

Pendant ce temps, l'islam tisse tranquillement sa toile et infiltre l'Europe par tous les moyens, y compris les plus inattendus, en profitant à outrance de l'aveuglement et de l'hypocrisie de ses dirigeants, mais aussi de sa législation, inadaptée et permissive quand on a face à soi un ennemi non déclaré et sournois dont l'objectif final est la domination:

Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah (coran, 2:193 et 8:39).