Publié le 21 mai 2015 - par Oriana Garibaldi
Vu sur : http://ripostelaique.com/avez-aime-diversite-allez-adorer-suite.html
Le sujet brûlant de l’immigration massive en provenance, essentiellement, d’Afrique, n’a pas fini d’occuper la première place. Ainsi le n° du 30 avril au 6 mai 2015 de Valeurs Actuelles titrait en couverture : « Le débarquement, un million de réfugiés à nos portes. Exclusif : 68% des Français contre l’accueil des migrants ».
Une chose est sûre, si l’inversion de la courbe du chômage persiste à jouer les « Arlésienne » celle des Français hostiles à cette invasion va continuer de grimper. Car jouer sur la pitié, la compassion, verser des larmes de crocodile, sans agir en amont pour stopper cet envahissement est tout bonnement irresponsable et suicidaire !
Comme le déclare à Valeurs Actuelles, le visionnaire Jean Raspail « Que nos gouvernants commencent par donner l’exemple et accueillent dans leurs appartements, leurs maisons, leurs jardins quelques familles de réfugiés. Peut-être commenceront-ils alors à être crédibles ou respectables ». Ou encore : « Au bout du compte, quelles que soient les mesures prises par l’Union européenne, faibles ou énergiques, la charité occidentale aura tout à y perdre ».
Comme l’écrivait récemment et très justement Marie Delarue, sur Boulevard Voltaire : « Sauvetage des émigrés naufragés : et après qu’est-ce qu’on en fait ? Bonne question à laquelle nos guignols sont bien incapables de trouver une réponse et s’en moquent comme de leur première barboteuse. Leurs seules devises dans tous les domaines semblant être : il est urgent de ne rien faire ! Surtout pas de vagues !
Soyez-en sûrs, le pire est à venir, quand on sait que la situation actuelle n’est que la partie émergée de l’iceberg. Il est important de savoir – et de faire savoir – tout ce que les média se gardent bien de divulguer. En premier lieu les exigences ahurissantes de ces gens que l’on sauve, et pour qui ce n’est jamais suffisant, ni assez bien.
Avec en face d’eux des organismes, ou des particuliers, d’une incommensurable bêtise, qui ne comprennent toujours pas qu’ils sont roulés dans la farine, qui gobent toutes les sornettes débitées par ces faux demandeurs d’asile et autres réfugiés, convaincus de se comporter en bons samaritains, ce qu’ils ne sont pas. (Cf. l’article de Caroline Alamachère : « Marseille-Paris-Calais : la préférence étrangère au service du Grand Remplacement »). Quelques exemples qui laissent pantois :
En date du 7/10/14, (FR 3 Nord pas de Calais) :
Une association d’aide aux migrants à Calais, a annulé une distribution de repas, après le refus d’une partie de ceux-ci de manger le repas qui leur était offert, parce qu’il n’était pas assez épicé ! Information relayée par un responsable associatif.
Un des responsables de l’association Salam, Jean Claude Renoir a déclaré : à titre personnel, je pense que les épices coûtent très cher, et je trouve qu’ils sont quand même un peu trop chouchoutés par moments. Quelques 1400 à 1500 migrants principalement originaires d’Erythrée et du Soudan se trouvaient à Calais à cette époque, dans l’espoir de rejoindre la Grande Bretagne. Et réjouissons-nous, tout récemment l’inénarrable Cazeneuve les a incités à demander asile en France !! Mais comment donc ! Prévoit-il de les héberger personnellement ?
Italie -8/05/2015 (Il Giornale.it)
Des Africains, tous âgés de 20 à 25 ans et provenant de Gambie Ghana, Zimbabwe et Kenya transférés de Sicile en Toscane et destinés à la province de Livourne n’apprécient pas l’hôtel dans lequel ils sont conduits, l’hôtel Campiglia Marittima. Motifs de leur protestation ? Nombreux et assez fantaisistes.
Notamment la présence de femmes mariées dans l’hôtel ! Une présence que leur religion ne permet pas. Mais aussi « nous n’avons pas assez de place pour cuisiner de manière autonome ».
Les migrants après avoir demandé à retourner en Sicile où ils avaient reçu l’hospitalité durant 1 an ½ ont finalement obtenu que leur groupe soit installé dans quatre mini-appartements d’une structure touristique située à peu de distance.
En prenant cette décision les autorités Italiennes ont pris en compte les risques de troubles potentiels pouvant résulter de la cohabitation de différentes ethnies. Et tant pis pour les propriétaires de ce site touristique. Dans quel état récupèreront-ils leurs locaux ? Et quand ?
Italie -7/052015 (Italiaoggi.it )
Bolzano : des prétendus réfugiés protestent : leur installation à l’hôtel Alpi à Bolzano ne leur convient pas. Certains se plaignent d’un traitement inadéquat et se demandent pourquoi l’Etat italien leur ayant soi-disant promis de l’argent, ils n’ont rien reçu depuis un mois.
Ces pseudos réfugiés ignorent qu’en Italie, il y a des chômeurs avec 4 enfants qui n’ont pas été payés depuis des mois. Ils se plaignent en outre du fait qu’ils doivent parcourir à pied la distance entre l’hôtel et l’endroit où leur sont servis leurs repas gratuitement bien entendu…Il va falloir penser à leur fournir une limousine !
Malte – 4/05/2015 (F.Desouche)
Des patrouilleurs Maltais n’ont pas récupéré des migrants en mer, parce que les migrants eux-mêmes refusent d’être secourus par des bateaux maltais a déclaré un officier de la marine maltaise au quotidien italien La Republicca. Ils refusent systématiquement l’aide des bateaux Maltais, et ne veulent pas venir à Malte parce que ce serait ensuite plus difficile pour eux d’entrer en Europe du Nord…
Les solutions existent pourtant, du moins pour les pays qui ne sont pas soumis aux diktats de Bruxelles et se préoccupent de leur pays avant tout.
Source AFP relayée par l’Orient Le jour (13/05/2015) :
La Malaisie va dorénavant détourner de ses côtes les bateaux transportant des migrants venus de Birmanie ou du Bangladesh sauf s’il y a un danger imminent de naufrage, a indiqué un haut responsable des garde-côtes mercredi.
La politique a toujours été de les escorter en dehors des eaux malaisiennes après leur avoir donné les provisions nécessaires », a déclaré à l’AFP l’amiral Tan Kok Kwee de la marine malaisienne, sur l’île touristique de Langkawi.
Une politique également appliquée par l’Indonésie, qui a annoncé mardi avoir remorqué hors de ses eaux territoriales un bateau transportant des centaines de migrants, estimant que cela n’était « pas le problème » de Jakarta.
Ces derniers jours, plus de 1.000 migrants épuisés et affamés ont nagé jusqu’à Langkawi tandis que des centaines d’autres ont rejoint l’Indonésie voisine. L’Asie du Sud-Est est confrontée depuis quelques jours à une crise sans précédent. La nouvelle politique répressive de la Thaïlande contre les filières d’immigration clandestine a perturbé cette traite d’êtres humains en cours depuis plusieurs années et laissé de nombreux bateaux, débordant de migrants abandonnés en mer par les passeurs.
Les ONG et les organisations internationales craignent que des milliers de personnes, principalement des réfugiés Rohingyas, minorité musulmane considérée comme persécutée par l’Onu, soient maintenant piégés en mer sans eau et nourriture suffisante.
Ailleurs : En Australie c’est « NO WAY »
En 2013, plus de 20 000 clandestins arrivés par bateau avaient demandé l’asile en Australie. Depuis 18 mois, le chiffre est quasiment tombé à 0.
C’est la politique du « No Way », « Vous ne ferez pas de l’Australie votre maison ». Sans visa, il n’y a pas d’entrée possible en Australie. Les réfugiés qui tenteraient quand même leur chance se verront refouler dans un camp de détention sur une minuscule île du Pacifique.
Un autre aspect du problème (des problèmes !) et non le moindre, engendré par ces afflux massifs de personnes aux us, mœurs, et coutumes totalement opposés au mode de vie occidental : l’état sanitaire de tous ces migrants : déplorable…et plus qu’inquiétant.
Source Mattinonline – Ticino 8/05/2015 –
La confirmation vient du médecin cantonal qui explique au journal qu’à cause des conditions hallucinantes que les clandestins affrontent pour arriver en Italie et au Tessin, il y a un risque élevé pour eux de contracter la gale, en particulier dans les centres d’accueil pour demandeurs d’asile.
Source DH.be- Bruxelles 14/05/2015 –
302 cas de tuberculose à Bruxelles. Une étude internationale place Bruxelles en troisième position des grandes villes européennes ayant le taux d’incidence de la tuberculose le plus élevé. Sont surtout concernés les étrangers en situation illégale et les sans-abri.
Autre information pour le moins inquiétante, si la majorité des patients suit adéquatement sa thérapie, il est constaté qu’un patient sur cinq est « perdu de vue » et ne se soigne donc pas, et un sur dix demeure introuvable ….
Plus grave : et bien à l’ordre du jour, puisque la Société de Pathologie Exotique organisait le 19/05/2015 à l’Institut Pasteur à Paris un colloque sur le thème « vers un contrôle mondial des hépatites virales ».
IL est estimé que 350 millions de personnes sont infectées par le virus de l’hépatite B dans le monde, pour l’hépatite C c’est 170 millions. Vaccins et traitements existent maintenant, mais coûtent cher, très cher, et il faut savoir que 80% des malades se trouvent dans les pays pauvres…notamment l’Afrique.
Autre maladie, peut-être moins connue du grand public, et pour cause, puisqu’en France existe le paradoxe : fréquence-silence médiatique : la drépanocytose, l’étiquette « noire » colle à cette maladie puisqu’elle affecte essentiellement les populations noires d’Afrique intertropicale, des Etats-Unis, d’Amérique du Sud mais aussi des DOM.
Cependant la maladie existe aussi en Afrique du Nord, Sicile, Grèce, Portugal, Turquie, Iran, Israël, Inde. Sa carte de répartition se confond en partie avec celle des pays les plus démunis. Donc, en parler constitue, sans doute, dans notre société de déni des réalités et de peur des mots, un délit, une sorte de fichage nauséabond !
Mais il faut tout de même savoir que cette maladie du sang, génétique est héréditaire. Cette maladie peut se présenter sous plusieurs formes. La plus fréquente est aussi la plus grave. (GISTI – La drépanocytose – maladie du tiers-monde).
Cette situation, en plus de toutes les nuisances que nous connaissons déjà, ne peut que les aggraver et faire exploser les dépenses de santé. Qui paiera encore un peu plus ?
Une dernière petite pensée « pour la route » : depuis un certain nombre d’années on nous gave avec le principe de précaution, à tout propos et hors de propos. Mais dans le chaos actuel, oublié le principe de précaution, aux orties !!
Oriana Garibaldi