SOURCE DES STATISTIQUES 2014: http://www.muslimpopulation.com/
Extraits de: « Slavery, terrorism, and Islam » The historical roots and contemporary threat
Traduits de l’anglais par : G. T.
L’esclavage, le terrorisme et l’Islam : Les Racines Historiques et
la Menace Contemporaine par: Dr. Peter Hammond
http://www.amazon.com/Dr.-Peter-Hammond/e/B002YPPHPM
L’auteur : le Dr. Peter Hammond détient un doctorat en théologie.
MODUS OPERANDI
L’Islam n’est pas une religion, ni un culte. Dans sa forme, c’est
un mode de vie complet.
L’Islam a des composantes religieuses, légales, politiques,
économiques, sociales et militaires. La composante religieuse
sert à masquer toutes les autres.
L’islamisation d’un pays débute lorsqu’il y a suffisamment de
musulmans à l’intérieur du pays pour commencer à revendiquer
des accommodements religieux.
Lorsque les sociétés ouvertes à la diversité culturelle, à la
rectitude politique et à la tolérance consentent aux demandes
d’accommodements religieuses provenant de leurs
communautés musulmanes, les autres composantes s’infiltrent
progressivement.
Voici comment ça fonctionne:
Aussi longtemps que la population musulmane demeure autour
ou inférieure à 2%, peu importe le pays, elle sera perçue comme
étant une minorité pacifique, et non comme une menace par les
autres citoyens.
C’est le cas présentement:
Australie --- musulmans 2.25 %
Espagne--- musulmans 2.3 %
États-Unis --- musulmans 2 %
Italie --- musulmans 2.6 %
Entre 2% à 5%, le prosélytisme (la conversion) des autres
minorités ethniques et des groupes marginaux commence par
le recrutement des détenus dans les prisons et des jeunes
marginaux faisant partie des gangs de rues.
C’est le cas
notamment au:
Allemagne --- musulmans 5 %
Canada --- musulmans 3 %
Danemark --- musulmans 4.1%
Norvège --- musulmans 3 %
Royaume Uni --- musulmans 4.6%
Lorsqu’ils atteignent 5%, les musulmans exercent déjà une
influence excessive en proportion de leur pourcentage de la
population. Ils feront alors de la pression pour l’introduction de
produits alimentaires « halals », (propres selon les standards
islamiques) assurant ainsi l’embauche de musulmans dans leur
préparation. Ils augmenteront leur pression sur les chaînes
alimentaires pour que celles-ci mettent ces produits en tablette
les menaçant de représailles allant jusqu’à la faillite s’ils ne se
soumettent pas à leurs demandes.
C’est ce qui se passe en:
Pays Bas -- musulmans 5.5%
Suède --- musulmans 4.9%
Suisse --- musulmans 5.7%
Pays Bas -- musulmans 5.5%
Trinidad & Tobago --- musulmans 7 %
Rendus à ce stade, les musulmans s’infiltreront graduellement
dans toutes les sphères d’influence et travailleront afin que les
gouvernements en place leur permettent de se gouverner euxmêmes
(à l’intérieur de leurs enclaves « ghettos ») selon les lois
de la sharia, (loi coranique); le but ultime des Islamistes étant
d’établir la sharia dans tous les pays du monde.
Quand le nombre de musulmans approche 10% de la population,
ils accroissent le non-respect des lois allant jusqu’à les défier
ouvertement afin de revendiquer des conditions de vie propres à
leur culture et à leurs croyances. À Paris, nous voyons
régulièrement des incendies d’autos dans les enclaves
musulmanes. Toute action perçue comme étant anti -musulmane
résulte dans des soulèvements de foules et des menaces,
comme à Amsterdam, où l’on s’oppose violemment aux bandes
dessinées de Mahomet et des films sur l’Islam. Au moment
d’écrire ces lignes 12 personnes viennent d’être tuées chez
Charlie Hebdo à Paris…
De telles tensions se produisent à tous
les jours, principalement dans les enclaves musulmanes en:
Chine --- musulmans 10 %
France --- musulmans 9.6%
Guyane --- musulmans 7 %
Israël --- musulmans 16 %
Philippines --- musulmans 10 %
Thaïlande--- musulmans 10 %
Lorsqu’ils atteignent 20% de la population, les pays d’accueils
connaissent des manifestations de violence déclenchées la
plupart du temps pour des peccadilles, la formation de milices
djihadistes, des tueries, des incendies d’églises chrétiennes et
de synagogues juives comme en:
Indes --- musulmans 20 %
Kenya --- musulmans 33 %
Russie --- musulmans 19 %
À 40%, les nations expérimentent les massacres sporadiques,
les attaques terroristes à répétition, et la guérilla militaire sans
répit comme c’est le cas présentement en :
Chad --- musulmans 50%
Éthiopie --- musulmans 50%
À partir de 60%, les nations vivent la persécution sans retenue
des citoyens non-musulmans (infidèles) de toutes religions
(incluant les musulmans qui ne se conforment pas à l’idéologie
intégriste), le nettoyage ethnique, l’utilisation de la loi de la
sharia comme arme de répression, et l’application de la « jizya »
(taxe des infidèles)
tel qu’en :
Albanie --- musulmans 79.9%
Bosnie --- Musulmans 60 %
Malaysie --- musulmans 60.4%
Quatar --- musulmans 77.5%
Au-delà de 80%, l’intimidation est incessante, l’oppression et le
djihad violent sévit impunément, le nettoyage ethnique est
étatisé allant jusqu’au génocide. Les intégristes chassent ou
éliminent tous les infidèles (non-convertis) car les pays qu’ils
occupent doivent être 100% musulman
comme au:
Bangladesh --- musulmans 90.4%
Égypte --- musulmans 95 %
Indonésie --- musulmans. 88 %
Iran --- musulmans 99 %
Iraq --- musulmans 97 %
Jordanie --- musulmans 94 %
Liban --- Musulmans 99 %
Maroc --- musulmans 99 %
Pakistan --- musulmans 96.3 %
Palestine --- musulmans 98 %
Soudan --- musulmans 97 %
Syrie --- musulmans 90
Turkie --- musulmans 99.8 %
Lorsqu’ils atteignent l’objectif ultime et que la population
population est devenue musulmane à 100%, cela est supposé
selon eux conduire à : « Dar-es-Salaam », la maison Islamique
de la Paix. Tous les habitants sont musulmans, les madrasas
sont les seules écoles, et le Coran est la seule parole
tel qu’en :
Afghanistan --- musulmans 100%
Arabie Saoudite --- musulmans 100%
Somalie --- musulmans100%
Yemen --- musulmans 100%
Mais malheureusement, la paix ne survient jamais, car dans ces
pays, musulmans à 100%, les plus radicaux exerçant un contrôle
total et le pouvoir absolu satisfont leur soif insatiable de sang en
tuant leurs coreligionnaires qui sont moins radicaux qu’eux…
« Avant l’âge de neuf ans, j’avais appris le canon qui régit la vie
arabe.
C’était moi contre mon frère; moi et mon frère contre mon
père, ma famille contre les cousins du clan; le clan contre la
tribu, la tribu contre le monde, et nous tous contre l’infidèle ».
Leon Uris, “The Haj”.
C’est important de comprendre que dans certains pays, avec
des populations musulmanes nettement inférieures à 100%
comme la France, que les gens qui vivent dans ces enclaves
(ghettos), sont musulmans à 100%; cette population vit ainsi
sous la loi de la sharia.
La police nationale française n’entre
même pas à l’intérieur de ces enclaves. Il n’y a pas non plus de
cours judiciaires d’état, ni d’écoles, ni de facilités religieuses
non-musulmanes.
En pareille situation, les musulmans
n’intègrent pas la communauté élargie. Les enfants fréquentent
la madrasa, ils n’apprennent que le coran. Le seul fait d’avoir
des contacts avec des infidèles est passible de la peine de mort.
Conséquemment, dans certains endroits dans certains pays, les
Imams musulmans et les extrémistes exercent plus de pouvoir
que les autorités élues et les forces policières…
Aujourd’hui, plus de 2 milliards de musulmans constituent 28%
de la population mondiale. Cependant, le taux de natalité chez
les musulmans dépasse et ce, de beaucoup, les taux de natalité
des chrétiens, hindous, bouddhistes, juifs, et de tous les autres
croyants ou non-croyants.
Les musulmans dépasseront ainsi
50% de la population mondiale avant la fin du siècle.
Veuillez s’il-vous-plaît transmettre cette information à tous ceux
parmi vos proches qui s’inquiètent avec raison de l’avenir
sombre qui attend les prochaines générations si nous n’avons
pas le courage et la force morale pour renverser ce courant
religieux maléfique pour l’humanité.
C’est aussi votre combat!!!
« Un conciliateur c’est quelqu’un qui nourrit un crocodile en espérant qu’il
sera le dernier à être mangé. » -
Winston Churchill
« La seule condition au triomphe du mal, c’est l’inaction des gens de
bien. » –
Edmund Burke
Merci Jean-Claude G.