Reconquérir une parole libre contre la dictature des islamo-collabos
La cour d’Appel de Montpellier, présidée par Madame de Talance, a donc décidé de relaxer notre collaboratrice Josiane Filio et Richard Roudier, désavouant ainsi spectaculairement le Préfet de Paris, Bernard Boucault, qui les avait poursuivis devant les tribunaux, et avait obtenu, dans un premier temps, à Carcassonne, une condamnation de principe. Il est intéressant de lire les brefs attendus de ce verdict, pour en mesurer la portée. Qu’ont dit les juges ?
Ils ont rappelé au Préfet nommé par Valls que le fait de détenir une fonction publique l’exposait encore davantage à la critique qu’un citoyen moyen. Autrement dit, ils ont fait savoir à Boucault qu’on n’était pas en URSS, qu’il n’est pas une vache sacrée, et qu’il n’était pas interdit de contester la manière dont il exerçait son mandat, ni de douter de ses compétences. C’est ce qu’explique Christine Tasin en analysant les attendus du procès et ses conséquences s’ils devaient faire jurisprudence.
Ce jugement de la Cour d’Appel est un ballon d’oxygène, dans un contexte de plus en plus pesant où la clique des antiracistes vient de se distinguer en poursuivant l’entraîneur de Bordeaux, Willy Sagnol, devant les tribunaux, suite à ses propos sur les joueurs africains. Nous avons appris d’autre part que le Parquet de Paris avait décidé de faire appel, suite au premier jugement de la 17e chambre, qui avait pourtant condamné l’hebdomadaire Minute à 10.000 euros d’amende, suite à sa Page une sur Taubira « maligne comme un singe ayant retrouvé la banane », mais acquitté le dessinateur David Miège, auteur d’un dessin représentant un singe se plaignant d’avoir été dessiné en Taubira. Anne-Sophie Leclère, victime d’un verdict digne d’une République bananière (neuf mois de prison, 50.000 euros d’amende), a fait appel, mais sera de nouveau jugée chez Taubira, à Cayenne !
Notre mouvance sera, elle, confrontée, dans les jours et semaines qui vont suivre, à deux verdicts concernant Christine Tasin. Ce mardi, nous connaîtrons la décision des juges de la 17e chambre correctionnelle de Paris, après la plainte du Parquet et de la LDH contre la présidente de Résistance républicaine et Dominique Jamet, directeur de publication de Boulevard Voltaire, suite à la parution de cet article.
http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/que-faire-des-musulmans-une-fois-le-coran-interdit,13185
Le 4 décembre prochain, nous saurons, par ailleurs, si la Cour d’Appel de Besançon maintiendra la première condamnation du tribunal correctionnel de Belfort, qui, à la demande du procureur Chevrier, avait condamné Christine à 3000 euros d’amende, dont 1500 avec sursis, pour avoir prononcé la désormais célèbre phrase : « L’islam est une saloperie».
Rappelons que le même procureur a déposé une nouvelle plainte contre notre amie, suite à cette vidéo, mise en ligne après l’annonce du premier verdict, où elle faisait savoir que, par ce verdict, les juges de Belfort avaient réintroduit le délit de blasphème en France et qu’il s’était comporté comme un tribunal islamique.
Selon le sieur Chevrier, cela s’appellerait un outrage à magistrat… comme pour Boucault, cela s’appelait un outrage à fonctionnaire, doté de l’autorité publique, dans l’exercice de ses fonctions…
Plus personne ne peut rien dire dans ce pays, sans risquer de se retrouver au tribunal. Rappelons les propos d’Eric Zemmour, dans son livre « Le suicide français », commentant la loi Pleven de 1972, et ses conséquences.
« Pour faire respecter cette vérité officielle, la loi Pleven a sous-traité sa fonction répressive à des associations à qui elle a accordé des privilèges exorbitants de puissance publique. En les autorisant à saisir la justice au même titre que le procureur de la République pour tout propos déplacé, l’Etat leur a donné droit de vie ou de mort politique et financière sur tous les « déviants » et dissidents.
Ces associations en tirent un avantage pécuniaire (indemnités quand elles gagnent le procès), idéologique et médiatique. Cette situation évoque beaucoup la défunte Union soviétique, lorsque le Parti communiste et les organisations sociales qui lui étaient affiliées, se chargeaient d’exercer la police de la pensée devant les tribunaux. (…)
Les monarques absolus ont disparu ; on a seulement changé de maîtres ; mais les nouveaux ne sont pas les moins tyranniques.
La liberté et l’imprimerie ne sont plus libres en France ».
Nous ne voyons toujours pas pourquoi on n’aurait pas le droit de dessiner Taubira en singe, quand, historiquement, comme l’a montré Maxime Lepante dans ce remarquable article, on a représenté des rois de France, d’autres présidents de la République ou des hommes politiques ou publics de la même façon, et que l’animalisation du débat politique a toujours été une tradition gauloise.
Dans le même registre, ceux qui n’aiment pas Marine Le Pen peuvent la représenter en truie s’ils le veulent. Le délit, c’est quand on appelle, comme le fit ce militant de Front de Gauche, un nommé Alain Bousquet, à lui briser les os, donc qu’on encourage la violence physique à son encontre.
Nous devons pouvoir critiquer tous les dogmes, sans exception. Quiconque doit avoir le droit de dire, s’il le pense, que le christianisme, le protestantisme, l’athéisme, le paganisme, le communisme, l’islam, le capitalisme, le mondialisme, le fascisme, le nazisme, le matérialisme, le déisme, le survivalisme sont des saloperies. Et laissons les adeptes de ces pratiques répondre à leurs détracteurs.
Sur l’islam, chacun, s’il le souhaite, doit pouvoir écrire que ce n’est pas une religion, mais un projet politico-religieux de conquête. Encore davantage après les décapitations de masse qui viennent de se dérouler en Irak, on peut considérer que c’est la pire menace pour nos démocraties, et juger que c’est le cancer de l’humanité. On a le droit, n’en déplaise à la clique islamo-collabo de prétendus antiracistes, en s’appuyant sur le contenu du Coran, de démontrer que ces décapitations de masse, c’est le programme de l’islam, comme l’avait fait Maxime Lépante dans cet article intitulé « L’histoire sanglante de l’islam, de Mahomet à aujourd’hui ».
On doit pouvoir interpeller les disciples d’Allah, et leur faire savoir que s’ils ne contestent pas les sourates du Coran appelant au meurtre de tout ce qui n’est pas musulman, alors ils sont complices. Salem Ben Ammar, apostat de l’islam, a plus que quiconque le droit d’écrire « Un musulman modéré, c’est un djihadiste en sommeil ».
On doit même pouvoir dire, ce qui est incontestable, que « l’islam, c’est quand même la religion la plus con », comme l’a fait Michel Houellebecq, et qu’elle laisse ses adeptes dans l’arriération et l’obscurantisme. On doit pouvoir écrire que, par principe de précaution, il est légitime de renvoyer dans des pays musulmans quiconque, en France, se revendique de la charia, que le voile n’a rien à faire chez nous, si un gouvernement démocratiquement élu le décide.
Là encore, n’en déplaise aux islamogauchistes, les musulmans doivent accepter ce fait, et naturellement, répondre par des arguments, et pas par des égorgements ou des attentats mortels (bientôt 25.000 depuis le 11 septembre 2001).
Et on a le droit de qualifier d’incompétent – comme son préfet Boucault – Cazeneuve, qui nous fait le coup de « l’islam ce n’est pas cela », après les nouvelles décapitations. Cet incapable nous avait déjà expliqué qu’il fallait empêcher les djihadistes français de partir en Syrie (au lieu de leur interdire le retour).
D’autre part, au lieu de couvrir ses hommes, suite à la mort de Rémi Fraisse, il les désarme encore plus. Du balai, et vite !
« Les terroristes ont abandonné les valeurs de l…par Europe1fr
Dans la même continuité, nous devons pouvoir qualifier de traîtres à leur pays les immigrationnistes, islamo-collabos, évêques, et mondialistes qui participent de la fin de la France, de sa culture, de sa civilisation, de son peuple et de sa souveraineté. Libre à Mélenchon, Valls, Hollande, Duflot, Juppé, Barbarin, Sopo, Attali, Besancenot et autres d’y répondre.
Et libre au Bloc Identitaire ou à Laurent Ozon de prôner la remigration.
On doit pouvoir, dans le même esprit, contester l’Holocauste, ou tout fait historique même jugé indiscutable.
Si un hurluberlu veut remettre en cause la réalité de la guerre de 1914-18, et dire qu’il n’y a jamais eu Verdun, ni 1,3 million de morts en France, qu’il le fasse, et laissons les historiens régler ces débats. Nous croyons beaucoup plus à cette conception du débat démocratique et historique, qu’à l’efficacité de multiplier les procès contre Faurisson ou Dieudonné, laissant ainsi à penser que, si le sujet est tabou, il y aurait peut-être anguille sous roche.
Assez de lois mémorielles, assez de persécutions contre les Pétré-Grenouilleau, Gouguenheim ou Zemmour, place au libre débat, et nos compatriotes jugeront, en toute connaissance de cause.
De même, pour revenir aux stéréotypes, qui ont été reprochés à Willy Sagnol, on doit pouvoir parler librement de certains stéréotypes de footballeurs… Et que les racketteurs nous foutent la paix !
On doit avoir le droit d’utiliser ces mêmes stéréotypes sur les habitants de toutes nos régions, et ironiser, dans le meilleur esprit gaulois, sur la force basque un peu primaire, le côté têtu des Bretons, l’aspect peu travailleur des Corses, l’arrogance des Parisiens, les fanfaronnades des Marseillais, la radinerie des Auvergnats, l’amour de la bière des ch’tis, le côté indécis des Normands, également un peu pingres, le côté casque à pointe des Alsaciens…
Cela fait partie de la culture française, avec toute la capacité à rire de nous-mêmes qui est le propre des civilisations évoluées.
Nous en avons plus que marre des associations dites antiracistes, des lobbies de type homosexualistes ou féministes, des nouveaux bigots de la bien-pensance, qui nous font le coup, la bouche en cul-de-poule, de l’incitation à la haine ou à la discrimination pour corseter le débat démocratique, et transforment notre France en un pays où le totalitarisme de la pensée gagne du terrain.
Nous en avons marre des juges Murs des Cons, qui appliquent trop souvent l’idéologie dite antiraciste, et pratiquent sans vergogne dans leurs verdicts la discrimination positive, en faveur des nouveaux venus, tout en se montrant sans pitié pour nos compatriotes.
Et nous revendiquons, là encore, le droit de le dire et de l’écrire, car, comme le disait Geert Wilders «
Plutôt mourir que renoncer à s’exprimer librement».
Bien évidemment, nous encourageons nos détracteurs à la critique de Riposte Laïque, même la plus féroce. Mais nous aimerions parfois qu’ils aient davantage de rigueur dans leurs articles à charge, et ne tombent pas dans la caricature grossière en faisant, contre toute évidence, le coup « des méchants racistes d’extrême droite ». Mais nous ne les traînerons pas devant les tribunaux pour autant, préférant le débat démocratique, voire des confrontations publiques, comme celle ayant opposé Pierre Cassen à Hani Ramadan, en Suisse.
Il est grand temps de renvoyer dans les poubelles de l’Histoire les staliniens du 21e siècle, les commissaires politiques de l’antiracisme, meilleurs alliés des fascistes islamiques et des décapiteurs-égorgeurs.
Il est temps de retrouver une France où on n’est pas obligé de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, ou de tourner sept fois la plume dans sa main avant d’écrire.
Pour cela, c’est très facile. Il suffit d’abroger toutes les lois liberticides Pleven-Gayssot-Taubira. Il suffit de revenir à ce qui existait avant 1972, et ne permettre qu’à une personne elle-même victime d’un préjudice d’ester en justice.
Il suffit enfin, à l’image des votations de nos amis suisses, de demander l’avis du peuple, sur des questions aussi essentielles que l’immigration, l’islam, l’insécurité, la justice, l’école, les impôts, le nombre de politiciens et d’autres fondamentaux de la société française.
Bref, revenons aux fondamentaux. Socrate disait : « La seule chose que je sais, c’est que je ne sais rien« . Voltaire, dans une phrase qui lui était attribuée, osait : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire. » Invitons nos juges à faire leur cette maxime, et mettons en place les politiques qui nous permettront de retrouver une parole libre qui manque cruellement aux Français.
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