Groupon piraté par des hackers musulmans
Des anonymous musulmans ont piraté le site Groupon et ont inscrit :
Votre guerre à Gaza vous fera pleurer le sang, et les prochains jours vont vous en apporter la preuve.
Nous, musulmans, somme un peuple qui aime boire le sang. Et nous avons appris que le goût de votre sang est délicieux !! »
Puis ils ont encore ajouté :
nous jurons par Allah, nous viendrons vers vous comme des lions affamés, nous découperons vos corps, ferons griller vos culs, et déchiquèterons vos restes.
Mais ceux de vos soldats qui tomberont entre nos mains, nous les jetterons à nos enfants pour qu’ils jouent avec vous comme un chat affamé »
Les hackers ont piraté le site israélien de Groupon lundi 19 novembre 2012.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Je suis sûr qu’ils en sont capable de faire ce qu’ils écrivent, mais ils sont tellement con qu’ils s’imaginent qu’on est encore au au 6eme siècle et qu’ils peuvent gagner une guerre avec des épées et des pierres et aussi des arcs, mais c’est comme même effrayant de lire des horreurs pareils.
Esaïe
19 novembre 2012 at 21:22
Mais cher ami il l’on déja fait en Algerie et il le referont encore en Israël ou en France.
Ont en été victimes les pieds noir mais aussi leur propre frère de sang comme les Harkis et même les indépendantistes du MNA…pourtant frère de combat
Une terroriste célèbre reçut en grande pompe par BHL et Maurice maurice Szafran…
Ne déclarait-elle pas en parlant des français d' Algerie ou non,et en s’adressant aux tueurs du FLN : Crevez leur les yeux puis découpez les en morceaux….
Cela fait partie des moeurs sanguinaire de ces peuples barbares que nos politiques « sans exception » on protégé au détriment de leur propre peuple….Mohamed Merah ne fut-il pas un pion de nos politiques du renseignement ?
Eux ils sont prêt génétiquement…
ET AUSSI
Lynchage à Gaza
Le Point.fr - Publié le20/11/2012 à 19:03- Modifié le21/11/2012 à 07:59
Mardi, six suspects d'espionnage ont été fusillés par le Hamas, leurs corps livrés à la foule. Dans le bruit des drones et des déflagrations.
Combien sont-ils, des centaines, des milliers sur le grand carrefour de la rue Nasser ? Des Gazaouis se bousculent à grands coups de coude autour de quatre corps. "Des espions", entend-on dans la foule.
Ils ont été fusillés il y a quelques minutes par les hommes duHamas. Un ado affirme : "L'un d'entre eux n'était pas mort.
Les gens l'ont fini." Un passant ajoute : "Il y en avait un autre, mais il a été traîné plus loin, je ne sais pas où."
Là, en plein milieu du carrefour, les quatre cadavres baignent dans leur sang.
Ils n'ont pas des visages fourbes, des vestes en cuir élimées, ils ne ressemblent pas au cliché de l'agent simple ou double au Moyen-Orient.
Non, ils sont un peu gros, pas très jeunes, barbe de trois jours, en survêtement.
Des Gazaouis comme les autres, comme ceux qu'on peut voir partout dans la ville, tentant de mettre de l'ordre dans les débris de leurs maisons bombardées.
Chaos
Un jeune, tout petit gars, envoie un coup de pied dans la tête d'un des corps. Mais, en général, on se contente de les voir, de les photographier, puis d'aller photographier leurs noms, affichés par le Hamas, en place publique - littéralement.
C'est un lynchage. Et les autorités, habituellement si promptes à arriver, prennent leur temps.
Six espions, six informateurs à la solde d'Israël, quelle prise, quelle victoire pour le Hamas ! "Ils ont mérité leur châtiment. Ils ont dénoncé des combattants aux Israéliens.
Ils compromettent la résistance", dit un passant, Iyad Khatib, aux yeux verts et perçants - un regard à hypnotiser.
L'ambulance arrive au bout de trente minutes. Les corps sont embarqués dans le chaos. "Reculez, reculez !" hurlent les infirmiers.
Peine perdue, dix s'écartent, vingt affluent. On vole encore quelques photos, les portes de l'ambulance se ferment, la voiture part, sirènes hurlantes.
"Pas besoin d'être jugés"
D'après la radio du mouvement au pouvoir à Gaza, les espions ont été capturés avec du "matériel de haute technologie". Un membre de la police secrète accepte de parler. Il tient à rester anonyme - il ne veut même pas sortir du couvert des arbres, "à cause des drones".
Lui porte bel et bien la veste de cuir élimée, mais il a un visage avenant, presque timide. La vingtaine, très droit, l'air un peu gauche, les oreilles décollées. "Ils ont eu ce qu'ils méritaient", dit-il, lui aussi. Y a-t-il eu un jugement ? "Pas besoin d'être jugés, ce sont des espions. Ils ont été pris en flagrant délit." En flagrant délit de quoi ? "Ils avaient des cartes SIM israéliennes sur eux.
Après les avoir branchées, on a remonté leurs listes d'appels et téléphoné à leurs contacts. Ceux qui ont répondu étaient israéliens, et suspects. Et voilà", conclut-il. Et voilà, en effet, "le matériel de haute technologie", selon la radio.
Cette nuit, un missile a pulvérisé une maison, tuant un père et deux de ses fils.
Dans le centre-ville, les enfants jouent au foot dans les squares, dans les rues. Les vieux fument leurs cigarettes devant leurs maisons, sur leurs chaises en plastique. Les déflagrations n'interrompent ni les jeux ni les conversations.
Les rumeurs de cessez-le-feu rôdent comme les drones dans le ciel de Gaza - on entend, on ne voit jamais rien.
Source et publication: http://www.lepoint.fr/monde/lynchage-a-gaza-20-11-2012-1531401_24.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20121121