Un ouléma anglais aurait aimé joindre l'IIS mais ne peut abandonner les allocs
Par Daniel Greenfield.
Adaptation française
Thérèse Zrihen-Dvir
En outre pourquoi tenter de joindre un système basé sur la répression des chrétiens quand vous avez déjà un en Angleterre ?
http://blazingcatfur.blogspot.co.il/2014/09/islamic-state-is-kind-of-society-id.html
Anjem Choudary empoche chaque année un peu plus de 40.000 dollars en allocation-aide sociale et vit dans une résidence qui coute 519.000 dollars à Leytonstone, à l’est de Londres.
Il déclara à une audience de trente fanatiques autour de lui, que « les gens diront ‘ah, mais vous ne travaillez pas’.
Mais la situation normale pour vous est de soutirer l’argent des Kouffar (infidèles-mécréants-non-musulmans).
Ainsi, nous prenons les rentes des aspirants au Djihad.
Dans une autre vidéo, un Choudary souriant, raconte à ses disciples qu’il est légitime de prendre l’argent des mécréants.
« La situation normale est de prendre l’argent des Kouffar. Vous travaillez, donnez-nous l’argent, Allahu Akhnar (Dieu est grand).
Le vieux Anjem aurait bien aimé partir en Syrie, mais il a son califat personnel sur place.
Les anglais exécrent la description d’Anjem Choudary de l’état islamique comme étant le genre de société où il aurait bien « voulu y vivre avec sa famille ».
Toutefois, l’ouléma de 47 ans le disait tout en ne considérant son passeport anglais qu’en laissez-passer de voyage.
Il prétend qu’il lui est interdit d’aller en Syrie puisqu’il est né en Angleterre et que s’il tentait de le faire, il sera arrêté par la police anglaise.
Je ne doute pas que les autorités anglaises seraient bien heureuses de le laisser partir.
Il maintient son récit de « musulman modéré » pour tous ceux qui veulent bien l’entendre, alors qu’en réalité, il aime bien là où il se trouve.
ET AUSSI
Le gouvernement anglais est secoué par un nouveau cyclone qui risque de faire vaciller sur ses fondements toute l’architecture européenne.
Cent députés conservateurs, conscients que les indépendantistes de l’UKIP s’envolent dans les sondages, sont prêts à se révolter contre le Premier Ministre David Cameron et ont décidé que, pendant la campagne électorale de 2015, ils demanderont sans détours de quitter l’UE avec armes et bagages. Ils ne veulent plus attendre (Cameron a proposé un référendum populaire pour 2017).
On dégage de l’UE, sans référendum, point barre.
Et cela se passe dans un pays en constante croissance économique. (…)
Ce projet concerne Londres, certes, mais nous sommes tous indirectement concernés : une UE sans le Royaume Uni sera-t-elle mieux ou pire, qui peut le dire ?
Elle sera de toute façon très différente de ce qu’elle est actuellement.
D’un point de vue politique, les conservateurs actuellement au gouvernement avec les libéraux, craignent fortement pour leur survie car l’Ukip, le parti indépendantiste de Nigel Farage, est en train d’éroder complètement leur base électorale.
Il y a quelques semaines, un député Tory, Douglas Carswell, s’est démis de sa charge et se représentera aux élections complémentaires sous les couleurs de l’Ukip.
Les sondages lui donnent un avantage de 44 points sur le candidat conservateur et Carswell deviendrait ainsi le premier parlementaire de l’Ukip (United Kingdom Indipendence Party) à Westminster.
Le programme est très simple et sans concession :
Quitter l’UE et stopper l’immigration. En Angleterre, ce sont les Anglais qui décident. [...]