Procédure de qualification de l’Université française : une corruption légalisée qui a coûté 1 000 000 000 € en quelques décennies
La procédure de qualification aux postes de maîtres de conférences et de professeurs en France, telle qu’elle a été héritée de la « ВАК » de l’URSS stalinienne et appliquée par le CNU fondé en novembre 1945 par les épurateurs staliniens, poursuit trois buts exclusifs :
1. Tout d’abord, elle permet de sélectionner pour les postes universitaires ses concubins, ses enfants, ses camarades syndiqués (en échange de sa propre promotion) ou de récompenser des services sexuels occasionnels, autrement dit une forme de rémunération de la prostitution estudiantine – féminine ou masculine – en nature et avec les moyens de la République (nous avons des dizaines d’exemples de ce que nous avançons).
2. Ensuite, elle amène à qualifier une piétaille récemment doctorisée qui ne concurrencera jamais scientifiquement au sein de l’Université les membres du CNU : précédemment, l’on a doctorisé ces nullités dans le but exclusif de gagner de l’argent pour l’encadrement de leur thèse (que souvent l’on fait durer le plus longtemps possible pour piller l’Université au maximum – certains professeurs slavistes français, qui n’ont d’ailleurs ni thèse de doctorat ni HDR, font durer les « thèses » de leurs étudiants entre 10 à 12 ans, volant ainsi ouvertement l’Université française), puis, de façon soviétique, l’on « fait du chiffre » au CNU en annonçant fièrement un nombre de qualifiés destiné à faire monter les statistiques, du genre : « Cher camarade Staline, le plan quinquennal est rempli ! ».
Mes avocats et mes collègues ont noté que bon nombre des qualifiés ne présentaient que deux articles et un colloque à l’âge de 40 ans et n’ont jamais existé ou n’existeront scientifiquement : ces médiocrités doctorisées ne sont que des pompes à fric pour des fonctionnaires corrompus qui se voient, via une procédure républicaine, délivrer par leurs acolytes un blanc-seing pour la poursuite de leur extorsion pseudo-scientifique.
3. Enfin, et c’est sa première utilité, la qualification nationale sert à éloigner de l’Université – en les calomniant publiquement – des concurrents, ses propres adversaires et ceux de son clan, tout en profitant de cette procédure républicaine dont le coût a été pour la seule année 2012 de 18,62 millions d’euros (suite à son envoi à un conseiller du Ministère de l’enseignement, ce document où la présidente du CNU, tentant de justifier cette procédure inique, avance ces chiffres a comme par hasard disparu, le lendemain de cet envoi, du site du Ministère de l’enseignement où il était publié, signe de sa qualité médiocre).
Par ailleurs, la procédure de qualification nationale est non seulement utilisée impudemment par des groupuscules issus de minorités agissantes, leurs parents et leurs partenaires sexuels pour diffamer leurs concurrents à travers toute l’Université, mais elle favorise aussi grandement un accès paisible aux travaux d’adversaires plus doués afin d’élaborer la tactique la plus efficace possible de pillage de leurs thèses : soit un pillage collectif en découpant les découvertes, soit un pillage global offert à l’un des gourous du système.
Les chercheurs sont là pour en témoigner : ma thèse sur « Nabokov écrivain nietzschéen », mais également celle sur Tête d’Or – empereur Julien l’Apostat parue d’abord dans le Bulletin de l’Association « Guillaume Budé » de Paris IV-Sorbonne, celle sur le Surhomme nietzschéen comme le supra-androgyne <néo>platonicien (parue en 2012 chez l’éditeur berlinois de Nietzsche « Walter de Gruyter »), ou encore celle récente et très politiquement incorrecte sur « Mandelstam, disciple de Zarathoustra » furent, avec un nombre exceptionnel de mes autres découvertes, à tour de rôle, l’objet de tentatives de plagiat par des professeurs régnant, personnellement ou via leurs sbires, sur les sections du CNU gérant mes dossiers de qualification.
Le fait inaccoutumé de résister à ces razzias institutionnalisées (car habituellement les Français s’y plient) me vaut l’acharnement des corrompus, friands de piller mes découvertes et cependant protégés par l’administration républicaine.
C’est le fiasco de l’Université française, un fiasco rendu public internationalement, jusque dans les académies étrangères !
Ne l’oublions pas, suite à l’amendement sénatorial de juin 2013, cette procédure de qualification universitaire inique a été dans un premier temps supprimée, puis maintenue in extremis sur la décision d’une commission dont les arguments résidaient dans le fait que ladite procédure de qualification serait un rempart contre les « localismes », que les rapporteurs du CNU présentant les dossiers de candidats seraient des parangons d’indépendance et que, enfin, les candidats qui s’étaient vus par deux fois successivement refusés auraient le droit de se pourvoir équitablement devant un groupe de recours, incarnation même de l’indépendance républicaine.
Tout cela devait permettre de choisir les personnes les plus qualifiées pour le bien de l’Université française.
Mensonge effronté d’ordures corrompues sûres d’être protégées par des apparatchiks bornés afin imposer leur malfaisance jusqu’à la démesure !
1. Les rapporteurs des différentes sections du CNU peuvent diffamer, mentir, étaler leur inculture ou des ouï-dire qu’ils ont obtenus via Internet ou par des confidences sur l’oreiller, tout cela bien évidemment scellé par le tampon du Ministère de l’enseignement ! L’absence totale de textes réglementant leurs actes leur permet un arbitraire total : « Le litige prend un relief particulier dans la mesure où il s’inscrit dans un contexte marqué par la tenue de propos menaçants et injurieux à l’encontre de membres du CNU ayant eu à connaître de ses demandes en 2012 et 2013, lesquels ont été conduits à déposer plainte auprès des services de police et de gendarmerie et à solliciter, sur le fondement de l’article 11 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires le bénéfice de la protection fonctionnelle […] » (page 2 des observations communiquées par le ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche à Madame le président du tribunal administratif de Paris) qui s’appuie sur une plainte déposée en février 2013 par un membre du CNU : « Je dépose plainte contre inconnu avec de forts soupçons sur Monsieur LIVRY Anatoly pour les faits relatés ci-dessus » et surtout « Je précise que Monsieur Livry est connu de notre microcosme universitaire, du fait de ses menaces et phrases ordurières ».
Ainsi, un membre du CNU peut se rendre dans un commissariat pour déposer une plainte qui sera versée comme « preuve » dans le dossier administratif de recours du CNU ! Notons aussi que le membre du CNU – et le président de la Section ! – avoue explicitement connaître défavorablement la personne dont il est chargé d’examiner le dossier, ce qui nuit forcément à l’exigence d’impartialité à laquelle il devrait répondre.
Fait le plus humiliant pour l’Université française : ces braves Soviétiques du CNU sont exactement ceux qui, à l’été 2013, ont signé la pétition pour le maintien de la procédure de qualification en prétendant qu’elle était un rempart contre la corruption, laquelle, dans les faits, se manifeste, avec leur concours ou leur complicité, en toute impunité !
2. Les « localismes » d’une université ont le droit de se manifester sans scrupule aucun !
Pire encore, ils utilisent cette procédure nationale qui coûte chaque année quelque 20 millions d’euros afin de calomnier les concurrents de leurs amis auprès des élus des autres universités, profitant donc de cette qualification pour atteindre un but contraire à celui pour lequel elle a été copiée de l’URSS dans son époque génocidaire et maintenue après l’amendement en 2013. (cf. « l’avis des rapporteurs, ainsi que l’appréciation d’une section du CNU ou celle portée par le groupe compétent du CNU, statuant en qualité de jury sur les mérites d’un candidat à l’inscription sur la liste de qualification aux fonctions de maître de conférences ne sont pas susceptibles d’être discutés devant le juge de l’excès de pouvoir » et « aucune disposition législative ou réglementaire n’interdit de porter la même motivation au titre de deux sections différentes, dès lors que le motif énoncé est suffisant », page 2 de la décision du Tribunal administratif de Paris).
3. Contrairement à ce qui a été proclamé quant au choix des rapporteurs selon leur spécialisation dans la matière dans laquelle ils examinent les candidats, ces rapporteurs – à en croire le Ministère de l’éducation ! – ne doivent pas nécessairement être compétents dans la branche dans laquelle ils apportent leur expertise ! (cf. « la circonstance qu’un rapporteur ne soit pas un spécialiste de la discipline concernée n’est pas de nature à entacher d’illégalité les décisions attaquées, dès lors que le jury était, comme en l’espèce, régulièrement composé » (SIC) et « le requérant ne peut se prévaloir d’un défaut d’expertise dans la mesure où il résulte des termes de l’article 24 du décret du 6 juin 1984 que le recours à un expert ne constitue pas une obligation mais une simple faculté laissée à la libre appréciation des rapporteurs », page 2 de la décision du Tribunal administratif de Paris). Il faut préciser par ailleurs que, dans mon dossier, aucun rapporteur n’était spécialiste dans le domaine qu’il prétendait examiner ! Nous sommes dans le domaine de l’utopie (à 18 620 000 euros par an cependant, dans notre Ve république finissante !).
Voici l’un des exemples qui fait exploser de rire les académiciens de l’Europe depuis 2013 : deux de mes « rapporteurs » du groupe de recours – dont l’une était professeur de linguistique de Paris IV-Sorbonne – ont écrit le nom du philosophe, sujet de ma thèse de doctorat : « Nietzche » (!!!).
Ce n’est qu’un exemple parmi des milliers de cette ridicule prétention baignant dans l’inculture la plus crassement soviétique et nivelant les créateurs de notre civilisation indo-européenne au niveau de ces illettrés qui régissent cependant l’Université. Naturellement, le Ministère de l’enseignement avait approuvé par écrit ces « rapporteurs », à en lire les envois d’un énarque au Tribunal Administratif !
La non-spécialisation, voire l’inculture ignoble, « n’est pas de nature à entacher d’illégalité les décisions attaquées, dès lors que le jury était, comme en l’espèce, régulièrement composé ».
En somme et pour conclure brièvement, l’on a effrontément trompé la commission républicaine réunie en juin 2013 !
Car l’on a maintenu la procédure de qualification, nécessaire à la promotion des enfants et des divers partenaires sexuels, pour se donner l’air d’avoir des activités académiques en ouvrant les portes de l’Université à des personnes certes dociles (par tous les orifices), mais sans aucune valeur scientifique, et malgré ce, pourtant qualifiées.
Cela représente non seulement le fiasco manifeste de l’Université française, mais est également le gage de son nivellement par le bas : cette procédure de qualification est le reflet en haut du système éducatif français des millions d’analphabètes qu’il fabrique en bas et dote, bientôt à 99,9%, du baccalauréat.
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Depuis 2011, je me suis offert en victime volontaire à sept sections de cette procédure de qualification du CNU, suivant docilement tous ses ordres soviétoïdes, afin de verser les résultats obtenus dans les enseignements que des professeurs français et étrangers consacrent à ma biographie ou à mon œuvre (car je suis à la fois philosophe, homme de lettres et scientifique). Ils publient aussi, en plusieurs langues, dans des académies les avis que voici : « Le ridicule ne connaît pas de limite !
L’accusation principale des néostaliniens made in France est la suivante : Anatoly Livry a osé publier une partie de sa thèse en France, dans la maison d’édition parisienne « Hermann ». Je crains fort que l’Université française ne fasse tout pour écarter M. Anatoly Livry auteur d’une remarquable thèse sur Nabokov et Nietzsche, helléniste publié dans « Guillaume Budé » depuis 2003, germaniste édité par des professeurs de la Humboldt-Universität depuis 2006, auteur d’un roman nuancé Apostat, paru en 2012 chez l’éditeur russe de Nietzsche « Koultournaia revoluzia » où il reproduit des éléments métriques de Homère et de Callimaque. » (René Guerra, « Sauver Nabokov : la thèse de doctorat d’Anatoly Livry » dans HERALD of the University of the Russian Academie of Education, The magazine is inscribed by the Higher Certifying Commission on the index of leading reviewing scientific periodicals for publications of main dissertation of academic degree of Doctor and Candidate of Science, 1 – 2014, Moscow, p. 53-55)
Mais surtout, et principalement, afin de mettre à nu l’essence ordurière de cette corruption légalisée, j’attaque toutes les décisions rendues devant les tribunaux administratifs de Paris, ayant l’intention de porter chacune d’entre elles devant la CEDH de Strasbourg. Les chercheurs qui reçoivent les résultats précieux de ces procès me confirment l’intérêt que suscite chacune de ces décisions administratives chez leurs lecteurs et auditeurs. Car les rapporteurs osent tout, à commencer par calomnier ceux de leurs illustres collègues français qui m’avaient édité ou avaient apprécié mes publications [parfois, il existe des rapporteurs qui veulent faire honnêtement leur travail et, ne sachant pas que, comme l’on dit dans le langage des voyous, « un contrat est passé sur ma tête », écrivent un rapport élogieux sans aucune évocation des calomnies officielles et gratuites (dans mon cas, le mot d’ordre est « méthodologie »), tel le Professeur de grec ancien Jean-Pierre Levet, agrégé de lettres classiques, Université de Limoges, Section 8 du CNU « Langues et littératures anciennes » (auteur de : Thèse d’État : Le vrai et le faux dans la pensée grecque archaïque (Paris IV – Sorbonne, 1974) ; Thèse de troisième cycle : Recherches sur doxa et les notions apparentées chez Isocrate (Paris, Microéditions du C.N.R.S., 1975) ; Thèse de l’E.P.H.E. (IVème section) : Les présents tokhariens en s- (1976) ; Doctorat d’État en Sciences politiques : Recherches sur l’enseignement secondaire classique français et la Politique, 1870-1970 (Limoges, 1977)). Par la suite, la procédure de qualification reprend son rôle de prédilection, à savoir celui de diffamer, à l’échelle nationale, un concurrent du groupuscule ; dès lors, plus possible d’obtenir, dans cette même section, d’avis honnête ! L’on pratique un véritable « forcing » afin d’enterrer et d’effacer le souvenir d’un rapport honnête, le faisant disparaître sous une montagne de calomnies, toutes copiées-collées souvent de façon flagrante. Le pauvre scientifique est dès lors voué au déshonneur éternel puisqu’il entre dans les annales et monographies de ses confères comme celui qui s’était aligné, dans un mutisme docile, sur la vermine, allant jusqu’à fabriquer des mails de menace, se les envoyant, puis portant des plaintes abusives avant de verser ces actes orduriers dans mon dossier de qualification comme « preuve ». Pire encore : dans quelques semaines, je déposerai de nouveau mon dossier – dans le cadre de cette objective procédure de qualification du CNU – auprès de fonctionnaires qui déclarent aux flics qu’« ils ont entendu des choses sur moi » et pour cela déposent plainte. Le Ministère de l’enseignement le sait et l’approuve !!! De nouveau, ils me calomnieront devant le groupe de recours, annonçant à ces fonctionnaires républicains que je… parle dans mes lettres officielles « des origines ethniques et religieuses de leurs collègues » (ce que je n’ai naturellement jamais fait). Et l’on ne peut que se demander jusqu’à quelles vomissures ces apparatchiks peuvent s’abaisser dans la totalité de leurs publications « scientifiques » afin de grimper sur l’échelle administrative, eux qui ont tellement de mépris pour leur propre signature qu’ils la fourvoient juste pour éloigner leur concurrent ?! Mais cela va plus loin encore : ils avancent – dans des rapports officiels ! –que je falsifie les attestations de mes collègues. Et pour ressembler totalement à l’URSS de Staline, ces braves rapporteurs me reprochent, officiellement, de… rendre publics leurs exploits ! Car, dans leur logique héritée des procès de Moscou, je devrais unir ma voix à celle de mes calomniateurs, procédant à une auto-flagellation publique ! Or, oser sortir de la logomachie des procès staliniens en rendant publics leurs exploits, pour ces épurateurs, s’appelle : « attaquer les membres du CNU ad hominem. ». Et ces minables scellent du sceau du Ministère de l’enseignement – en-tête de la Sorbonne sur la page de garde – leur déception de ne pas trouver chez moi l’esprit moutonnier que ces staliniens confondent avec l’humilité scientifique. Traduites en anglais, allemand, russe, chinois et autres, les pulsions totalitaires de ces « spécialistes » incultes produisent un rire homérique dans des universités aux quatre coins du globe. En somme, les membres du CNU, lors de la procédure de qualification, ont le droit de vous calomnier, de vous injurier, de voler vos découvertes ; quant à vous, vous devez leur répondre poliment. Ces ordures se comportent exactement comme les femens qui gazent femmes enceintes et nourrissons, puis appellent les journalistes en vociférant. Il se peut que, depuis 2011, cette vermine titularisée par l’Université française soit déjà enseignée, jusque dans les académies, comme ces guenons féministes… Car tout ce que je viens de mentionner, ainsi que d’autres actes orduriers qui, à ce jour, dépassent le millier (!!!), ils ont parfaitement le droit de le faire dans le cadre d’une procédure de qualification républicaine de l’Université française ! Vous comprenez : il y a en France une crise, les places à l’Université sont chères et la vermine corrompue se les partage ! Il faut donc faire entrer exclusivement ses partenaires sexuels, officiels ou ceux de passage, ses enfants ou ses fidèles larbins. Bien sûr, il faut à tout prix éloigner tous ceux qui pourraient leur prendre cette place ou leur faire de l’ombre scientifiquement ! C’est exclusivement pour cela, et non pour une juste évaluation des compétences, que l’on maintient cette excellentissime procédure héritée de l’URSS génocidaire, et ce, peu importe son coût !
Les Révisionnistes s’intéressent à l’Affaire Livry
Voilà pourquoi également, tout petit-fils de rescapés d’Auschwitz que je suis, je comprends parfaitement les révisionnistes francophones qui se rapprochent de moi afin de se saisir de la totalité de mon dossier du CNU, de celui de la Sorbonne ainsi que de celui de Nice-Sophia Antipolis. En effet, la plus grande accusation portée à l’encontre de ceux qui révisent l’unique période de l’histoire protégée, en France, par une loi pénale réside dans le fait qu’ils ne détiennent pas de diplômes délivrés par des « spécialistes » et que leur méthodologie n’est pas acceptable pour des historiens institutionnels. Quant aux tentatives de discussion entamées par les révisionnistes, elles se soldent par des condamnations pénales avec étouffement immédiat de l’affaire. Or, grâce à certaines des pièces recueillies dans le cadre de l’Affaire Livry depuis des années, les révisionnistes francophones parviennent à examiner les tripes mêmes de l’Université française qui s’érige devant eux comme « juge impartial ». Voilà que, grâce à l’Affaire Livry, les révisionnistes ont la preuve de la médiocrité des calomnies effrontées des professeurs titularisés par l’Université française, de l’illettrisme forcené de ces mêmes professeurs universitaires français, de l’arbitraire aberrant qui règne parmi les décideurs académiques et de la bassesse des instincts – pulsions sexuelles, pulsions d’envie ou goût d’un pouvoir ridicule – qui les gouvernent. Si quelques centaines d’euros, une déception toute professorale liée à l’absence d’une pénétration vaginale, l’arrogance flattée par l’article d’un camarade syndiqué ou encore l’obstination de voler une découverte sur Nabokov, Mandelstam, Nietzsche ou Claudel décident présidents des universités, doyens, professeurs à tourner, du jour au lendemain, leur veste, cela offre aux révisionnistes l’illustration de l’ignominie jusqu’à laquelle peuvent se rabaisser les détenteurs du pouvoir universitaire, lesquels se rangent derrière une cause – celle des vainqueurs de la dernière « guerre mondiale » – géopolitique d’importance planétaire. Soucieux de la vérité seule, je suis ravi de transmettre aux révisionnistes les chefs-d’œuvre professoraux portant le tampon du Ministère français de l’éducation que j’ai en ma possession.
Corporatisme ? Non, folie furieuse corruptionnelle !
Quelle est la caractéristique première d’un corporatisme ? C’est bien sûr non seulement de maintenir les avantages acquis d’une corporation, c’est-à-dire la prospérité de ses membres à court terme, mais également de sauvegarder son honneur (ce qui est contraire à l’arrogance stupide soviétique qui déclare « Avant moi, table rase ; après moi, le déluge »), soit la renommée de ses aînés à moyen terme. (Et je ne m’étalerai pas là sur ce que j’appellerais le « long terme », cette Sagesse éternelle que je sers dans mes travaux – car cela ferait rire les putains-professeurs titularisés des deux sexes). En revanche, que se passe-t-il dans l’« Affaire Livry » ?
Disons les choses comme elles sont : les chercheurs français et étrangers qui s’en occupent ne daignent même pas consacrer ne serait-ce qu’une seule ligne à cette kaïera universitaire prête à tamponner du sceau du Ministère n’importe quelle calomnie ordurière. Et ils ont raison ! Ce qui les intéresse, c’est de remonter à ceux qui ordonnent ces immondices, et ils les retrouvent aisément. Quelques exemples ? Les voici ! Le président d’une université qui a en partie personnellement lancé contre moi cette ignominie institutionnelle, un fou furieux, est mort récemment. Son lit est à peine froid qu’une académie étrangère conclut la totalité de son existence universitaire par ce terme lapidaire :« ordonnateur ordurier de l’acharnement contre l’écrivain et scientifique Anatoly Livry ». Ou encore son ancien collègue, qui a déjà un pied dans la tombe et qui se charge de publier un poète français dionysiaque et païen (car il y a les chrétiens bachiques !) durant ses ultimes jours (délaissant donc les découvertes littéraires auxquelles ces apparatchiks sont finalement incapables : les vieux fonctionnaires trahissent leur mépris pour la Science qui n’était bonne qu’à être prostituée jadis pour des besoins carriéristes, avant d’être chassée), voit son existence stérile se résumer ainsi dans une anthologie de la poésie française bilingue publiée à Saint-Pétersbourg en janvier 2014 et destinée à des professeurs ainsi qu’à des docteurs bilingues franco-russes : « Imaginons que ledit apparatchik croise sur son chemin un Arthur Rimbaud, lequel s’avèrerait de surcroît dangereux pour sa carrière, il le calomnierait tout comme il l’avait fait avec Anatoly Livry, auprès d’une ”Carlingue” quelconque ! ». En effet, lorsqu’un fonctionnaire refuse obstinément de représenter la Science, se comporte comme la pire des ordures, il faut que ses pairs le traitent comme la vermine qu’il est, et plus les temps avancent, plus ce fonctionnaire universitaire doit entrer dans les annales comme une racaille qui ne se distingue guère de la plus basse piétaille titularisée.
Victimes de leur propre marasme arrogant, ils devraient normalement se soucier de l’Université française ou même de leur propre renommée post-fonctionnaire, mais se retrouvent ridiculisés au grand jour chaque fois que leurs larbins, ces ordures titularisées obtiennent une « victoire » soviétoïde sur moi qui, malgré mon accent slave, incarne bien mieux qu’eux l’antique Science française.
Car, pendant que les pitoyables laquais s’acharnent à calomnier mes dossiers au CNU, pendant qu’ils pillent mes découvertes et fabriquent le « buzz » en appelant « Au secours ! Protégez-moi ! » après s’être envoyé eux-mêmes des mails malveillants (atteignant ainsi le but recherché : taire mes découvertes publiées alors qu’ils s’adonnent à une bougeotte groupusculaire), je continue de suivre les séminaires d’illustres hellénistes, germanistes et philosophes français, à introduire leurs travaux dans ma bibliographie qui dépasse largement celles de nombreux professeurs français en fonction qui pourtant me jugent, tout en démolissant, pour le plus grand plaisir des analystes, membres du Collège de France et de l’Institut.
Quel délice pour ces chercheurs qui s’emparent déjà des séniles « rimbaldiens » et « baudelairiens », je parle de ceux qui passent leur vie dans les commissariats et dans les ministères à calomnier auprès des apparatchiks et les flics de leur connaissance les poètes ayant le malheur de leur être supérieurs sur le plan scientifique !
Anatoly Livry, Moscou
source et publication: http://www.enquete-debat.fr/archives/procedure-de-qualification-de-luniversite-francaise-une-corruption-legalisee-qui-a-coute-1-000-000-000-e-en-quelques-decennies-57387