L’ÉTÉ DE TOUS LES DANGERS…
L’Irak, Israël-Palestine, Syrie, Ukraine… La politique extérieure recèle actuellement de dangereux brasiers susceptibles de se propager, selon les vents mauvais soufflés par des dirigeant occidentaux, souvent plus pyromanes que pompiers, dans de grandes parties du monde.
En ce qui nous concerne, ce sont les retombées de ces conflits en France qui nous intéressent. Dont bien sûr, au premier chef, les plus explosives : celles qui nous viennent de Palestine.
Elles allument dans nos banlieues inflammables de véritables guérillas urbaines – ou plutôt les amplifient, celles-ci existant déjà, suscitées par un ressentiment haineux contre la France et les Français –, quasi quotidiennement.
Echos de lointaines “intifadas” (insurrections) qui résonnent désormais de plus en plus violemment à nos oreilles.
Dans son éditorial de Valeurs Actuelles Yves de Kerdrel parle plus précisément, à propos de notre pays, de « l’été de la chienlit ».
Le vieux terme rabelaisien convient parfaitement pour qualifier l’état de délitement, de déliquescence, de désordres et de souillures, aussi bien moral que sociétal ou économique (Les Beaux draps, en attendant l’Ecole des cadavres ?) dans lequel les salopards qui nous gouvernent ont plongé la France et les Français.
Le carnaval des grotesques
Pour souligner l’impuissance de ce gouvernement de la « chienlit » Yves de Kerdrel rappelle que samedi (26/7) dernier, place de la République à Paris, on comptait, lors de la manifestation « interdite » 2 000 représentants des forces de l’ordre face à 1 500 pro-Palestiniens.
« Et malgré cela, Paris a été le théâtre des mêmes scènes d’émeute, de jets de projectile et de saccage organisé ». Pourquoi s’en étonner ?
Dans ce grand carnaval de la démission, les gens de l’UMPS tremblent de frousse depuis trente ans devant les gangs de voyous ethniques et les bandes d’islamistes enragés.
Dans ce dernier numéro, Valeurs Actuelles publie un reportage, un de plus, sur Sarcelles (60 000 habitants, dont 80% d’origine étrangère), dont certains quartiers sont aujourd’hui totalement dominés par les voyous ethniques et les islamistes fous, sur fond de guerre de la drogue.
Malheur aux Français de souche (il en reste environ six mille) qui n’ont pas les moyens de quitter cet éden de la diversité.
Leurs appartements sont aujourd’hui quasiment invendables. Sauf à les céder aux nouveaux occupants à des prix massacrés.
L’un de ces “Souchiens” raconte : « On met ses enfants dans les meilleures écoles privées, quitte à se sacrifier pour le reste. (…) On fait ses courses dans les supermarchés des zones industrielles, moins fréquentés par la racaille.
Il faut équiper ses maisons de système d’alarme, ne pas laisser une fenêtre ouverte, éviter les départs en vacance ».
Ces compatriotes subissent une véritable occupation. Leurs voitures ayant brûlé un jour ou l’autre, ils empruntent les transports en commun en appréhendant une possible agression.
Celle qu’ils risquent de subir. Ou celle à laquelle ils vont assister, sans oser intervenir, sachant qu’au moindre geste de leur part ils prendraient un coup de couteau ou au mieux se feraient sauvagement tabasser. « Un simple regard peut valoir un passage à tabac… »
Soumis à la charia
Et puis, bien sûr, il y a « l’oppression » religieuse. Pressions exercées sur les commerçants qui vendent de l’alcool, du porc ou des sous-vêtements, sascs des habitants fouillés à l’entrée des immeubles…
Cela se passe en France : à Sarcelles, comme à Trappes, à Mantes-la-Jolie et tant d’autres endroit où les zones de non-droit ne cessent de s’étendre : on en dénombre désormais de 1 500 sur tout le territoire.
Des zones jouissant de fait d’une sorte d’exterritorialité par rapport aux lois et aux coutumes françaises. Avec l’acceptation tacite de nos autorités incompétentes… Des autorités politiques qui, plutôt que les combattre, préfèrent passer des deals avec les caïds de quartier, en les embauchant dans les municipalités et les conseils, et en arrosant de subventions leurs prétendues associations.
Des millions « dépensés sans aucun résultat ». Dramatiques accointances entre voyous ethniques et responsables politiques que nous révèle, quand elles tournent mal, les affaires d’une Sylvie Andrieux , députée socialiste de Marseille, d’un Serge Dassault, sénateur UMP et maire de Corbeil-Essonnes, ou, aujourd’hui, le scandale qui agite la mairie de Bobigny (93), détenue par le centriste (UDI) Stéphane de Paoli.
Quels sentiments, autres que la colère, le dégoût et le mépris peuvent inspirer ces responsables politiques ainsi couchés devant la « racaille » ? « Le carnaval s’en va.
Les roses vont éclore », écrit Musset. Que s’en aille enfin, chassé par les électeurs, ce carnaval UMPS de la tromperie et des artifices.
Et qu’éclosent, même dans la douleur, forcément dans la douleur avec tant d’impéritie à réparer, les roses d’une renaissance nationale.
Lu dans Présent
Source http://www.delitdimages.org/lete-les-dangers/
VERS UN RENOUVEAU NATIONAL
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