Arno Klarsfeld : métisser les Blancs pour que les juifs survivent
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (21/07/2014) Certains se rappelleront d’Arno Klarsfeld, ancien garde-frontière israélien, lobbyiste communautaire et avocat antiraciste.
Membre de l’organisation juive LICRA, il s’était invité à Rennes, aux côtés de son coreligionnaire Alain Jakubowicz, dans le procès opposant BREIZ ATAO à l’allogène sénégalaire Marie Gueye.
La clique tenait à faire condamner le nationalisme breton dans ce procès de Moscou en modèle réduit.
Klarsfeld est un exemple assez révélateur de la schyzophrénie propre au judaïsme, ultra-nationaliste pour lui-même et ultra-cosmopolite pour les autres.
Cas très révélateur donc que ce Klarsfeld antiraciste et promoteur de l’immigration afro-musulmane en terre bretonne, se faisant inquisiteur dans le tribunal rabbinique républicain contre les nationalistes bretons d’une part, et défenseur inconditionnel de l’étanchéité des frontières israéliennes de l’autre.
Klarsfeld a réitéré son prêche antiraciste à l’occasion des violents heurts entre arabo-musulmans et juifs, en marge des manifestations pro-palestiniennes de ce week-end à Paris ou à Sarcelles.
Il écrit ainsi dans Le Monde (appartenant au banquier juif Pigasse) de ce jour :
“Les Français saluent les vertus du métissage, les sangs qui se mélangent, le renouveau que cela apporte, le brassage des cultures, l’énergie qui s’en développe, mais ils veulent que cela se fasse sur des valeurs communes.”
La propension des intellectuels juifs à parler au nom des autres est proverbiale. Aussi, pour comprendre le véritable sens de cette phrase, il faut la corriger, ce que nous faisons :
“Les juifs saluent les vertus du métissage, les sangs qui se mélangent, le renouveau que cela apporte, le brassage des cultures, l’énergie qui s’en développe, mais ils veulent que cela se fasse sur des valeurs communes.”
Ainsi traduite, elle devient limpide pour le lecteur non habitué à la rhétorique communautaire. Mais de quelles valeurs communes parle alors Klarsfeld ?
Bien évidemment des valeurs juives, auxquels les Blancs mais aussi, à présent qu’ils leur sont hostiles, les afro-musulmans, doivent se conformer.
Et ces valeurs sont connues : destruction de toutes les différences qu’elles soient religieuses, ethniques, nationales ou linguistiques, mais encore sexuelles ou sociales.
Bref, la grande fusion dans un tout atomisé, dit “démocratique”, où seul Israël aurait gardé ses spécificités.
Y compris par la force la plus brutale, comme nous le voyons à Gaza en ce moment où l’armée juive se livre à une débauche de cruauté contre des enfants, des femmes, parfois enceintes, ou des vieillards palestiniens.
Et Klarsfeld se fait plus précis dans l’article précité sur la marche à suivre :
“Et puis il faudra trouver des solutions audacieuses pour intégrer non pas seulement les étrangers, mais des Français issus de l’immigration qui, non seulement en veulent aux juifs, mais en veulent à la France, alors que la France est un pays généreux comparée à beaucoup d’autres pays sur la planète.”
Pour neutraliser ces jeunes immigrés musulmans si hostiles aux juifs, il faudra nous dit Klarsfeld “des solutions audacieuses”.
Et l’intéressé d’évoquer “l’intégration”, c’est-à-dire ce qu’il évoquait plus haut, le métissage généralisé.
Mais l’on voit bien que c’est le projet même de ces intellectuels qui débouche sur une impasse : plus l’immigration s’amplifie, plus le métissage, déjà illusoire dans les années 70, apparait comme irréalisable en 2014.
Mais, d’abord et avant tout et comme toujours avec les intellectuels juifs, leur pays d’accueil demeure la variable d’ajustement de leur propre politique.
Peu importe donc ce que pensent ou ressentent les autochtones, toute politique future ne saurait être que celle qui convient aux intérêts dont parlent Klarsfeld.
A aucun moment les Français de souche ne semblent intéresser l’avocat israélien.
Car pour lui, un pays d’accueil n’est jamais, comme le dit Attali, “qu’un hôtel”.
Arno Klarsfeld explique enfin ce qu’il se passerait si d’aventure un tel métissage généralisé ne se réalisait pas :
“Si de réelles mesures ne sont pas prises, il est évident que les juifs qui peuvent quitter la France le feront ; un certain nombre l’a déjà fait. Plutôt partir que vivre dans la peur et dans la honte.”
Et oui ! Après avoir encouragé l’immigration africaine et musulmane de masse pendant quarante ans, après avoir infesté les médiats de ces théories antiracistes, d’avoir été les cadres des associations traquant en justice les Blancs défendant leurs terres et leur identité, Klarsfeld annonce que si le projet de métissage pacifique n’aboutissait pas, les juifs “partiraient”.
Certes ils partiraient, mais en laissant derrière eux un pays libanisé, ravagé par une guerre interethnique larvée, voire religieuse.
Comme ils quittèrent l’URSS quand ce pays se transforma en enfer sur terre et que Staline entreprit de se débarrasser d’eux.
Nous sommes cependant d’accord avec Klarsfeld. Il est préférable pour les juifs de “partir plutôt que de vivre dans la peur et la honte”.
Car à en juger par la prise de conscience des populations blanches de souche et par le degré fort limité de tolérance des populations musulmanes à leur égard, ni les uns ni les autres ne semblent porter, à terme, à se montrer conciliants avec ces architecte de la France “métissée”.
C’est peut être la seule phrase censée de tout ce salmigondis de poncifs talmudiques.