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BONNETS ROUGES: COCUS ET CONTENTS ...... TRIBUNE LIBRE !

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Published On: Thu, Jun 19th, 2014
 

Bonnets Rouges : retour sur un désastre prévu et prévisible (Par Boris Le Lay)

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Le mouvement des Bonnets Rouges, créé par des paysans et des nationalistes de Cornouaille et du Léon, dirigés par des gauchistes, a fini à Nantes mené par une femelle sur un char de sodomites financé par la CGT.

Conclusion logique s’il en est.

Par Boris Le Lay

BREIZATAO – PENNADSTUR (19/06/2014) Le collectif de Carhaix, dit des “Bonnets Rouges”, n’est plus que l’ombre de lui-mĂȘme.  L’échec de la mobilisation autour des prĂ©fectures et sous-prĂ©fectures la semaine derniĂšre a dĂ©montrĂ© l’énorme erreur commise par les Ă©lĂ©ments anti-nationalistes et anti-identitaires du collectif. Avec un nom qui revient : Jean-Pierre Le Mat.

Socialisme et antiracisme Ă  tous les Ă©tages

Tout a commencĂ© en novembre 2013 Ă  Quimper. Et tout y a fini le mĂȘme jour. Une seule chose expliquait l’échec Ă  venir : les nombreuses banniĂšres bretonnes et la masse impressionnante des bonnets rouges Ă©taient couvertes par les chants de
 Manu Chao, une Ă©pave droguĂ©e adepte d’un anarchisme folklorique nappĂ© de tiers-mondisme et de promotion de l’immigration.

Qu’un rassemblement populaire composĂ©, quoiqu’en dira ensuite la bande de Carhaix, d’électeurs de droite et d’extrĂȘme droite mais aussi d’abstentionnistes, soit formellement organisĂ© comme un happening gauchiste signifiait la fin du mouvement.

Ses premiers organisateurs n’étant que des cancres gauchistes, cela ne pouvait finir autrement. Les chiens ne font pas des chats.

Christian Troadec se paya le luxe de signifier Ă  l’envi qu’il “combattait le Front National”, c’est-Ă -dire l’électorat anti-immigration qui vote de plus en plus pour cette organisation française. Au lendemain des Ă©lections europĂ©ennes, si Troadec avait eu du succĂšs dans les communes rurales du FinistĂšre, il ne pouvait ignorer que le grand vainqueur Ă©tait le FN, nouveau venu sur la scĂšne politique bretonne. Et ceci sans militants ni organisation.

Finis donc les mantras socialistes sur la “Bretagne ouverte sur le monde” et autres “Bretagne terre d’immigration”, sans parler des “Les Bretons ne sont pas racistes, ils ne votent pas FN”.

Non. Les Bretons sont bel et bien racistes, ils votent FN et ils vomissent l’immigration afro-musulmane. Et ce n’est lĂ  qu’un dĂ©but.

Ils ne votaient pas FN parce qu’ils ne voyaient pas d’immigrĂ©s, le vote FN Ă©tant Ă©videmment le rĂ©sultat direct de l’immigration afro-musulmane.

Troadec se retrouvait donc sur un crĂ©neau populiste et verbalement “antiraciste”. Mais la sociologie de l’électorat est lĂ  et l’antiracisme, aujourd’hui, ne plait plus qu’au petit Ă©tablissement politico-mĂ©diatique rĂ©gional.

La population, elle, s’est fait sa religion, si l’on peut dire.

Traque aux nationalistes, identitaires ou autonomistes

Mais avant cette percĂ©e du vote anti-immigration, le collectif de Carhaix avait multipliĂ© les erreurs que la culture socialo-gauchiste de ses cadres engendrait naturellement. Ainsi, les chants de Manu Chao de Quimper annonçaient logiquement le “rassemblement festif” de Carhaix tel que prĂ©sentĂ© par Troadec.

Les Bretons mobilisĂ©s aspiraient Ă  la rĂ©volte, on leur servit donc un Festival des Vieilles Charrues d’hiver. StupiditĂ© politique plus crasse il n’y a pas. La sous-culture gauchiste, “festive”, femelle et attardĂ©e pour tout dire, fit le travail que 10 000 CRS n’auraient pas pu rĂ©aliser : renvoyer tout le monde dans ses quartiers.

Mais en rĂ©alitĂ©, Troadec et ses amis tentĂšrent de canaliser le mouvement de peur qu’il ne les dĂ©borde. Carhaix fut l’assassinat du mouvement des Bonnets Rouges.

Avide de donner des gages, le Collectif de Carhaix, menĂ© par des socialistes antiracistes fĂ©rocement opposĂ©s Ă  toute lutte autonomiste comme Ă  toute dĂ©fense de l’identitĂ© bretonne, se mit Ă  organiser la traque aux militants bretons en son sein.

Ce qui culmina avec la sĂ©cession de la base et l’abandon par la clique de Carhaix des 11 interpellĂ©s. Eric NodĂ©, une des chevilles ouvriĂšres de la chasse aux identitaires et nationalistes, rĂ©vĂ©la toute la nature de ce qui se passait en organisant le lĂąchage des militants arrĂȘtĂ©s.

Grùce à BREIZ ATAO, tout fut connu et la crise, déjà bien avancée, éclata.

AprĂšs quoi, le guignol Jean Pierre Le Mat, celui qui finalement est le responsable intĂ©gral de l’effondrement du mouvement, se paya mĂȘme le luxe de “quitter” la manifestation de soutien aux quatre militants dĂ©tenus en prĂ©ventive, en dĂ©nonçant les slogans indĂ©pendantistes et nationalistes qu’il entendit ce jour-lĂ .

Ce pauvre laquais avait plu à ses maßtres corporatistes du collectif comme aux autorités.

Mais il avait surtout donnĂ© le moyen à BREIZ ATAO et d’autres de dĂ©montrer l’étendue de l’imposture.

Quelques jours plus tard, le demeurĂ© Le Mat, affublĂ© de son bonnet rouge – lequel souligne encore plus qu’à l’habitude son air d’ahuri congĂ©nital – rampait dans une rĂ©union publique aux cĂŽtĂ©s du socialiste Urvoas.

La boucle était bouclée.

L’échec du rassemblement devant les prĂ©fectures

Avec les Ă©lections, Troadec choisit le moment opportun pour quitter un mouvement qui Ă©chappait totalement Ă  la clique corporatiste et antiraciste composant le “Collectif des Bonnets Rouges” dont l’influence ne s’étendait plus guĂšre qu’à Carhaix.

Le mĂ©tĂšque Olivier Le Bras, un des porte-parole du mouvement, s’était vu proposer quant Ă  lui de rejoindre le PS moyennant une dĂ©nonciation en rĂšgle des Bonnets Rouges et de leur “dĂ©rive identitaire”.

Ce clown ahuri alla donc vendre son cul pour une poignĂ©e de lentilles auprĂšs de ses nouveaux maĂźtres Ă  l’occasion des Ă©lections et soutint Martin Schultz, figure du socialisme financier.

DĂ©sespĂ©rĂ©ment prĂ©visible. PrĂ©visible car quand on a le cul dans les bassines du syndicalisme français, on reste un laquais de l’Etat Français. Et quand on est un mĂ©tĂšque, on pense en mĂ©tĂšque, c’est-Ă -dire contre les autochtones. Enfin, quand on est un mendiant, on mendie.

Cela ne serait jamais arrivĂ© si, dĂšs l’origine, le mouvement fut encadrĂ© par des nationalistes bretons dĂ©terminĂ©s qui auraient naturellement empĂȘchĂ© que des demeurĂ©s gauchistes Ă  Bac moins 8 se prennent – et soient pris – au sĂ©rieux et de se voir offrir en consĂ©quence des responsabilitĂ©s.

C’est dans ce contexte de dĂ©fections, de trahisons, de gauchisme et, rĂ©pĂ©tons-le, de dĂ©bilitĂ© lĂ©gĂšre des consanguins du Kreiz-Breizh, que la clique de Carhaix tenta de reprendre la main avec son happening prĂ©fectoral.

L’échec fut aussi prĂ©visible que cinglant et nous mĂźmes un point d’honneur Ă  ne pas appeler Ă  se ridiculiser de la sorte aux cĂŽtĂ©s du pire fumier de notre pays.

Les Carhaisiens Ă  la Gay Pride

Finalement, lors de cet Ă©vĂ©nement, un autre marqueur de dĂ©gĂ©nĂ©rescence s’ajouta au tableau : le poids acquis, en plus des gauchistes et autres crasseux antiracistes, par des femelles hystĂ©riques en mal de phallus symbolique.

On assista donc Ă  la participation d’une des meneuses du collectif de Carhaix pour le Pays Nantais Ă  la Gay Pride, lors des fameuses manifestation devant les prĂ©fectures.

Des idiotes - ce qui en politique est strictement rĂ©ductible au genre fĂ©minin – menant des pouilleux qui eux-mĂȘmes appellent Ă  ce que les Bretons deviennent des nĂšgres, voilĂ  le produit final de l’aventure.

Tout ceci nous l’avons dĂ©noncĂ© dĂšs le “rassemblement festif” de Carhaix.

Le 5 juillet, la clique de Carhaix veut sauver sa peau

La bande de Carhaix ne mĂšne plus que le comitĂ© de Quimper, quelques individus dans le LĂ©on et mĂȘme le comitĂ© de Carhaix est en proie Ă  un affrontement interne violent. Le reste de la base est emmenĂ© par l’ABBR, l’AssemblĂ©e de Bretagne des Bonnets Rouges.

AprĂšs le spectacle dĂ©sastreux devant les prĂ©fectures, la clique de Carhaix s’est donc avisĂ©e qu’en fin de compte, la base militante identitaire, autonomiste et nationaliste n’était pas inutile. Et qu’il fallait se la concilier pour exister, faute de quoi, ce serait la disparition.

Trop tard : les incompĂ©tents et les abrutis ont Ă©tĂ© mis au pouvoir. Ils ont donc menĂ© une politique d’incompĂ©tents et d’abrutis. Le Mat, Rosec et les autres nuisibles ont tout fait Ă©chouer par leur atavisme gauchiste, leur verbiage creux, leur soumission Ă  un patronat profondĂ©ment francophile.

L’anarchisme du mouvement des Bonnets Rouges fut dĂ©noncĂ© dĂšs l’origine dans les colonnes de BREIZ ATAO : il Ă©tait Ă©vident que l’absence de colonne vertĂ©brale idĂ©ologique et de cadres idĂ©ologiquement formĂ©s mĂšnerait au dĂ©sastre.

On nous traita, au mieux, de mauvais coucheurs.

Les caniveaux refoulent Ă  plein

Quand le “rassemblement festif de Carhaix” fut annoncĂ©, nous et nous seuls dĂ©clarions que ce mouvement Ă©tait mort-nĂ©, qu’il Ă©tait inutile de le soutenir et que Troadec porterait, avec d’autres, le poids de l’échec.

Nous avions raison, mais naturellement, il aura fallu attendre l’énorme foirade pour que chacun en convienne. Comment avons-nous pu entrevoir ce que nombre n’ont pas pressenti ?

La raison en est simple : nous sommes idéologiquement et politiquement formés.

Tout est lĂ .

L’histoire retiendra donc que le mouvement des Bonnets Rouges commença avec des paysans et des nationalistes de Cornouaille et du LĂ©on et que, dirigĂ©s par des gauchistes, il finit Ă  Nantes menĂ© par une femelle en soutien-gorge sur un charge de sodomites financĂ© par la CGT.

C’est finalement le condensĂ© de l’histoire bretonne, des guerriers de NominoĂ© Ă  la Duchesse Anne.

Est-il nécessaire de dire que le salut passe par le mouvement rigoureusement inverse ?

About the Author

 

 - Tyler Durden est en charge de la correction des articles et du suivi technique du site.

 

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