mercredi, 04 juin 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3143 du 30 mai 2014
LE DIRECTEUR de l’IUT de Saint-Denis (l’un des plus importants de France) a reçu quinze lettres de menaces de mort.
Des avertissements anonymes et directs. « Tu vas mourir, toi et tes enfants », dit l’une des premières, écrite avec des caractères découpés dans des journaux.
Une autre comporte une photo du directeur, imprimée en noir et blanc, avec une croix tracée sur le front et le mot “mort”. Les dernières, adressées à son domicile, sont écrites en arabe : « J’appelle tous les musulmans à te punir. Tu dois payer, toi, tes proches, tes enfants ». Quelles en sont les raisons ?
Le directeur, Samuel Mayol, a mis au jour un système de contrats signés avec des vacataires qui n’ont jamais donné de cours. D’autres ont été embauchés pour des matières qui n’étaient pas au programme ; 4 800 heures seraient concernées pour un montant de 200 000 euros.
Le conseil d’administration a alors été saisi et a prononcé la destitution du chef du département « Techniques commerciales » pour dysfonctionnements majeurs et soupçons d’emplois fictifs. Il n’était apparemment pas franchement un Gaulois.
Par ailleurs, le directeur a engagé un bras de fer avec une association étudiante soupçonnée de prosélytisme après la découverte d’une salle de prière clandestine au sein de l’établissement. L’association L’Ouverture avait organisé au sein de l’IUT une vente de sandwichs halal au début de l’année.
Cette initiative avait été interrompue par le directeur. On leur demanda de rendre leur local. Pas question. La police dut intervenir, fouilla l’établissement et découvrit ainsi un sac contenant une cinquantaine de tapis de prière posés contre le mur dans un local de prière squatté. Mais l’histoire n’est pas terminée.
Samuel Mayol vient d’être agressé mercredi 21 mai au soir à Paris dans le 9e arrondissement, alors qu’il sortait d’une réunion au Grand Orient, quand deux individus lui ont donné des coups de poing au visage.
Décidément, ces gens ne respectent plus rien, pas même les francs-maçons, pourtant si essentiels dans leur République…
L’HUMOUR DE HOLLANDE
Comme ont pu le constater les équipes du Petit Journal, François Hollande ne manque pas d’humour. Yann Barthès qui pilote le Petit Journal de Canal+ a diffusé une séquence où l’on peut découvrir le président de la République en visite dans une boulangerie en Arménie.
Car il s’était rendu en visite officielle en Arménie, ce que personne n’avait relevé. A l’aise dans la boulangerie, François Hollande décida de prendre un café sur place. Alors qu’une serveuse apporte des gâteaux pour accompagner le café, François Hollande intervient pour demander s’il peut plutôt avoir un croissant.
Tout le monde a évidemment fait un rapprochement avec l’histoire de l’homme à la vespa et de son garde du corps que l’on avait vu entrer dans son immeuble rue du Cirque, des croissants à la main. Après avoir demandé et obtenu sa viennoiserie, François Hollande se tourna vers le reste de la tablée et déclara : «Je suis un spécialiste du croissant ». Pas sûr que Julie Gayet, dont on n’entend plus parler et qui aurait rompu avec le chef de l’Etat, apprécie la fine petite blague…
Du reste, on attendrait d’un Président de la République qu’il soit un spécialiste de la France plutôt que de fanfaronner dans le registre du croissant…
LE MANÈGE POUR ENFANTS D’ISTRES A PERDU SON COCHON ROSE
A Istres, le manège pour enfants est installé à demeure depuis des lustres, près de la Porte d’Arles. L’histoire paraît invraisemblable, mais je prends le risque de la raconter.
Parmi les bestioles que les enfants peuvent chevaucher, pour leur bonheur, il y avait un cochon rose. Il paraît que le cochon n’y est plus. Il aurait été expulsé du manège à la demande de parents musulmans…
UN CHAUFFEUR DE TAXI NEW YORKAIS N’A PAS LE DROIT DE PORTER UN BRASSARD NAZI AU TRAVAIL
Gabriel Diaz, chauffeur de taxi de 26 ans, originaire du Bronx (New York) a, en tant que «national-socialiste», le droit de porter un brassard avec une swastika, quoi qu’en dise la compagnie de taxi TLC, qui l’a suspendu pendant 30 jours. «Je suis un national-socialiste, ce que vous appelez un nazi.
C’est ma conviction», a-t-il martelé devant la caméra de la chaîne CBS New York. La société de taxi avait été alertée par l’Anti-Defamation League, qui lutte contre les attaques antisémites.
Gabriel Diaz, 27 ans, est un penseur, il est vrai, de haute volée.
Diaz, 27 ans, affirme que les races doivent être séparées et rejette les « trucs multiculturalistes », tout en affirmant qu’il sait ne pas avoir les cheveux blonds et les yeux bleus de la race supérieure, mais il s’en moque.
Car Gabriel Diaz est noir, d’origine dominicaine. Il poursuit : «Je sais que c’est très contradictoire de ne pas être blanc et de porter un symbole nazi. Qui a dit qu’il fallait être blanc pour être un national-socialiste ?».
A l’égard des Juifs, il se montre relativement modéré, déclarant : «Je ne déteste pas les juifs. Je suis critique vis-à-vis d’eux, mais je ne les déteste pas», a-t-il expliqué, refusant systématiquement de répondre aux questions sur l’“Holocauste”. «Je n’ai pas de commentaires» sur « ce qui s’est supposément passé». Il finit par évoquer le premier amendement de la Constitution américaine qui garantit la liberté d’expression, de religion, ainsi que la liberté de la presse, avec un argument imparable : « Si un musulman peut conduire en portant un turban, si un homo peut se promener avec un drapeau arc en ciel, pourquoi je ne pourrais pas porter un brassard nazi ?»
En attendant, la compagnie de taxi l’a mis à pied pendant un mois pour « comportement opposé au bien-être du public ». Il a fait une légère concession : « Je vais continuer à la porter, mais pas quand je conduis un taxi, parce qu’il y a tout un tas de pleurnicheurs ici à New York, tout un tas de gauchistes pleurnicheurs qui chialent chaque fois qu’ils voient un symbole de haine ».
Et il conclut par une ultime provocation : “Je crois en la séparation raciale et la ségrégation”.
UN ÉMIR QUI PRIVATISE UN HÔPITAL PUBLIC FRANÇAIS
Un riche émir du Golfe a privatisé début mai un étage d’un hôpital public en région parisienne, demandant plusieurs aménagements comme l’installation de douchettes dans les WC ou de mobilier, a confirmé le syndicat SUD. Neuf chambres du 7e étage de l’hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), ont été réservées entre le 8 et 14 mai pour accueillir l’homme d’affaires, dont le nom n’a pas été communiqué, et les personnes qui l’accompagnaient (gardes du corps, famille), a précisé l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), confirmant une information du Canard enchaîné. On ignore si son harem a bénéficié des mêmes prestations.
Des douchettes ont été installées dans les toilettes, du mobilier comme des chaises et un canapé ont été sortis des réserves de l’établissement et le patient s’est attaché les services d’un traiteur, a reconnu l’AP-HP.
L’autorisation de réservation des chambres par le professeur de chirurgie orthopédique qui a opéré l’émir a été acceptée par la direction de l’hôpital compte tenu « de l’importante recette attendue », justifie l’AP-HP. Un argument puissant, en effet.
DES CHRÉTIENS AGRESSÉS PAR DES MUSULMANS EN ISRAËL. LA POLICE INTERVIENT UNE HEURE PLUS TARD
La fête de la Saint-Georges est une journée importante pour les Chrétiens de Palestine. Ceux qui la célébraient, y compris des enfants, le 6 mai au monastère Saint-Georges près de Bethlehem, dans le village al-Khadar, (Saint George en Arabe) ont été attaqués, agressés, blessés par des musulmans. Chaque année, des chrétiens palestiniens, et même certains musulmans, se réunissent au monastère, ainsi que dans d’autres lieux de la région pour commémorer le martyre de Georges.
Un témoin, Lela Gilbert, a raconté : « Des musulmans ont voulu garer leur voiture très près de l’église, où ils ont tenté d’entrer à l’intérieur pendant la messe en l’honneur de Saint Georges — les premiers éléments de l’enquête ne sont pas encore clairs. Mais quand les intrus furent priés de sortir, l’un d’entre eux a poignardé un des chrétiens qui se trouvait à l’extérieur de l’église et servait de garde. Il a été hospitalisé. Puis plusieurs musulmans ont commencé à lancer des pierres contre l’église. 7 ou 8 Chrétiens agressés ont été blessés, des dégâts physiques ont été commis contre l’église, des vitraux cassés, etc.
Et bien entendu, comme dans toute agression de chrétiens en terre d’islam, la police s’est empressée de ne pas apparaître avant une heure. »
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