La cellule familiale arabo-musulmane est-elle criminogène ?
Personne ne s’interroge sur le caractère sur-criminel, criminogène de la structure familiale et sociale arabo-musulmane et de son ethno-culture.
Personne ne veut savoir pourquoi, à condition égale de vie sociale défavorisée, les immigrations successives que nous avons connues en Europe et en France en particulier, qu’elles soient polonaises, italiennes, espagnoles, portugaises, yougoslaves, et j’ajoute, bien qu’elle fut spécifique parce que de nationalité française, près d’un million de réfugiés d’Algérie, les « pieds noirs », arrivés sur le sol français dans une extrême précarité, sans aucune aide ni soutien ; pourquoi ces immigrations n’ont jamais peuplé les prisons, n’ont jamais dégradé les cités et les immeubles qu’ils habitaient, n’ont jamais constitué des bandes de racaille volant, pillant, razziant, dealant et trafiquant, violant, etc. ?
Le politiquement correct oblige, il est interdit de poser la question, en déni des faits !
Pourtant un jour, il faudra bien.
© Claude Salomon Lagrange
Commentaires
» La cellule familiale arabo-musulmane est-elle criminogène ? »
Le fait, que tous les musulmans,
soit sous le joug de ce texte » dit sacré »
et ne puissent y désobéir ,
donne réponse a votre question …
Eddy
A l’attention de Claude Salomon Lagrange
Le psychologue danois, Nicolaï Sennels a publié deux articles des plus intéressants sur les mécanismes psychologiques, qui, à la fois individuellement et associés, augmentent les comportements violents dans les familles musulmanes :
Le premier s’intitule : » psychologie, pourquoi l’islam crée des jihadistes ? » dans lequel il distingue deux groupes de mécanismes psychologiques, qui, à la fois individuellement et associés, augmentent les comportements violents :
voir http://www.dreuz.info/2013/…/psychologie-pourquoi-lislam-cree-des-jihadistes
le second : « pourquoi l’islam reste figé au VIIe siècle ? » décrit les facteurs psychologiques qui permettent à l’islam de rester figé au VIIe siècle :
http://www.dreuz.info/2013/11/pourquoi-lislam-est-il-fige-au-viie-siecle
La polygamie, le mariage forcé, le statut abject des filles et des femmes, autant de facteurs qui rendent impossible une vie familiale normale telle que nous la concevons en Occident. Lorsqu’on voit de nos jours des «épouses» musulmanes vendues par leur père s’immoler par le feu plutôt que de continuer à vivre dans les conditions que leur a imposées la sharia, il n’est pas difficile de réaliser qu’il y a quelque chose de pourri au royaume de l’islam.
Aayan Hirsi Ali en présente un exemple dans son livre autobiographique «Infidel». Elle décrit une cellule familiale où la mère découvre que son mari était déjà marié lorsqu’il l’a épousée et qu’il continue à acquérir de nouvelles épouses au fil des ans. Son humiliation, son ressentiment envers lui, il faut qu’elle les cache et qu’elle fasse désormais bonne figure aux autres épouses. Sa frustration, elle la passe sur ses filles.
Le père étant absent la plupart du temps, c’est à la mère qu’il incombe d’élever les enfants qu’il lui fait à chacun de ses passages, mais c’est lui qui décide du lieu de leur résidence et il les laisse souvent sans ressources.
Les relations entre le père et le fils sont abominables.
D’un côté, le gamin a un statut de mâle prépondérant dans la maisonnée qui lui donne le droit de battre ses sœurs, d’insulter sa mère et de passer son temps à ne rien faire, mais lorsque le père est à la maison il insulte et dégrade son fils à la moindre occasion afin de l’endurcir et d’ «en faire un homme».
Et c’est ce père considéré comme un musulman libéral, adoré de sa fille préférée, qui la mariera néanmoins de force en son absence.
La vie tribale au Moyen Orient a donné lieu à l’adage bien connu : «Moi contre mon frère, mon frère et moi contre mon cousin, mon cousin, mon frère et moi contre l’étranger».