Le socle européen est constitué d'une armée de chômeurs estimée entre 18 et 25 millions d'âmes.
Les dettes cumulées des États européens se chiffrent en milliers de milliards d'euros.
Nous ne prétendons pas que l’Europe est ce qui suit, mais il faut avouer que, si aujourd’hui elle préfigure celle de demain…
Selon certains reportages, l’on fait la queue, paraît-il, le lundi matin au Parlement européen, valise à la main, pour pointer, encaisser les indemnités avant de sauter dans un taxi…
Les chantres de l’Europe nous vendent la disparition mécanique des frontières comme seul garant d’une paix telle que l’on n’en avait jamais connu sur le continent.
Bientôt l’Europe des 50 : hip hip hip hourra, lancer de confettis !
Politiquement ingérable : le rêve pour les Américains, se murmure-t-il dans les milieux de la réinformation…
Pour l’heure, le socle européen est constitué d’une armée de chômeurs estimée entre 18 et 25 millions d’âmes.
Les dettes cumulées des États européens se chiffrent en milliers de milliards d’euros.
L’ouverture à tout-va des frontières provoque un brassage bordélique où la notion d’intégration devient intellectuellement un crime.
Un charmant petit pays – la Hollande – pourrait servir de prisme éclairant, à travers quelques exemples, ce qu’est cette Europe en devenir.
Ce sont par exemple des dizaines de « jeunes » (en fait des milliers de « jeunes Européens ») partant vers la Syrie pour la guerre sainte : n’en a-t-il pas toujours été ainsi ? Quoi de plus normal, somme toute, pour des « Hollandais » et des « Européens » ?
Deuxième exemple : ce week-end, fête appelée « Jour du Roi » (Koningsdag). Arrestation par la police d’Amsterdam d’un chef de gang de pickpockets roumain.
Douze voleurs ont été arrêtés, parmi lesquels des Polonais, des Algériens et au moins deux Roumains : un réel progrès nous apprend De Telegraaf, qui se souvient que, l’année dernière, 700 personnes furent les victimes de ces bandes.
Troisième exemple : De Telegraaf (encore lui) nous apprend que, au cours de l’année écoulée, pas moins de 500 « crimes d’honneur » (dont 20 mortels) ont été répertoriés aux Pays-Bas.
Comme chacun le sait, il s’agit d’une tradition antédiluvienne typiquement néerlandaise et européenne, qui n’a aucune espèce de rapport avec d’inexistants problèmes culturels en rapport avec d’éventuels flux migratoires hors de contrôle (ou non) mais néanmoins… inexistants (interdiction de les voir) et… obligatoires (interdiction de les dénoncer).
Au point que De Telegraaf pointe du doigt l’origine de la plupart des « Néerlandais » victimes : Turcs, Marocains, Iraqiens ou Afghans.
Quatrième exemple : tous les 4 mai se déroule aux Pays-Bas une cérémonie en souvenir des morts de la Seconde Guerre mondiale appelée « Nationale Dodenherdenking ».
Cette année, les responsables d’une mosquée de Hilversum ont décidé de célébrer le même jour ce qu’ils appellent le « schaduwholocaust » (« l’holocauste de l’ombre ») pour commémorer ce qu’ils nomment « le nettoyage ethnique de la Palestine » (comprenez : la création de l’État d’Israël en 1948).
Pure provocation politique, pure intimidation « historiquement correcte »…
Le maire de Hilversum va essayer de persuader les responsables de bien vouloir déplacer la date de leur cérémonie. Toutefois, l’intégration des infidèles des pays « d’accueil » dans l’idéologie musulmane semble, là aussi, en bonne voie.
Voilà, citoyen européen, tu vas voter bientôt mais tu sais ce qu’on en fait, hein, de tes cambriolages, tes poches vidées, tes 25 millions de chômeurs, tes milliards de dettes, tes morts de la Seconde Guerre mondiale.
Ouvre grand ta porte, ferme grand ta gueule, et méfie-toi des extrêmes !