Pour en finir avec l’antisionisme officiel !
On le savait, le monde est divisé en deux : méchants et gentils, riches et pauvres, juifs et goyim, noirs et blancs…
Vous pouvez désormais ajouter un nouveau schisme : sionistes et antisionistes. Si l’on écoute Radio Londres, vous devez obligatoirement choisir une catégorie, vous n’avez pas le choix. Si vous ne le faites pas, les antisionistes vont taxeront tout de suite de sioniste, et inversement.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, il convient de se poser naturellement une question : mais qui sont ces juifs ?
Les juifs, c’est comme les extra-terrestres : on en parle beaucoup, mais on n’en voit jamais. Ou plutôt on ne veut pas les voir, il suffit pourtant d’allumer l’Athée Lévy Sion. Ils sont 14 millions repartis à travers le monde selon Juifipédia (attention aux chiffres, je ne sais pas si c’est un problème de retenues oubliées, mais il semble que le calcul mental ne soit pas leur fort), confirmant par leur dispersion apatride la fameuse parabole du juif errant… Et pourtant, une question déchire encore les curieux de la question juive : qu’est-ce qu’un juif ?
Je ne prétends pas détenir la vérité à ce sujet, mais voici ce que j’en pense. Juif, c’est une religion, une race et un projet politique, mais dans des proportions différentes.
Sont-ils principalement une religion ? Je ne crois pas, vu le nombre de juifs laïcs. Et surtout que l’on ne peut pas se “convertir” au judaïsme (ou dans des cas rares), car on est juifs seulement si on a sa mère juive.
Sont-ils principalement une race ? Finalement, quand on voit que beaucoup de juifs (largement la majorité) sont des ashkénazes (donc en théorie des slaves, et que parmi beaucoup d’ashkénazes il y a très peu de descendants des Hébreux) et que les séfarades sont en minorité… tout est relatif. En plus, beaucoup de juifs se disent comme tels alors qu’ils sont de demi-juifs, quart de juif, etc… ils n’ont pas de mère juive. C’est une constante, il faut obligatoirement avoir une mère juive pour être de sang juif. Ce qui veut dire que la première juive était… une goy ! Aïe !
Donc sont-ils principalement un projet politique ? oui, et mille fois OUI ! C’est ça la puissance de la fameuse communauté. Peu importe s’ils prient ou s’ils n’ont pas le sang pour, ils se définissent et agissent comme des juifs autour d’un projet politique tribal, pour le métissage global (sauf pour eux), l’abolition des frontières et la destruction de tout ce qui ne leur ressemble pas par la déviance, etc…
D’ailleurs, ce que l’on reproche généralement aux juifs ce n’est pas de vouloir nous convertir (argument de la religion, le judaïsme n’est pas une religion universelle), ce n’est pas non plus de vouloir nous métisser en se mélangeant avec eux (argument de la race, un juif qui se rapproche des non-juifs est considéré comme un traitre ou comme s’il était mort).
On leur reproche de vouloir forcer les autres à abandonner leurs religions, leurs cultures, leurs traditions, leurs patrimoines génétiques à travers un programme politique belliqueux et exclusif à la communauté.
Maintenant que les choses sont plus claires, revenons à nos moutons. En quoi les deux alternatives sionistes et antisionistes sont aussi perfides l’une que l’autre ?
Le sionisme officiel…
ils veulent sauver la race blanche, cela se voit sur leurs visages !
Je ne vais pas m’étendre sur le côté clairement contre-productif que véhicule cette fraction politique communautaire. Si vous êtes sur Boulevard Hitler, vous vous doutez bien qu’on trouve ici une certaine hostilité au judaïsme politique.
Alimenter les fourneaux juifs, c’est se tirer une balle dans le pied.
En résumé, cela revient à s’allier avec des juifs pour contrer l’invasion extra-européenne voulue et entretenue par… bah les juifs.
Ou, si la formule suivante est plus plaisante, c’est vouloir tourner autour d’un arbre assez vite pour pouvoir s’enculer.
Être sioniste, c’est aussi accepter d’être un chien que ses maîtres promènent pour que nous mordions les chevilles de leurs ennemis. Il n’y a pas d’avenir là-dedans, sauf si l’on aspire à demeurer dans une niche toute sa vie.
En plus, c’est épuisant de se forcer à pleurer tous les 8 mai devant de suspicieux cercueils…. Une vraie vie de chien ! Les ennemis de nos ennemis ne sont pas forcément nos amis.
la “résistance” officielle… ils ont la tête de ce qu’ils sont.
… contre l’antisionisme officiel !
Et voilà l’autre option, sortie tout droit du cerveau crochu d’autres juifs. Mais des gentils juifs il paraît.
D’ailleurs, les juifs orthodoxes seraient même de parfaits gentlemen puisqu’ils ont étudié le Talmud assez souvent pour apprécier la souffrance palestinienne. C’est en tout cas ce que l’on essaye de nous faire avaler.
Les deux faussaires de l’histoire que sont Shlomo Sand et Jacob Cohen (déjà, avec des noms pareils, il y avait de quoi se méfier) s’en donnent à cœur joie dans cette impasse dans laquelle ils voudraient bien que nous foncions.
Le premier s’efforce de répéter que la lutte contre le régime sionisme serait parfaite si elle s’axait sur la défense des « gentipetizarabes ».
Le second va plus loin dans la sodomie conceptuelle et prône carrément… le métissage !
En écoutant ces deux sbires, il faudrait donc combattre Israël au nom de l’antiracisme et de la diversité.
Pour ma part, je veux bien combattre cet ennemi, mais pour des raisons opposées !
L’alternative, LA VRAIE !
Pourtant, une 3ème voie existe (je ne parle pas de Serge Élie Ayoub). C’est la voie logique qui consiste à renvoyer les uns et les autres dans leurs camps respectifs
. Écoutons Hervé Ryssen à ce sujet : « J’ai déjà dit que je n’étais pas “antisioniste”, en ce sens où les problèmes liés à la création de l’État d’Israël me concernent moins que la défense des Français et des Blancs en général. En revanche, je suis radicalement opposé au projet politique d’unification mondiale porté par le judaïsme de la diaspora. J’ai répertorié des kilomètres de citations sur ce sujet… Je ne suis pas pour autant un islamolâtre. Que les musulmans gèrent leur pays comme ils l’entendent ; peu me chaut. S’ils ont envie de mettre des sacs à patates sur le visage et le corps de leurs femmes, c’est leur problème. Dans le bras de fer entre l’Iran et les mondialistes, je suis évidemment totalement du côté de l’Iran, mais en France et en Europe, je pense que l’islam n’a pas sa place. Quant à ceux qui se sont convertis à cette religion, mon avis est qu’il ont commis une lourde erreur et pour le coup, on peut se sentir parfois envahi par l’esprit des hommes du XVIe siècle ! »
Ne dit-on pas que charité bien ordonnée commence par soi-même ? Alors, avant de vouloir soigner la violence de la politique juive à l’autre bout de la planète, il faudrait commencer par celle qui sévit sur notre continent.
Lorsque l’on adopte cet antisionisme pro-blanc, c’est là que les ennuis commencent.
Car cela implique d’ignorer catégoriquement les accusations d’antisémitisme que ne manqueront pas de proférer nos ennemis.
Il faut se lever et crier sans détour le dégoût que nous procure le messianisme juif accompagné de sa politique métisseuse.
Il n’y a pas besoin d’aller à Gaza pour lutter contre le pouvoir juif.
NI SYNAGOGUES, NI MOSQUÉES !
Pierre Petrus
Source et publication: http://pierrepetrus.wordpress.com/2013/07/24/pour-en-finir-avec-lantisionisme-officiel/