Pour faire craquer le Reichmarschall Göring, Goldenberg fit emprisonner dans des conditions inhumaine la fillette de ce dernier, âgée de 8 ans .

Donc, Goldenberg qui fit emprisonnée sa fille âgée de 8 ans dans un cellule de prison
dans des condition inhumaines. Le procès de Nuremberg tait une vaste mascarade montée par les Etats-Unis ou il est vrai qu’il est bon de rappeler que pour le massacre de Katyn et ce furent les Allemands qui furent condamnés alors que les vrais coupables étaient les Soviétiques ! Je pense que ces juges le savaient mais il faillait tout faire pour que l’Allemagne soit le bouc-émissaire de toutes les exactions de la guerre.
Malheureusement, rien d’étonnant dans ces horribles exactions commises que se soient contre la fillette de Göring ou bien des directeurs de camps de concentration (même, ils n’étaient pas vraiment exemplaires) ou des soldats de la Waffen SS et le pire fut le Ministre de l’éducation nationale qui subit torture et violence la plus intolérable qui soit ! Mais ces tortures abjectes étaient aberrantes !
Ces alliés essentiellement les responsables Américains ou leur conduite fut mille fois pire que les nazis ! Tout cela pour des aveux ou plutôt de faux aveux !

Pour obliger Fritz Sauckel a signer des « aveux » rédigés par les alliés, on le menaça de livrer à la vermine soviétique sa femme et ses dix enfants.

Höss, le dernier directeur du complexe concentrationnaire d’Auschwitz , a été torturé par le sergent juif Clarke pendant trois jours, ce dernier s’en étant d’ailleurs venté dans le livre de Rupert Butler, Legion of Death, avant de signer les « aveux » tout préparés sur les « crimes » commis dans son camp. Même chose pour le commandant du camp de Mauthausen qui signa les « aveux » que lui avait rédigé Hans Marsalek, un détenu, après l’avoir laisser agoniser pendant 68 heures avec trois balles dans le ventre…

  A Dachau, des prisonniers allemands de la SS qui refusaient de signer les « aveux » sur la gestion d’un camp où ils venaient d’être muté (la dernière relève eut lieu en avril 1945) eurent les testicules broyées entre deux planches jusqu’à ce qu’ils signent… L’ancien ministre de l’Education nationale, Julius Streicher, fut tellement battu qu’il perdit 40% de son acuité auditive. Il fut gardé nu dans une cellule sans chauffage et obligé de boire dans les latrines. Ses gardiens l’obligèrent à desserrer les dents avec un bâton pendant qu’ils urinaient dans sa bouche. (« Streicher Opens His Case, » London Times, 27 Avril 1946). Ce récit fut plus tard effacé dans les transcriptions du Procès de Nuremberg avec le consentement du président du Tribunal et même avec celui de l’avocat de la « défense ».

The Torture of Julius Streicher (in his own words) at Nuremberg- April ’46

 Le rapport de la Commission d’Enquête Simpson van Rhoden sur la conduite des questionneurs US pendant les procès de Malmedy-Dachau mentionne les mauvais traitements et les tortures, y compris les simulacres de procès, l’utilisation de confessions truquées par de faux prêtres également, tabassages, les yeux bandés etc. pour extorquer les confessions des prisonniers. (The Progressive, écrit par le Juge Edward L. Van Rhoden in February of 1949 : “American Atrocities in Germany”) : passages à tabac, brutalités par coups de pied, avec bris des dents et fractures des mâchoires ; simulacres de procès ; isolement total ; faux prêtres ; rations à peine suffisantes ; privation de secours spirituel ; promesses d’acquittement (par exemple, si la victime impliquait ses camarades prisonniers pour aider les Alliés à échaffauder les scénarios de l’accusation) . 

German Wehrmacht General Anton Dostler is tied to a stake before his execution

Tous les accusés allemands, sauf deux, sur les 139 cas étudiés, avaient eu les testicules écrasés à coups de pied, de façon irréversible. Notons qu’au procès de Nuremberg, Göring, Hess, Ribbentrop, Keitel, Rosenberg, Franck, Frick, Streicher, unk, Schacht, Dönitz, Raeder, von Schirach, Sauckel, Jodl, von Papen, Seyss-Inquart, Speer, von Neurath et Fritzche ont unanimement plaidé « non coupable » des crimes qui leur ont été reprochés.

Two millions of German PoWs died in American custody, most infamously in the so-called “Rhine meadow camps,” where prisoners were held under appalling conditions, with no shelter and no food.

On ne trouve pas d’images de camps américains, si ce ne sont que les mêmes qu'on passe et rapace en boucle et qui ne relatent pas l'atrocité du sort infligé aux allemands par la vermine alliée. Seules sont diffusés des images où les prisonniers allemands sourient. (vous souriez ou vous serez fusillés)
Tout ceci bien entendu pour masquer l’étendue du génocide.
Et les pouvoirs politiques allemands actuels collabos de l’U.S., n’ont pas le courage de dénoncer ces crimes de guerres des salopards «d'alliés »
Il est évident que tous ces millions de crimes perpétrés par les « alliés » comme disent les gogos, il est formellement interdit de les évoquer, et toutes photos sont interdites de diffusion, archivées, cachées ou détruites.

. 

Penser aux photos des gigantesque camps des Alliés de James Bacque ou plusieurs millions d’Allemands sont morts, de faim, de froid, de maladie, obligé de creuser dans le sol pour ce protéger du froid l’hiver, pas un bâtiment, idem pour l’eau de pluie : les gardiens venaient pisser dans les bassin creusé à la main plein d’eau de pluie pour boire ou se laver…

L'Ordre de famine » d'Eisenhower 1945 http://library.flawlesslogic.com/1bacque_fr.htm

Attention Attention WARNING l'article qui suit a des fautes d'orthographe et provient d'une traduction automatique par google ou autre d'où les fautes d'orthographe et de syntaxe ; inutile de me le rappeler dans vos messages

Traduction de l'anglais par Flawlesslogic comportant des fautes d'orthograhe
et en sachant que les allemands on respecté la convention de Genève avec tout le monde sauf les juifs et les russes qui on refusé de signé la convention de Genève 
d'apres le genéral patton aucun soldat américain anglais ou français na été mal traité

Dès que la Seconde Guerre mondiale a pris fin en 1945, le Canada et les États-Unis ont commencé nourriture d’expédition pour les centaines de millions de personnes qui ont été confrontées à la famine comme une conséquence de la guerre.

Sans précédent dans l’histoire du monde, ce vaste programme remplissait les idéaux les plus élevés pour lesquels les Alliés occidentaux avaient combattu. Leur générosité semble avoir aucune limite.
Ils se nourrissaient anciens ennemis – Italie et Japon – ainsi que d’un nouvel ennemi,
l’Union soviétique. Seule l’Allemagne a été laissé de côté.

Les expulsions massives brutales, les camps de travail forcé mortelles, la famine de nations entières.

Ce qui n’est pas généralement connu, c’est que ces armées alliées d’occupation sculptés hors 25 pour cent des terres les plus fertiles de l’Allemagne et placés sous contrôle russe et polonais, en expulsant de force environ 16 millions de personnes dans ce qui restait.

Il a également été oublié – ou caché – que les Alliés ont interdit l’émigration et conservé millions de prisonniers dans des camps de travail forcé. Aide caritative internationale en Allemagne a été interdit pendant un an, puis restreinte depuis plus d’un an.

Quand il a été autorisé, il est arrivé trop tard pour des millions de personnes.

Dans un plan conçu par le secrétaire américain au Trésor Henry Morgenthau Jr. C, les Alliés « pastoralized » en Allemagne.
Ils ont réduit la production de pétrole, des tracteurs, de l’acier et d’autres produits qui avaient été essentielles à l’effort de guerre. Ils ont coupé la production d’engrais de 82 pour cent. Ils ont sous-évalué les exportations allemandes (qu’ils contrôlent), privant les Allemands de liquidités nécessaires pour acheter de la nourriture.

Et un grand pourcentage de jeunes travailleurs de sexe masculin ont été gardés dans des camps de travail forcé pendant des années.
Pendant les six mois qui suivent la fin de la guerre, la production industrielle en Allemagne a baissé de 75%

La perte de tant de terres fertiles et de la baisse de l’approvisionnement en engrais et la production agricole chuter de 65%.

Soixante millions de gens ont commencé à mourir de faim dans leur immense prison.

Les explusions de masse d’une partie de l’Allemagne à l’autre, approuvées lors de la conférence de la victoire des Alliés à Potsdam en Juillet et Août 1945, ont été appliquées « avec le maximum de brutalité », a
écrit l’écrivain britannique et philanthrope Victor Gollancz, dans son livre, Notre menacées Valeurs (1946). L'écrivain et producteur canadien Robert Allen TV, dans un article intitulé «Lettre de Berlin », en lecturerevue (Février 1946), décrit la scène dans une gare de Berlin en tant que réfugiés sont arrivés à la fin de 1945: « Ils ont tous été épuisés et affamés et misérable …. Un enfant seulement à moitié vivant … Une
femme dans l’image la plus terrible de désespoir que j’ai vu …

Rencontre avec le juif Morgenthau, le juif Eisenhower a prescrit un traitement pour l’Allemagne qui serait « bon et dur», donnant comme raison que «l’ensemble de la population allemande est un paranoïaque
synthétique».

Morgenthau a une version écrite de leur discussion au président américain Franklin Roosevelt et le Premier ministre britannique Winston Churchill lors de leur rencontre à Québec en Septembre 1944.
Secrétaire au Foreign Office, Anthony Eden, secrétaire américain à la Cordell Hull et le secrétaire américain à la guerre Henry L. Stimson ont tous protesté vigoureusement contre le plan du juif exterminateur Morgenthau parce que l’Allemagne pastoralisé ne pouvait pas se nourrir.

M.Hull et M. Stimson dit à Roosevelt environ 20 millions d’Allemands allaient mourir si le régime était mis en œuvre. (le criminel plan date d'avant 1945)

La plupart des historiens mensongers disent que le plan Morgenthau a été abandonné après les manifestations, mais  le juif Morgenthau lui-même a reconnu qu’il a été mis en œuvre.

Dans le New York Post pour le 24 novembre 1947, il écrit: «Le plan Morgenthau pour l’Allemagne [...] est devenu le cadre de l’Accord de Potsdam, une déclaration solennelle de politique et d’engagement pour l’action … signé par les Etats-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne et l’Union des Républiques
socialistes soviétiques « .

l'ordure de Rosenvelt dit Roosevelt et son état major de juifs

J’ai d’abord passé sur les grandes lignes de cette histoire tout en recherchant mes 1989 livres Autres pertes, sur les morts massives de prisonniers de guerre allemands dans les camps alliés. Depuis 45 ans, les historiens n’ont jamais contesté une enquête menée massif sur quatre ans par le gouvernement du chancelier Konrad Adenauer, qui a sommé de déclarer que seulement 1,4 million de prisonniers allemands étaient morts en captivité.

Ce qui est encore contesté par les deux parties est combien sont morts dans les camps soviets, américains, français, anglais. Chacun a blâmé l’autre pour tous les décès, se rejetant la faute mutuellement.

La chute de l’empire soviétique en 1989 a fourni un essai spectaculaire de la vérité: si les archives du KGB ont enregistré combien d’Allemands sont morts dans les camps soviétiques, le monde saura combien sont
morts de prisonniers allemands à l’Ouest et à l'est..

En 1992, je suis allé aux archives du KGB à Moscou, où il m’a été permis de photocopier ce que je voulais. Et là, j’ai trouvé les rapports de colonel du KGB I.Boulanov et d’autres montrant que 450 600 Allemands étaient morts dans les camps soviétiques.(chiffres minorés puisqu'on ne compte pas les centaines de milliers de prisonniers de Stalingrad)  

Cette carte à droite est intéressante ce sont les camps de prisonniers allemands en France (une cinquantaine de camps)...

Qui vous en a parlé, personne ?

Personne n'était au courant, demandez le à vos grand-parents ou arrières grand-parents.

Ils ne savent pas, personne le sait, personne n'était informé....

En outre, les dossiers du KGB montrent que les Soviétiques avaient également emprisonné des centaines de milliers de civils, dont des centaines de milliers sont morts.

C’était l’ombre d’une plus grande tragédie, le sort des civils allemands.

La récente déclassification des documents de Robert Murphy à l’Institut Hoover de Stanford, en Californie, et de Robert Patterson à Washington concentre l’image. M. Murphy a été le principal conseiller diplomatique américain en Allemagne, et M. Patterson le secrétaire de la guerre après 1945.

Certains des papiers de M. Murphy montrent un taux de mortalité catastrophiques en Allemagne, mis en évidence par un commentaire surprenant par M. Murphy en discutant démographie allemands. Il a dit dans une prise de position du Département d’Etat en 1947 que la projection statistique américain des naissances, l’immigration et les décès officiellement notifiés ont montré qu’au cours des trois prochaines années, la population allemande devrait être de 81 millions, mais que «pour être conservatrice et compte tenu de la présente taux de mortalité élevé en Allemagne, un chiffre de 69 millions sera utilisé. « 
En d’autres termes, M. Murphy a fondé la politique américaine de haut niveau sur le fait que le taux de mortalité allemand réelle a été environ le triple du taux notifié officiellement à Washington par le gouverneur militaire américain.

Dans les Archives nationales à Ottawa, j’ai trouvé un document saisi par les Canadiens en 1946, montrant un taux de mortalité dans la ville de Brilon dans le centre-nord de l’Allemagne près du triple du total
déclaré par les Alliés pour leurs zones de l’Allemagne en 1945-46.

L’US Army médecin en Allemagne a secrètement rapporté que le taux réel de morts dans la zone États-Unis
en mai 1946, était de 21,4 % par an, soit 83% plus élevé que le gouverneur militaire faisait état de Washington.

Ces documents à Ottawa, Moscou, Washington et Stanford, a récemment révélé ou longtemps négligé, montrent que les Alliés ont non seulement détruit plus grands de l’industrie allemande, ils ont également
réduit la production alimentaire allemand, au point que les Allemands ont reçu moins de nourriture pendant de longues périodes au cours de plusieurs années que les Néerlandais affamés avait reçu sous l’occupation
allemande.

« De 1945 au milieu de 1948, on a vu l’effondrement, la désintégration et la destruction de toute une nation, »

Ce ne sont pas les paroles d’un historien révisionniste des années 1990, mais le jugement sobre d’un Marine médecin américain sur la scène . Le capitaine Albert Behnke rapport allemand et néerlandais famine: pendant des mois dans certaines régions d’Allemagne, la ration fixée par les Alliés d’occupation était de 400 calories par jour, dans une grande partie de l’Allemagne.
Le Néerlandais a toujours eu plus de 1.394.

Et pour sa part à des gens affamés dans le Pays-Bas, le commandant nazi Arthur Seyss-Inquart fut pendu par les Alliés.

Une comparaison entre les recensements allemandes de 1946 et 1950 montrent l’effet des pénuries alimentaires. Le recensement de 1950 a montré 5,7 millions de personnes de moins qu’il aurait dû en fonction du nombre de personnes enregistrées dans le recensement de 1946, moins officiellement signalé
décès, ainsi que les naissances et les «immigrés» (personnes expulsées de l’Est et les prisonniers reviennent) dans la période de 1946-1950.

M. Murphy avait, en effet, été conservateur, en partie parce qu’il sous-estime le nombre de prisonniers en raison de retourner en Allemagne en provenance de Russie.

Le décompte total des décès non reconnus parmi les prisonniers, les réfugiés et les civils non-expulsés vient à environ neuf millions de personnes entre 1945 et 1950, bien plus que le nombre de ceux qui sont morts pendant la guerre elle-même.

Tous ces décès étaient surplus à ceux qui sont effectivement déclarés.

Tandis que les Allemands affamés, le programme d’aide du Canada-États-Unis est entré en action dans d’autres parties du monde.
L’ancien président américain Herbert Hoover, puis conseiller en chef de la nourriture du juif Truman,  
a trouvé dans de grandes régions de la pauvreté alimentaire.

En fait, la production alimentaire mondiale en 1945, selon les statistiques du gouvernement américain,
était de 90 pour cent de la moyenne des années 1936-1938. À la fin de 1946, il était pratiquement normal.M. Hoover a emprunté et a acheté assez de nourriture à partir des quelques autres pays excédentaires – Australie et en Argentine – pour nourrir les allemands. 

Il a félicité les Canadiens chaleureusement pour leur coopération dans un discours CBC à Ottawa, en 1946:
«Pour le Canada coule la gratitude de centaines de millions d’êtres humains qui ont été sauvés de la famine grâce aux efforts du Commonwealth. »

Comme M. Hoover a prononcé la victoire sur la plus grande menace de famine dans l’histoire du monde pour les Allemands. En début de 1946, les rapports des conditions en Allemagne dirigées par des sénateurs américains, parmi lesquels Kenneth Wherry et William Langer, pour protester contre « ce plan génocidaire du juif Morgenthau, brutal et vicieux. »

Tardivement, le juif Truman devant le scandale a demandé à M. Hoover d'intervenir. M. Hoover a parlé à tous les Américains du Nord: «Des millions de mères regardent aujourd’hui leurs enfants dépérir mourir sous leurs yeux. » Les taux de mortalité infantile dans certaines villes allemandes étaient de 20 pour
cent par an, catastrophiquement plus élevé que la moyenne en Allemagne avant la guerre.

Les cas de tuberculose chez les enfants de Kiel, dans la zone britannique, ont augmenté de 70 pour cent au cours de la période d’avant-guerre.

M. Hoover a appelé à la miséricorde pour l’Allemagne.

« Je peux seulement faire appel à votre pitié et votre compassion … N’allez-vous pas prendre à votre table un invité invisible? »