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EUROPE: L' EXEMPLE DE LA HONGRIE !

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 Du Fidesz au Jobbik –

La Hongrie chrétienne et patriote va gagner les élections

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Aujourd’hui, la Hongrie vote.

Et malgré tous les quolibets des européistes et des médias atlantistes, c’est le Fidesz, le parti de Viktor Orban, qui devrait l’emporter haut la main, tandis que le Jobbik, présenté chez nous comme « l’extrême droite » devrait également connaître une belle percée.

Tous les sondages des cinq grands instituts donnent le Fidesz gagnant ce dimanche: il est crédité de 47 à 51% des voix, tandis que l’alliance de la gauche – mal organisée et peu audible pendant toute la campagne – obtient entre 21 et 31%.

 

Le parti Jobbik est créditée de 15 et 21% des intentions de vote.

Grâce à sa majorité des deux tiers des députés, le Fidesz a promulgué plus de 850 lois depuis 2010 et a su conquérir toutes les institutions du pouvoir.

Alors que les médias atlantistes tentent de le faire passer pour quelqu’un d’impopulaire, Viktor Orban est au contraire très apprécié par la grande majorité des Hongrois.

Régulièrement, des foules patriotes et enthousiastes en témoignent mais ces images-là, vous ne les voyez jamais dans les médias atlantistes…

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Viktor Orban a transformé la Constitution hongroise pour la soumettre au christianisme, il a promulgué des lois favorables à la famille, n’a rien consenti à l’UE e matière d’immoralité que celle-ci veut partout imposer. Contrairement aux mensonges des médias atlantistes, Orban est un bon gestionnaire qui annonce des baisses de quelque 20% des prix de l’énergie domestique.

La Hongrie lui doit la reprise de l’économie (1,2% en 2013) dans un pays qui sait valoriser l’agriculture.

Il peut aussi légitimement se vanter de ne pas brader la Hongrie à l’avidité des compagnies étrangères.

La grande question est de savoir si le Fidesz va ou non de nouveau obtenir une « super-majorité », soulignent les politologues. Le redécoupage en sa faveur des circonscriptions devrait lui faciliter la tâche. En 2010, il avait obtenu 52,7% des suffrages.

« Une majorité des deux tiers serait une victoire tellement encourageante (…) que nous pourrions vraiment penser que nous, Hongrois, sommes capables de tout », a déclaré l’homme fort du pays au Magyar Nezmet.

Le Jobbik bénéficie lui-aussi d’une popularité croissante contrairement à ce que raconte la propagande atlantiste.

Ses meetings sont des succès qui doivent laisser rêveurs bien des candidats de nos partis donneurs de leçons.

 

source :  http://medias-presse.info/du-fidesz-au-jobbik-la-hongrie-chretienne-et-patriote-va-gagner-les-elections/8409

 

ET AUSSI

 

LE JOBBIK ET MARINE LE PEN  !      RAPPEL ! 

Le Pen fait aussi le ménage au Parlement européen

Le présidente du Front national veut mettre fin à ses alliances avec les partis européens ultranationalistes.

Marine Le Pen, élue au Parlement européen, a donc demandé aux deux autres députés de son parti, dont son père Jean-Marie, de quitter l'Alliance européennes des mouvements nationaux (AEMN), qui réunit des partis radicaux comme le Jobbik hongrois, le BNP britannique et le Parti national démocratique bulgare.

Le parti de Marine Le Pen veut soigner ses fréquentations. "La situation au FN est un peu schizophrénique", a admis mercredi la présidente frontiste, lors d'une conférence de presse à Strasbourg.

L'élue européenne prépare les élections de mai 2014 et "caresse l'espoir de constituer un groupe parlementaire" dans la prochaine assemblée, avec des partis populistes jugés "crédibles". Mais ce sera en revanche sans les partis "extrémistes", a prévenu Marine Le Pen, citant le Jobbik hongrois et le mouvement néonazi grec Aube dorée.

La leader a ainsi demandé aux deux autres députés européens FN, son père Jean-Marie et Bruno Gollnisch, de renoncer à des alliances avec les partis ultranationalistes.

Car bien que ne faisant partie d'aucun groupe parlementaire et siégeant parmi les non-inscrits, les trois eurodéputés frontistes sont membres de partis pan-européens rivaux.

Marine Le Pen est ainsi vice-présidente de l'Alliance européenne pour la liberté (EAF), qui rassemble notamment le Parti de la liberté (FPÖ) autrichien, le Vlaams Belang belge et les Démocrates suédois.

En revanche, Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch, eux, sont membres de l'Alliance européennes des mouvements nationaux (AEMN), qui réunit le Jobbik hongrois, le BNP britannique et le Parti national démocratique bulgare.

 Bruno Gollnisch, que Marine Le Pen avait affronté en 2011 pour prendre la tête du FN, est même l'actuel président de l'AEMN. Marine Le Pen a donc "demandé à Bruno Gollnisch et à Jean-Marie Le Pen de bien vouloir quitter l'AEMN pour que la cohérence du parcours du FN, de ses choix d'alliance, apparaissent parfaitement claires", a-t-elle affirmé mercredi

. Celle qui refuse que son parti porte l'étiquette "extrême droite" a assuré que ce changement était "en train de se faire".

La subvention de Gollnisch restera pour son parti

Interrogé par l'AFP, Bruno Gollnisch s'est dit prêt à se mettre en retrait de l'AEMN, et notamment à en quitter la présidence. "S'il faut partir, je le ferai, mais je ne partirai pas sans que la survie de cette association soit assurée", a-t-il prévenu. Considérés comme des partis européens, l'EAF et l'AEMN bénéficient de subventions publiques et, à ce titre, ont reçu environ 400.000 euros chacune en 2013. 

Bruno Gollnisch ne veut donc pas que son départ prive ses "amis nationalistes" de cette manne.

A propos de l'ambition de Marine Le Pen de former un groupe parlementaire, qui nécessite 25 députés issus d'au moins sept pays, il a estimé que "cela aurait pu attendre l'après-élection".

En mai dernier, alors que Marine Le Pen dévoilait déjà ses ambitions européennes, Bruno Gollnisch assurait déjà que les élus du Jobbik étaient "tout à fait convenables". "Il fut un temps où les gens du FPÖ, que Marine Le Pen trouve aujourd'hui très convenables, étaient qualifiés de néo-nazis", rétorquait-il. La présidente du FN, elle, concédait qu'elle ne pouvait "forcer Bruno Gollnisch à démissionner de la structure qu'il a construite".

Son ton a désormais changé. Ses partenaires autrichien, belge et néerlandais lui ont explicitement demandé de renoncer à ses autres alliances.

Le futur groupe populiste au Parlement européen pourrait en revanche accueillir la Ligue du Nord italienne, ancienne alliée de Silvio Berlusconi.

A.F. (avec AFP) - leJDD.fr

mercredi 23 octobre 2013

 
 
Députés européens du FN

Les trois députés européens du FN sont membres de deux partis différents. (Reuters)

 

 
 

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