Rapport de la Commission des Droits de l’homme: Les Français en ont ras le bol de l’islam
La Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) vient de publier son rapport annuel, établi par l’institut de sondage BVA.
Un rapport profondément malhonnête
Le rapport entretient toujours la confusion des esprits entre racisme et rejet de l’islam, ce qui est devenu la norme médiatique destinée à museler la parole et excommunier ceux qui osent parler publiquement de ce qui se passe dans leurs rues et leurs quartiers en France.
Retenons cependant quelques points intéressants qui attestent à la fois de la lucidité, de la passivité, de la distance avec les élites du peuple français, et de la rupture de la courroie démocratique :
• Une majorité de plus en plus importante de Français constatent que les immigrés ne s’intègrent pas (63%, soit 7% de plus qu’en 2012). Mon avis, quand le chiffre atteindra 100%, ce sera aux Français de s’intégrer à l’islam.
• L’islam est la religion la plus mal vue: 80% des Français considèrent que le port du voile pose problème pour vivre en société.
• Les Romanichels ont une réputation épouvantable : 85% des sondés constatent qu’ils exploitent les enfants : pas besoin d’être extra lucide, il suffit de voir les enfants mendier dans les rues (+10% par rapport à 2012)
• 78% des Français considèrent que les Romanichels vivent de vols et de trafics (+7% par rapport à 2012).
L’art de faire dire l’inverse aux chiffres
Et la preuve que les Français ne confondent pas, eux, le racisme et le simple constat de ce qu’ils vivent, est qu’ils condamnent violemment l’antisémitisme. L’ »indice d’acceptation » des Juifs « reste de très loin supérieur à celui de tous les autres groupes », explique BFMTV qui cite une étude du CSA du 9 au 17 décembre 2013, et 85% des sondés estiment que les juifs sont des Français comme les autres, même si le cliché du juif et de l’argent a la vie dure.
Le gouvernement qui aura le courage de faire enfin siennes les conclusions du rapport Ruffin sur l’antisémitisme demandé par le premier ministre de 2004, et enterré parce qu’il révélait que l’antisionisme est « parmi toutes les formes, subtiles, d’antisémitisme par procuration, [celui qui] doit être particulièrement distingué …. comme forme de discours dominant » aura la haute main sur la solution d’un cancer qu’il promet de combattre sans avoir jamais osé. C’est un défi pour toréador.
Autre aspect intéressant, les officines antiracistes ne trompent plus personne :
Les résultats révèlent une « défiance vis-à-vis d’un antiracisme perçu comme censeur », explique Christine Lazerges, la présidente de la CNCDH, qui constate également que « les associations antiracistes ont beaucoup plus de peine à susciter du soutien ».
Mais je l’ai dit, il s’agit essentiellement d’un rapport vicié et vicieux qui juge les résultats avec un sens aigu de la perversion comme « une banalisation de la parole raciste ».
Car il n’était pas hors de portée des brillants fonctionnaires de constater que les Français sont décidément bonnes pâtes : avec un rejet aussi fort et constant des immigrés, ils se contentent de déplorer la perte de leur identité et de leur sécurité que lorsqu’on leur demande leur avis – et seulement au téléphone pour un sondage.
De quoi se plaignent les « remplacistes » ainsi religieusement baptisés par Renaud Camus ?
Que le bon peuple s’obstine à ne pas afficher un sourire béat pendant l’invasion en cours ?
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