Callac libérée ! 1944 effacé ! Le PCF est écrasé dans son bastion historique
BREIZATAO – POLITIKEREZH (24/03/2014) Callac est un des derniers foyers du communisme en terre bretonne. Ou plutôt “était”. Tenue par le PCF depuis longtemps, les rouges y sévissaient sans avoir vu leur hégémonie contestée.
Jusqu’à cette semaine.
Carole Le Jeune, succédant en 2008 au sénateur communiste Félix Leyzour – lequel s’est encore récemment illustré contre Yves Mervin au sujet des crimes FTP – a été tout simplement humiliée en étant vaincue dès le premier tour par l’opposition divers-droite.
Elle n’a rassemblé que 44% des suffrages.
C’est une défaite historique pour le dernier carré du communisme rural qui, malgré une érosion régulière depuis les années 80, demeurait en position dominante dans un petit nombre de villages du Kreiz Breizh.
Centre stratégique des terroristes FTP (staliniens) durant la guerre, Callac était le bastion par excellence du PCF en terre bretonne, une insulte permanente à la face de la nation bretonne enchaînée.
Avec le PCF écrasé à Callac, la baraque vermoulue du communisme est définitivement anéantie.
La vermine rouge voit ses acquis sanglants de 1944 réduits à rien, tout est terminé.
Autre symbole, pour la première fois, Scrignac ne sera pas administrée par maire explicitement encarté au PCF.
Si l’équipe sortante, seule en lice, est reconduite, c’est sans le maire actuel (PCF) qui se retire.
Fait important : la majorité reconduite n’a pas jugé utile de revendiquer une étiquette.
De Carhaix jadis tenue par Jean-Pierre Jeudy, à Douarnenez tenue par Michel Mazeas en passant par Callac aux mains de Leyzour, il ne reste plus rien du PCF sur le territoire .
Il est liquidé.
Les nationalistes, autonomistes, identitaires et régionalistes bretons ont une pensée émue pour l’Abbé Yann Vari Perrot dont nous fêtions récemment les 70 ans de l’assassinat par les terroristes du PCF.
De là où il regarde le pays, il soupire à la vue de cette libération.