Le 10 novembre est une date qui doit marquer les esprits de tous les Français et doit devenir une référence nationale si ce n’est européenne. Le 10 novembre cette marche contre le fascisme islamique doit devenir une pierre blanche pour tous les amoureux de la France, les patriotes de droite comme de gauche. C’est l’objet d’un combat permanent qui ne peut souffrir d’un quelconque relâchement. Il sera bien temps de se reposer plus tard à l’ombre d’un cyprès en compagnie du silence, celui que l’on trouve dans un cimetière.
Pour le moment, le devoir de tous les patriotes et de penser à nos enfants et petits enfants et au monde que nous allons leur laisser si nous ne bougeons pas.
Hier, j’ai rencontré dans ma ville de Puteaux dans les Hauts de Seine deux femmes noires entièrement voilées du hijab (vêtements noirs Saoudiens couvrant l’ensemble du corps, hormis le visage). Deux très jeunes femmes. Je n’ai pu qu’assister à ce passage de la honte. Je n’ai pu que réaliser une fois de plus que mon pays, ma région, ma ville s’islamise rapidement.
Et puis aussi que la France à travers son éducation nationale, sa politique d’intégration, son immigration galopante avait échoué totalement. L’islam à quatorze siècles d’esclavagisme à son compte. L’islam fût la cause de millions de morts noirs, femmes, enfants, jeunes hommes victimes de razzias, mis en esclavage, vendus à Zanzibar. La traversée de l’Afrique d’Ouest en Est, est jonchée d’ossements de ces captifs noirs.
De quoi se souvient l’Afrique? Des négriers! Alors oui, l’esclavage est un crime contre l’humanité. Les négriers blancs sont coupables. Des noirs furent déportés, vendus, exploités par ceux-ci et leurs acheteurs. Cela dura quatre longs siècles. Quatre siècles qui sont honteux pour ceux qui ont mis en pratique ce marché de la honte même si, à décharge, ils n’en furent pas les « inventeurs ». Loin de là…
Mais qui se souvient en Afrique que ce sont les Européens qui mirent fin à l’esclavage? Qui se souvient que ce sont les Anglais qui firent la chasse aux négriers? Qui se souvient que les arabo-musulmans firent des millions de morts en Afrique pour satisfaire leurs marchés d’esclaves, qu’ils mirent en place la traite des blancs et que c’est la France avec un mandat du Congrès de Vienne (l’ONU de l’époque) qui mis fin à la course barbaresque et aux captures d’esclaves sur les côtes européennes en occupant Alger.
En regardant passer ces deux jeunes filles noires, je me suis demandé si elles savaient tout cela? Mais bien sûr que non!
C’est la France qui les a vu naître dans l’une de ces banlieues, qui les a reçu dans l’une de ses écoles laïques et républicaines, qui a fourni les aides sociales et le soutien à l’éducation, qui a produit finalement deux jeunes musulmanes ayant accepté (de gré?) la volonté de se soumettre à une religion mortifère et inégalitaire. Elles sont pour moi la preuve flagrante d’un échec complet de notre modèle de société devenu incapable d’inculquer nos valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité, de laïcité.
Qui sont les responsables? Ceux que nous avons élus à tour de rôle au pouvoir et qui ont trahi notre modèle d’intégration pour un melting pot à l’anglo-saxonne et à l’idée que la communauté française, seule et unique référence était une idée ringarde, dépassée, nauséabonde et pour tout dire à la manière d’Aurélie Phillipeti, rance.
Gérard Brazon