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Islam : Culture de la violence sexuelle et de la pédophilie

 



dimanche 2 mars 2014par Aqveyli N-Jerjer (c'est mon autre pseudo)
 
 
 

 1° Razzias : les femmes sont des esclaves sexuelles

 

Après chaque razzia, Mahomet et ses compagnons se partagent les femmes-butins de la même manière qu’ils se partagent le bétail. Ils peuvent posséder les femmes sans aucune contrainte, comme on possède un objet.

Contrairement à ce que les imams essaient de faire croire, la condition féminine ne s’est pas améliorée avec l’arrivée de l’islam.

Par exemple, les Arabes de la Jahiliya ont trouvé immoral que Mahomet fasse divorcer son fils adoptif Zayd pour pouvoir épouser Zayneb.

Et tout le monde connait désormais l’histoire de la pauvre Aïcha, mariée à 6 ans et forcée à des rapports sexuels dès ses 9 ans.

Je citerai tout de même ce hadith sahih ("sain", ou "authentique") qui confirme si besoin était les penchants pédophiles de Mahomet :
« Jabir bin Abdullah a relaté : Quand je me suis marié, l’apôtre d’Allah m’a dit : A quel type de dame t’es tu marié ? J’ai répondu : "J’ai épousé une matrone. Il a dit : Pourquoi, tu n’as pas de penchant pour les jeunes vierges et pour les caresser ? Jabir a également indiqué : L’apôtre d’allah a dit : Pourquoi tu n’as pas épousé une jeune fille de sorte que tu pourrais jouer avec elle et elle avec toi ?

Bukhari, sahih 7 : 62 : 17 »

 

Je n’insisterai pas plus sur le côté pédophile du Katam ar-Rassul (le Sceau des Prophètes, donc celui qui scelle toutes les prophéties).

Ce qui est beaucoup moins connu, ce sont les agissements de Mahomet et de ses compagnons lors des razzias. Comment étaient traités ses prisonniers.

Les hadiths passent en revue cette période de la conquête du pouvoir par Mahomet. Ils nous apprennent dans le détail les pratiques musulmanes instaurées par Mahomet.

Les hommes étaient systématiquement tués, bien souvent de manière inhumaine, ainsi que les vieilles femmes sans valeur marchande. Plusieurs hadiths rapportent l’assassinat d’Oum Qifa —, une centenaire chef d’une tribu juive vaincue, qui périt écartelée par 2 chameaux. Les jeunes garçons étaient soit convertis de force, soit vendus comme esclaves.

Quand aux femmes et aux petites filles, elles servaient d’esclaves sexuelles avant d’être vendues à leur tour au marché aux esclaves. Deux de ces femmes-esclaves, particulièrement belles selon les récits, on fini par figurer dans la liste des épouses officielles de Mahomet.

Ce fut le cas de Juwayriya, fille du chef de la tribu des banu Mustaliq, sa 9e épouse. Et de Safiya bint Hoyay : le soir de la bataille où Mahomet fit tuer son père, son frère et son mari, elle finit sous sa tente, et le lendemain, il en fit sa 11e et avant-dernière épouse officielle.

Voici en 4 hadiths les récits qui nous enseignent dans le détail les comportements que les bons musulmans se doivent de reproduire en tous temps et en toutes circonstances, par imitation de "l’être le plus parfait de la Création".
- Un matin, Zayd et ses compagnons firent leur takbir, les cernèrent et capturèrent Fatima bint Rabia ibn Badr, et sa fille al Jariya bint Malik ibn Hudahyada ibn Badr. Celui qui a capturé al Jariyah était Maslama ibn al Akwa. Il l’offrit à l’apôtre d’Allah. Ensuite, l’apôtre d’’allah l’offrit à Hazn ibn Abu Wahb.
Ibn Sad, Tabaqat II 111-2

- Nous combattions contre les Fazara et Abu Bakr était notre chef. Il avait été choisi par le messager d’Allah... Abu Bakr nous ordonna d’attaquer et nous avons attaqué leur point d’eau. Quelques ennemis furent tués et d’autres faits prisonniers. J’ai vu un groupe de personnes composé de femmes et d’enfants. Je les ai emmenés. Parmi eux, il y avait une femme des Banu Fazara et avec elle était sa fille qui était une des plus belles filles d’Arabie. Je les ai conduits jusqu’à Abu Bakr qui me donna la fille comme récompense.

C’est alors que nous sommes rentrés à Médine. Je ne l’avais pas encore déshabillée quand le messager d’Allah me rencontra dans la rue et dit : - Ô Salama, donne-moi cette fille ! Elle me plaît. Je dis : - Messager d’Allah, elle me plaît aussi.

Je ne l’ai pas encore deshabillée ! Le lendemain, le messager d’’allah me vit dans la rue :- Ô Salama, donne moi cette fillle ! Allah bénisse ton père. J’ai dit : - Elle est pour toi, je ne l’ai pas encore déshabillée.

Muslim, sahih 19 - 4345

- L’apôtre d’Allah envoya une expédition militaire à Awtas lors de la bataille de Hunain. Ils se battirent avec leurs ennemis. Ils les vainquirent et prirent les survivants comme prisonniers. Certains des disciples de l’apôtre d’Allah hésitaient à violer les femmes capturées en présence de leurs maris qui étaient des infidèles.

Alors Allah le grand, renvoya les fidèles au verset du Coran (Coran 4:24) "Il vous est aussi interdit d’épouser des femmes déjà mariées, à moins qu’elles ne soient vos captives de guerre".

Abu Dawud, sahih 2150
C’est sur la base du verset 4:24 du Coran qu’Allah autorise non seulement de capturer et de violer les femmes, mais aussi de le faire devant leur mari.
- Etant assis auprès du prophète, un homme dit : - Ô envoyé d’Allah, nous avons eu des rapports avec nos captives et nous voudrions ne pas en perdre de la valeur. Que penses-tu du retrait de la verge au moment de l’éjaculation ? - Pratiquez vous donc ce procédé ? s’écria le prophète, Eh bien, il n’y a aucun mal à ce que vous agissiez ainsi, car il n’est pas une seule âme pour laquelle Allah a décidé qu’elle sortirait du néant qui n’en sorte effectivement.
Bukhari, sahih 34:109

On remarquera que le principal souci des compagnons de Mahomet était de préserver la valeur marchande de leur captives : enceintes, elles se vendraient moins cher aux marchés aux esclaves. Mahomet les rassure : pas besoin de pratiquer le coït interrompu car seul Allah est "maître" des enfants à naître.

 

Il ne faut donc pas s’étonner du comportement de certains musulmans dans leurs rapports avec les femmes : elles ne sont pour eux que des objets à leur entière disposition. C’est une confirmation des prescriptions coraniques.

 

 2° Conséquences en 2014 : la culture du viol toujours présente

 

Pas ou peu de statistiques officielles dans les pays à majorité musulmane. Parce que très peu de cas sont déclarés, bien souvent à cause de la peur et de la honte. Bien souvent, les lois existent, mais elles ne sont pas appliquées. C’est le cas dans les pays comme le Jordanie, l’Égypte, le Bangladesh et la Turquie qu’on qualifie de moderne.

Et puis, où se plaindre ? La presse a rapporté le cas de cette Tunisienne violée par les policiers chez qui elle était allée déposer une plainte pour ... viol ! Ou le cas de cette Norvégienne qui, a Dubaï, s’est retrouvée en prison pour avoir été violée.


Les femmes en islam sont mineures à vie, elles sont presque totalement dépendantes des mâles. Pas ou peu de possibilités de se sortir de ces prisons tant mentales que matérielles. Dans la plupart des cas, elles endurent en silence.

Quelques personnes courageuses osent braver ce sujet tabou. C’est le cas de Najat Anwar, présidente de “Touche pas à mon enfant”, connue pour avoir révélé en 2013 les chiffres effarants du nombre de viols de mineurs au Maroc.

En Occident, c’’est "un peu" différent. Le viol et les violences envers les femmes ne sont pas perçus de la même manière, c’est un euphémisme de le dire ainsi.


Mais, depuis quelques années, les phénomènes de viols en réunion, les gang-rape, les "sex-gang" et auteurs de "tournantes" sont de plus en plus nombreux, encouragés par l’inefficacité de la justice et de la police à lutter contre ce fléau.

Une nouvelle forme de violence, qu’on peut appeler "jihad-rape", djihad par le viol. Car n’en déplaise aux bien-pensants pour qui il faut cacher les vérités qui dérangent quand il s’agit de l’islam, la quasi totalité de ces actes criminels sont commis par des musulmans.

Les pays occidentaux qui semblent les plus touchés sont les pays scandinaves, la Grande-Bretagne et ... l’Australie ! En Norvège, 100% des cas de viols recensés en 2011 ont été commis par des "immigrés non-occidentaux", nous disent pudiquement les médias.

La Suède, réputée il y a encore 30 ans pour sa tranquillité et sa douceur de vivre, a le taux le plus élevé d’Europe pour les viols, elle se place 2e au niveau mondial, juste derrière l’Afrique du Sud. Les viols en réunion ont augmenté de 377% entre 1995 et 2006 dans ce pays, en corrélation directe avec l’arrivée massive d’immigrants et de réfugiés musulmans.

Au point que, dans ces 2 pays, Norvège et Suède, les femmes se teignent les cheveux en noir pour être "moins visibles" et certaines d’entre elles portent un kit anti-viol, le Rape Kit Box.

Voici 3 cas récents de viol et violence envers les femmes.

 

 - 2 a Une adolescente britannique violée par 30 musulmans pendant 6 Heures

 

Une adolescente a été violée par 30 hommes dont un père et son fils étudiant, qui était encore en uniforme de son école. L’agression a duré six heures.

La jeune fille, vulnérable, a auparavant subi un "toilettage". La technique du "toilettage" est connue et bien rodée en Grande-Bretagne.

Le toilettage des enfants (child-grooming) se réfère à des actions délibérément menées pour "apprivoiser" des enfants, établir dans un premier temps un lien amical et affectif avec eux et ainsi réduire leurs peurs et inhibitions dans le but de les préparer à une activité d’exploitation, généralement sexuelle.

Une activité de pédophile léguée par le "modèle parfait" Mahomet. D’ailleurs, le toilettage est typiquement musulman, même s’il arrive que des non-musulmans participent au viol collectif. Il se pratique aussi bien sur des gamines blanches que sur celles de la communauté indo-pakistanaise, très nombreuses dans ce pays, qu’elles soient musulmanes ou hindoues.


Shaista Gohir MBE, présidente du Réseau de femmes musulmanes au Royaume-Uni et militante des droits des femmes, a établi un rapport choquant soulignant comment sévit le toilettage chez les musulmans au sein des "communautés ethniques" et affirme que l’exploitation sexuelle et le toilettage des jeunes filles asiatiques par des musulmans de même origine ethnique se passe sous le nez des autorités et que les dirigeants communautaires [les imams], les écoles et les familles sont tous prêts à rejeter les attaques ou pire, à les couvrir.


Quand les familles des victimes découvrent ces crimes horribles, leur réaction est bien souvent le repli : il faut cacher cette "honte" qui les atteint et qui risque de rejaillir sur la communauté. Pour "laver l’honneur", on envoie la gamine au pays d’origine des parents ou on essaie de lui trouver un mari conciliant, juste pour étouffer l’affaire.

En aucun cas, le traumatisme subi par la victime n’est évoqué.

Lire l’article en anglais de Sharia Unveiled

 

 - 2 b "Mariages d’honneur" : les enfants-épouses du Pakistan

 

Madyan, district de Swat, Khyber Pakhtunkhwa, Pakistan. Quand Saneeda apprit de son père qu’il l’avait donnée en mariage pour payer une "dette d’honneur", elle n’avait que cinq ans.


Quelques mois auparavant, son père avait eu une liaison "haram" (illicite) avec une femme de la vallée voisine et cette aventure avait été découverte.

Pour éviter de payer de sa vie, l’homme avait promis de donner sa fille Saneeda et sa nièce Sapna en mariage à des hommes de la famille de sa maîtresse.


Dans le Swat, région du nord du Pakistan appelée "la Suisse d’Asie" avant qu’elle ne tombe aux mains des talibans, c’est une pratique courante. Des hommes offrent leur sœur ou leur fille en compensation d’un acte haram. Cette pratique porte le nom de "swara".


La mère de Saneeda s’était opposée à ce troc, mais la "jirga", l’assemblée des anciens du village, en a décidé autrement : il s’agissait de "préserver l’honneur" des 2 familles et des 2 villages.
Les autres membres de la famille ne voulant pas céder à cette infamie finirent par briser le silence et portèrent plainte contre ce père indigne et contre l’assemblée des vieux croûtons du village. Tout ce joli monde a fini par être arrêté.

Une solution inattendue : en règle générale, les gamines finissent par être mariées de force.

C’est d’ailleurs le cas de la cousine de Saneeda, la petite Sapna.

Elle a eu moins de chance, puisque, selon les journaux, elle a quand même fini par devenir enfant-épouse, peut-être d’un autre vieux croûton.
Il y a énormément de cas de "swara", mais comme toujours dans ces "histoires d’honneur" bien musulmanes, ce sont les femmes qui sont une fois de plus les victimes, et le statut que leur octroie la société islamique leur interdit toute révolte contre la toute-puissance des mâles dominants.

Ainsi, les Autorités et le pays tout entier préfèrent fermer les yeux : n’est-ce pas là une manière qu’a laissé le prophète à tous ces bons musulmans de perpétuer la tradition ?


Un avocat local va même jusqu’à déclarer que c’est un bon moyen et qu’il "permet de sauver des vies et de ramener la paix entre les familles", ajoutant cyniquement que les fillettes données en "swara" ne risquent pas d’être maltraitées car dans ce cas, sa famille d’origine "demandera vengeance à son tour".

Lire l’article en anglais d’American Infidels

- 2 c Les 2 frères imams violent leur soeur, l'obligent à avorter et accusent le stress au travail. 

 

Le métier d’imam est vraiment très stressant et inhumain. Après une dure journée à enseigner aux musulmans les vertus insoupçonnées de l’esclavage, de l’homophobie, de la haine raciale, de l’antisémitisme, de la polygamie, de la misogynie, de l’inceste (oui : Zayneb, 7e épouse d’un certain gourou, en témoigne !), de la pédophilie et des autres très hautes valeurs morales musulmanes, on est forcément épuisé.

Et probablement qu’à force de parler de sexe et de fornication (je n’y peux rien, c’est le terme officiel depuis 14 siècles), sujet central du Coran et de la sunna, on se sent tout émoustillé.

La sœur n’a donc pas à se plaindre de son traitement si, quand ses 2 frères imams rentrent de ce travail harassant, et qu’ils lui ordonnent de se mettre au lit.

Ce n’est pas de la faute de ses 2 grands frères, tout au plus, c’est la faute des parents, morts trop tôt et qui n’ont pas pu veiller sur l’intégrité physique de leur fille.
Seulement, cette pauvre fille n’est pas stérile, et il a bien fallu faire disparaître cet "objet" qui allait arriver et faire jaillir la honte sur la famille.

Alors, on emploie les solutions radicales, qui consistent à protéger coûte que coûte "l’honneur de la famille".
La pauvre fille a fini par porter plainte.

Lire l’article en anglais d’American Infidels
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Il est étonnant de constater que les musulmans invoquent à chaque fois l’honneur de la famille, l’honneur du village, l’honneur du quartier, alors que la base de leur dogme, le coran, ne mentionne ce mot dans aucune des 114 sourates qui le composent.

On n’est pas à un paradoxe près avec cette secte.

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Nota : à l’attention de ceux qui reprennent un des arguments du "coranique" Mohammed Talbi et disent que "seul le Coran oblige", je rappelle que les hadiths font partie de la sunna.

Nous ne connaissons la vie de Mahomet qu’à travers ces hadiths et à travers lessira an-Nabawiya.

Les mettre en doute signifie mettre en doute la sunna et mettre en doute l’existence de Mahomet.

 

Hérésie qui désigne son auteur comme apostat.


Assassinat d’Oum Qifa:
 

 
 
Source et publication:   Aqveyli N-Jerjer      http://apostat-kabyle.blog4ever.com/islam-culture-de-la-violence-sexuelle-et-de-la-pedophilie-1?trck=notif-10612757-1005631-10zMj

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