Depuis près de deux ans, un projet que l’on aurait légitimement pu qualifier d’osé a été entrepris : créer une chaîne de télévision patriotique et libérée du politiquement correct.
Les initiateurs de ce projet, réunis autour de Philippe Milliau, ont pris acte de l’évolution technologique rendant possible la diffusion d’une chaîne de télévision : tout foyer disposant d’une connexion Internet aura la possibilité de recevoir cette chaîne, par le biais d’un ordinateur ou d’un smartphone, mais aussi via les télévisions connectées à Internet par le Wifi.
Une équipe prestigieuse a été réunie par Philippe Milliau. On y retrouve pêle-mêle des personnalités comme Jean-Yves Le Gallou, Bernard Lugan, Philippe Conrad, Yvan Blot, Robert Ménard, Martial Bild, Arnaud Soyez, Jean-Baptiste Giraud, Anne Brassié et bien d’autres.
Les locaux de TV Libertés, situés à proximité de Paris dans le Val-de-Marne, viennent d’être inaugurés et présentés aux soutiens du projet.
Le démarrage de la chaîne est prévu pour le 30 janvier 2014 à 19 H.
Vous pouvez vous aussi soutenir le projet en envoyant vos dons (déductibles d’impôt à hauteur de 66% du montant du don) en envoyant vos chèques à l’ordre de l’ASNA, à TV Libertés BP 400-35 94271 Le Kremlin Bicêtre (contact mail : tvlibertes@gmail.com).
Par contre :
le 17 décembre 2013 dans Médias
Ainsi peut-on voir la liste de 200 titres qui bénéficient de ces aides publiques.
En tête du classement, Le Monde et Le Figaro sont les mieux dotés avec respectivement 18,6 et 18,2 millions d’euros. Viennent ensuite le quotidien régional Ouest-France (11,9 millions),La Croix (10,7 millions), le titre du groupe Le Monde Télérama (10,3 millions),Libération (10 millions), Aujourd’hui en France (9,3 millions), Le Nouvel Observateur (9,3 millions) L’Express (7,2 millions) et Télé 7 jours (6,9 millions).
Les « pure player », titres exclusivement sur internet, restent en bas du classement, comme Slate.fr qui est, par exemple, 194ème avec 166 524 euros d’aides.
Selon le ministère de la Culture, ces aides sont calculées en fonction du nombre d’exemplaires diffusés afin de « mettre en lien les volumes d’aides en euros avec le nombre de tirages de chaque titre ».
Elles sont aussi bien directes, indirectes (aides postales) ou encore aux tiers (SNCF…).
La Cour des comptes a vivement critiqué le montant de ces aides depuis que celles-ci ont doublé en 2008.
La Cour des comptes estime que le plan d’aide déployé entre 2009 et 2011, qui peut être estimé à 5 milliards d’euros, a été « peu efficace » et entraîne inévitablement une inquiétante situation de « dépendance » pour le secteur.