Des parents qui s’épanchent dans les médias pour faire pleurer les français dans leurs chaumières.
Un gouvernement qui se mure dans le silence et un Etat étranger acteur-clé dans ce roman tragique qui fait planer son ombre mais sans que personne n’ose l’identifier de peur de lui faire tomber son masque.
Le public est convié à un scénario où les parents sont mis en scène comme s’ils étaient les victimes, mais victimes de leur propre défaillance, le pays d’origine, en l’occurrence la France pour avoir failli à ses obligations de protection de ses ressortissants mineurs ou de mineurs étrangers résidents sur son territoire la sortie et le pays de transit qu’est la Turquie dont la responsabilité pénale est des plus évidentes.
Les uns comme les autres ont concouru volontairement ou non et à des degrés divers à la mise en péril de la sécurité de ces gamins.
Aucun d’entre eux et tout particulièrement la Turquie, ne peut plaider la bonne foi dans cette affaire, ils sont aussi responsables que coupables au même titre que les recruteurs-prédicateurs qui sévissent en toute impunité républicaine dans les milieux des mosquées et qui pourraient peut-être connus des parents eux-mêmes.
Les parents à la sincérité des plus douteuses devraient plutôt cesser de jouer à la vierge affligée et de dire toute la vérité sur cette affaire. Il me parait insensé que leurs enfants se soient volatilisés comme par magie sans qu’ils ne se rendent compte de rien.
Cette affaire est d’autant plus troublante que les parents aient attendu 15 jours pratiquement avant de signaler leur disparition.
Beaucoup de zones d’ombres qu’il reviendra à la justice de clarifier.Il y a effectivement matière à s’interroger quant à leur propre mise en cause dans cette affaire.
S’ils avaient véritablement le souci de l’intégrité psychique de leurs enfants, ils ne les auraient pas précipités dans les abîmes de l’islam des ténèbres.
A cause de leur irresponsabilité et les dysfonctionnements à la sortie du territoire français, des gamins sont en danger de mort s’ils ne sont pas déjà morts à moins qu’ils ne servent de "gholmanes", enfants beau et séduisants, dans le cadre du djihad du nikah.